immigrer.com Posté(e) 7 juin 2013 Posté(e) 7 juin 2013 Bien que la création d'emplois au Québec ait été moindre en 2012 que l'année précédente, quatre régions ont enregistré un taux de croissance supérieur à 4 pour cent. Les Laurentides, le Saguenay-Lac-Saint-Jean, le Bas-Saint-Laurent et Laval ont tous connu une croissance de l'emploi variant de 4,3 à 4,1 pour cent, souligne l'Institut de la statistique du Québec, dans son plus récent Panorama des régions du Québec publié jeudi. La région des Laurentides est la championne avec une création de 12 300 emplois, soit une croissance de 4,3 pour cent. «Ce nombre constitue plus du tiers des emplois créés dans l'ensemble du Québec», souligne l'ISQ. En nombres absolus, toutefois, c'est la Montérégie qui sort grande gagnante, avec 25 100 emplois de plus, soit une augmentation de 3,4 pour cent. Les régions qui affichent les plus importantes baisses de l'emploi sont la Mauricie et l'Estrie, avec des diminutions respectives de 5,4 pour cent, soit 6500 emplois, et 5,1 pour cent, soit 7900 emplois. La métropole se situe au milieu du palmarès des régions, affichant une croissance de l'emploi de 0,3 pour cent entre 2011 et 2012. Dans la région, l'emploi a reculé chez les femmes et crû chez les hommes. De même, l'emploi a crû chez les jeunes de 15 à 29 ans, tandis qu'il a diminué chez les gens de 30 ans et plus. La croissance s'est particulièrement manifestée dans l'emploi à plein temps et le secteur des services. De façon générale, le Québec a connu en 2012 une légère hausse de l'emploi, de 0,8 pour cent, ce qui signifie 30 800 emplois de plus. Les nouveaux emplois sont à temps plein et ont profité tant aux hommes qu'aux femmes, souligne l'ISQ. Taux de chômage Pour ce qui est du taux de chômage, c'est dans la région de Gaspésie-Iles-de-la-Madeleine qu'il est le plus élevé, atteignant 12,9 pour cent. Montréal suit avec 10,2 pour cent, puis la Mauricie avec 9,7 pour cent. Le taux de chômage est à son plus bas dans la région de Chaudière-Appalaches, avec 4,6 pour cent, et dans la Capitale-Nationale, avec 5,7 pour cent. Partager source : http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201306/06/01-4658519-emploi-la-croissance-depasse-4-dans-quatre-regions.php Citer
Habitués Azarielle Posté(e) 7 juin 2013 Habitués Posté(e) 7 juin 2013 Taux de chômage Pour ce qui est du taux de chômage, c'est dans la région de Gaspésie-Iles-de-la-Madeleine qu'il est le plus élevé, atteignant 12,9 pour cent. Montréal suit avec 10,2 pour cent, puis la Mauricie avec 9,7 pour cent. source : http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201306/06/01-4658519-emploi-la-croissance-depasse-4-dans-quatre-regions.php Mais malheureusement plusieurs nouveaux arrivants persisteront quand même à s'installer à Montréal en disant que c'est là que l'emploi se trouve. Debian a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Blueberry Posté(e) 7 juin 2013 Habitués Posté(e) 7 juin 2013 Certes, mais est-ce que les habitants des régions Québécoises sont prêts -et veulent vraiment- à accueillir des flux d'immigrants? LeBalladin, veniziano et Claranne ont réagi à ceci 3 Citer
Habitués juetben Posté(e) 7 juin 2013 Habitués Posté(e) 7 juin 2013 et ensuite quels emplois... temps plein ou temps partiel?!? Citer
Habitués kjaerlighet Posté(e) 7 juin 2013 Habitués Posté(e) 7 juin 2013 Y a de la job a temps plein en région, mais pour ma part c'est franchement aléatoire le temps de travail tellement aléatoire que mon boss me donne le chômage parce qu'il y a moins d'activité mais c'est pas pour autant qu'il a pas embauché un technicien supplémentaire il y a même pas un mois pour en mettre deux sur le chômage aujourd'hui ... Pendant ce temps là lui il s'en fout, il se fait toujours ses 1 000 $ par semaine de salaire C'est bien là le problème de travailler en région, si c'est une grande ville c'est bien correcte on est capable de trouver de quoi d'autre mais une petite ville comme là ou je reste c'est une autre histoire si je veux travailler va falloir soit que je déménage soit que je reste chez moi a attendre que mon boss me rappel. Citer
Habitués juetben Posté(e) 7 juin 2013 Habitués Posté(e) 7 juin 2013 Y a de la job a temps plein en région, mais pour ma part c'est franchement aléatoire le temps de travail tellement aléatoire que mon boss me donne le chômage parce qu'il y a moins d'activité mais c'est pas pour autant qu'il a pas embauché un technicien supplémentaire il y a même pas un mois pour en mettre deux sur le chômage aujourd'hui ... Pendant ce temps là lui il s'en fout, il se fait toujours ses 1 000 $ par semaine de salaire C'est bien là le problème de travailler en région, si c'est une grande ville c'est bien correcte on est capable de trouver de quoi d'autre mais une petite ville comme là ou je reste c'est une autre histoire si je veux travailler va falloir soit que je déménage soit que je reste chez moi a attendre que mon boss me rappel. et voila exactement le nerf de la guerre, de l'emploi mais de qualité aléatoire... j'ai de la belle famille en beauce et chaudière apalaches... ils ne sont pas au chômage,mais... cumulent les temps partiels et autres contrats divers.... Citer
Habitués kjaerlighet Posté(e) 7 juin 2013 Habitués Posté(e) 7 juin 2013 Moi je me fais balader pas peu prés, et pourtant avant de quitter Québec j'ai insister à l'entrevue sur un emploi à l'année à temps plein au final les 4 plus anciens techniciens bossent tout le temps et les 2 derniers bossent de manière aléatoire ... Là je vais pouvoir profiter d'avoir du temps libre pour trouver autre chose, peut être suivre une nouvelle formation si je suis capable de garder le chômage en suivant un cours, même si ça implique un déménagement, l'offre de formation est vraiment ridicule là ou je reste. Citer
Habitués juetben Posté(e) 7 juin 2013 Habitués Posté(e) 7 juin 2013 peut être suivre une nouvelle formation si je suis capable de garder le chômage en suivant un cours tu ne pourras pas avoir de chômage, mais tu peux te faire transférer sur une allocation d'emploi québec... ou bien change tout simplement de ville et travaille pour une compagnie plus grosse qui fait majoritairement du commercial, industriel et institutionnel Citer
Invité Posté(e) 8 juin 2013 Posté(e) 8 juin 2013 Moi je me fais balader pas peu prés, et pourtant avant de quitter Québec j'ai insister à l'entrevue sur un emploi à l'année à temps plein au final les 4 plus anciens techniciens bossent tout le temps et les 2 derniers bossent de manière aléatoire ... Là je vais pouvoir profiter d'avoir du temps libre pour trouver autre chose, peut être suivre une nouvelle formation si je suis capable de garder le chômage en suivant un cours, même si ça implique un déménagement, l'offre de formation est vraiment ridicule là ou je reste. C'est l'exemple du patron qui profite du système et de ses employés. Il faut vraiment être rat pour embaucher 1 tech et en mettre 2 au chômage. C'est de la bêtise pure, mais bon..... Citer
Habitués LeBalladin Posté(e) 8 juin 2013 Habitués Posté(e) 8 juin 2013 Taux de chômage Pour ce qui est du taux de chômage, c'est dans la région de Gaspésie-Iles-de-la-Madeleine qu'il est le plus élevé, atteignant 12,9 pour cent. Montréal suit avec 10,2 pour cent, puis la Mauricie avec 9,7 pour cent. source : http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201306/06/01-4658519-emploi-la-croissance-depasse-4-dans-quatre-regions.php Mais malheureusement plusieurs nouveaux arrivants persisteront quand même à s'installer à Montréal en disant que c'est là que l'emploi se trouve. Les immigrants ne sont pas stupides. Ils vont là où ils pensent que LEURS chances de s'en sortir sont les meilleures, c'est-à-dire, là où ils peuvent croiser d'autres immigrants, idéalement des gens qui sont leurs semblables. On a tout simplement peur d'aller en région. Outre le fait de savoir qu'on vivra seul, sans aucun ami, on ignore à quelle sauce on sera mangé et ça fait inévitablement peur. Certains endroits sont moins épouvantables. En se renseignant bien on peut trouver tel ou tel coin respirable. Mais les immigrants n'ont généralement pas accès à ce genre d'information. Si les québécois voulaient vraiment que des immigrants osent aller en région ils devraient commencer par leur permettre de les aider à se renseigner sur la mentalité qu'il y a dans tel ou tel coin, ce qui serait possible si des associations locales d'immigrants existaient. On peut sans trop se tromper affirmer qu'il y a du pain sur la planche. Citer
Habitués Addicttotravel Posté(e) 10 juin 2013 Habitués Posté(e) 10 juin 2013 Certes, mais est-ce que les habitants des régions Québécoises sont prêts -et veulent vraiment- à accueillir des flux d'immigrants? Je ne le sens pas. Il y avait une vidéo sur le travail en région et le premier constat qu'on voyait sur la vidéo: les immigrants étaient entré eux et de l'autre côté: les locaux lors des repas et activite hors travail. L'intégration se limitait à un contact lors du travail et c'est tout. C'était super frappant. Citer
Habitués Debian Posté(e) 11 juin 2013 Habitués Posté(e) 11 juin 2013 (modifié) interessant mais si 95% des nouveaux arrivant partent à Montreal c'est parce qu il y a plus de diversité et plus acceptés...., de plus ceux du domaine de la technologie d'apres ce que je sais c'est ile de Montreal. Modifié 11 juin 2013 par Debian Citer
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