Le jeu en vaut-il la chandelle?

[claire682]

Je crois que tu as 1 an pour valider ton visa, d'ici là, je pense que tu auras fait le bon choix. Avis perso, si tu es bien en France, que tu peux évoluer dans ta job avec bonnes augmentations et touti quanti, je te conseillerais de rester mais c'est à toi de décider.

1an à partir de la date de la VM

[saturne]

La vie est une succession de choix, à moi de prendre les bons, les prochains mois me porteront sans doute conseil.

Merci vous.

[Cherrybee]

Tout à fait mais il faut aussi casser le mythe de trouver tout de suite une job à 70K et accepter de redémarrer en bas de l'échelle...

Donc oui ca se peut qu'il commence à 40 000$ mais il suffit de persévérer

Tu rigoles ? Nous ne sommes plus en 2005 and anyway chum à l'époque avait refusé en dessous de 45k. Dans les TI aujourd'hui les gens se font plus embauchés autour de 60/70 k je parle bien entendu pour ceux qui ont une bonne expérience. Les temps ont bien changé.

Non, je confirme. Il y a de moins en moins de pénurie d'informaticiens et cela, les entreprises le savent et jouent l'insécurité du nouvel arrivant.

Ceci dit, certains domaines en TI restent encore protégés (sécurité informatique par exemple)

[Cherrybee]

Parce qu'elles recherchent souvent des professionnels dont le profil répond à leur liste d'exigences longues comme le bras (non, les deux bras). Sans être informaticienne, je baigne pas mal dans le milieu. Et le leitmotiv de tous ceux qui sont installés depuis 10 voire 15 ans est qu'à l'époque, c'était plus facile. Les employeurs étaient capables d'oser le risque car pour eux, il était simple d'embaucher quelqu'un qui avait une base suffisante et de lui apprendre ce qui lui manquait. À présent, plus personne ne veut prendre le risque, il faut que le professionnel connaisse les moindres pratiques de l'entreprise sans y avoir travaillé, et soit immédiatement opérationnel. Il faut aller très vite, être rentable. Et tant pis s'il manque une ou deux certifications au candidat, on ne le retiendra pas après entrevue. D'ailleurs, une pratique se développe de plus en plus. Les employeurs sont de plus en plus frileux à proposer leurs emplois et faire leurs sélections eux-mêmes. Souvent, ils sous-traitent. L'histoire de Nénelle est un exemple flagrant. Ils pensaient avoir été contacté par un employeur, mais en fait, c'est un chasseur de tête, un intermédiaire qui les a contactés. Rien ne dit que monsieur aura le poste. Rien ne dit non plus qu'il ne l'aura pas. Peut-être que lui, à l'étranger, a déjà ces nouvelles certifications après lesquelles ils courent.Comme je lui disais dans son fil de discussion, mon conjoint, qui ne refuse jamais une bonne proposition a accepté ces chasseurs de têtes dans ses contacts LinkedIn. Il en est actuellement à 240 personnes, travaillant dans 110 agences de placement (ils peuvent être aussi plusieurs travaillant dans la même agence, c'est du chacun pour soi). Si on veut avancer dans sa carrière, on n'a malheureusement pas le choix de les refuser.

À date, je ne connais que les infirmières qui échappent encore au système et qui sont embauchées directement par le réseau de la santé.

Et pour le travail, je ne pense pas qu'il y en ait plus pour un informaticien ou un TI à Québec qu'à Montréal, mais c'est vrai que c'est plutôt dans les grandes métropoles que cela se concentre et bien sûr que se concentrent ce genre de professionnels. Mon chum a toujours été approché par des gens de Montréal, d'Ottawa ou de Toronto. Jamais de Québec ou de Sherbrooke.

Modifié 16 avril 2013 par Cherrybee

[Cherrybee]

Doublon...

Modifié 16 avril 2013 par Cherrybee

[Invité]

Je confirme, mon chum a toujours été contacté uniquement par des chasseurs de tête ! Et des contacts il en a eu ! Il recevait des propositions, des e-mails et des appels au moins une fois par mois si ce n'est pas une fois par semaine a certaines périodes ! Rien n'indique que tu vas avoir la job mais il n'a jamais été au chômage plus d'un mois ou deux au final entre deux contrats.

Par contre je trouve qu'on laisse encore pas mal sa chance même si on ne correspond pas à tous les critères... comparé à l'Europe ou il a dû chercher du travail a l'automne dernier, c'est assez flagrant la différence de mentalité dans ce domaine !

[caroline77]

Il y a aussi certainement plus de chômage là bas, notamment la Moselle qui est pas mal sinistrée en emploi, le Luxembourg saturé de CV de frontaliers etc. Puis dans certains domaines, il peut ne pas trop y avoir de débouchés. Ce n'est qu'une hypothèse mais la période n'est pas très propice à l'emploi non plus.

[verozen]

Merci à tous pour toutes vos réponses. Je pense effectivement qu'il s'agit d'une chance d'expérience de vie et qu'il serait dommage de passer à coté.

L'un de mes dilèmes est que depuis ma rupture avec la femme avec qui j'avais débuté le projet, j'ai rencontré une autre femme avec qui je vis depuis quelques mois (je sais c'était idiot mais bon que voulez vous ). Je l'avais informé de ce projet dès le début mais à l'époque, je n'avais pas le visa et pensais pouvoir y renoncer. Depuis que j'ai ce visa, je dois avouer que j'y pense régulièrement et ne sais que choisir entre vivre mon histoire en france (sachant que l'amour est parfois imprévisible) et conserver mon petit confort ou partir et vivre l'aventure. Le problème est qu'elle a un enfant d'un ancien mariage et ne peut quitter la france.

En prenant le temps de lire les commentaires, je me disais également que ce serait dommage que tu passes à côté de cette aventure. Une aventure que tu as espéré vivre puisque tu as fait les démarches.

Tu nous as demandé s'il te serait facile de trouver une chérie au Québec....ensuite tu nous dis que tu en as une ici.........J'aimerais te poser une question à laquelle tu réfléchiras. Tu n'es pas obligé de répondre en public, ni à moi en privé....Et je suis désolée si elle est indiscrète.... c'est juste pour t'en faire prendre conscience :

-es-tu vraiment amoureux de ta copine actuelle?

Peut-être que tu comprendras pourquoi tu te poses ces questions.

[Kweli]

Merci à tous pour toutes vos réponses. Je pense effectivement qu'il s'agit d'une chance d'expérience de vie et qu'il serait dommage de passer à coté.

L'un de mes dilèmes est que depuis ma rupture avec la femme avec qui j'avais débuté le projet, j'ai rencontré une autre femme avec qui je vis depuis quelques mois (je sais c'était idiot mais bon que voulez vous ). Je l'avais informé de ce projet dès le début mais à l'époque, je n'avais pas le visa et pensais pouvoir y renoncer. Depuis que j'ai ce visa, je dois avouer que j'y pense régulièrement et ne sais que choisir entre vivre mon histoire en france (sachant que l'amour est parfois imprévisible) et conserver mon petit confort ou partir et vivre l'aventure. Le problème est qu'elle a un enfant d'un ancien mariage et ne peut quitter la france.

Sans vouloir me mêler de ta vie, as-tu parlé de ton projet avec ton amoureuse? Si c'était plus facile, souhaiterais-tu vivre ce projet avec elle?

D'autres personnes sur ce forum ont partagé leur expérience d'une immigration en couple incluant les enfants d'un premier mariage pour l'un ou l'autre. Les relations entre les deux parents de l'enfant sont déterminantes, et il peut arriver que l'autre parent donne son accord. Parfois le juge doit aussi s'en mêler et franchement je ne vous souhaite pas un tel stress.

Puisque tu remets en question ton projet en partie à cause d'elle, j'imagine qu'elle compte beaucoup pour toi. Alors, ce serait bien d'impliquer ton amoureuse dans la décision. Lorsque ton couple commencera à connaître les hauts et les bas, il ne faudrait pas que ce projet auquel tu aurais renoncé à cause d'elle (sans qu'elle participe à la décision) fasse partie des reproches.

[saturne]

Merci à tous pour toutes vos réponses. Je pense effectivement qu'il s'agit d'une chance d'expérience de vie et qu'il serait dommage de passer à coté.

L'un de mes dilèmes est que depuis ma rupture avec la femme avec qui j'avais débuté le projet, j'ai rencontré une autre femme avec qui je vis depuis quelques mois (je sais c'était idiot mais bon que voulez vous ). Je l'avais informé de ce projet dès le début mais à l'époque, je n'avais pas le visa et pensais pouvoir y renoncer. Depuis que j'ai ce visa, je dois avouer que j'y pense régulièrement et ne sais que choisir entre vivre mon histoire en france (sachant que l'amour est parfois imprévisible) et conserver mon petit confort ou partir et vivre l'aventure. Le problème est qu'elle a un enfant d'un ancien mariage et ne peut quitter la france.

En prenant le temps de lire les commentaires, je me disais également que ce serait dommage que tu passes à côté de cette aventure. Une aventure que tu as espéré vivre puisque tu as fait les démarches.

Tu nous as demandé s'il te serait facile de trouver une chérie au Québec....ensuite tu nous dis que tu en as une ici.........J'aimerais te poser une question à laquelle tu réfléchiras. Tu n'es pas obligé de répondre en public, ni à moi en privé....Et je suis désolée si elle est indiscrète.... c'est juste pour t'en faire prendre conscience :

-es-tu vraiment amoureux de ta copine actuelle?

Peut-être que tu comprendras pourquoi tu te poses ces questions.

Je comprends ta question. L'histoire est que je suis resté 11 ans et demi avec la femme avec qui j'avais initié ce projet de vie au Quebec. Pendant 2 ans, nous avons fait les démarches, du tourisme sur place et nous nous sommes documentés. J'ai tellement rêvé ce projet que depuis mon visa j'y pense quotidiennement.

Ma relation actuelle se passe bien mais est récente. Comment aujourd'hui être certain d'avoir trouvé sa moitiée, celle avec qui on finira notre vie? Bref, je l'aime mais j'ai peur de regréter plus tard d'être passé à coté d'une expérience de vie unique. Mon choix n'est pas encore défini mais l'attrait de l'aventure est fort.

[saturne]

Merci à tous pour toutes vos réponses. Je pense effectivement qu'il s'agit d'une chance d'expérience de vie et qu'il serait dommage de passer à coté.

L'un de mes dilèmes est que depuis ma rupture avec la femme avec qui j'avais débuté le projet, j'ai rencontré une autre femme avec qui je vis depuis quelques mois (je sais c'était idiot mais bon que voulez vous ). Je l'avais informé de ce projet dès le début mais à l'époque, je n'avais pas le visa et pensais pouvoir y renoncer. Depuis que j'ai ce visa, je dois avouer que j'y pense régulièrement et ne sais que choisir entre vivre mon histoire en france (sachant que l'amour est parfois imprévisible) et conserver mon petit confort ou partir et vivre l'aventure. Le problème est qu'elle a un enfant d'un ancien mariage et ne peut quitter la france.

Sans vouloir me mêler de ta vie, as-tu parlé de ton projet avec ton amoureuse? Si c'était plus facile, souhaiterais-tu vivre ce projet avec elle?

D'autres personnes sur ce forum ont partagé leur expérience d'une immigration en couple incluant les enfants d'un premier mariage pour l'un ou l'autre. Les relations entre les deux parents de l'enfant sont déterminantes, et il peut arriver que l'autre parent donne son accord. Parfois le juge doit aussi s'en mêler et franchement je ne vous souhaite pas un tel stress.

Puisque tu remets en question ton projet en partie à cause d'elle, j'imagine qu'elle compte beaucoup pour toi. Alors, ce serait bien d'impliquer ton amoureuse dans la décision. Lorsque ton couple commencera à connaître les hauts et les bas, il ne faudrait pas que ce projet auquel tu aurais renoncé à cause d'elle (sans qu'elle participe à la décision) fasse partie des reproches.

Elle sait que j'avais à l'origine ce projet et m'a proposé de me suivre mais je m'y refuse. Elle devrait renoncer à sa carrière (rachat boite familiale), sa famille dont elle est très proche et aurait des difficultés à prendre son fils sachant que le père ne serait pas d'accord. De plus, l'arrivée sur place n'est déja pas évidente avec une Résidence Permanente alors sans visa ce serait encore plus difficile pour elle. Je ne suis pas pret à ce qu'elle fasse tant de sacrifice.

[Automne]

Merci à tous pour toutes vos réponses. Je pense effectivement qu'il s'agit d'une chance d'expérience de vie et qu'il serait dommage de passer à coté.

L'un de mes dilèmes est que depuis ma rupture avec la femme avec qui j'avais débuté le projet, j'ai rencontré une autre femme avec qui je vis depuis quelques mois (je sais c'était idiot mais bon que voulez vous ). Je l'avais informé de ce projet dès le début mais à l'époque, je n'avais pas le visa et pensais pouvoir y renoncer. Depuis que j'ai ce visa, je dois avouer que j'y pense régulièrement et ne sais que choisir entre vivre mon histoire en france (sachant que l'amour est parfois imprévisible) et conserver mon petit confort ou partir et vivre l'aventure. Le problème est qu'elle a un enfant d'un ancien mariage et ne peut quitter la france.

Sans vouloir me mêler de ta vie, as-tu parlé de ton projet avec ton amoureuse? Si c'était plus facile, souhaiterais-tu vivre ce projet avec elle?

D'autres personnes sur ce forum ont partagé leur expérience d'une immigration en couple incluant les enfants d'un premier mariage pour l'un ou l'autre. Les relations entre les deux parents de l'enfant sont déterminantes, et il peut arriver que l'autre parent donne son accord. Parfois le juge doit aussi s'en mêler et franchement je ne vous souhaite pas un tel stress.

Puisque tu remets en question ton projet en partie à cause d'elle, j'imagine qu'elle compte beaucoup pour toi. Alors, ce serait bien d'impliquer ton amoureuse dans la décision. Lorsque ton couple commencera à connaître les hauts et les bas, il ne faudrait pas que ce projet auquel tu aurais renoncé à cause d'elle (sans qu'elle participe à la décision) fasse partie des reproches.

Elle sait que j'avais à l'origine ce projet et m'a proposé de me suivre mais je m'y refuse. Elle devrait renoncer à sa carrière (rachat boite familiale), sa famille dont elle est très proche et aurait des difficultés à prendre son fils sachant que le père ne serait pas d'accord. De plus, l'arrivée sur place n'est déja pas évidente avec une Résidence Permanente alors sans visa ce serait encore plus difficile pour elle. Je ne suis pas pret à ce qu'elle fasse tant de sacrifice.

c'est à elle de décider si elle veut faire tous ces sacrifices en amour, il faut en faire parfois. pour certains, ça fonctionne bien pour d'autre non.

[Kweli]

Merci à tous pour toutes vos réponses. Je pense effectivement qu'il s'agit d'une chance d'expérience de vie et qu'il serait dommage de passer à coté.

L'un de mes dilèmes est que depuis ma rupture avec la femme avec qui j'avais débuté le projet, j'ai rencontré une autre femme avec qui je vis depuis quelques mois (je sais c'était idiot mais bon que voulez vous ). Je l'avais informé de ce projet dès le début mais à l'époque, je n'avais pas le visa et pensais pouvoir y renoncer. Depuis que j'ai ce visa, je dois avouer que j'y pense régulièrement et ne sais que choisir entre vivre mon histoire en france (sachant que l'amour est parfois imprévisible) et conserver mon petit confort ou partir et vivre l'aventure. Le problème est qu'elle a un enfant d'un ancien mariage et ne peut quitter la france.

Sans vouloir me mêler de ta vie, as-tu parlé de ton projet avec ton amoureuse? Si c'était plus facile, souhaiterais-tu vivre ce projet avec elle?

D'autres personnes sur ce forum ont partagé leur expérience d'une immigration en couple incluant les enfants d'un premier mariage pour l'un ou l'autre. Les relations entre les deux parents de l'enfant sont déterminantes, et il peut arriver que l'autre parent donne son accord. Parfois le juge doit aussi s'en mêler et franchement je ne vous souhaite pas un tel stress.

Puisque tu remets en question ton projet en partie à cause d'elle, j'imagine qu'elle compte beaucoup pour toi. Alors, ce serait bien d'impliquer ton amoureuse dans la décision. Lorsque ton couple commencera à connaître les hauts et les bas, il ne faudrait pas que ce projet auquel tu aurais renoncé à cause d'elle (sans qu'elle participe à la décision) fasse partie des reproches.

Elle sait que j'avais à l'origine ce projet et m'a proposé de me suivre mais je m'y refuse. Elle devrait renoncer à sa carrière (rachat boite familiale), sa famille dont elle est très proche et aurait des difficultés à prendre son fils sachant que le père ne serait pas d'accord. De plus, l'arrivée sur place n'est déja pas évidente avec une Résidence Permanente alors sans visa ce serait encore plus difficile pour elle. Je ne suis pas pret à ce qu'elle fasse tant de sacrifice.

c'est à elle de décider si elle veut faire tous ces sacrifices en amour, il faut en faire parfois. pour certains, ça fonctionne bien pour d'autre non.

En effet, ce n'est pas à toi de t'y refuser en invoquant toutes sortes de problèmes réels ou supposés C'est une grande fille, et elle seule sait si partager ton rêve vaut le sacrifice ou pas (même si je trouve vraiment mignon ton côté chevaleresque, ça n'existe presque plus).

Le visa, ça se demande et ça se trouve. Tu as juste à valider ta résidence et rentrer en France. Tu as trois ans pour savoir : (1) si elle est la femme de ta vie et (2) si ton désir de vivre au Québec tient toujours et (3) si elle a envie d'en faire partie. De son côté, elle aura deux ans pour décider si tu comptes assez pour elle pour envisager d'escalader la montagne de difficultés/sacrifices pour toi.

Modifié 16 avril 2013 par Kweli

[neo1x]

Je suis aussi cadre dans l'informatique. Un bon salaire (pas enorme non plus). ,Meme si dans ce secteur (j'ai aussi un bon CV) il est assez facile de changer de boite (au pire y'a toujours les SSII), au quebec ca l'est encore plus a mon sens. Apres c'est une experience propre a chacun mais comme tu le dis prends peut etre une année pour tenter l'aventure et vois ce qu'il advient. Tu peux toujours poser un conges sabbatique pour avoir une securite. Avec ma femme nous ne voulons pas poser de conges sabbatique pour la simple et bonne raison que nous ne voulons pas rentrer en france. Surtout savoir qu'on pourrait revenir ne nous aidera pas dans nos demarches d'integration. SI ca ne marche pas a MOntreal ? soit on changera pour toronto, quebec ou vancouver ? Honnetement sans connaitre ton cv et ton experience, le secteur des TI au canada est toujours tres favorable. AVec ma femme on sera normalement cette année sur le sol canadien (pas de date de fixe encore cela dependra de la vente de l'appart).

@ bientot.

[da23ad]

Honnetement sans connaitre ton cv et ton experience, le secteur des TI au canada est toujours tres favorable.

Favorable dans quel sens et pour qui ?

Au québec et en particulier à montréal, le marché des TI est "consanguin" (j'ai pas trouvé d'autre mot pour le décrire lol) ... c'est à dire qu'à peu près tout le monde se connait , donc si on arrive à y entrer (c'est là que ça se gâte) et qu'on y est bien vu , tout baigne , mais quand on fait une faute, le système de références et de bouche à oreille font que tu es presque complètement rejeté / blacklisté ....

Pour ce qui est de la partie anglophone et notamment toronto .... oui il y a plus d'offres d'emploi mais il y a BEAUCOUP plus de compétition ... Il n'est pas rare d'avoir 100 , 200 , 300 candidats par poste ouvert en ligne ... des gars qui ont plusieurs certifications type CCIE , 10 ans d'expérience et des prétentions salariales de techniciens ....

Le marché est également très précaires... Les chasseurs de têtes demandent presque systématiquement aux candidats d'être incorporés (status d'auto entrepreneur) ce qui fait que le candidats qui trouve un mandat (un cdd) de 6 mois par exemple, ne cotisera ni pour sa retraite, ni pour l'assurance emploi (allocation chomage)....

Le gros avantage quand on vit au Québec et qu'on bosse dans les TI , par rapport à Paris, c'est indéniablement la hausse du pouvoir d'achat , mais encore faut il arriver à garder son boulot ..... Par contre dès lors qu'on se trouve à Toronto ou à Vancouver .... un salaire d'ingénieur TI est vite noyé par le cout de la vie dans ces deux villes....

Modifié 1 mai 2013 par da23ad

[Blueberry]

Honnetement sans connaitre ton cv et ton experience, le secteur des TI au canada est toujours tres favorable.

Attention à ne pas trop généraliser. Le secteur TI est surtout favorable au Québec pour les Français.

Dans le ROC, c'est une autre histoire. Vancouver n'a pas énormément d'offres et il faut un réseau très solide -sans jeu de mots- pour trouver quelque chose.

A Toronto, la concurrence est démentielle.

Modifié 1 mai 2013 par Blueberry

[Invité]

Oui et en fonction des secteurs aussi !

Mais en effet comme dit Da23ad, bon niveau de vie, pas mal d'offres et on retrouve assez facilement ! En tout cas mon chum a fait 5 boîtes en 7 ans, il a retrouvé en très peu de temps à chaque fois ! Sans faire marcher de réseau, juste avec son CV en ligne et des appels des chasseurs de tête !

[clejourdumarche]

Un collègue m'a dit une fois "l'élite ne va pas à Québec !" surtout pour affronter un des climats les plus durs au Monde.

ça m'a laissé perplexe.

[juetben]

Les chasseurs de têtes demandent presque systématiquement aux candidats d'être incorporés (status d'auto entrepreneur) ..., ne cotisera ni pour sa retraite, ni pour l'assurance emploi (allocation chomage)....

tu confonds travailleur autonome et incorporation qui sont 2 choses totalement différentes... une incorporation c'est ouvrir une compagnie, bref une personne morale, tu peux être dirigeant et te payer uniquement en dividendes ou te mettre salarié de cette compagnie, dans ce cas tu cotises comme tout le monde à la retraite, les travailleurs autonome eux, et bien, c'est un choix personnel de cotiser ou non au chômage et regie des rentes diverses... si ils n'y ont pas droit cela ne dépend que d'eux..

[kobico]

Les chasseurs de têtes demandent presque systématiquement aux candidats d'être incorporés (status d'auto entrepreneur) ..., ne cotisera ni pour sa retraite, ni pour l'assurance emploi (allocation chomage)....

tu confonds travailleur autonome et incorporation qui sont 2 choses totalement différentes... une incorporation c'est ouvrir une compagnie, bref une personne morale, tu peux être dirigeant et te payer uniquement en dividendes ou te mettre salarié de cette compagnie, dans ce cas tu cotises comme tout le monde à la retraite, les travailleurs autonome eux, et bien, c'est un choix personnel de cotiser ou non au chômage et regie des rentes diverses... si ils n'y ont pas droit cela ne dépend que d'eux..

C'est vrai qu'il confond. Les employeurs n'obligent pas le "freelance" à s'incorporer. Ils lui disent seulement qu'il ne sera pas sur le "payroll" donc, il sera payé sous forme d'honoraires professionnels sur une base contractuelle. Le "freelance" est libre de conserver un statut de travailleur autonome ou de s'incorporer.

Par contre, un "vrai" travailleur autonome (au sens qu'il n'est l'employé de sa propre compagnie), ne cotise jamais au chômage (il n'a pas le droit aux prestations) mais cotise toujours en double à la RRQ (part de l'employé ET part de l'employeur).

Modifié 1 mai 2013 par kobico