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Exode : La Ville de Montréal perd 20 000 à 24 000 personnes/an


futurquébecois

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L'exode des familles se poursuit à Montréal

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La Ville de Montréal perd ses citoyens au profit de ses banlieues, selon une étude publiée par l'Institut de la statistique du Québec. Le bilan migratoire de la Ville est d'environ -1 % (de 20 000 à 24 000 personnes) annuellement depuis au moins 2006-2007.

Bien qu'elle attire de nombreux Québécois - elle reçoit quelque 40 000 migrants de la province chaque année -, la ville de Montréal perd quelque 60 000 habitants par année.

Ces derniers quittent la métropole pour des régions adjacentes, comme les Laurentides (0,99 %), Lanaudière (0,88 %) et la Montérégie (0,37 %), qui ont bénéficié du plus important bilan migratoire positif de la province en 2011-2012.

Outre Montréal, le Nord québécois (- 0,42 %) et la Côte-Nord (- 0,32 %) ont connu les pires bilans migratoires en 2011-2012. La région du Bas-Saint-Laurent a connu un bilan migratoire interrégional négatif de - 0,02 % au cours de la même période.

Le Centre-du-Québec (0,36 %) et la région de la Capitale-Nationale (0,28 %) sont les régions qui ont le plus profité de la mobilité de la population québécoise à l'extérieur de la mouvance de la métropole.

De jeunes nomades

Les jeunes de 20 à 29 ans sont les Québécois qui se déplacent le plus à l'intérieur de la province. Environ 6,5 % des 20-24 ans et 6,1 % des 25-29 ans ont changé de région entre 2011 et 2012.

C'est d'ailleurs chez les jeunes que Montréal fait ses seuls gains migratoires. La métropole, tout comme la Capitale-Nationale, attire les 15-24 ans depuis 2001-2002. Québec affiche un bilan migratoire interrégional de 2 % dans cette catégorie d'âge depuis 2001-2002.

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Les soldes migratoires par région administrative au Québec (2011-2012)

De leur côté, les 25-44 ans - de même que leurs enfants (0-14 ans) - prennent plutôt la direction de la banlieue (Laval, Lanaudière et Montérégie). On observe ce phénomène depuis 2001-2002.

L'Institut de la statistique du Québec, qui cite une étude exposant les causes de la mobilité des jeunes, souligne que plusieurs facteurs expliquent le nomadisme des jeunes Québécois. Au début de l'âge adulte, ces derniers sont plus susceptibles de déménager puisqu'ils quittent le foyer parental, poursuivent des études postsecondaires, entrent sur le marché du travail, forment de nouveaux couples ou donnent naissance à des enfants.

Au Québec, quelque 3 % de la population (211 000 personnes) ont changé de région administrative en 2011-2012.

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Les migrants interrégionaux au Québec de 1998 à 2012
Modifié par futurquébecois
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Cela est du a quoi ? Le prix des loyers, la qualite des lodgements, ?



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peut-etre -2 car je risqué d'arriver avec ma fille :P

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Moi, je pars en juillet/aout,

je réserve mon billet d'avion pour confirmer d'après mon agence de voyage,

je le saurais vers le 8 avril, la date de mon départ

je veux acheter mon vélo ici et l'embarquer avec moi

est-ce que je peux le mettre dans la soute?

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Cela est du a quoi ? Le prix des loyers, la qualite des lodgements, ?

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peut-etre -2 car je risqué d'arriver avec ma fille :tongue:
La raison... http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2012/CBF/Desautels201201311605_1.asx
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ben oui comme ça les banlieusards peuvent continuer à chialer qu'ils perdent du temps pour traverser les ponts... et oh miracle ce sont les Montréalais qui paient 40$ de plus sur leur permis pour aider à désengorger la ville... mais les banlieusards eux... ils paient rien de plus!! :whistlingb:

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ben oui comme ça les banlieusards peuvent continuer à chialer qu'ils perdent du temps pour traverser les ponts... et oh miracle ce sont les Montréalais qui paient 40$ de plus sur leur permis pour aider à désengorger la ville... mais les banlieusards eux... ils paient rien de plus!! :whistlingb:

Cette idée aussi de construire une métropole sur une Île :biggrin2:

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ben oui comme ça les banlieusards peuvent continuer à chialer qu'ils perdent du temps pour traverser les ponts... et oh miracle ce sont les Montréalais qui paient 40$ de plus sur leur permis pour aider à désengorger la ville... mais les banlieusards eux... ils paient rien de plus!! :whistlingb:

Cette idée aussi de construire une métropole sur une Île :biggrin2:

cette idée aussi de garder un abruti de maire qui taxe ses habitants pour circuler dans leur ville alors que le gros du traffic créant la merde ne l'est pas... :db::db:

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Moi, je pars en juillet/aout,

je réserve mon billet d'avion pour confirmer d'après mon agence de voyage,

je le saurais vers le 8 avril, la date de mon départ

je veux acheter mon vélo ici et l'embarquer avec moi

est-ce que je peux le mettre dans la soute?

Bizarre ton idée d'acheter un vélo avant de partir. Je pense qu'il y a de bonnes boutiques de vélo sur Montréal, vu la quantité de vélos qui sillonnent la ville.

http://ou-trouver-a-montreal.ca/1163/ou-acheter-un-velo-a-montreal/

Modifié par LIONEL39
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Moi, je pars en juillet/aout,

je réserve mon billet d'avion pour confirmer d'après mon agence de voyage,

je le saurais vers le 8 avril, la date de mon départ

je veux acheter mon vélo ici et l'embarquer avec moi

est-ce que je peux le mettre dans la soute?

Bizarre ton idée d'acheter un vélo avant de partir. Je pense qu'il y a de bonne boutiques de vélo sur Montréal, vu la quantité de vélos qui sillonnent la ville.

elle veut peut être économiser des frais de taxis et faire aéroport centre ville en vélo :Crylol:

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Moi, je pars en juillet/aout,

je réserve mon billet d'avion pour confirmer d'après mon agence de voyage,

je le saurais vers le 8 avril, la date de mon départ

je veux acheter mon vélo ici et l'embarquer avec moi

est-ce que je peux le mettre dans la soute?

Bizarre ton idée d'acheter un vélo avant de partir. Je pense qu'il y a de bonne boutiques de vélo sur Montréal, vu la quantité de vélos qui sillonnent la ville.

elle veut peut être économiser des frais de taxis et faire aéroport centre ville en vélo :Crylol:

Faudra bien prévoir des valises avec des roulettes...

Je pense plutôt que c'est rapport à ce qui se disait sur un autre fil au sujet du prix des vélos au Québec.

Après, je pense qu'on en a toujours pour son argent, j'ai déjà roulé sur pas mal de marque (décathlon, scott, cannondale, kona, giant) et il n'y en a qu'un qui n'a pas survécu, il venait d'une grande surface du sport pour pas le citer. après l'échange sous garantie des pièces défaillantes, je l'ai revendu.

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Mon vélo est une œuvre d'art, je l'ai dessiné avec de jolies petites fleurs roses, genre Liberty vintage, donc, il me suit partout!

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Il ne faut pas regarder que le solde migratoire mais aussi le nombre de population tout court. En effet toutes ces villes limitrophes sont loin de dépasser le nombre d'habitant de la métropole.

Par exemple c'est sur que si d'un côté tu as une ville avec 2 millions d'habitants et qu'elle perd 20k habitants au profit de villes de moins de 200k habitants, on s'entends qu'il faut aussi savoir comparer ce qui est comparable. Une grosse ville aura toujours potentiellement plus de population a "perdre" qu'une ville petite ou moyenne.

Après c'est sur que les grandes familles (+2 ou 3 enfants) ont davantage du mal a combler leur besoin en métropole notamment d'un point de vue financier en ce qui concerne le rapport surface/prix.

Pour les vélos, il faut savoir aussi différencier l'utilitaire du loisir parceque a quoi bon investir dans une bête de course si c'est pour se le faire voler ou démonter en petite pièce au coin de la rue ? Puis un des avantages de la "petite reine" c'est qu'on peut toujours lui offrir une "seconde jeunesse" quelque soit son age en la bricolant un minimum.

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Mon vélo est une œuvre d'art, je l'ai dessiné avec de jolies petites fleurs roses, genre Liberty vintage, donc, il me suit partout!

coucou Amira, ça y est t'as pris la décision de partir, la France ne va pas te manquer ? ou tu veux uniquement vanter ton beau velo pour les nombreux cyclistes québecois ?

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tres interressant !

L'exode des familles se poursuit à Montréal

AFP_130322_nd4dp_montreal_vue_paysage_sn

La Ville de Montréal perd ses citoyens au profit de ses banlieues, selon une étude publiée par l'Institut de la statistique du Québec. Le bilan migratoire de la Ville est d'environ -1 % (de 20 000 à 24 000 personnes) annuellement depuis au moins 2006-2007.

Bien qu'elle attire de nombreux Québécois - elle reçoit quelque 40 000 migrants de la province chaque année -, la ville de Montréal perd quelque 60 000 habitants par année.

Ces derniers quittent la métropole pour des régions adjacentes, comme les Laurentides (0,99 %), Lanaudière (0,88 %) et la Montérégie (0,37 %), qui ont bénéficié du plus important bilan migratoire positif de la province en 2011-2012.

Outre Montréal, le Nord québécois (- 0,42 %) et la Côte-Nord (- 0,32 %) ont connu les pires bilans migratoires en 2011-2012. La région du Bas-Saint-Laurent a connu un bilan migratoire interrégional négatif de - 0,02 % au cours de la même période.

Le Centre-du-Québec (0,36 %) et la région de la Capitale-Nationale (0,28 %) sont les régions qui ont le plus profité de la mobilité de la population québécoise à l'extérieur de la mouvance de la métropole.

De jeunes nomades

Les jeunes de 20 à 29 ans sont les Québécois qui se déplacent le plus à l'intérieur de la province. Environ 6,5 % des 20-24 ans et 6,1 % des 25-29 ans ont changé de région entre 2011 et 2012.

C'est d'ailleurs chez les jeunes que Montréal fait ses seuls gains migratoires. La métropole, tout comme la Capitale-Nationale, attire les 15-24 ans depuis 2001-2002. Québec affiche un bilan migratoire interrégional de 2 % dans cette catégorie d'âge depuis 2001-2002.

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Les soldes migratoires par région administrative au Québec (2011-2012)

De leur côté, les 25-44 ans - de même que leurs enfants (0-14 ans) - prennent plutôt la direction de la banlieue (Laval, Lanaudière et Montérégie). On observe ce phénomène depuis 2001-2002.

L'Institut de la statistique du Québec, qui cite une étude exposant les causes de la mobilité des jeunes, souligne que plusieurs facteurs expliquent le nomadisme des jeunes Québécois. Au début de l'âge adulte, ces derniers sont plus susceptibles de déménager puisqu'ils quittent le foyer parental, poursuivent des études postsecondaires, entrent sur le marché du travail, forment de nouveaux couples ou donnent naissance à des enfants.

Au Québec, quelque 3 % de la population (211 000 personnes) ont changé de région administrative en 2011-2012.

130325_z1181_migration-quebec-1998-2012_
Les migrants interrégionaux au Québec de 1998 à 2012
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Moi, je pars en juillet/aout,

je réserve mon billet d'avion pour confirmer d'après mon agence de voyage,

je le saurais vers le 8 avril, la date de mon départ

je veux acheter mon vélo ici et l'embarquer avec moi

est-ce que je peux le mettre dans la soute?

Ça dépend. Tu pars avec quelle compagnie ?

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Faut avoir envie d'aller en banlieue franchement ! Je préfère payer plus cher et être sur l'île !!! Le trafic matin et soir et c'est le côté "ville morte" des banlieues... au secours :P

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Bonou

Moi, je pars en juillet/aout,

je réserve mon billet d'avion pour confirmer d'après mon agence de voyage,

je le saurais vers le 8 avril, la date de mon départ

je veux acheter mon vélo ici et l'embarquer avec moi

est-ce que je peux le mettre dans la soute?

Ça dépend. Tu pars avec quelle compagnie ?

Bonjour, j'ai plusieurs choix, vu que j'habite sur l'axe à 3km de l'aéroport international Toulouse Blagnac,

J'ai le choix de choisir, entre Air Canada, Air France, Royal Air Maroc, ou compagnie belge et Allemande....

Surement je choisirais la moins cher soit 600€ sur Air Canada bien sûr

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Les prix peuvent beaucoup varier en fonction de plein de paramètres, des fois c'est surprenant mais c'est Air France le moins cher à certaines périodes (je les ai déjà pris à Noël pour une bouchée de pain comparé aux autres) ;)

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