joxx Posté(e) 12 août 2011 Posté(e) 12 août 2011 bonjour à tous j'ai une licence en linguistique et j'aimerai une fois au Québec enseigner le français au secondaire ou au niveau collégial.j'ai lu des documents y afférent sur le net mais j'ai encore plusieurs préoccupations.faut-il une formation supplémentaire? si oui combien de temps de formation.il est dit quelque part qu'il faut 4 ans pour un baccalauréat en éducation mais est-ce qu'avec ma licence je dois toujours faire les 4 années ou il faudra juste une formation en didactique ou pédagogie.tout est encore très flou dans la tête. dois je également faire une évaluation comparative du diplôme ?merci de me répondre Citer
midda Posté(e) 12 août 2011 Posté(e) 12 août 2011 Bonjour . Dans ce cas nous sommes deux alors...serrons nos coudes. Citer
Habitués Tline250 Posté(e) 12 août 2011 Habitués Posté(e) 12 août 2011 bonjour à tous j'ai une licence en linguistique et j'aimerai une fois au Québec enseigner le français au secondaire ou au niveau collégial.j'ai lu des documents y afférent sur le net mais j'ai encore plusieurs préoccupations.faut-il une formation supplémentaire? si oui combien de temps de formation.il est dit quelque part qu'il faut 4 ans pour un baccalauréat en éducation mais est-ce qu'avec ma licence je dois toujours faire les 4 années ou il faudra juste une formation en didactique ou pédagogie.tout est encore très flou dans la tête. dois je également faire une évaluation comparative du diplôme ?merci de me répondre Pour le secondaire je ne pourrais pas vous répondre, mais pour le collégial votre formation est pas suffisante, normalement pour enseigner dans un CEGEP il faut une maitrise. Citer
joxx Posté(e) 12 août 2011 Auteur Posté(e) 12 août 2011 espérons qu'on trouvera une réponse explicite. Citer
joxx Posté(e) 12 août 2011 Auteur Posté(e) 12 août 2011 apparemment pour s'inscrire en maitrise il faut d'abord une expérience professionnelle dans le domaine c'est ce qui m'échappe. Citer
Habitués Tline250 Posté(e) 12 août 2011 Habitués Posté(e) 12 août 2011 espérons qu'on trouvera une réponse explicite. Au niveau du Collégial vous ne pourrez pas enseigner, il vous faut une maitrise (ce que vous n'avez pas) . Réponse assez explicite? Citer
Habitués Tline250 Posté(e) 12 août 2011 Habitués Posté(e) 12 août 2011 (modifié) apparemment pour s'inscrire en maitrise il faut d'abord une expérience professionnelle dans le domaine c'est ce qui m'échappe. Non pas nécessairement, http://www.programmes.uqam.ca/3436 http://www.programmes.uqam.ca/3123 http://www.programmes.uqam.ca/3605 Modifié 12 août 2011 par Tline250 Citer
Blabla+ Posté(e) 12 août 2011 Posté(e) 12 août 2011 Si votre texte d'ouverture traduit vos compétences linguistiques, je vous suggère dapprendre à écrire un français convenable avant de penser à l'enseigner. Commencez au moins par avoir la dignité de corriger vos fautes ! - Le Con Fucius Citer
vailiten Posté(e) 18 août 2011 Posté(e) 18 août 2011 Bonjour, je te conseille d aller jeter un il sur le site de l Université Laurentienne tout les cours y sont en français mais elle est située en Ontario. Si tu as une licence tu peux devenir enseignante en Ontario en un an ! Tu peux aussi prendre les cours par internet 2 ans. Mais tu ne pourras enseigner quand Ontario. L avantage, grande demande de profs francophones en Ontario un salaire de 40% supérieur au Québec, d ailleurs on retrouve des profs québécois exiles dans tout l ouest canadien a cause du $$$ Si tu es française tu seras bienvenue dans les écoles francophones et d immersions en Ontario. Citer
Habitués Tline250 Posté(e) 18 août 2011 Habitués Posté(e) 18 août 2011 Bonjour, je te conseille d aller jeter un il sur le site de l Université Laurentienne tout les cours y sont en français mais elle est située en Ontario. Si tu as une licence tu peux devenir enseignante en Ontario en un an ! Tu peux aussi prendre les cours par internet 2 ans. Mais tu ne pourras enseigner quand Ontario. L avantage, grande demande de profs francophones en Ontario un salaire de 40% supérieur au Québec, d ailleurs on retrouve des profs québécois exiles dans tout l ouest canadien a cause du $$ Si tu es française tu seras bienvenue dans les écoles francophones et d immersions en Ontario. J'espère que vous n'êtes pas prof de français. Citer
Habitués Cherrybee Posté(e) 18 août 2011 Habitués Posté(e) 18 août 2011 Bonjour, je te conseille d aller jeter un il sur le site de l Université Laurentienne tout les cours y sont en français mais elle est située en Ontario. Si tu as une licence tu peux devenir enseignante en Ontario en un an ! Tu peux aussi prendre les cours par internet 2 ans. Mais tu ne pourras enseigner quand Ontario. L avantage, grande demande de profs francophones en Ontario un salaire de 40% supérieur au Québec, d ailleurs on retrouve des profs québécois exiles dans tout l ouest canadien a cause du $$ Si tu es française tu seras bienvenue dans les écoles francophones et d immersions en Ontario. J'espère que vous n'êtes pas prof de français. Il a surtout une méchante dent contre le Québec. Ça se retrouve dans tous ses messages. Citer
Habitués LeBalladin Posté(e) 18 août 2011 Habitués Posté(e) 18 août 2011 Bonjour, je te conseille d aller jeter un il sur le site de l Université Laurentienne tout les cours y sont en français mais elle est située en Ontario. Si tu as une licence tu peux devenir enseignante en Ontario en un an ! Tu peux aussi prendre les cours par internet 2 ans. Mais tu ne pourras enseigner quand Ontario. L avantage, grande demande de profs francophones en Ontario un salaire de 40% supérieur au Québec, d ailleurs on retrouve des profs québécois exiles dans tout l ouest canadien a cause du $$ Si tu es française tu seras bienvenue dans les écoles francophones et d immersions en Ontario. Il y a quelques jours j'ai apporté quelques informations, mais je ne sais plus dans quel fil, sur ce sujet. Université laurentienne et Université d'Ottawa, même compétence : permettent d'obtenir un "baccalauréat en éducation". Différence notable : la laurentienne est à Sudbury, ville relativement petite et d'esprit étroit. Déjà pour le simple fait de trouver un stage (il y en a deux pendant ces études, de 8 mois) ça pourrait être difficile. "Tu ne pourras enseigner qu'en Ontario" : Mon Cul. Il existe des accords dits en anglais de "Labour Mobility". Plus ou moins respectés par chacun des organismes certificateurs provinciaux, mais en principe on est garanti d'obtenir un permis, peut-être provisoire, peut-être conditionne, mais permis quand même, dans n'importe quelle province ou territoire. Le Manitoba ou le Québec, par exemple, admettent les études faites en Ontario et donnent un permis. "Grande demande de profs francophones" : là aussi, Mon Cul. N'oubliez pas, vous êtes ici au Canada. Mensonge et illusion + esprit "c'est comme ça". Encore plus évident à Sudbury, où il est carrément ridicule de se présenter à un employeur si on est étranger. Peut-être qu'on a quelques chances quand on a la peau noire, mais vraiment bien noire, car ils peuvent apprécier d'avoir au moins un employé qui sera la "preuve" de leur esprit d'ouverture. A tenter. En janvier se tiennent des foires à l'emploi à la fois à Ottawa et à Sudbury. Cependant pour accrocher un employeur il faut déjà, au moins, être aux études. La foire à l'emploi à Sudbury est moins bordélique. Les gens se mettent en file. C'est mignon comme tout. A Ottawa, plus multiculturelle, c'est le chacun pour soi. Pour les conseils scolaires plus populaires, comme ceux à Toronto, c'est la ruée dès l'ouverture au matin. Citer
Habitués LeBalladin Posté(e) 18 août 2011 Habitués Posté(e) 18 août 2011 Encore quelques petits commentaires ... Je connais deux profs de français en école secondaire à Toronto. Ils commenceront bientôt tous les deux leur 4ème année d'enseignement et ils sont tous les deux (en fait ils sont mariés) camerounais. Conseil scolaire "csdcso", celui public. Le plus accueillant. Bon, à cette époque là en tout cas. Parlant à l'occasion avec eux, ce qui m'a surtout frappé c'est ... tout d'abord il leur fallait des trésors de diplomatie, car ils étaient houspillés; tel ou tel autre enseignant venait carrément mettre sa figure sur la porte vitrée d'entrée de classe, regardant si le cours se passe bien ... et en second lieu, la qualité de français qu'on peut enseigner là, ouuuh ... comme ils disent là à tout bout de champ : "maï gode". D'ailleurs il y en a parmi les élèves qui les regardaient stupéfaits, doublement stupéfaits, parce qu'ils sont noirs (comment se peut-il qu'un noir vienne leur enseigner la langue des ancêtres, se disaient-ils) et parce qu'ils parlent le "français de France" comme ils disent, et ceci n'est pas de leur goût, car le français pour eux, c'est le jargon qu'on a toujours parlé entre eux, et ils viennent se plaindre auprès du directeur car ça les fait ch**r qu'on vienne leur dire telle ou telle chose totalement nouvelle sur LEUR langue, n'est-ce pas. Il faut vraiment penser à ce qu'on veut. Ok, ils ont leur maison, leur bagnole. Ok. Mais ce qu'ils vivent au jour le jour à leur boulot, pour rien au monde je n'en voudrais. Je ne sais pas comment ça doit être au Québec. Je pense que là aussi, quelqu'un qui vient avec l'amour de la langue française peut se trouver exposé à une douche froide voire glacée. Citer
vailiten Posté(e) 20 août 2011 Posté(e) 20 août 2011 Attendez un peu ils vont vous inviter pour enseigner .Lire les recommandations Les Québécois parlent « joual ». Ils pensent « joual ». Ils écrivent « joual ».Bref, le « joual » les caractérise du primaire à luniversité. Le « joual » les singularise à la maison, à lécole, au travail, dans leurs loisirs. Le« joual » galope toujours au Québec, entretenu par une télévision bâtarde où abondent les onomatopées, les phrases syncopées, les mauvaises intonations, les mots entrecoupés de sacres et de blasphèmes. Les Québécois aiment parler « joual ». Ils le pratiquent par osmose. Entre « jouaux », ils arrivent à se reconnaître dans lécurie. Il est facile de reconnaître le « joual » québécois. Les syllabes sont mangées. Le vocabulaire est tronqué ou imprécis. Les phrases sont boiteuses. Même la voix participe à laffaissement du niveau de la langue. Entre eux, les jeunes ne conversent plus. Ils lancent des cris, des jappements gutturaux, des hennissements dignes de leur appartenance. Les professeurs, lâme désarmée, les imitent pour ne pas les contredire, parlent comme eux pour ne pas les frustrer, copient leur langage afin de les garder dans le clos animalier. Les cégépiens et les universitaires viennent dune contrée où ils ont réussi à composer avec leur incompétence et à gravir un nouvel échelon qui consacre leur ignorance. Ils étudient Voltaire, Rousseau, Goethe, Molière, Rabelais et quelques autres. Ils lisent ces auteurs par obligation et se fichent éperdument den cueillir un vernis de culture. Les engins de recherche sur Google permettent à ces jeunes ignares, dorlotés par le système, de produire un copier-coller que lenseignant arrive difficilement à déchiffrer. Les douze milliards du Ministère de léducation servent à engraisser un système qui produit des diplômés gonflés à lhélium. Bouche bée, la Ministre de léducation trouve la situation inacceptable. Létalon de la langue québécoise cest « le joual » et il galope toujours dans les prés asséchés de lindifférence du plus grand nombre. Cette langue désossée, où les consonnes sont escamotées, où les locutions négatives colorent sans cesse le discours, où le critère de base est la compréhension familière entre « jouaux », continue à se perpétuer dans les écoles duQuébec. Tous les colloques politiques, les forums linguistiques, les ateliers et les rencontres pédagogiques du corps enseignant narriveront jamais à sauver la langue française. Que faire alors ? Les politiciens (surtout péquistes) parlent de renforcer la loi 101. La loi est un garde-fou. Elle nindique pas le chemin pour atteindre le but. Si le Québecvit « joual », parle « joual » et pense « joual », cest parce quil lui manque ce supplément dâme qui le fait se déprécier dans ses racines les plus profondes. Le parler « joual » signifie le mépris, le reniement de quelque chose dans lêtre. En 1960, le frère Untel proposait de travailler à la hache pour corriger une situation quil trouvait déjà inacceptable. A la suite de son appel vibrant, personne na vraiment travaillé à la hache. On a utilisé le bistouri, les calmants de circonstances, les somnifères des réformes successives. Un remède de cheval simposait hier et simpose toujours aujourdhui pour remettre lanimal sur le piton. La tronçonneuse devrait remplacer la hache proposée jadis par un humble frère enseignant. Rien de tout cela. Le climat dindifférence est généralisé et pour comble, les étudiants se rabattent sur le correcteur 101 pour régler leurs problèmes de syntaxe et de vocabulaire. La technique engendre linculture généralisée. Quelles actions faut-il poser, dans limmédiat, pour sauver cette langue en état de composition ? Contrôle absolu de la radio et de la télévision. Défense à tous les employés - je dis bien : tous les employés denfourcher quotidiennement le « joual », de le parler et den faire volontairement ou par ignorance, la promotion régulière. Destruction en une nuit de toutes les enseignes commerciales anglaises ou « jouales ».Obligation de retourner à lécole primaire et secondaire - stage dau moins trois ans payé par le concerné - tout fonctionnaire, tout ministre, tout député, tout professeur, tout curé, tout médecin, tout professionnel, qui est pris en flagrant délit de parler et décrire « joual ». Installation dun Ministère de léducation apolitique avec un minimum de fonctionnaires. Avec mission dagir avec célérité. Il ny a pas cinquante-six façons dapprendre une langue. On apprend une langue - la langue française en occurrence - en prenant des dictées, en apprenant Lafontaine par cur, en lisant les maîtres, en apprenant et en écrivant les règles de cette langue. Urgence donc de procéder à la rédaction, par des maîtres chevronnés, dune grammaire universelle pour le primaire et dune autre, plus complète, pour le niveau secondaire. Apprentissage par cur des règles de cette grammaire. Retour à lapprentissage systématique et journalier de mots de vocabulaire et remise à lhonneur de la dictée quotidienne, plus un temps obligatoire consacré à la lecture dauteurs québécois et français. Examen ministériel et éliminatoire à la fin du cours primaire et secondaire. Aucun élève ne sera autorisé à passer du primaire au secondaire, du secondaire au Cégep et du Cégep à luniversité sans avoir subi avec succès cet examen éliminatoire. Bref, un filet, aux mailles serrées, qui empêchera les ignorants de propulser leur incompétence à un niveau quils ne devraient jamais atteindre. Pour mener à bien cette difficile entreprise, il faut des maîtres. Lenseignant (léducateur) est le berger de lêtre. Il est le délégué aux valeurs permanentes. Le maître est celui qui élève lélève (quel beau mot !). Sa mission est de nourrir les affamés des choses de lesprit. Faut-il que la maître en soit pénétrer et que, ce faisant, il soit lui-même attiré par les réalités de lesprit. Le maître engendre. Cest là où se trouve sa paternité (sa maternité) spirituelle. En classe, il est lhomme-rocher. Lenfant, a besoin de ces îlots de fidélité et daffirmation dabsolu. La langue, bien apprise, est le moyen pour planter du définitif dans les terres du relatif. La pensée ne tolère pas la confusion. La prochaine réforme scolaire passera par lapprentissage de la langue maternelle, la transmission des connaissances et la vérification de lacquisition de ces connaissances par des examens universels et communs. Ces propositions sont fort simples. Trop. Cest pourquoi, elles ne seront sans doute jamais appliquées. Note : Je suggère que lenseignement de langlais ne se fasse plus dans les écoles primaires et secondaires mais dans des écoles linguistiques régionales où les intéressés, par immersion, apprendraient facilement, comme le font les immigrants, une ou deux langues en six mois. Momentanément, pour une période déterminée, les jeunes abandonneraient leurs cours réguliers pour se consacrer uniquement à lapprentissage des langues. Par la suite, ils pourraient réintégrer le système régulier. Les professeurs affectés à lenseignement de langlais ou de lespagnol dans les écoles secondaires ou dans les cégeps assureraient lenseignement dans ces écoles linguistiques spécialisées. Les professeurs seraient ainsi revalorisés et les étudiants maîtriseraient ainsi mieux la langue seconde de leur choix. Citer
Habitués Cherrybee Posté(e) 20 août 2011 Habitués Posté(e) 20 août 2011 Attendez un peu ils vont vous inviter pour enseigner .Lire les recommandations Quel rapport avec le sujet? En plus même pas vrai. Je vis et travaille en dehors de Montréal. Organisme de 500 personnes dans lequel uvrent 3 Français d'origine dont moi. Jamais entendu parler un Joual incompréhensible. C'est vrai que si on parle du fin fond du trou du c.. du monde ....... Mais là, pas sûr que ce sera facile de trouver du travail ! Citer
Habitués isseo17 Posté(e) 20 août 2011 Habitués Posté(e) 20 août 2011 C'est quoi, ce délire verbal ?????? J'ai l'impression que tu as pêché¸ce flot d'immondice dans un quelconque site anti-Québec et que tu nous le resserts tout chaud et mal digéré.... Je me trompe ? Rivière a réagi à ceci 1 Citer
vailiten Posté(e) 20 août 2011 Posté(e) 20 août 2011 Les Québécois parlent « joual ». Ils pensent « joual ». Ils écrivent « joual ». Nestor Turcotte Tribune libre de Vigile vendredi 13 novembre 2009 1667 visites Non Non Un quebecois pure laine a ecrit ca!!!!!! Citer
joxx Posté(e) 21 août 2011 Auteur Posté(e) 21 août 2011 <br />Si votre texte d'ouverture traduit vos compétences linguistiques, je vous suggère d'apprendre à écrire un français convenable avant de penser à l'enseigner. Commencez au moins par avoir la dignité de corriger vos fautes !<br /><br /> - Le Con Fucius <img src='http://www.forum.immigrer.com/public/style_emoticons/default/rtfm.gif' class='bbc_emoticon' alt='' /><br /><br /><br /><br /> un Linguiste n'est forcément pas un spécialiste en langue française.Désolée pour les fautes. Citer
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