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Partira ? Partira pas?


Cherrybee

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  • Habitués

Tu as très exactement résumé mon sentiment . :)

Quand on immigre, surtout si on n'y a jamais mis les pieds, nos intérêts sont matériels (travail, logement, argent, environnement, sécurité...). Le sentiment d'amour pour un pays se construit ensuite en y vivant et en apprenant à le connaître. On ne peut pas reprocher à certains de ne pas tomber en amour et de vivre une expatriation de quelques années. Ça arrive, et même souvent.

Absolument, c'est un autre aspect de mon propos. Cependant, comme je disais plus haut, on lit tellement de messages du style "j'ai le visa mais je ne veux pas m'installer et je veux repartir le plus vite possible avant d'avoir ma carte de RP" que je ne comprends pas que les intérêts même matériels ne te retiennent pas (je dis te, mais bien sûr ne m'adresse pas à toi en particulier :) ). J'ai plein d'amis dont quelques uns ont déjà visité le Québec qui sont actuellement dans les starting blocks, comme Zemida, et il ne leur faudra pas 3 ans et demie pour s'installer dès réception du visa.

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Tu as très exactement résumé mon sentiment . :)

Quand on immigre, surtout si on n'y a jamais mis les pieds, nos intérêts sont matériels (travail, logement, argent, environnement, sécurité...). Le sentiment d'amour pour un pays se construit ensuite en y vivant et en apprenant à le connaître. On ne peut pas reprocher à certains de ne pas tomber en amour et de vivre une expatriation de quelques années. Ça arrive, et même souvent.

Ouais, il est difficile de tomber en amour avec un pays où on n'est jamais allé. Les liens se créent avec les années; ça passe ou ça casse, pour des raisons qui sont propres à chacun.

Dans tes précédents commentaires, tu mentionnes d'ailleurs ce pressant besoin de toruver du boulot. Donc, le travail et l'aspect économique faisaient partie de tes motivations premières, non ?

Si, par hasard, les agences d'intérim t'avaient orientée vers des emplois où l'on exigeait le bilinguisme et qu'au bout de 6 mois, tu avais encore été en recherche d'emploi, qu'aurais-tu ressenti ?

Je ne cherche pas la bibitte, on jase là ... ;)

Je suis entièrement d'accord. Le sentiment d'appartenance et l'amour du pays ne sont pas innés. L'aspect économique faisait partie de mes motivations premières bien sûr, mais il y avait également un contexte qui fait que je n'ai aucune envie de retourner habiter dans mon pays d'origine. Le visiter, entièrement d'accord, mais y vivre et y travailler, beurk.

Je ne pense pas que j'aurais été encore en recherche d'emploi au bout de 6 mois. Soit j'approfondissais mon anglais, soit je mettait en pratique mon plan B. Ce n'était pas mon premier choix, mais je ne serais pas restée sans rien faire et je ne serais surtout pas allée sur le BS. Il y a suffisamment de possibilités ici.

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Tu as très exactement résumé mon sentiment . :)

Quand on immigre, surtout si on n'y a jamais mis les pieds, nos intérêts sont matériels (travail, logement, argent, environnement, sécurité...). Le sentiment d'amour pour un pays se construit ensuite en y vivant et en apprenant à le connaître. On ne peut pas reprocher à certains de ne pas tomber en amour et de vivre une expatriation de quelques années. Ça arrive, et même souvent.

Ouais, il est difficile de tomber en amour avec un pays où on n'est jamais allé. Les liens se créent avec les années; ça passe ou ça casse, pour des raisons qui sont propres à chacun.

Dans tes précédents commentaires, tu mentionnes d'ailleurs ce pressant besoin de toruver du boulot. Donc, le travail et l'aspect économique faisaient partie de tes motivations premières, non ?

Si, par hasard, les agences d'intérim t'avaient orientée vers des emplois où l'on exigeait le bilinguisme et qu'au bout de 6 mois, tu avais encore été en recherche d'emploi, qu'aurais-tu ressenti ?

Je ne cherche pas la bibitte, on jase là ... ;)

Je suis entièrement d'accord. Le sentiment d'appartenance et l'amour du pays ne sont pas innés. L'aspect économique faisait partie de mes motivations premières bien sûr, mais il y avait également un contexte qui fait que je n'ai aucune envie de retourner habiter dans mon pays d'origine. Le visiter, entièrement d'accord, mais y vivre et y travailler, beurk.

Je ne pense pas que j'aurais été encore en recherche d'emploi au bout de 6 mois. Soit j'approfondissais mon anglais, soit je mettait en pratique mon plan B. Ce n'était pas mon premier choix, mais je ne serais pas restée sans rien faire et je ne serais surtout pas allée sur le BS. Il y a suffisamment de possibilités ici.

Et si tu n'avais pas d'autre choix entre demander le BS ou rentrer chez toi (ou voir une autre province )?

Modifié par immigrant_1978
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Le patriotisme me fait vomir, qu'on m'explique qu'elle fierté y a t'il à être né quelque part et pas autre part ? Aucune !

C'est bien pour cela que je parle d'un patriotisme envers un pays choisi .

Mais ... Cherrybee, très très peu de pays sont ouverts à l'immigration. Même l'Australie a renforcé ses critères. Il ne reste donc plus beaucoup de pays où émigrer. Si on est francophone et qu'on ne parle pas anglais, il reste ... le Québec. C'est peut-être « choisi », mais parce que le choix n'était pas très large; en fait, pour des gens ne parlant pas anglais, ça se limite au Québec. Tu te serais vu vivre en Australie ? :lol:

J'espère que tu as encore quelques bons sentiments envers le pays qui où tu es née, où tu as grandi, où tu as fondé ta famille qui, elle, est restée là-bas. La France t'a quand même certainement apporté de bonnes choses, non ?

Bon, je file voir les couleurs de notre automne flamboyant ! :)

Modifié par Ensaimada
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Quand on immigre, surtout si on n'y a jamais mis les pieds, nos intérêts sont matériels (travail, logement, argent, environnement, sécurité...). Le sentiment d'amour pour un pays se construit ensuite en y vivant et en apprenant à le connaître. On ne peut pas reprocher à certains de ne pas tomber en amour et de vivre une expatriation de quelques années. Ça arrive, et même souvent.

Ouais, il est difficile de tomber en amour avec un pays où on n'est jamais allé. Les liens se créent avec les années; ça passe ou ça casse, pour des raisons qui sont propres à chacun.

Dans tes précédents commentaires, tu mentionnes d'ailleurs ce pressant besoin de toruver du boulot. Donc, le travail et l'aspect économique faisaient partie de tes motivations premières, non ?

Si, par hasard, les agences d'intérim t'avaient orientée vers des emplois où l'on exigeait le bilinguisme et qu'au bout de 6 mois, tu avais encore été en recherche d'emploi, qu'aurais-tu ressenti ?

Je ne cherche pas la bibitte, on jase là ... ;)

Je suis entièrement d'accord. Le sentiment d'appartenance et l'amour du pays ne sont pas innés. L'aspect économique faisait partie de mes motivations premières bien sûr, mais il y avait également un contexte qui fait que je n'ai aucune envie de retourner habiter dans mon pays d'origine. Le visiter, entièrement d'accord, mais y vivre et y travailler, beurk.

Je ne pense pas que j'aurais été encore en recherche d'emploi au bout de 6 mois. Soit j'approfondissais mon anglais, soit je mettait en pratique mon plan B. Ce n'était pas mon premier choix, mais je ne serais pas restée sans rien faire et je ne serais surtout pas allée sur le BS. Il y a suffisamment de possibilités ici.

Et si tu n'avais pas d'autre choix entre demander le BS ou rentrer chez toi (ou voir une autre province )?

Ce n'était pas une question de choix, il n'y avait pas de choix à faire, je n'aurais JAMAIS demandé le BS. Comme je l'ai dit plus haut, j'avais un plan B qui ne nécessitait pas qu'un employeur m'embauche. Et dans le pire des cas, il y aurait eu le plan C: les jobbines, quitte à bidouiller mon CV et enlever le meilleur diplôme ou mes expériences professionnelles. Technicienne de surface (femme de ménage), service à la clientèle (caissière), je l'ai déjà fait d'ailleurs; ce n'est pas cela qui manque. Je ne suis pas orgueilleuse mais j'ai ma fierté. Et ma fierté me pousse à ne pas mendier un BS.

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Quand on immigre, surtout si on n'y a jamais mis les pieds, nos intérêts sont matériels (travail, logement, argent, environnement, sécurité...). Le sentiment d'amour pour un pays se construit ensuite en y vivant et en apprenant à le connaître. On ne peut pas reprocher à certains de ne pas tomber en amour et de vivre une expatriation de quelques années. Ça arrive, et même souvent.

Ouais, il est difficile de tomber en amour avec un pays où on n'est jamais allé. Les liens se créent avec les années; ça passe ou ça casse, pour des raisons qui sont propres à chacun.

Dans tes précédents commentaires, tu mentionnes d'ailleurs ce pressant besoin de toruver du boulot. Donc, le travail et l'aspect économique faisaient partie de tes motivations premières, non ?

Si, par hasard, les agences d'intérim t'avaient orientée vers des emplois où l'on exigeait le bilinguisme et qu'au bout de 6 mois, tu avais encore été en recherche d'emploi, qu'aurais-tu ressenti ?

Je ne cherche pas la bibitte, on jase là ... ;)

Je suis entièrement d'accord. Le sentiment d'appartenance et l'amour du pays ne sont pas innés. L'aspect économique faisait partie de mes motivations premières bien sûr, mais il y avait également un contexte qui fait que je n'ai aucune envie de retourner habiter dans mon pays d'origine. Le visiter, entièrement d'accord, mais y vivre et y travailler, beurk.

Je ne pense pas que j'aurais été encore en recherche d'emploi au bout de 6 mois. Soit j'approfondissais mon anglais, soit je mettait en pratique mon plan B. Ce n'était pas mon premier choix, mais je ne serais pas restée sans rien faire et je ne serais surtout pas allée sur le BS. Il y a suffisamment de possibilités ici.

Et si tu n'avais pas d'autre choix entre demander le BS ou rentrer chez toi (ou voir une autre province )?

Ce n'était pas une question de choix, il n'y avait pas de choix à faire, je n'aurais JAMAIS demandé le BS. Comme je l'ai dit plus haut, j'avais un plan B qui ne nécessitait pas qu'un employeur m'embauche. Et dans le pire des cas, il y aurait eu le plan C: les jobbines, quitte à bidouiller mon CV et enlever le meilleur diplôme ou mes expériences professionnelles. Technicienne de surface (femme de ménage), service à la clientèle (caissière), je l'ai déjà fait d'ailleurs; ce n'est pas cela qui manque. Je ne suis pas orgueilleuse mais j'ai ma fierté. Et ma fierté me pousse à ne pas mendier un BS.

Et tu crois qu'ils embauchent automatiquement tout le monde pour les jobines ? Meme les postes chez McDo sont devenus sélectifs ( d'ailleurs moi par expérience j'avais fait le tour de tous les MacDo de la région durant mes premiers mois au Québec et meme les KFC et les A&w et les Burgers kings, aucun ne m'avait rappelé sans parler des canadian tire et des wall mart). Et si tu trouves pas de jobine ?

Modifié par immigrant_1978
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Quand on immigre, surtout si on n'y a jamais mis les pieds, nos intérêts sont matériels (travail, logement, argent, environnement, sécurité...). Le sentiment d'amour pour un pays se construit ensuite en y vivant et en apprenant à le connaître. On ne peut pas reprocher à certains de ne pas tomber en amour et de vivre une expatriation de quelques années. Ça arrive, et même souvent.

Ouais, il est difficile de tomber en amour avec un pays où on n'est jamais allé. Les liens se créent avec les années; ça passe ou ça casse, pour des raisons qui sont propres à chacun.

Dans tes précédents commentaires, tu mentionnes d'ailleurs ce pressant besoin de toruver du boulot. Donc, le travail et l'aspect économique faisaient partie de tes motivations premières, non ?

Si, par hasard, les agences d'intérim t'avaient orientée vers des emplois où l'on exigeait le bilinguisme et qu'au bout de 6 mois, tu avais encore été en recherche d'emploi, qu'aurais-tu ressenti ?

Je ne cherche pas la bibitte, on jase là ... ;)

Je suis entièrement d'accord. Le sentiment d'appartenance et l'amour du pays ne sont pas innés. L'aspect économique faisait partie de mes motivations premières bien sûr, mais il y avait également un contexte qui fait que je n'ai aucune envie de retourner habiter dans mon pays d'origine. Le visiter, entièrement d'accord, mais y vivre et y travailler, beurk.

Je ne pense pas que j'aurais été encore en recherche d'emploi au bout de 6 mois. Soit j'approfondissais mon anglais, soit je mettait en pratique mon plan B. Ce n'était pas mon premier choix, mais je ne serais pas restée sans rien faire et je ne serais surtout pas allée sur le BS. Il y a suffisamment de possibilités ici.

Et si tu n'avais pas d'autre choix entre demander le BS ou rentrer chez toi (ou voir une autre province )?

Ce n'était pas une question de choix, il n'y avait pas de choix à faire, je n'aurais JAMAIS demandé le BS. Comme je l'ai dit plus haut, j'avais un plan B qui ne nécessitait pas qu'un employeur m'embauche. Et dans le pire des cas, il y aurait eu le plan C: les jobbines, quitte à bidouiller mon CV et enlever le meilleur diplôme ou mes expériences professionnelles. Technicienne de surface (femme de ménage), service à la clientèle (caissière), je l'ai déjà fait d'ailleurs; ce n'est pas cela qui manque. Je ne suis pas orgueilleuse mais j'ai ma fierté. Et ma fierté me pousse à ne pas mendier un BS.

Et tu crois qu'ils embauchent automatiquement tout le monde pour les jobines ? Meme les postes chez McDo sont devenus sélectifs ( d'ailleurs moi par expérience j'avais fait le tour de tous les MacDo de la région durant mes premiers mois au Québec et meme les KFC et les A&w et les Burgers kings, aucun ne m'avait rappelé sans parler des canadian tire et des wall mart). Et si tu trouves pas de jobine ?

Mon plan B ;) . Et pour être femme de ménage (ou homme de ménage d'ailleurs) je te promets qu'ils ne sont pas sélectifs! Donc, jobbine j'aurais trouvé .

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