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Bonjour à toutes et tous Je suis extrêmement content de rejoindre le forum, que je trouve être une initiative formidable pour quiconque s'intéresse à l'immigration canadienne. Bien que j'ai déjà glané pas mal d'informations (sites officiels, articles de blogs, vidéos, etc.), je suis convaincu que les expériences personnelles et les conseils des membres d'ici seront d'autant plus enrichissants et adaptés. Je me présente, je m'appelle Sacha et je suis actuellement étudiant en thèse de mathématiques en France (si certains sont intéressés par les maths n'hésitez pas à m'en faire part ). Depuis petit j'ai ce rêve de vivre au Canada, inspiré par sa nature grandiose et la qualité de vie qu'elle semble y offrir. J'ai eu l'occasion de venir à Saint-Michel-des-Saints, Montréal et Toronto, et j'ai adoré l'ambiance, et surtout les gens qui y sont vraiment adorables. L'idée de découvrir chaque province et d'embrasser la diversité culturelle canadienne est une véritable motivation pour moi au quotidien (même si j'ai conscience que l'herbe est toujours plus verte ailleurs... ). Il se trouve d'autant plus que le Canada offre un environnement très stimulant pour la recherche scientifique. Mon objectif est donc d'y effectuer un post-doc (CDD après la thèse de doctorat), puis d'y décrocher un poste d'Assistant Professor (= prof à la fac, je suis prêt à me frotter à la concurrence ). Je me permets donc de vous poser quelques questions, espérant que vous pourrez éclairer ma lanterne : Visas et permis d'étude/post-doc : Quel type de visa est nécessaire pour un post-doctorant français, ou plus généralement un scientifique au Canada ? Existe-t-il un visa spécifique qui faciliterait la transition vers un poste académique permanent et donc une résidence permanente ? Ou faudrait-il éventuellement à l'avenir envisager la citoyenneté ? Choix de la province : En tant que Français, quelles provinces recommanderiez-vous pour leur facilité à immigrer et leur qualité de vie ? Y a-t-il des différences notables en termes d'opportunités académiques et/ou de soutien aux immigrants entre les différentes provinces ? Trouver un post-doc : Quelles sont les meilleures stratégies pour trouver des positions académiques, de post-doc en particulier, au Canada ? Y a-t-il des sites web, des réseaux professionnels ou des conférences particulières recommandés pour postuler efficacement ? Dans notre discipline, on a un site qui s'appelle "MathJobs" mais je doute que ce soit le seul endroit où faire des recherches. Expériences similaires : Y a-t-il parmi vous des personnes qui ont commencé leur parcours au Canada en tant qu'étudiant international ou personnel académique et qui ont réussi à s'établir durablement ? Vos conseils et témoignages seraient extrêmement précieux. Je vous remercie par avance pour le temps que vous voudrez bien consacrer à répondre à mes interrogations. Je suis tout ouïe pour tous conseils, avertissements ou encore recommandations qui pourraient orienter et faciliter mon parcours. Au plaisir de lire vos expériences et de participer aux discussions enrichissantes de ce forum! Sacha
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Bonjour tout le monde, J'ai 35 ans, je suis homosexuel et je vis en Algérie, un pays où celà est considéré comme un crime (risque de peine de prison, pression sociale, homophobie et j'en passe). Malgré tout ça je n'ai jamais vraiment envisagé de quitter mon pays, jusqu'à ce que je fasse la connaissance de mon partenaire, un libanais (37 ans) qui a vécu en Algérie pour une période de deux ans, nous sommes en relation depuis presque trois années et à distance depuis plus de 09 mois. Il se trouve que la situation est devenue de plus en plus difficile pour nous, le visa pour rentrer en Algérie est très difficile à avoir et nous n'avons pas non plus les moyens de vivre ensemble dans nos pays respectifs, du coup on pense de plus en plus sérieusement à faire une demande d'asile au Canada étant le pays qui acceuille le plus facilement et qui respecte les droits des LGBT. Passer par le circuit classique de l'immigration ou la recherche d'emploi prend énormément de temps et demande pas mal de moyens, ce que nous n'avons malheureusement pas. Nous envisageons de faire une demande de visa touristique classique et de procéder à la demande d'asile une fois sur place. Je voudrais juste si possible avoir vos avis, conseils, pistes ou juste un partage d'expérience pour ceux qui auraient vécu la même chose. J'avoue que j'anticipe pas mal et j'ai parfois du mal à imaginer que ce soit quelque chose qui va aboutir. Merci d'avance pour vos réponses !
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Bonjour Je suis Canadien d'origine, la question ici me concerne de biais. Ma conjointe es présentement en processus d'immigration en parrainage (putain je ne m'attendais pas à ce prossecus de fou). Elle est arrivée ici en 2016 pour études à l'université et, par la suite, as décider de s'installer ici. Jusqu'à présent, à part la folie des 12 travaux d'asterix et le formulaire A51, tout vas bien. Son frère, malien, cherche depuis plusieurs années à venir s'installer au Canada. Après 2 refus de la part du consul/ambassade canadien, il as décider de s'adresser à une agence pour immigration au Canada. On parle ici de l'agence AOF immigration Canada, une agence indépendante du gouvernement canadien. Lien: https://www.aofimmigrationcanada.com/ Les fais qu'ils demandent pour que l'on s'occupe des dossiers sont quand même dispendieux, mais l'on jugeais raisonnable le fais de pouvoir payer par étapes d'évolution de dossier. Dernièrement, nous avons reçu comme message que nous devions maintenant payer la totalité des du pour que les dossiers soient traités, ou du moin priorisés. Cela nous jettes un froid comme résident car ça commence à sentir l'arnaque à mon avis. De la ma question. Y as t'il, ici, des gens qui sont passés pas AOF immigration Canada et que leurs dossiers ont fonctionné et qui résident maintenant au Canada? Merci
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Salut je m'appelle Lassana Cisse et je suis Malien, je suis presentement en plein procedure de demande de permis de permis d'etude( en attente de demande de passeport) et j'aimerais savoir si c'est possible de voyager sur le territoire avant le debut de la session d'etude, c'est a dire en juin ? et si une fois arrive, si je peux me diriger dans une autre ville (torronto) dans laquelle vit un oncle outre ma destination normale( Quebec) avant le debut de la session, dans le but d'apprendre l'anglais ?
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Traitement des données biométriques
Becham a posté un sujet dans Salle d'attente - échanges de dates
Bonjour , j’aimerais savoir combien de temps (après la biométrie) ça vous a pris pour recevoir l’invitation à la visite médicale (IVM). Personnellement après bientôt 3 mois de ma biométrie, je n’ai encore pas reçu de IVM. Merci ! bonne chance à tous ! -
Bonjour à tous, Je vois qu'il n'existe pas de sujet existant sur la Nouvelle-Écosse, et pourtant, quelle belle et accueillante province ! Je suis arrivée de France à Halifax en octobre 2014 et en tant qu'agente aux communications et au marketing pour le CDÉNÉ (Conseil de développement économique de la Nouvelle-Écosse) voici quelques précieuses informations que j'aimerai partager avec vous si vous souhaitez immigrer en Nouvelle-Écosse : Tourisme Ses côtes de près de 7 400 km baignent dans l’océan Atlantique. Ses régions urbaines et rurales permettent d’infinies possibilités pour se réaliser aux plans professionnel et personnel. Malgré le fait qu’elle soit une province anglophone et que son marché du travail fonctionne majoritairement en anglais, la Nouvelle-Écosse offre d’excellentes possibilités de carrières aux individus qui maîtrisent également le français. Sa situation géographique est aussi avantageuse du point de vue des affaires en raison de sa proximité avec les marchés européens et américains. D’ailleurs, la Nouvelle-Écosse compte un aéroport international, l’Aéroport international Stanfield d’Halifax, qui offre des vols directs vers plus de 11 pays, en plus de vols à l’intérieur du Canada et vers les États-Unis. Il est également important de souligner que le coût de la vie en Nouvelle-Écosse est faible, ce qui entraîne un pouvoir d’achat plus élevé ainsi qu’une plus grande qualité de vie. Vivre en français Il existe, en Nouvelle-Écosse, des communautés de langue française établies depuis longue date. Leur présence date du 17e siècle et leur population est connue sous le nom des « Acadiens et Acadiennes ». Encore aujourd’hui, la langue française est utilisée dans ces communautés. Du point de vue de la langue, 10 % de la population néo-écossaise, soit près de 100 000 personnes, peut s’exprimer en français. Bien que seulement 4 % des résidents de la Nouvelle-Écosse possèdent le français comme langue maternelle, près d’une demi-douzaine de ses collectivités comptent un nombre important d’habitants qui s’expriment dans cette langue. Les personnes d’expression française forment la majorité dans trois de ces régions. Les familles d’expression française ont accès à plus de 20 écoles publiques francophones chapeautées par le Conseil scolaire acadien provincial (CSAP). De plus, l’Université Sainte-Anne offre des programmes universitaires et collégiaux en français dans ses cinq campus. Enfin, de nombreux organismes régionaux, provinciaux et institutionnels offrent des services variés en français aux diverses collectivités où un nombre élevé de résidents s’expriment en français. Bref, il est possible d’envisager une vie riche et stimulante en français en Nouvelle-Écosse! Emploi La Nouvelle-Écosse a un besoin grandissant de recruter des travailleurs qualifiés provenant de l’étranger pour réaliser son plein potentiel. Notre province est d’une beauté exceptionnelle, elle prend racine dans des communautés fortes et elle offre son lot de possibilités à saisir. Important! dans le cadre du projet pilote d'immigration au Canada atlantique, certaines professions sont prioritaires pour l'immigration en Nouvelle-Écosse lors de votre demande d'entrée express. Voici la liste : # Titre des professions CNP Niveau d compétence 1 Vérificateurs/vérificatrices et comptables 1111 A 2 Autres agents financiers/agentes financières 1114 A 3 Professionnels/professionnelles en publicité, en marketing et en relations publiques 1123 A 4 Adjoints administratifs/adjointes administratives 1241 B 5 Techniciens/techniciennes en comptabilité et teneurs/teneuses de livres 1311 B 6 Ingénieurs civils/ingénieures civiles 2131 A 7 Analystes et consultants/consultantes en informatique 2171 A 8 Programmeurs/programmeuses et développeurs/développeuses en médias interactifs 2174 A 9 Techniciens/techniciennes de réseau informatique 2281 B 10 Agents/agentes de soutien aux utilisateurs 2282 B 11 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées et infirmiers psychiatriques autorisés/infirmières psychiatriques autorisées 3012 A 12 Infirmiers auxiliaires/infirmières auxiliaires 3233 B 13 Enseignants/enseignantes au niveau collégial et autres instructeurs/instructrices en formation professionnelle 4021 A 14 Techniciens/techniciennes juridiques et personnel assimilé 4211 B 15 Travailleurs/travailleuses des services sociaux et communautaires 4212 B 16 Représentants/représentantes des ventes financières 6235 B Professions en demande en 2016 Les chiffres entre parenthèses, qui suivent le nom des professions, correspondent à un code CNP, soit un code de la Classification nationale des professions. La CNP est la référence reconnue des professions au Canada. Le générique masculin est utilisé dans le but d’alléger la lecture du texte. Il désigne à la fois les femmes et les hommes. Professions des affaires, des finances et de l’administration Vérificateurs et comptables (1111) Profession réglementée* Analystes financiers et analystes en placements (1112) Non réglementée Professions de la santé Omnipraticiens et médecins en médecine familiale (3112) Réglementée* Infirmiers autorisés et infirmiers psychiatriques autorisés (3012) Réglementée* Infirmiers auxiliaires (3233) Réglementée* Technologues de laboratoires médicaux (3211) Réglementée* Physiothérapeutes (3142) Réglementée* Ergothérapeutes (3143) Réglementée* Sciences naturelles et appliquées et professions apparentées Ingénieurs civils (2131) Réglementée* Ingénieurs mécaniciens (2132) Réglementée* Ingénieurs électriciens et électroniciens (2133) Réglementée* Ingénieurs informaticiens (2147) Réglementée* Analystes et consultants en informatique (2171) Non réglementée Analystes de bases de données et administrateurs de données (2172) Non réglementée Programmeurs et développeurs en médias interactifs (2174) Non règlementée Professions en sciences sociales et en éducation Psychologues (4151) Réglementée* Éducateurs et aide-éducateurs de la petite enfance (4214) Réglementée* *Certaines professions et certains métiers sont réglementés en Nouvelle-Écosse. En d’autres termes, un permis d’exercice est exigé. Pour en découvrir davantage visitez http://immigrertravaillerne.ca/professions-reglementees/ Pour en savoir plus sur les services du CDÉNÉ et la Nouvelle-Écosse, rendez-vous sur http://immigrertravaillerne.ca/ et contactez nos agents par courriel : Agente de recherche - [email protected] Agente en immigration économique - [email protected] Liste (non exhaustive) des organismes francophones en Nouvelle-Écosse par secteur : Santé Réseau santé Nouvelle-Écosse Vie communautaire et culturelle La fédération acadienne de la Nouvelle-Écosse Conseil communautaire du Grand-Havre Fédération culturelle acadienne de la Nouvelle-Écosse Regroupement des aînés de la Nouvelle-Écosse Centre de ressources pour les familles militaires Fédération des femmes acadiennes Nouvelle-Écosse Centre communautaire de la Rive-Sud Association de la Vallée Centre francophone communautaire de Truro Conseil acadien de Par-en-Bas Centre communautaire étoile de l'Acadie L'Acadie de Chezzetcook Centre communautaire culturel La Picasse La Société acadienne de Clare Société acadienne Sainte-Croix Centre culturel et galerie les Trois Pignons Éducation et jeunesse Conseil scolaire acadien provincial Conseil jeunesse provincial Université Sainte-Anne Garderie Le Petit Voilier Alliance Française Halifax Fédération des parents acadiens Nouvelle-Écosse The French Doctor Prématernelle le Jardin d'Evra Fleur de Lys Centre provincial de ressources préscolaires Jeux de l'Acadie Nouvelle-Écosse Équipe alphabétisation Nouvelle-Écosse Juridique Association des juristes d'expression française Nouvelle-Écosse Immigration Immigration Francophone Nouvelle-Écosse Conseil de développement économique de la Nouvelle-Écosse Emploi et entreprise Conseil de développement économique de la Nouvelle-Écosse Chambre de commerce francophone Halifax Média Le Courrier de la Nouvelle-Écosse Radio Canada Oui 98.5 CIFA FM 104.1 CITU FM 104.1 CKJM FM 106.1(Chéticamp) / 92.5 (Pomquet)
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Futurs MPQuistes (Mon projet Quebec) 2018 + Déclaration d'intérêt
Toulousain a posté un sujet dans Québec
Bonjour à toutes et à tous, ce sujet est destiné à toutes les personnes qui souhaitent immigrer au QUEBEC par la voie du CSQ. Les gens qui ont déjà eu leurs CSQ sont les bienvenus, ou ceux qui ont déjà commencé la procédure de DCSQ le sont aussi. Le midi a jusqu'au 31 mars 2018 pour annoncer la période de sélection- 2 299 réponses
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Salut tout le monde, J'ai une petite question, et je ne sais pas si quelqu'un peut m'aider J'ai obtenu un permis de travail depuis Avril 2009 quand je suis venu la 1ere fois au Canada pour un stage de travail d'un mois au Québec. Apres je suis revenu au Québec une 2eme fois en septembre 2009 mais cette fois-ci pour les études. Le problème c'est que l'agent d'immigration à Montréal qui m'a délivré mon permis d'étude, a pris mon ancien permis de travail, et malheureusement je n'ai pas gardé une copie de ça à moi. J'en ai vraiment besoin d'une photocopie de ce permis de travail pour ma demande de CSQ (documents soumis à l'appui de la demande) car ceci constitue un "séjour antérieur au Québec". Est-ce quelqu'un est passé par une situation pareille ou peut me suggérer quoi faire ?? Merci d'avance pour votre aide
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source : http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/07/02/le-quebec-peine-a-retenir-ses-immigrants-francophones_n_10782906.html Le couple Sibileau-Brossas, originaire de France, a immigré il y a quelques mois à Mississauga, la banlieue de Toronto. L'entreprise de Thomas Brossas a déménagé ses activités aéroportuaires vers l'aéroport international Pearson de Toronto, le plus important au pays. Et son épouse, Marine, l'a accompagné. « Toronto est la ville de plein de communautés alors que le Québec est aux Québécois de souche », déplore-t-elle. Des emplois difficiles à trouver Une récente étude de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) abonde dans le même sens. Même s'il y a deux fois moins d'immigrants à Montréal qu'à Toronto, où ils représentent plus de 46 % de la population, ils ne trouvent pas d'emploi à leur mesure ou, pire, pas d'emploi du tout, constatent ses auteurs. Cette « métropole de talent », notent-ils, est pourtant une ville francophone, jeune, universitaire, innovatrice et culturellement vivante. Un paradoxe, conclut l'étude de l'OCDE. Selon l'OCDE, le taux de chômage des immigrants arrivés à Montréal il y a moins de cinq ans dépasse 18 %, alors qu'il se situe à un peu plus de 14 % chez ceux qui se sont établis dans la Ville Reine. Après 10 ans, les immigrants torontois ont cependant un taux de chômage comparable à l'ensemble de la population montréalaise. Statistique Canada fait par ailleurs état de disparités linguistiques : 16 % des immigrants unilingues anglophones récemment arrivés au Québec sont chômeurs, un chiffre qui grimpe à 23 % chez ceux qui ne parlent que le français. Un « francoboom » tout près de Toronto À Mississauga, l'école primaire catholique Saint-Jean-Baptiste vit un véritable « francoboom ». Sur ses terrains, de grands espaces ont été bétonnés pour accueillir six classes mobiles qui répondront aux nouvelles inscriptions. Les élèves proviennent autant des familles anglophones-francophones mixtes que de celles des nouveaux immigrants désireux de voir leurs enfants apprendre le français, un net avantage en Ontario. C'est là que Patrick Bertolin, un Camerounais d'origine sélectionné par le gouvernement du Québec, a trouvé un emploi à la hauteur de ses compétences. Une expérience qu'il n'a pas vécue au Québec. « Si j'avais eu un emploi à ma mesure ou qu'on m'avait appelé ne serait-ce que pour une ou deux entrevues, je serais resté en me disant qu'un jour je vais avoir ma chance », regrette l'enseignant. « C'est triste, conclut-il. Le gouvernement québécois devrait réaliser qu'il y a un problème. » Au total, près du quart des immigrants québécois partent vers d'autres provinces canadiennes, principalement l'Ontario.
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