
O'Hana
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Toutes mes félicitations à la maman, au papa et bien entendu au petit En voilà un qui apprendra très rapidement et très facilement ce que c'est le relativisme culturel avec trois nationalités : une richesse inestimable ! Eddy
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Merci Zemida pour ton commentaire Ben tu sais dans quel café de Sherbrooke où me trouver la plupart du temps maintenant O'Hana
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Salut la gang, Boisclair objectivement le plus apte à gouverner ou Boisclair bénéficiant largement de l'impopularité actuelle de Charest ? Anyaway, chuis quand même content pour lui O'Hana
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Vaste question ! De mes observations personnelles, la condition de la femme au Québec : Sur le plan personnel (estime de soi, sexualité) : de manière générale, excellente. Autant les québécoises m'apparaissent assurées, confiantes et déterminées. J'ai choisi le qualificatif "excellent" car je suis un pro-égalité entre les sexes et un partisan de l'autonomie et de l'émancipation de la personne, quelque soit son sexe. C'est sûr qu'un macho réactionnaire aurait choisi un qualificatif pas mal différent du mien. Sur le plan professionnel : c'est une autre affaire. Malgré l'équité salariale, la création d'organismes publics ou para-publics (Conseil de la Femme, Comité Aviseur Femmes en développement de la main-d'oeuvre) et d'organismes communautaires spécialisées dans le soutien aux femmes (battues, violentées, aide à l'insertion dans les professions non-traditionnelles), il y a encore du chemin à faire. Que ce soit en formation professionnelle, technique ou universitaire, les femmes connaissent systématiquement un taux en emploi à temps plein inférieur à celui des hommes et une rémunération tout aussi inférieure à formation égale. Cependant, plus le niveau de scolarité est élevé, plus ces disparités s'atténuent (mais sans pour autant, jamais atteindre l'égalité). Pire : un homme se place mieux et gagne plus qu'une femme quand bien même qu'il a étudié dans un domaine traditionnellement féminin (ex : santé, esthétique). Par ailleurs, les femmes sont souvent cantonnées dans les emplois du secteur tertiaire (celui des services) qui est notoirement connu pour offrir en majorité que des emplois précaires, à contrat, mal payés, avec peu ou sans avantages sociaux. Le meilleur exemple est certainement celui de l'économie sociale qui, ironiquement, devait contribuer à partager la richesse économique : après constat, il s'avère qu'il s'y trouvent des emplois précaires, ceci contribuant à élargir la pauvreté. Certains chercheurs n'hésitent d'ailleurs pas à qualifier certains emplois ou secteurs d'activités de "ghettos féminins". Autres données : plus de 71% des personnes travaillant au salaire minimum sont des travailleuses. Et plus de 40% des femmes monoparentales sont sous le seuil de faible revenu établi par Statistiques Canada (contre 20% des hommes monoparentaux). "Qui pense à acheter du lait quand il n'y en a plus dans le frigo, selon vous ?" : ce commentaire exprime très bien selon moi le défi des femmes dans la double tension qu'elles vivent en tentant de concilier famille et travail. Cette réflexion est de l'une des rares neurochirurgiennes québécoises qui souhaitait dire par là que les stéréotypes ont encore la vie dure : les obligations familiales et domestiques sont encore largement perçues comme étant le domaine "exclusif" de la femme. Une double tâche (famille et travail) qui constituent d'ailleurs la principale raison évoquée par les femmes pour expliquer, bien malgré elles, de prendre des emplois précaires ou à temps partiel. Le Québec fait de gros efforts pour l'équité sur le plan des structures. Mais d'un point de vue psychologique, il y a eu de belles victoires mais la victoire est encore loin d'être acquise. O'Hana Source de mes infos : Statistiques Canada : enquête sur la population active Institut de la statistique du Québec : étude de la population active selon le genre et le sexe Conseil de la Femme Comité Aviseur Femme en développement de la main-d'oeuvre
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Salut la gang, Comme toute nouvelle des médias, je trouve personnellement important de la relativiser : 1) en la remettant dans le contexte : j'en ai évidemment parlé avec une amie qui achève justement son BES (bacc en enseignement secondaire - français / histoire) et elle m'a précisé que l'Université fait passer ce test de français (Turbo à Sherbrooke et TFLM à Montréal et Laval) dès la première session du BES. Rien d'étonnant qu'il y ait un haut score d'échec quand c'est la première fois que tu passes un test aussi relevé et surtout que tu n'es pas préparé. C'est comme si moi, en orientation, on m'avait mis dans les bras un client en processus d'orientation dès ma première session et qu'il fallait que je l'aide comme si j'étais un professionnel ayant complété sa maîtrise ! Donc, un peu d'indulgence pour ces futurs enseignants du français qui commencent la plupart leur formation : cela ne signifie pas qu'il y a 100% de réussite à ce test une fois le BES fini mais, à tout le moins, quelque soit le taux d'échec à ce moment-là, c'est lui que je trouve plus pertinent de s'en inquiéter et de s'en affoler. Le niveau de français des futurs enseignants est un sujet récurrent qui revient à chaque année. Ce que je trouve plus préoccupant, c'est le taux d'échec de futurs médecins à l'examen d'admission au Collège des Médecins. 2) Les journalistes aiment le sensationnel : alors c'est sûr qu'une nouvelle de ce genre, ça fait les choux gras. Est-ce que j'insinue qu'ils en mettent un peu trop par rapport à la réalité ? Probablement. Quant à la maîtrise du français, chacun sa perception. Il y a ceux qui considèrent que si la maîtrise du français n'est pas essentielle lorsqu'elle ne rentre pas dans les compétences principales d'une profession (ex : médecin, ouvrier de la construction, etc). Et il y a ceux, dont je fais partie, qui considèrent que la maîtrise du français - dans un environnement francophone on s'entend - est une condition nécessaire quelque soit la profession exercée. Simplement une question de culture générale, comme une compétence de base. O'Hana
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Ben non, je suis d'accord avec toi En NC, cela prendra plusieurs années mais fondamentalement selon moi pour une question d'autonomie politique : à part le nickel et une industrie touristique qui se cherche encore, la NC n'a rien à proposer. Ce qui n'est pas le cas du Québec, bien positionné géographiquement car au milieu de voies commerciales importantes. Sans parler de Bombardier, l'hydroélectricité, Quebecor, l'économie du savoir et une masse critique de population intéressante. Et je rejoins Ulysse : le mépris du fédéral (Mr Pettigrew l'a encore clairement démontré au sujet de la soirée de la chefferie du PQ en les traitant de loosers) ne laisse plus de choix au Québec dans son accession à l'indépendance. Si, au contraire, le fédéral laissait beaucoup plus d'autonomie au Québec, il pourrait probablement nuire au mouvement souverainiste car beaucoup de québécois se demanderaient alors à quoi servirait l'indépendance si le fédéral nous laisse les coudées franches ... Depuis le temps que je suis ici, j'ai appris à distinguer les sentiments des gens concernant cette question qu'ils soient de Montréal ou en région. On arrive parfois à des opinions bien différentes. Montréal vit ce que d'autres grandes villes vivent dans d'autres pays : la différence de mentalités une fois les ponts franchis O'Hana
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Rapport intéressant, merci B52. Même si j'ai un apriori par rapport à la Banque Mondiale, j'ai apprécié les points suivants du rapport : - faciliter l'adaptation et l'intégration professionnelles des travailleurs migrants dans les pays cibles (en clair : assouplir l'admission aux ordres professionnelles au Québec en particulier) - mettre davantage l'accent sur le développement économique des pays sources pour inciter les travailleurs qualifiés à déployer leur expertise chez eux plutôt que d'augmenter la fuite des cerveaux à l'étranger dans les pays cibles - mettre en place des politiques nationales rigoureuses (i.e. moins de corruption par exemple) dans les pays sources pour inciter les travailleurs migrants à rentrer dans leurs pays d'origine O'Hana
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Il y a une différence fondamentale - parmi d'autres - sur la question d'indépendance entre le Québec et la Polynésie Française (et même la Nouvelle-Calédonie). Le Québec possède la puissance économique pour assumer son indépendance, ce qui est trèèes loin d'être le cas pour la PF et la NC. Le spectre de la misère du Vanuatu devenu indépendant est bien ancré dans les mentalités polynésienne et calédonienne. Et l'autonomie économique reste, à mes yeux, un élément déterminant dans tout discours politique souverainiste. Et la population rappelle à ses élus le pragmatisme à garder en tête : que faire d'une tribune à l'ONU si c'est pour crever de faim au pays ou quêter des subventions à la communauté internationale ? C'est pour cela que personnellement, je suis souverainiste pour le Québec mais encore définitivement loyaliste (à la France) pour la PF et la NC. Oscar Temaru m'aimera pas hi hi O'Hana
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Watch out Tof : la partie de rasage avec la crème à raser que propose Cherry peut faire de toi autant un chroniqueur intrônisé qu'un futur ex-chroniqueur reconverti en eunuque de harem. O'Hana
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Mmmmh, pas sûr de ça de moi ma chère Sarmi ... Qu'en est-il des immigrants qui ont mûrement réfléchi et qui ont choisi de faire du Québec leur nouveau pays (même d'adoption) ? Ils ne devraient pas se prononcer ou avoir une opinion sur la question alors qu'ils seront affectés, tout autant que les québécois de souche, par le destin de leur pays ? Bien sûr, l'immigrant a toujours le choix de ramasser ses affaires et rentrer dans son pays d'origine ou aller ailleurs, ce qui serait une décision bien plus difficile à prendre pour un québécois de souche. Ceci dit, ne pas pouvoir émettre d'opinion sur ce sujet de l'indépendance qui touchera tous les résidents du Québec, n'est-ce pas scinder la population en deux catégories ? Et poser sur l'immigrant l'étiquette d'immigrant à vie (ou citoyen de seconde zone pour reprendre un autre fil de discussion) ? Que les québécois de souche fassent vraiment cela - ce que je n'ai jamais vu de ma propre expérience - et ils n'auront pas trouvé meilleur moyen pour se tirer dans le pied. Car rien de tel que de se sentir négligé pour ramasser ses affaires et partir ailleurs. O'Hana
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J'halluciiine ... Môssieur a UNE chronique à son actif et il se plaint déjà Sérieusement, faut laisser un peu de temps à Laurent. O'Hana
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Ben vi, un bizutage dans les règles de l'art B) Avec cependant une particularité d'immigrer.com : le nouveau chrono doit rédiger au moins trois chroniques à la place des anciens en mettant leurs noms en-dessous bien évidemment. (ça, c'est la partie écrit en tout minuscule dans le contrat que Laurent t'a fait signer comme chroniqueur) O'Hana
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Bienvenue dans la gang Tof ! Pis, on le fait quand son tit bizutage de nouveau chroniqueur ? O'Hana
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Salut, Oui, en effet, la maîtrise de l'UQÀM est contigenté (75 places offertes en tout dont seulement 30 en profil "intervention"). Mais sais-tu que l'Université de Sherbrooke a ouvert un campus sur son site de Longueuil, sur la rive-sud de Montréal ? La maîtrise en orientation s'y offre depuis que très récemment (2 ans au maximum) et comme c'est nouveau, je crois qu'ils sont davantage encore en phase de recrutement que de contingentement. Avant de faire une demande d'équivalence à l'Ordre (ce qui prendra du temps, de l'argent avec à la clé, très certainement une demande de retour aux études), adresse-toi aux départements d'orientation professionnelle des universités qui offrent la maîtrise. Eux te diront exactement quels cours tu devras suivre pour compléter la maîtrise et je suis certain que beaucoup de cours te seront crédités car tu as, à la base, une formation initiale similaire. Si les réponses qui te sont faites te semblent trop exigeantes, il sera alors toujours temps pour toi de prendre conseil auprès de l'Ordre (une équipe très sympa d'ailleurs, tu verras !) et évaluer ensuite ce qui est le mieux à faire pour toi (faire une équivalence auprès de l'Ordre ou retourner tout de suite sur les bancs de l'université). O'Hana
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Salut la gang, Le PQ a enfin un chef : elle a été crissement longue cette campagne électorale interne. Espérons que Boisclair ne sera pas un feu de paille comme Johnson en 1985 qui n'a été chef du PQ que deux ans avec cependant 57% d'appui (soit plus que Boisclair). Surtout que les prochaines échéances seront décisives. O'Hana
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L'arroseur arrosé CQFD La bonne chose dans l'histoire, c'est que les pays réalisent que le travailleur humain devient une denrée circulable aussi importante que les machines, les biens, les services et les capitaux. O'Hana
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Salut Massinissa, Oui, très probablement que l'OCCOPPQ (ordre des conseillères et conseillers d'orientation et psychoéducatrices et psychoéducateurs du Québec) te demanderont de faire un retour aux études pour obtenir le titre réservé de c.o. À première vue, voici à mon avis les cours que tu devras reprendre pour respecter les spécificités québécoises de l'orientation professionnelle : - cours en information scolaire et professionnelle (pour connaître ls système scolaire québécois, ses diplômes du secondaire à l'universitaire, les logiciels existants en la matière, les procédures d'admission, etc) - cours en développement de carrière (connaître les théories en carriérologie) - cours en psychométrie (savoir administrer et analyser des résultats de tests les plus utilisés au Québec avec tout l'aspect scientifique : validité, fiabilité, cohérence interne, etc) - des stages évidemment pour expérimenter l'approche du counseling d'orientation dans différents milieux de travail (CJE, fonction publique, écoles, entreprises, etc) Quatres maîtrises donnent accès automatiquement au titre de c.o. au Québec : - maîtrise en orientation (M.O.) ou maîtrise double profil (M. ès arts) de Sherbrooke (approche très expérientielle ou andragogique : proche de la psychothérapie, l'enseignement vise la connaissance de soi pour explorer tes limites comme futur intervenant) - maîtrise en carriérologie de l'UQÀM (davantage axée sur les théories de la carrière) - maîtrise en sciences de l'éducation de Laval (surtout axée sur la psychométrie) - master in Psychology Counseling de Mc Gill (je ne la connais pas vraiment, désolé) Si tu as d'autres questions, n'hésites surtout pas ! O'Hana, c.o. labelisé M.O. Sherbrooke
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Salut Krem, Comme cela a déjà été mentionné dans des posts antérieurs, le lendemain d'un oui à l'indépendance du Québec à un référendum, on ne se réveillera pas citoyens québécois dans un Québec déjà constitué en pays formel. Mais on se réveillera en tout cas avec un point de non-retour dépassé : la volonté populaire se sera exprimé et le fédéral n'aura pas le choix que de s'asseoir avec le Québec pour négocier. Et là, tant de choses à négocier : la défense, les affaires étrangères, le rapatriement des fonctionnaires fédéraux, etc et bien sûr l'immigration. Ce dont je suis sûr, c'est qu'une citoyenneté québécoise sera instauré à terme. Qu'en sera-t-il des demandes de citoyenneté canadienne qui seront alors en cours ? Pour moi, ça sera là de la poutine administrative que les ministères respectifs (MICC et CIC) vont gérer à ce moment-là. Je crois cependant également qu'un choix libre sera posé aux demandeurs de la citoyenneté : devenir québécois ou canadiens. Ou encore un compromis : une double citoyenneté canado-québécoise. Qui serait en fait le reflet de la réalité culturelle et géographique du Québec et du Canada. O'Hana
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Même quand ce paillasson devient Gouverneure Générale du Canada ? O'Hana
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Personnellement, je l'explique ainsi à mes amis québécois : - cause géographique : la France, de par sa position géographique, a toujours été un carrefour intense d'immigration que ce européenne, africaine ou provenant d'Eurasie. Ce qui n'est pas le cas du Canada dont la position géographique (et même le climat dans une certaine mesure) le tient à l'écart des migrations internationales - cause idéologique : la républicanité "une et indivisible" élevée presqu'en dogme a finit par nier les différences culturelles de la société française et, surtout, les inégalités sociales. Ce qui est moins le cas du Canada où, même Patrimoine Canada, reconnaît le caractère dynamique en constante évolution de l'identité canadienne (même si cette dernière se fédère sous des principes quasi-universels : démocratie, droits et libertés, etc) - passé colonial : la France constitue toujours un objectif de vie pour plusieurs Dom-Tom et Pom sans parler des anciennes colonies. Cela constitue en partant un important volume d'immigration interne (i.e. interne à la république française), ce qui est difficilement gérable avec une immigration externe. Le Canada n'a pas de passé colonial et n'a donc pas à gérer d'anciennes contrées devenues des nations ayant de la difficulté à gérer ses propres populations - l'approche immigratoire : la France, par son prestigieux historique de droits et libertés de l'homme, maintient encore une immigration très ouverte. Loin de l'approche canadienne qui privilégie le principe de sélection (qu'en France on appelerait probablement discriminatoire). D'ailleurs, le débat sur une immigration sélective a refait surface en France je crois bien. J'aime l'approche française mais j'aime aussi le pragmatisme : à quoi cela sert-il d'accueillir autant d'immigrants sans aucune structure efficace d'accueil pour déboucher, fatalement, sur des explosions sociales ? Un pragmatisme que le Canada prône sans scrupules car il a compris que s'il veut continuer à accueillir des immigrants, il doit être en mesure de leur proposer une société intéressante économiquement, culturellement et socialement O'Hana
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Raaaah Laurent !! T'es mieux de me contacter la prochaine fois que tu viendras au Québec B) Eddy
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Marci ben pour vos commentaires ! Watch out gang : faites pas trop de renforcement positif sur mes tranches de vies car vous ne savez pas dans quoi vous vous embarquez Qui sait, peut-être qu'on se croisera un jour chez Anatole Lacann ! O'Hana
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L'argument de "l'ordre naturel des choses" .... Je comprend qu'il faille tenir compte de déterminants naturels (manger, dormir, etc) mais il ne faut pas en faire un dogme. Si vous ne le connaissez pas, allez voir la pyramide des besoins de Maslow, cela pourrait se révéler très instructif. Rappelez l'ordre naturel des choses, c'est élever arbitrairement des principes en dogme. Le Québec l'a connu avec la Grande Noirceur et grand bien lui en a fait d'en sortir. Je me rappelle de ces quelques couples d'immigrants allophones que je rencontre en francisation au Cégep de Sherbrooke : Monsieur tient absolument à être présent à la rencontre de Madame pour s'assurer qu'elle va bien se renseigner "correctement". Une fois - mais une fois de trop - j'ai dû appeler la sécurité pour faire sortir Monsieur de mon bureau car Madame a droit à la totale confidentialité de la rencontre qui ne concerne qu'elle. Ou Monsieur qui ne veut pas que sa fille s'en aille en Technique Policières parce que ce type de profession, revêtu de son caractère d'autorité, ne doit pas être occupé par une femme. Il ne refuse pas de se prendre un ticket quand il a fait une infraction au code de la route : il refuse cependant que ça soit une policière qui émette le ticket. Qu'est-ce qui est réellement "artificielles" ? Des valeurs sensées êtres "naturelles" alors qu'elles imposent leurs influences désuètes sur des personnes vivant aujourd'hui ou des valeurs qui sont le fruit de réflexions autonomes de personnes cherchant tout simplement à vivre du mieux qu'elles peuvent entre elles en tentant de se nuire le moins possible ? O'Hana
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En schématisant, cela consiste pour une personne intéressée à démarrer son entreprise à simuler toutes les fonctions administratives que l'on retrouve dans une vraie entreprise et développer ainsi des compétences. Le tout se fait sous encadrement de professionnels et la personne touche tous les aspects de la gestion : finance, comptabilité, stratégie, marketing, ressources humaines, contrôle de gestion, logistique, etc. Je connais bien l'EE de Sherbrooke, Concepto International, car j'y réfère la majorité de mes clients qui désire partir à leur compte dans un projet qui exige la maîtrise de plusieurs compétences de gestion. O'Hana
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Salut, Une première piste d'exploration à ta demande : le réseau canadien des entreprises d'entraînement. O'Hana