O'Hana

Salut, Comme le disait un criminologue hier sur les ondes de SRC, les récents procès contre les motards ont fait en sorte de vider les rangs de ces derniers. Ca a donc créé un vide parmi le crime organisé ; vide que les gangs de rue semblent chercher à combler, d'où cette recrudescence de violence. Par ailleurs, ces gangs de rue sont moins facilement identifiables que les motards qu'on reconnaît très bien avec le coat de cuir et leur écusson. Cependant, parmi les différentes intervenants qui se sont exprimés, j'apprécie la volonté (même si cela ne pourrait rester qu'une volonté non suivie d'effets) de s'attaquer au problème non pas par la répression bête et méchante mais par un effort d'éducation et de sensibilisation à la racine (avec les parents de ses délinquants, lutter contre les inégalités sociales, etc). O'Hana, qui est pô pire en région

Salut la gang, Mise à jour : - skribskred - carolynbox (la reine des crêpes et des crevettes ha ha) - bamsounet - isseoasherbrooke - el.crapo et son ami - Nadia - Jimmy (il attend la confirmation de la date précise) - Frampol (ça veut-tu dire qu'il faut emmener de la bière ? ) - O'hana Les Boudhettes en stand by O'Hana

Ben pars une business Phil64qc : apparemment, il y a de la demande ... O'Hana

Salut Gannet76, Tu trouveras sur le lien ci-dessous la procédure officielle à suivre pour toute personne qui souhaite changer son visa de travail : Demande de modification des conditions de séjour ou de prorogation du séjour au Canada à titre de travailleur Cela comprend le guide mais aussi les formulaires à télécharger, etc. Je n'ai jamais eu à le faire mais d'expériences qui m'ont été rapportées, cela semble très difficile - surtout au niveau de DRHC - mais c'est possible. O'Hana

Salut, Probablement que l'économie américaine peut s'offrir le luxe de tolérer des immigrants clandestins sur son territoire ... Mais je ne crois pas que le Québec en a les moyens. Après, il s'agit je crois d'une question de responsabilités. Pour qu'il y ait des travailleurs au noir, il faut en face des employeurs qui acceptent d'offrir ce genre de travail. Il n'y a donc pas un seul "coupable" (s'il en faut vraiment un). Après, je pense que Jojo43 est parfaitement conscient des risques que cela implique pour sa résidence permanente s'il se fait prendre d'une part et d'autre part, je crois comprendre que cela est purement temporaire le temps qu'il obtienne ses papiers. S'il se fait prendre, il n'aura récolté que ce qu'il a semé car il a choisi librement de travailler au noir même s'il y est un peu forcé vu sa situation. En disant cela, je ne cautionne pas le travail au noir, loin de là. J'essaie simplement de me mettre tout cela en contexte pour tenter de bien comprendre le tout. Ceci dit, vite que ton visa arrive Jojo43 pour que tu puisses avoir une "vraie" job O'Hana

Ca me fait plaisir Mimiz Renseignement pris, les Boudhettes (avec leurs deux enfants) ont exprimé leur intérêt à être présents également mais ils ne peuvent rien confirmer pour le moment : ils sont donc en stand-by.

Salut, Vous trouverez ci-dessous un lien vers des messages et des réponses qui ont été faites sur le forum concernant la Loi 53 : discussions sur la Loi 53 O'Hana

Salut SoniaUSA, Il est vrai que les États-Unis sont une fédération d'états mais je crois qu'il est possible de dire que chaque américain, quelque soit son état, va se rallier sous le drapeau de l'Union (bon, excepté peut-être quelques texans ). Cela ne sera pas nécessairement vrai au Canada. À ma connaissance, la confédération canadienne de 1867 est le résultat d'un deal entre les provinces de l'époque (essentiellement le Bas-Canada et le Haut-Canada, respectivement le Québec et l'Ontario d'aujourd'hui ainsi que le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse). Deal qui consistait à se doter d'un réseau ferroviaire comme vecteur principal de développement économique et de peuplement (surtout face à un voisin au sud de plus en plus puissant). Il n'y a donc pas vraiment eu à l'origine du Canada, de ce que j'en comprend, une volonté commune de différentes provinces de s'unir simplement par élan de patriotisme et de sentiment d'appartenance. Ca fait que, dès le départ, ça n'aide pas à créer un sentiment d'uniformité et ce que semble suggérer Zogu d'ailleurs. Et j'irai même jusqu'à dire que les provinces se sont faites jouer dans le dos car si le fédéral devait, au début, jouer en gros le rôle de distributeur (des ressources, des moyens, etc), il s'est imposé avec les années comme un véritable centralisateur imposant davantage sa volonté aux provinces. Pour l'immigration, c'est faux. Le plus loin que le Canada a pu donner d'autonomie aux provinces, c'est dans la sélection des immigrants et encore, seul le Québec le possède. Pour ce qui est de l'admission au pays - donc pour ce qui est d'avoir le dernier mot en termes d'immigration - ceci reste une compétence exclusive du fédéral. Pour ce qui est du français - l'autre langue officielle du Canada en passant - ceci est un trop vaste débat qui a déjà été exposé sur le forum ... Je te suggère de trouver un livre sur l'histoire du Québec ou sur l'histoire de la confédération canadienne et probablement que tu comprendras alors mieux le sentiment indépendantiste québécois. C'est un sentiment dont les racines sont directement plongées dans l'histoire même du Canada (avant même l'acte de création de la confédération). Niveau autonomie, le Québec a encore beaucoup à récupérer. Comme beaucoup l'ont déjà écrit sur le forum à ce sujet - écrits que je partage - le Québec a atteint la masse critique nécessaire en termes d'économie et politique pour devenir un pays. O'Hana

Salut la gang, À date : - skribskred - carolynbox (une secousse qu'on s'est pas vus !) - bamsounet (si t'as besoin d'un plan pour t'en venir, hésites pas) - isseoasherbrooke - el.crapo (pas de problème pour que tu t'en viennes ainsi que ton ami) - o'hana Je vais essayer de rameuter d'autres immigrants du coin et je sais qu'ils y a des forumistes qui débarquent le 17 août prochain à Sherbrooke : si on pouvait faire la rencontre après le 17, ça serait bien ... O'Hana

Salut Lizzie, Je te rejoins dans le club de celles et ceux qui ne comprennent pas les frais de virement. J'ai fait un transfert il y a un mois de ma banque (RBC) au Canada vers celle de ma soeur en France (Crédit Agricole) et les deux banques se sont servis allègrement au passage sans qu'aucune ne soit en mesure de m'expliquer de tels prélèvements. Montant du transfert : 2000 CAD (de mémoire environ 1200 euros au taux du jour) avec 45 CAD de frais d'envois Montant reçu en France : 1150 euros J'ai renoncé à comprendre parce que pas le goût ... O'Hana

Tout comme Angevil ! Oui, ben là, j'aimerai bien que l'hiver prenne son temps pour s'en venir ... Surtout avec l'été qu'on a ... À moins qu'on soit déjà à l'automne O'Hana

Salut Yara, Tout d'abord, toutes mes félicitations pour ta persévérance (trois ans !) : c'est en partant, une qualité que tu pourras mettre dans ton c.v. incontestablement J'aurai le goût de te répondre que ça dépend ce que tu veux faire comme emploi / carrière ici (futur) et aussi de ton expérience professionnelle (passé) pour savoir ce qui est le mieux pour toi de faire dans le présent. Afin de t'économiser temps, argent et efforts. Ceci dit, objectivement, je te suggèrerai humblement d'aller d'abord te chercher une expérience professionnelle : il y a de ces qualités et aptitudes qu'aucune formation ne peut donner telles la ponctualité, l'adaptation aux méthodes de travail d'ici, le sens de l'autonomie, etc. Je n'ai cependant pas le choix de devoir tenir compte de l'option des études car le Québec se caractérise, notamment, par l'existence de nombreux espaces professionnels fermés (ordres professionnels) et quand ce n'est pas le cas, un certain protectionnisme (préférence pour les formations québécoises de manière générale). Et cette option implique l'étude de plusieurs facteurs : ta motivation, l'aspect financier (prêts et bourses), ton objectif d'emploi, etc. Donc, retour nécessaire sur ton passé et ton futur pour mieux orienter tes actions dans le présent O'Hana

Bonsoir Helenacris, L'épreuve que tu as traversé et que tu sembles continuer de traverser est souffrante dans les mots que tu utilises. Et pourtant, l'illusion que tu as réalisé et découverte semble te motiver davantage à poursuivre ton chemin, seule cette fois-çi. Il est probablement mieux ainsi, je l'ignore mais au moins, l'illusion n'est plus. Moi je te réponds comme d'autres répondront j'en suis certain. Eddy

À ma connaissance, oui, le permis de travail est un permis de séjour à titre de résident temporaire. Je suis allé sur le lien que tu as fourni mais je ne l'ai regardé très rapidement ; j'ai pu toutefois constater qu'il fallait envoyer sa demande de résidence permanente à Vegreville, ce que je ne savais pas. Ayant été dans cette situation (visa d'études pendant trois ans puis visa de travail pendant un an puis obtention de la résidence), j'ai déposé ma demande dans une ambassade canadienne à l'étranger (Buffalo) au lieu de l'envoyer à Vegreville. O'Hana

Salut la gang Comme cela a été écrit précédemment, le tutoiement m'a frappé au début : habitué au formalisme français et à la distance qu'il existe au niveau professionnel surtout, cela m'a pris un peu de temps pour l'appliquer et me sentir serein avec cela. La différence toutefois que je note ici avec le tutoiement c'est que si cela exprime aussi au Québec une certaine familiarité (avec les collègues de travail, les supérieurs et même avec les clients), cela reste toujours une familiarité respectueuse : bref, on se tutoie tous les deux mais on n'oublie jamais le rôle et la fonction de chacun et ce qui nous amène à parler ensemble La langue très reliée à la terre et à la nature en général, ce qui m'a particulièrement frappé au travail : "tu sais où tu t'en vas avec tes skis ?" (traduction : ça va mener à quoi de mener ce dossier de cette façon ?) ; "et ça mange quoi en hiver ça ?" (et concrètement, ça veut dire quoi ou qu'est-ce que ça va nous apporter de faire ça?) ; "je travaille d'une étoile à l'autre" (je commence à travailler dès le lever du soleil jusqu'au coucher) ; "cette job a été faite avec les coins ronds" (un travail bâclé) ; etc ... Moi, j'adore O'Hana

Salut, Comme Lizzie l'écrit, rester suffisamment au Canada le temps de recevoir vos cartes RP (entre 3 à 4 semaines) constitue à mes yeux encore la solution la plus simple et pratique pour s'éviter des démarches inutiles ou compliquées lors de votre retour définitif. Pour ce qui est d'arriver durant la saison hivernale, cela dépend quand exactement. Au-delà de toute subjectivité (chacun vit et gère son arrivée différemment et quelque soit la saison), j'aurai trouvé pour ma part difficile d'arriver entre janvier et mars par exemple, car ce sont généralement les mois les plus froids de l'hiver. Concrètement, devoir sortir pour faire les démarches administratives (carte soleil, SAAQ, etc) ou pour visiter des appartements, traîner les valises, surveiller constamment où on marche pour ne pas tomber sur une plaque de glace, se vêtir et se dévêtir 7 à 8 fois dans la journée (mitaines, chapeau, écharpe, manteau, bottes ...) parce que je dois aller là et après là-bas ... Je crois que cela ne m'aurait pas beaucoup aidé dans ma motivation lors de mon installation. À ce sujet, je préfère rester pragmatique : pourquoi en effet m'encombrer de soucis alors que je pourrai facilement ne pas les avoir ? Et arriver en-dehors de l'hiver, cela permet de mieux gérer son budget dans un sens au début : pas de grosses factures d'électricité pour le chauffage dès les premiers mois dans l'appartement ou la maison, pas obligé d'investir tout de suite dans les vêtements adaptés au froid, pas de pneux d'hiver à acheter non plus si l'achat d'une auto est prévue dès l'arrivée par exemple. O'Hana

Salut la gang, La réglementation a dû bien changé car j'ai moi-même bénéficié de cette mesure facilitatrice à l'emploi à titre de finissant universitaire l'an passé en février précisément. Une fois tous les documents en main (passeport, visa d'études encore valide, lettre d'offre d'emploi en lien avec mes études et 150 CAD en argent liquide), je me suis présenté au centre CIC de Sherbrooke et l'agent m'a délivré le visa de travail en 20 minutes dûment tamponné valable pour un an (je n'ai donc même pas eu à faire le tour du poteau pour le valider). L'après-midi même je commençais à travailler après avoir déposé une copie du visa de travail tout neuf au service RH de l'entreprise. Sur la base de ce premier visa, je pouvais même m'en faire délivrer d'autres si j'avais voulu appliquer sur d'autres emplois en autant que 1) cela reste toujours en lien avec mes études et 2) que les visas de travail subséquents ne dépassent pas la date d'expiration du premier visa délivré. Encore une bonne raison d'aller en région apparemment O'Hana

Salut la gang, En partant, je trouve difficile d'obtenir des avis sur une question aussi limitative : réduire le débat aux seuls immigrants maghrébins ou français m'inquiète un peu. C'est laisser s'entrouvir un petit plus davantage la porte aux généralisations et à de la sociologie de comptoir. Pour ma part, je préfère m'en tenir au plan de la psychologie (i.e. sur le plan de l'individu) : il est évident qu'on ne part pas tous à partir du même point de départ (le mot départ n'est surtout pas à comprendre ni à interpréter comme étant le mot égalité). Et là, chacun et chacune prépare son immigration au mieux de ses moyens, de son expérience et de son esprit de lucidité. Par ailleurs, je ne pense pas que la question se situe au niveau des immigrants mais davantage de l'autre côté : au niveau du pays qu'on a choisi d'immigrer. Dans ce cas, il est évident que les français partent avec (quelques) avantages car le Québec est francophone et partage beaucoup de similitudes avec la société française jusqu'à une certaine limite ; en tout cas, beaucoup plus en comparaison avec d'autres sociétés (mahgrébine en l'occurence). Si nous étions non pas sur un forum d'immigration vers le Canada / Québec mais plutôt sur un forum d'immigration vers, par exemple, un pays du monde arabe, la question serait, je pense, entièrement inversée si je la formule exactement comme l'a fait Attendez-moi Donc, le référent principal ici n'est pas tant l'immigrant français ou maghrébin (ou tout autre) mais bien la société culturelle, sociale, économique et même religieuse vers laquelle chaque immigrant se destine à s'y installer. Et de la psychologie je viens de glisser vers la sociologie O'Hana

Salut la gang, Pour ma part, je suivrai passionnément autant les athlètes canadiens que français. Avec une attention plus particulière pour les athlètes québécois engagés dans Équipe Canada. En vivant ici, on est en effet plus en contact avec la réalité de ces athlètes et il faut dire que les médias savent nous vendre une belle image sympathique de beaucoup d'entre eux (je pense notamment à Alexandre Despatis en plongeon ou encore Marc Gagnon, retraité du patinage de vitesse ou Mélanie Marois en ski). Même si je reste persuadé que ces derniers doivent être pas mal sympas dans "vraie vie" O'Hana

Salut, Je suis évidemment contre cette santé à deux vitesses. Ca serait un non-sens, car : - la santé est et doit rester un bien commun. Dans un système d'économie de marché, il est de la responsabilité de l'Etat de préserver des espaces hors de toute rationalité économique (i.e. des espaces où la rentabilité n'est pas le but à atteindre) pour éviter les inégalités sociales et culturelles. Ainsi, d'un point de vue philosophique, la santé (comme les pompiers, la police) doivent rester quasiment des entités payées à ne rien faire. Il vaut mieux en effet, dans ces domaines, trop d'effectifs qui ne font rien qu'une situation de sous-effectifs (pour une question de rentabilité), ce qui serait dramatique en cas de catastrophe, je vous laisse imaginer - dans cette lignée, ouvrir la santé au privé, c'est livrer notre propre santé de chacun d'entre nous aux diktats de la rationalité économique, ou, pour parler plus directement, au capitalisme sauvage à terme. Ce qui viendrait donc violer le principe de la santé comme bien commun, qui est, par essence, au-delà de toute discrimination social, culturel et surtout économique En ce sens, Lucien Bouchard a raison : c'est une question idéologique. Bien sûr, je sais que les finances publiques du Québec ne sont pas extensibles à l'infini et qu'il y a d'autres priorités tout aussi égales que la santé (l'éducation, l'emploi notamment). Mais si nous voulons une société juste et équitable, il n'y a pas de concessions à faire à la rationalité économique. D'ailleurs, l'éducation est déjà atteint par cela dans la mesure où les entreprises imposent de plus en plus leur propres exigences au monde éducatif. Et un exemple tout bête : j'ai vu hier à la TV les toutes dernières innovations en termes de sécurité routière que Mercedes a inclu dans ces modèles. C'est très louable bien entendu ... Mais ce n'est encore qu'une minorité de la population qui peut s'offrir une Mercedès. Même la sécurité routière est contaminée par cette rationalité au point que je me demande maintenant si, même devant la mort, on est tous vraiment égaux. O'Hana

Je m'en doute bien Gegodoo car pendant mes trois années et demie sous visa d'études ici je passais la frontière avec les USA sans problème. J'essayais simplement de trouver des pistes d'explications pour comprendre ce qui est arrivé à Cats (et ainsi éviter que cela se reproduise à l'avenir pour elle ou pour un(e) autre forumiste). Bref, je me dis que c'est sûrement de l'excès de zèle ou probablement quelque chose dans ce que suggère Funpale. O'Hana

Salut Cats, Je comprend vraiment pas moi aussi ce qui s'est passé car j'ai moi-même passé la frontière pour aller aux USA le 23 juillet dernier pour une dizaine de jours avec mon passeport ancienne version et accompagné, aussi, de québécois. Ca s'est passé sans problème, soit la même procédure habituelle qu'on me fait passer depuis cinq ans que je vais là-bas : exemption de visa à payer de 6 USD et voilà (le tout en 20 minutes). Ta mésaventure m'étonne d'autant plus que tu as un passeport à lecture optique, ce qui devrait normalement te faciliter les choses beaucoup plus que moi, sans parler de l'exemption de payer l'exemption de visa pour toi ! La seule différence que je vois est que tu es probablement sous visa étudiant alors que moi je suis résident permanent, cela a peut-être joué ... Quoiqu'en dehors du Canada, la résidence permanente n'a aucune valeur (toi et moi restons des étrangers pareils au Canada) sauf peut-être dans les pays du Commonwealth. Cependant, à chaque fois que je passe la frontière, les agents américains me demandent toujours quand je vais obtenir la citoyenneté canadienne pour m'éviter toute cette procédure aux lignes après. O'Hana PS : je passe la frontière en Estrie au poste de Stanstead (mais CIC l'appelle Rock Island)

Ta question n'est pas bête du tout Shagrine, Le DEC (diplôme d'études collégiales) est la même dénomination pour deux programmes en fait du même ordre d'enseignement soit celui du collégial : - le DEC pré-universitaire qui dure deux ans et que l'étudiant choisit généralement car, comme son nom l'indique, pour poursuivre ensuite à l'université. Il peut cependant après le DEC entrer sur le marché du travail mais il ne possèdera pas réellement de compétences concrètes car ce DEC, dans son format d'études, cherche surtout à le maintenir dans les études - la Technique collégiale qui dure trois ans que l'étudiant choisit pour entrer ensuite sur le marché du travail sans désir de poursuivre à l'université ensuite en allant se chercher des compétences concrètes pour occuper une profession dont il aura toutes les qualifications requises (technicien en génie civil, bureautique, éducation à l'enfance, etc). Cependant, de plus en plus de passerelles se créent entre le collégial et l'université pour permettre à ces étudiants de continuer à l'université s'ils changent d'avis (ex : techniques en informatique à l'ÉTS, technique en inhalothérapie) Donc, oui, une technique à l'enfance correspond à un DEC car elle est de l'ordre collégial même si, de manière courante, on l'appelera plutôt une technique qu'un DEC. Mon hypothèse : La technique en éducation à l'enfance représente le plus haut degré de diplôme qu'on puisse atteindre au Québec dans ce domaine : il n'y a en effet aucun diplôme universitaire qui existe ou qui prépare à travailler dans l'éducation de la petite enfance. À moins de vouloir approfondir la psychologie de l'enfance (ex : bacc en psychologie) ou de viser un domaine connexe (pédiatrie, travail social, psychoéducation par exemple). Ainsi, je pense que dans ton équivalence ils ont voulu montrer que tes études en Belgique ont pour équivalence la technique collégiale mais probablement qu'ils ont considéré également que tu as fait dans tes études PLUS qu'une technique et que cela te permettrait de continuer à l'université avec les préalables qu'ils t'ont reconnu. Au Québec, lorsqu'on parle d'études supérieures, on parle surtout d'études universitaires. Avis à confirmer ou à corriger par d'autres forumistes bien entendu O'Hana

L'éternel débat entre l'inélialibilité des droits individuels et l'interventionnisme de l'Etat : la frontière est parfois fine. Est-ce qu'une commission sur la charte des droits et libertés ne devait pas se pencher sur la légalité de cette mesure justement ? O'Hana

Ha ben ... À quand "CSI Mourial" ?? Ou comment résoudre scientifiquement une attaque d'orignaux Bon okay je sors O'Hana