O'Hana
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Nouveaux frais pour l'immigration au Québec
O'Hana a répondu à un(e) sujet de Laurence Nadeau dans Québec
Salut la gang, Alors, si je comprend bien, on augmente les frais de traitement de dossier au niveau provincial d'un côté et de l'autre côté, on coupe dans les programmes de francisation offerts aux immigrants ... Résultat : - on rend de plus en plus difficile la possibilité d'immigrer et de s'intégrer au Québec à beaucoup de candidats (en particulier les allophones) ... ce qui va en totale contradiction avec les besoins criants de main-d'oeuvre et de démographie du Québec - on rend l'immigration de plus en plus élitiste à travers le critère financier, ce qui rend encore plus difficile à combler les besoins en population du Québec (parce que si on était tous riches sur Terre, on le saurait) C'est quand déjà les prochaines élections provinciales ?? O'Hana -
Personne ne se trompe, ni l'ambassade ni l'agent. Un séjour à titre de visiteur temporaire (touriste) a une durée maximale de six mois, et ça, c'est coulé dans le béton. Ainsi, cela donne un cadre à l'agent d'immigration (maximum : six mois) mais aussi un certain pouvoir de décider par lui-même la durée de ton visa à titre de visiteur temporaire en fonction des raisons de ton séjour au Canada (pouvoir discrétionnaire). Cela permet donc de donner une certaine souplesse dans un cadre qui est plus rigide. O'Hana
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Salut la gang, Comme cela a été mentionné plus haut, je trouve pour ma part aussi que c'est une sorte d'effet caméléon. Avec le temps, je vais prendre un peu les intonations du coin mais restera toujours la langue / accent d'origine (qu'on vienne d'Asie, d'Afrique ou d'Europe notamment). Un signe d'intégration de la parlure québécoise qui ne trompe pas cependant pour moi : lorsque je jure ou sacre, cela signifie généralement que je suis en colère et dans cet état, on ne "pense" plus. C'est la spontanéité qui embarque automatiquement et depuis environ deux ans, je sacre beaucoup plus en québécois qu'en français de France Et là, le tab... ou le câlis... sort naturellement avec franchise et sincérité O'Hana
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Salut la gang, En ce qui me concerne, je partage l'avis de JayJay sur la question que je résumerai par une phrase maintes fois écrites sur le forum : au Québec, personne ne vous attend (vous l'immigrant). On peut voir cette situation de la façon suivante : l'Etat (via le MRCI et CIC) se charge de fournir la main-d'oeuvre nécessaire à la société canadienne en sélectionnant des immigrants. Il revient aux entreprises d'absorber ensuite ce flux d'immigrants en les embauchant. Tous deux (Etat et entreprise) partagent le même objectif : maintenir la société canadienne dynamique à plusieurs points de vue (économique, social, culturel, etc) mais chacune est relativement autonome dans sa façon d'agir : les entreprises peuvent exprimer leurs besoins à l'Etat (ex : liste des professions en demande) comme l'Etat peut créer des mesures pour faciliter l'intégration des immigrants (ex : programmes de francisation au travail). Mais chacune a ses propres règles. Une prise en charge totale de l'immigrant par l'Etat et les entreprises est illusoire et complètement farfelu à mon sens : de un, ça aide pas ben ben à la prise en charge autonome et de deux, attendez-vous à voir les canadiens monter aux barricades de voir les pouvoirs publics et privés favoriser les immigrants alors qu'il y a des milliers de citoyens qui sont encore au chômage (et ça serait parfaitement compréhensible). Je ne parle pas de protectionnisme (protection de l'emploi aux locaux) car c'est une idée absurde compte tenu des difficultés de relève que connaît le Canada. Et je suis conscient également qu'il y a encore beaucoup de travail à faire au niveau des entreprises pour la reconnaissances des diplômes, de l'expérience professionnelle, etc. Mais il faut se dire aussi que si chacun de nous a choisi d'immigrer au Canada, c'est parce que ce pays nous attire avec ce qu'il a de positif comme de moins positif : bref, un package deal à prendre ou à laisser. Là est notre liberté, là est notre choix et donc, là est notre pouvoir entre l'Etat et l'entreprise. Tourelou O'Hana
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Salut Les L5, Au cas où tu ne l'aurais pas trouvé, je te réfère vers le site de l'association touristique des Cantons-de-l'Est. C'est déjà un début O'Hana
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Salut Xaali, Pour ma part, je te répondrai que cela dépend ce que tu recherches car ce n'est pas le choix qui manque : - entre le secondaire professionnel (DEP) avec des formations de six mois à deux ans (équivalent du CAP ou du BEP en France) qui sont des formations très qualifiantes dans certains secteurs d'activité (notamment la construction en pleine pénurie en ce moment) - le technique collégial avec des formations de trois ans - et l'universitaire Sans parler des formations disponibles dans le secteur privé O'Hana
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Salut Tchintchine, Selon moi, oui tu seras dans l'embarras à moyen terme. Désolé de jouer les alarmistes mais légalement, tu n'es pas autorisé à étudier au Canada sans visa étudiant si la durée de ton programme de formation excède six mois. Je ne sais pas dans quel établissement tu es, mais tôt tou tard, ils devront te demander ton visa d'étudiant pour régulariser ta situation du point de vue administratif (ex : à titre d'étudiant étranger, tu devras ou ne devras pas payer un montant forfaitaire pour les frais de scolarité). Je ne sais pas comment ça marche avec le PVT car ne l'ayant jamais expérimenté mais normalement, tout nouveau visa délivré annule l'ancien tant dans la durée que dans les conditions. O'Hana
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Salut Guishops, Ha ben si justement, c'était prévu ça ... Parce que c'est tout simplement la procédure à suivre : si ta demande de résidence permanente est acceptée, l'ambassade t'envoie une lettre t'invitant à retirer ton visa puis tu dois le faire valider puis après tu peux faire la demande de la carte. Ils n'envoient jamais le visa par la poste pour éviter les fraudes : d'où l'obligation de le retirer en personne ou d'envoyer ton passeport pour qu'ils l'apposent eux-mêmes. En envoyant ton passeport dès demain (samedi), tu peux espérer le revoir dans deux-trois semaines voire quatre et le jour d'après, tu valides ton visa en faisant le tour du poteau et rajoutes environ quatre semaines supplémentaires pour enfin recevoir ta carte. Je ne te conseille pas. En tout cas, ne leur dis surtout pas que la raison derrière tout cela c'est parce que l'administration universitaire en a besoin : ils vont alors te demander ton visa étudiant pour prouver que tu as légalement le droit d'étudier au Canada (pour rappel : tu n'as pas le statut de résident permanent tant que tu n'as pas validé ton visa). O'Hana
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Moi qui considère personnellement l'école comme étant un lieu de perpétuation des inégalités sociales (et autres), je trouve ton post très rafraîchissant Sarmi. Merci, merci beaucoup pour ce rayon de soleil O'Hana
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Salut la gang, Déjà en partant, il est extrêmement rare qu'un diplômé québécois (cégep, université voire même au secondaire général ou professionnel) ne possède pas même un tout petit peu d'expérience professionnelle : la grande majorité des étudiants québécois ont en effet une job à temps partiel à côté de leurs études. Bon, c'est sûr, on parle d'emplois alimentaires comme serveur dans un restaurant, préposé à l'accueil, journalier dans une manufacture, etc qui n'ont donc que très peu de lien avec les études poursuivies. Mais une job reste une job. Et en ce sens, cela leur permet d'acquérir de l'expérience professionnelle, de connaître les façons de faire sur le marché du travail et surtout, de développer leur réseau de contacts. Je ne dis pas que tous les diplômés trouvent une job en lien avec leur formation dès la fin de leurs études : 1 - il faut y aller par secteurs d'activité : il y a des professions en demande régulière (santé, administration, secteur technique par exemple) car c'est la pénurie et d'autres où c'est saturé 2 - il faut y aller aussi par degré de compétences : les professions spécialisées (celles qu'on peut exercer après avoir fait un DEP ou une Technique collégiale par exemple) sont plus en demande que les professions exigeant un diplôme universitaire. Mais attention, cela reste des chiffres à la grandeur du Québec ; cela n'a cependant pas empêché le MRCI de réviser ses critères au niveau de la formation (plus de techniciens) dans la sélection des immigrants 3 - le fait aussi, comme je le mentionne plus haut, qu'un étudiant québécois à la fin de ses études a déjà à son actif de l'expérience professionnelle et très souvent un solide réseau de contacts 4 - et, inévitablement, la personnalité qui, à elle seule, est capable de renverser toutes les statistiques favorables ou défavorables : une attitude ouverte, un esprit alerte et vigilant ou encore une solide éthique de travail Ainsi, bon an mal an, je crois qu'il faut entre un à deux ans après la fin des études pour qu'un étudiant québécois puisse se stabiliser professionnellement : soit en occupant un emploi à temps plein en lien avec ses études, soit à temps plein mais sans lien avec ses études ou en démarrant sa propre entreprise (consulter à ce sujet les Relances que publient chaque années les universités et les cégeps pour démontrer le degré d'efficacité de leurs étudiants à s'insérer) Un retour aux études dès l'arrivée au Québec comme immigrant ne doit surtout pas être considéré comme une solution à prendre légèrement : c'est contracter une dette en partant (si on fait appel aux prêts et bourses) et il faut étudier soigneusement le cursus du programme choisi pour éviter de se tromper de voie. Dans une société où ça va très vite, l'immigrant, parallèlement aux nombreux obstacles qu'il doit gérer, possède un fabuleux atout qui est celle de la mobilité géographique : à priori en effet, rien ne le retient plus dans telle ville que dans telle autre. O'Hana
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T'inquiète Laurent, pas de number one c'est vrai mais j'ai mieux : une gang de calédoniens résidents permanents au Québec ! Si si y'en a Eddy PS : maintenant, ça prend un caldoche immigrant pour ouvrir un dépanneur à Montréal pour avoir de la number one
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Salut nana_o, C'est vrai qu'un étudiant étranger, à un an de la fin prévue de ses études, peut demander la résidence permanente. Cependant, à ma connaissance, aucun étudiant étranger ne peut déposer de demande de résidence permanente s'il n'a pas au moins un an de séjour légal au Canada. Je crois par ailleurs qu'il faut poursuivre un diplôme post-secondaire (DEC, Technique, bacc, maîtrise ou doctorat) pour pouvoir être éligible à cette mesure ... Quelle formation suit ton ami pour n'avoir qu'une session d'études + un stage à faire ? O'Hana
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J'y étais !!!! (enfin, seulement dix minutes car je devais travailler mais je trouvais ça important de faire un acte minimum de présence symbolique) Ces immigrants sont justement les personnes que je rencontre au cégep pour leur donner un tit coup de main dans leur projet de retour aux études ou leur intégration sur le marché du travail. Et laissez-moi vous dire qu'ils sont trèèès motivés malgré, pour beaucoup, des conditions difficiles d'intégration (la langue bien évidemment au premier plan), ça force l'admiration, la mienne en tout cas. Effectivement, les coupures du gouvernement en francisation se font bien sentir car à Sherbrooke, il n'y a plus que huit classes de francisation sur les onze ou douze je crois auparavant. Et le service de coopération internationale du cégep qui gère la francisation n'embauche maintenant plus que des surnuméraires ou des chargés de projet à contrat pour rendre le service ... Il n'y a plus que la directrice, sa secrétaire et la coordonnatrice qui sont permanentes tellement le cégep est dans l'incertitude si la francisation va continuer ou pas. Tout à fait d'accord avec toi Mimile ! Heu, ça va être beau comme ça Peanut, tu peux le garder ton tit français O'Hana
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Salut Laurent, Beaucoup de courage et d'abnégation dans ta décision face aux circonstances malheureuses que tu rencontres en ce moment, bravo. Je ne désespère pas pour autant de boire une broue avec toi au Québec en parlant du Caillou ... Eddy
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Salut la gang, Hé hé, je me doutais bien que certains (RedFlag, Elie et Frenetik notamment) n'y verraient aucun inconvénient à cette mesure N'y voyez surtout aucun mal dans cette allusion bien au contraire : à la lecture de vos profils, c'est simplement que j'en déduis que vous êtes dans le domaine du commerce indépendamment de vos secteurs d'activité, vous avez donc la fibre entrepreneur et c'est très bien comme ça Pour ma part, j'ai bien pris connaissance de vos arguments (car nous sommes dans un débat ici) et je les comprend très bien, travaillant moi-même dans le privé et ayant une petite activité de travailleur autonome en parallèle. Je m'insurge simplement contre ce capitalisme qui continue encore et toujours de repousser les limites pour envahir davantage notre espace en proposant davantage et davantage. Les petits commerces de proximité ne pourront peut-être pas suivre ce rythme n'ayant pas les reins assez solides pour aboutir finalement (si ce n'est déjà fait) à des concentrations de commerces (comme c'est le cas déjà dans le secteur aérien) ou encore un exemple récent et local avec Charlebois qui a vendu sa compagnie de bière à un grand brasseur (Sleeman je crois). Quant aux employés, c'est vrai qu'ils auront toujours le choix de travailler ou pas avec ces horaires mais quand tout le monde emboîte le pas (comme cela est mentionné dans l'article), la frontière entre liberté de chiox et pression économique sera de plus en plus fine. wala O'Hana
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Salut la gang, Personnellement, je trouve ça absurde si je puis me le permettre. Les gens ont déserté les églises pour mieux envahir les centres d'achats, je ne sais pas si on a vraiment gagné au change ... Élargir la disponibilité de l'offre au dimanche au consommateur c'est finir par le convaincre qu'il aura vraiment besoin de magasiner le dimanche au lieu d'aller faire une promenade dans un bois ou lire un bon livre sur sa terrasse, etc. Pour moi, c'est un argument qui ne tient pas. Dans cette logique, c'est légitimer un tas d'emplois dans des domaines qui n'ont pas lieu d'être légitimés : cigarettes, armement, etc. Et ça me lève le coeur à chaque fois que je vois au Wal-Mart un tit flo en train de pousser fièrement son caddy avec un drapeau indiquant clairement "client en formation" Peut-être certains trouveront que je m'éloigne du sujet mais c'est, je crois, au contraire, l'expression d'une réalité économique qui nous gruge de plus en plus. Bientôt, on trouvera normal un système de santé à deux vitesses et une éducation qui se gère comme une entreprise. O'Hana
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Salut Sudiaz, Il y a toujours plus mal lotis que soi-même, c'est bien connu. Toute chose étant relative par ailleurs, il est difficile de comparer la réalité économique deux pays même si je comprend très bien ton sentiment d'après ce que je sais ce qui se passe en Argentine. Le gouvernement du Québec, via le MRCI, offre une allocation pour suivre des cours de francisation aux immigrants non francophones, cours qui sont dispensés au Cégep à Sherbrooke. En sortant de là (il y a cinq niveaux), les personnes ont, en gros, un français de niveau secondaire 3 ou 4 dépendamment de la maîtrise du français qu'ils avaient en arrivant. Question très difficile. En toute sincérité, je ne connais personne autour de moi au Québec qui a envie de tomber sur le bien-être social à un moment ou à un autre. C'est là l'ultime recours quand tu n'as plus aucune ressource financière (mais vraiment plus aucune). J'exclus de ces personnes celles qui souffrent d'une "hérédité" du bien-être social comme ces jeunes de 18 ans qui le touchent en ayant déjà des parents qui l'ont touché pendant des années. On parle ici d'une autre dynamique complètement différente. Le revenu mensuel du B.S. (environ 500 dollars par mois je crois) réduit dramatiquement ton pouvoir d'achat et donc, ta qualité de vie. C'est ce qui effraie le plus les gens ici et je suis tout à fait d'accord avec cela. Sans parler de l'impact psychologique de n'être plus qu'un "demi-citoyen" (ne contribue plus activement au développement de la société, perception négative d'autrui, exclusion sociale, repli sur soi-même, etc). Bref, c'est l'éternel débat entre État-Providence et État entièrement libéral et, pour ma part, je crois que cela dépend de la conception qu'on veut donner au titre de citoyen : une personne comme force de travail productive (donc qui accepte les exigences des entreprises) ou une personne comme participant activement au développement de la société et pas seulement sur le plan du travail. O'Hana
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Salut Guishops, Coudonc, on peut dire que tu as le sens du timing toi hein ... Vite que ton visa soit validé pour que tu puisses entreprendre tes études le plus sereinement possible. O'Hana PS : et c'est bien estrien qu'on dit effectivement (cf ta signature) pour Estrie et surtout pas Cantons-de-l'Est (qui n'est que la traduction littérale d'Eastern Townships)
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Salut la gang, Merci Mig21 !! Entéka, le mien est authentique (sinon, on est une méchante gang en 2002 à en avoir des faux) Ca peut varier selon les facultés et les universités au Québec, mais généralement c'est durant l'été. Personnellement, cela a eu lieu un samedi après-midi début septembre. O'Hana
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Salut la gang, Personnellement, et pour travailler moi aussi dans les ressources humaines, je me dis que les entreprises ne font que récolter ce qu'elles ont semé. En effet, à vouloir absolument réduire les coûts pour être compétitives, elles sont de plus en plus obligés à proposer des salaires bas, des emplois à temps partiel ou à contrat. En clair, entretenir un personnel à temps plein, permanent et syndiqué revient de plus en plus cher face à la concurrence étrangère : elles ont donc besoin d'une main-d'oeuvre qualifiée, mais qui soit souple et flexible, bref jetable ou renouvelable aisément (intérimaires et sous-traitance). Partant de là - et c'est là où je rejoins Valens - il ne faut pas se surprendre que le travailleur, de son côté, applique le même principe économique : je vais au plus offrant. Le fameux Homo Economicus. Surtout qu'il suffit de se tenir mininalement au courant pour savoir le problème criant de main-d'oeuvre au Québec, le départ des baby-boomers, etc. Et selon le même principe économique, il est tout à fait logique de rester sur le bien-être social plutôt que de travailler si travailler ne me rapporte pas plus d'avantages ou d'intérêt. Comme les entreprises, le travailleur applique le principe de l'économie. De toute façon, les entreprises ont besoin d'un besoin structurel de chômeurs car si beaucoup de personnes appliquent sur un même poste, elles peuvent faire baisser les exigences des travailleurs car si l'un refuse le poste, l'entreprise sait que le suivant l'acceptera. Après, ce sont les intermédiaires entre les travailleurs et les entreprises qui sont mal pris avec ce problème, soit l'adéquation entre la demande et l'offre. Les intermédiaires en firmes de placement, en ressources humaines, etc. Supprimer le bien-être social ? Solution inappropriée à mon avis. En partant, une telle solution ne ferait qu'accentuer le sentiment d'exclusion à titre de citoyen à part entière de chaque personne qui en bénéficie. Et s'il faut changer la mentalité des "B.S.", il faudrait faire le même travail de sensibilisation auprès des travailleurs actifs quant à la perception négative ou péjorative qu'ils attribuent aux "B.S.". "si tu touches ton chèque de B.S. c'est parce que MOI je travaille", si ça c'est pas une façon d'enfoncer le clou, je n'y connais rien. Et c'est avoir un raisonnement tres réducteur de la situation. O'Hana
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Cool comme chronique Nadia J'aime particulièrement le passage de la rareté des compétences en région qui oblige les employeurs à réviser leurs exigences dans les offres d'emploi, c'est tellement vrai ... Eddy
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yep, tout comme RedFlag, J'ai eu moi-même ma cérémonie de remise de diplôme à l'Université de Sherbrooke en 2002 et ça a lieu toujours l'été (que l'étudiant ait fini à la session d'hiver, d'automne ou d'été). L'Université envoie quatre invitations : une pour le diplômé et trois pour sa famille (généralement les deux parents et la blonde ou le chum). Chaque diplômé porte la fameuse toge noire et le chapeau (ça porte un nom spécifique dont je ne me rappelle plus). Rassemblement de tous les diplômés de la faculté concernée dans une grande salle et chaque ordre d'enseignement passe à tour de rôle : en premier les docteurs, puis les maîtrises et enfin les bacheliers (parce qu'il y a beaucoup plus de bacheliers que de maîtrises et ainsi de suite). On monte sur la scène et remise du diplôme par la doyenne de la Faculté avec serrage de main et en présence du bureau de direction de l'université (recteur, vice-recteur et compagnie). Après, pot offert à tout le monde (collation et coupes de champagne) avec évidemment les photos avec tout le monde et tu peux même acheter un cadre en bois pour y mettre ton diplôme Et enfin le party !!!! De ce que j'en ai vu, c'est souper dans un resto avec la famille puis les diplômés se retrouvent entre eux dans un bar pour finir la soirée. O'Hana PS : un ou une préposé(e) à la sortie de la salle s'assure de ramasser toutes les toges et les chapeaux ....
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Salut Kremmig, J'ai sous-loué mon ancien appartement en mai dernier au lieu d'y rester jusqu'au 30 juin et j'ai fait transféré mes abonnements Hydro-Sherbrooke et Bell à ma nouvelle adresse au jour de mon départ, sans aucun problème. Je n'en ai pas parlé avec ma concierge ou mon propriétaire (sauf pour la sous-location bien évidemment) et seulement avec le nouveau locataire mais seulement pour qu'on s'ajuste dans nos départs /arrivées dans nos appartements respectifs (histoire de ne pas se retrouver sans tél ni électricité). En clair, je ne connais pas la réglementation de la Régie du Logement à ce sujet mais tes abonnements (Bell, Hydro, etc) ne sont pas solidairement attachés à la durée de ton bail ... Que l'on me corrige au besoin. Wala, si ça peut t'aider comme info O'Hana PS : et bonne pendaison de crémaillère au fait !
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La page de l'UM qui parle de ce programme ne précise aucun DEC en particulier : je pars donc de l'idée que tout programme collégial est recevable et que la sélection se fera selon les notes au dossier scolaire. Pour ce qui est de continuer au collège ici, je crois qu'il est mieux de contacter soit le SRAM directement soit le ou les collèges qui pourraient intéresser ton fils : l'important est qu'il diplôme (i.e. avoir son DEC en poche) pour améliorer ses chances de rentrer à l'UM. S'il veut aller au plus court, il serait alors préférable pour lui je pense de faire un DEC pré-universitaire car il sauverait un an ainsi. Mais de là à pouvoir te garantir qu'un cégep l'accepterait comme ça, je ne peux pas : c'est soit avec le SRAM, soit avec les cégeps directement qu'il faudrait transiger. O'Hana
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Re-salut Sophie1963, Au niveau de l'informatique au collégial, on parle surtout de techniques (qui durent 3 ans) et pas vraiment de DEC pré-universitaire (2 ans) : - Technique de l'informatique - Technique de l'informatique (option gestion de réseaux informatiques) - Technique de l'informatique (option informatique de gestion) Cependant, je crois comprendre que non seulement ton fils souhaite continuer à l'université mais qu'en plus il souhaite aller en éducation physique : une technique ne me paraît pas pertinente dans ce cas et passer de l'information à l'éducation physique, il est fort probable que l'UM se pose des questions quant à cette réorientation scolaire. Cela prend un diplôme d'études collégiales quelqu'il soit d'après la page de l'Université de Montréal qui parle de ce programme : bacc en enseignement de l'éducation physique et santé de l'UM. Donc, pas un DEC en particulier. C'est au niveau du processus de sélection qu'une différence se fera : - se soumettre à un test d'aptitudes motrices - se soumettre au test de français imposé par la Faculté - et possiblement une ou des entrevues Mais c'est surtout l'excellence du dossier scolaire qui constitue le principal critère de sélection. Critère d'autant plus important car c'est un programme contingenté (nombre de places limité) :à titre d'info, pour la rentrée 2003-2004, 546 demandes ont été reçues par l'UM pour ce bacc et seulement 155 étudiants se sont vus offrir une admission (taux d'admission de 28.4%). Donc, pour une rentrée en 2005-2006, il est impératif de respecter la date limite de demande d'admission qui sera le 1er mars 2005. O'Hana





