Aller au contenu

O'Hana

Chroniqueur(e) immigrer.com
  • Compteur de contenus

    4 081
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par O'Hana

  1. O'Hana

    Grande Tristesse ...

    Salut Brunyvert, Je rejoins les autres dans la solidarité à votre égard et mon sentiment de révolte quant à ce qui vous arrive. Pour l'interdiction de territoire étendue à toute la famille, je crois avoir une hypothèse : CIC doit gérer régulièrement des situations où des personnes arrivées au Canada sous visa de touriste décident finalement de rester au Canada (je me rappelle le cas d'une famille installée à Vancouver car c'est un endroit reconnu comme étant l'un des endroits les moins ensoleillés au monde si je ne m'abuse, ce qui était idéal pour les enfants qui souffraient d'une maladie reliée à l'ensoleillement). À ce moment-là, CIC se retrouve à gérer une situation extrêmement délicate car l'opinion publique se mobilise pour aider ces personnes à rester au Canada malgré les règles et procédures de CIC. Cela signifie couverture médiatique de l'événement, pression de la population sur les autorités et le politique qui est pris entre l'arbre et l'écorce. Cela ne m'étonnerait donc pas que CIC ait eu pour consignes de prévenir toute situation potentielle de ce genre en coupant carrément l'herbe sous le pied des gens avant qu'ils ne songent à venir au Canada. C'est, évidemment, extrêmement désespérant comme façon de faire ... O'Hana
  2. Salut Bertrand13, Rien ne t'empêche de faire de la recherche d'un autre emploi alors que tu es sous visa de travail au Canada : cependant, si tu décroches un autre emploi, tu es obligé de faire la demande d'un nouveau permis de travail avec tout le processus que cela implique (le plus souvent, ça prend une validation de DRHC, dépôt d'une demande auprès d'un consulat ou modification des conditions de ton séjour, paiement des droits afférents). La difficulté avec un permis de travail est qu'il est délivré sur la base de conditions bien précises (obligation de travailler pour tel employeur, sous telles fonctions avec telles tâches avec une durée bien déterminées) et, de ce fait, il ne laisse donc la place à aucune flexibilité ou si peu. C'est donc un permis de travail fermé car valable exclusivement que pour un seul emploi et il n'est donc pas ouvert (possibilité de travailler pour n'importe quel employeur comme le PVT l'autorise par exemple). O'Hana
  3. Si tu ne respectes pas l'obligation de résidence, l'immigration va certainement vouloir connaître les raisons qui t'ont empêché de ne pas respecter cette obligation. Si ces raisons sont légitimes (obligé de rester hors du Canada pour s'occuper d'un enfant malade par exemple), CIC pourra probablement se montrer clémente. Sinon, ils vont sérieusement s'interroger sur ton véritable désir de faire du Canada le pays de ta résidence permanente. Et effectivement, ils pourraient t'enlever ton statut et cela t'obligerait alors à faire une nouvelle demande depuis le début (si ton CSQ a expiré à ce moment-là). O'Hana
  4. O'Hana

    Démarches en arrivant....?

    Salut Henry33, Il est important de savoir si ton épouse aura une reconnaissance pour les deux cours suivants qui sont obligatoires au Québec pour agir à titre de préposé(e) aux bénéficiaires : - Principes de Déplacement Sécuritaire des Bénéficiaires (PDSB) - Réanimation cardiovasculaire et secourisme (RCS) Sinon, les employeurs potentiels sont les hôpitaux, cliniques, centres d'accueil, maisons pour personnes âgées, CLSC ... Je laisse les autres forumites compléter, O'Hana
  5. O'Hana

    les différents statuts

    Salut Ago, ... Tu serais plein de choses tout aussi intéressantes que ce que tu es maintenant, j'en suis persuadé Pour ma part, et sur la base des infos que tu donnes, je te suggérerai de commencer tes démarches tout de suite. Ton permis de travail est un précieux atout pour deux raisons importantes : 1) il prouve que tu as été capable de te trouver un travail par toi-même et que tu es inséré professionnellement dans le marché de l'emploi canadien 2) il te permet de rester légalement au Canada et, si le timing est bon, de pouvoir obtenir ta résidence permanente sans devoir quitter le Canada si tu l'obtiens avant que ton visa de travail arrive à expiration. Prend contact avec un Carrefour d'Intégration (antenne du MRCI) pour déposer une demande de CSQ et ils t'expliqueront également la marche à suivre quand tu seras arrivé au niveau fédéral. Deux sites importants : www.mrci.gouv.qc.ca www.cic.gc.ca Une fois résident permanent, tu dois résider 1095 jours ou 3 ans au Canada (ces 1095 jours ne sont pas obligés d'être consécutifs) avant de pouvoir déposer une demande de citoyenneté. Entre le moment de ton dépôt et le moment où tu prêtes serment, il se passe environ un an : donc, compte 4 ans en gros après l'obtention de ta RP pour devenir citoyen canadien. O'Hana
  6. Salut Kcabe, Pour renouveler une première fois ta carte de résident permanent, il faut être arrivé au bout de ta première période quinquennale à titre de résident permanent (période qui commence le jour où tu as obtenu le statut de RP). Il faut alors s'adresser à un centre CIC qui va tout d'abord vérifier si tu es éligible à un renouvellement de ton statut de résident permanent, soit en vérifiant si tu as bien respecté l'obligation de résidence au Canada (le fameux 730 jours ou deux ans minimum au Canada pour chaque période de cinq ans). Après, ils vérifient si tu n'as pas été condamné pour une infraction relative à l'utilisation frauduleuse de ta carte de RP. Il y a aussi je crois une série de documents à remettre (formulaire à remplir, copie certifiée de pièces d'identité comme le permis de conduire provincial ou la carte soleil, photos d'identités, etc). Il faudra remettre aussi ta carte de RP et si tu l'as perdu, fournir une preuve pertinente (photocopie de la carte, rapport de police faisant état de la perte ...). O'Hana
  7. Salut Dragibus, Oui, c'est très facile d'autant plus que dans un contexte de relève de la main-d'oeuvre à moyen et long terme, il devient alors intéressant de retourner à l'école surtout dans des formations type secondaire professionnel et technique collégiale (qui débouchent sur des professions où le manque sera grand selon l'outil IMT d'Emploi-Québec). C'est le coût des études et la conciliation famille-études qui est un peu plus problématique mais en termes de perception par la société québécoise en générale, cette dernière accueille positivement les gens qui font un retour aux études (ici, faire un retour aux études est rarement perçu comme un manque de compétences mais plutôt comme un processus de formation continue). C'est une formation de type technique collégiale (3 ans) qui se donne dans deux collèges de Montréal (Vieux-Montréal et Dawson je crois) ainsi qu'à Québec (St-Foy) et il y a un quatrième établissement mais je ne m'en rappelle plus le nom, désolé. Il y a aussi une formation dans le même genre qui se donne au secondaire professionnel (DEP) d'une durée d'un an et demi je crois. Ce programme n'exige aucun préalable particulier si ce n'est d'avoir son DES (diplôme d'études secondaire 5) ou son équivalent (elle sera peut-être obligé de faire faire une attestation d'équivalence auprès du MRCI si le collège l'y oblige). Pour les bidoux, c'est environ une centaine de dollars par session en frais de scolarité et comptez en plus les livres, etc (ça varie : ça peut aller de 100 à 500 dollars selon le programme et selon la session), grosso modo. Là-dessus, bien évidemment, il faut rajouter le logement, la nourriture, etc. Il existe un service de l'Aide Financière aux Études (prêts et bourses) dans chaque collège du Québec. Note : pour rentrer dans un programme collégial en septembre (rentrée scolaire), il faut envoyer sa demande au plus tard le 1er mars précédant la rentrée au SRAM ou au SRAQ ou au SRALJ (dépendamment du collège). Il y a alors un 1er tour d'admission et si la personne n'est pas retenue, il peut y avoir un second voire un troisième tour, sinon, on lui propose une place dans un autre programme où il y a encore de la place. O'Hana
  8. O'Hana

    Entrevue de Laurence Nadeau

    Cooowl Y'étais temps que Laurence prenne son break syndical Pis Monsieur Jimmy, veuillez me cacher cette voix sensuelle que je ne saurai écouter O'Hana
  9. O'Hana

    1ère job

    Bravo Lizzie, Comme tu l'écris très bien, ce qui compte dans ce premier emploi, c'est l'expérience que tu vas en retirer autant pour toi que pour ton c.v. Eddy
  10. O'Hana

    travail au canada

    Salut la gang, Hi hi moi aussi sans problème : je suis même prêt à faire des heures supp bénévolement à ce tarif-là Dans mon cas (Faculté d'Éducation de l'Université de Sherbrooke), un chargé de cours commence à 5700 dollars par session en salaire brut : ça fait environ 1400 dollars par mois, soit 700 aux deux semaines. En net, c'est beaucoup moins que ça avec tous les prélèvements ... Mais faut pas rêver non plus : je connais des chargés de cours qui ont commencé il y a 10-12 ans et ils topent à 6000 CAD maxi. Bref, comme l'écrit Diablou, si on ramène simplement 5700 par 45 heures de cours (dans mon cas, c'est 3 heures d'enseignement par semaine pendant 15 semaines), ça fait un bon taux horaire (autour de 126 CAD de l'heure) mais quand on rajoute les heures de préparation de chaque cours, les corrections d'examens et de travaux, vous explosez votre nombre d'heures de travail et réduisez par le fait même votre taux horaire. Bon, au-delà de 45 étudiants, la Faculté octroie un supplément pour chaque étudiant en plus mais c'est des peanuts ... O'Hana
  11. O'Hana

    travail au canada

    Salut Zohra-terry, Je n'ai pas complété de DEA ni de DESS français car j'ai obtenu ma maîtrise à l'Université de Sherbrooke. Il s'agit d'une maîtrise professionnelle en éducation (avec essai) et non une maîtrise recherche (avec mémoire) : je dirai donc que j'ai l'équivalent d'un DESS en France. O'Hana
  12. Salut Marc, C'est pas compliqué : de Boston, tu es très proche de l'Estrie au Québec où la flambée des couleurs de l'automne n'est plus à démontrer Bref, tu prends l'interstate 91 nord en direction du Vermont et tu files tout droit : après environ 3-4 heures de route, tu vas arriver directement aux lignes et au poste frontière canadien de Rock Island situé près de la ville de Stanstead au Québec. Une fois les lignes traversées, tu es en Estrie et tu as le choix entre le Mt-Orford à environ une vingtaine de minutes, le Lac Memphrémagog, St-Benoît du Lac, Sherbrooke, le Sanctuaire du Mt-Beauvoir, tous accessibles aisément par l'autoroute 10 qui relie Sherbrooke et Montréal. O'Hana
  13. O'Hana

    travail au canada

    Salut Diablou, Pour répondre à ta question, je suis au département orientation professionnelle à la faculté d'éducation Oui en effet il existe car les infos que j'ai indiqué dans mon précédent message à ce post, je les tiens directement du gentil monsieur du SCCCUS (syndicat des chargées et chargés de cours de l'université de sherbrooke) à qui j'ai parlé au téléphone ... et aussi de la convention collective du même syndicat qu'on m'a remis (mais que j'ai pas tout lu ). Et dire que pendant tout ce temps-là, je pensais que tu étais dans une université à Montréal : chais pas où j'ai été chercher ça moi O'Hana
  14. Salut, Pour ma part, je n'ai que du positif à penser de cette profession sur le plan fondamental. J'entends par là le fait que je distingue ce que devrait faire en théorie un consultant en immigration et ce que fait effectivement en réalité un consultant en immigration. Sur le plan théorique, ce consultant offre une expertise / un service pour répondre à un besoin ou à une demande exprimée par une personne : de ce point de vue, son travail est donc tout à fait comparable à celui d'un mécanicien, d'un coiffeur, d'un plombier ou encore d'un agent d'assurances pour ne citer que ceux-là. L'acheteur potentiel est alors tout à fait libre d'accepter ou de refuser ce service en connaissance de cause des tarifs demandés, de la démarche proposée et des moyens utilisés par le consultant (le plombier, l'assureur, etc). À la différence (majeure) que le consultant en immigrant ne peut pas promettre une obligation de résultat : personne (pas même MRCI et CIC) ne peuvent donner une telle garantie. Par contre, je peux demander à mon plombier ou à mon dentiste une garantie de résultat. Cependant, je crois que le consultant peut assurer une obligation de moyens : fournir toute son expertise et ses outils à la disposition de son client dans sa démarche d'immigration ; expertise évidemment constituant une valeur ajoutée sinon, le client n'aurait pas besoin de ces services. Maintenant, dans les faits, il est sûr que la réalité est tout autre : des consultants en immigration (certains, pas tous) ont le culot de promettre une obligation de résultat, demande des tarifs démesurés, manque de professionnalisme, etc. À ce niveau-là, c'est sûr que je ne suis pas d'accord et désapprouve ces pratiques. Bref, je vois cela comme un service qui n'est pas plus immoral ou illégal qu'un autre : c'est sûr qu'en lisant bien le guide du CIC, je pourrai remplir ma demande d'immigration moi-même et me passer des services d'un consultant. Mais dans le même ordre d'idées, je pourrai tout aussi bien prendre des cours de plomberie pour réparer mes tuyaux moi-même, des cours de coiffure pour me couper les cheveux moi-même, etc ... Sauf que je ne le fais pas pour tout un tas de raisons et je considère que j'ai plus avantage (en termes d'argent, de temps) à confier ça à un spécialiste. Et donc, même raisonnement pour le consultant en immigration : il y a des gens qui ont les moyens et qui ne veulent pas se prendre la tête, d'autres qui ne connaissent ni le français ni l'anglais, ou d'autres encore qui paniquent à l'idée de se retrouver seuls dans ce processus. O'Hana
  15. O'Hana

    carte étudiante ISIC

    Salut Zouzou, J'avais cette carte que j'avais obtenu à Toulouse lorsque je suis arrivé ici mais c'était en 99 ... Elle était valable encore un an et je me rappelle l'avoir utilisé sans problème pour profiter du rabais étudiant au cinéma et pour un voyage en France. Je ne sais cependant pas si elle marche encore aujourd'hui (mais je ne vois aucune raison pour que ça ne marche plus). O'Hana
  16. Salut la gang, Vu au Consulat Général de France (CGF) à Montréal où j'y suis allé lundi en visite éclair. Pour les ressortissants français désireux d'aller aux États-Unis : - Détenteur d'un passeport ancienne version (non lisible par la machine), c'est-à-dire en format portrait : obligation d'avoir un visa avant de se présenter à un poste frontière états-uniens - Détenteur d'un passeport nouvelle version (version Delphine : lisible par la machine ou à lecture optique) en format paysage : exemption de visa jusqu'au 26 octobre 2005 À partir du 26 octobre 2005 : - passeport ancienne version et version Delphine : obligation d'avoir un visa - passeport biométrique (non encore délivré en France) : exemption de visa Un renouvellement de passeport coûte 93 CAD et des poussières en ce moment au CGF et prend quatre semaines pour l'obtenir et si vous êtes immatriculés au CGF. Si vous ne l'êtes pas, ça coûte plus de cent CAD. O'Hana PS : heureusement que je dépose ma demande de citoyenneté canadienne l'an prochain, parce que je suis tanné de tous ces frais pour mon passeport imposés par les États-Unis
  17. O'Hana

    travail au canada

    Salut la gang, Peut-être puis-je apporter de l'eau au moulin ... Je suis moi-même chargé de cours à l'Université de Sherbrooke depuis deux ans alors je ne peux parler que pour cette université et non pour toutes les autres au Québec. Bref, ici à Sherbrooke, il faut d'abord se qualifier comme chargé de cours potentiel : en clair, soumettre ses diplômes et son c.v. au directeur du département qui t'intéresse. Ce dernier va alors évaluer ton profil et si c'est positif, il transmet sa décision aux services des RH qui t'envoie une belle lettre en te disant que tu es qualifié. En clair : ton nom est retenue pour toute activité pédagogique où ton profil est jugé approprié et où il y a vacance. La vacance justement : pour la session d'automne (septembre à décembre), les appels d'offres commencent en juin, c'est donc très tôt. Et là, voici comment ça marche : le département publie l'appel d'offres et n'importe qui peut appliquer. Passe alors en priorité le chargé de cours qui donnait ce cours-là la session précédente. Vient ensuite le ou les chargés de cours qui l'ont déjà donné les années précédentes et après seulement, les chargés de cours qui ont été qualifiés mais qui ne l'ont jamais donné. Cependant, il peut arriver que le département, paniqué, recrute une personne sans passer par toutes ces procédures car il manque cruellement de personnel enseignant : c'est ce qui est arrivé cette année au département de pédagogie où faute de chargés de cours, les étudiants d'un bacc ont commencé deux semaines plus tard et ont eu un chargé de cours ... à la retraite mais qui a accepté de donner le cours. Là, je me permets de soulever cette remarque car c'est sûr que pour des doctorants, une charge de cours peut vous apparaître comme une "jobbine". Mais pour des titulaires de maîtrise, comme moi, c'est un excellent moyen de faire ce qu'on aime (enseigner) sans avoir la contrainte de faire de la recherche (comme un prof doit en faire). Par ailleurs, un chargé de cours est souvent en prise direct avec la réalité du terrain et c'est une expérience pratique qu'aiment souvent beaucoup les étudiants car le chargé de cours peut donner des exemples concrets ou des illustrations pratiques qu'un professeur, parfois, ne peut pas fournir (je pense notamment à un jeune prof du département où je suis qui a fait en ligne droite DEC- Bacc-Maîtrise-Doctorat-titularisation sans aller sur le marché du travail) C'est vrai qu'un statut de chargé de cours est très précaire : pas de protection, pas de permanence (si un prof veut donner tel cours, le chargé de cours qui le donnait doit céder automatiquement sa place, même si ça fait des années qu'il le donne). Mais le système universitaire canadien, à mon sens, n'aura pas le choix de tenir compte de la force que représente les chargés de cours : ils représentent en effet une masse extraordinaire d'expérience et d'enseignement à moindre coût pour une université (juste un forfait à payer, un peu de vacances aussi mais pas de charges salariales) d'autant plus que le corps professoral se réduit d'année en année au Canada. O'Hana PS : ceci dit, je ne suis pas contre les professeurs d'université car je ne reste pas fermé à faire un doc un jour, qui sait
  18. O'Hana

    En cas de refus?

    Salut, De ce que j'en sais, CIC semble d'abord privilégier le doute raisonnable avant de trancher définitivement pour un refus de demande d'immigration permanente pour raisons médicales. Ce doute raisonnable repose sur l'évaluation (positive ou négative) de deux éléments : - est-ce que la personne peut représenter un fardeau excessif pour les service sociaux canadiens ? - est-ce que la personne peut représenter un danger pour la population canadienne (on pense notamment au VIH et autres maladies infectieuses mais aussi aux troubles mentaux tels schizophrénie, etc) Si l'agent médical a le miondre doute sur l'une de ces deux questions, il doit en principe envoyer une lettre au demandeur lui indiquant qu'il peut être refusé pour raison médicale ; cependant : - l'agent propose au demandeur de fournir d'autres documents ou informations (radios, prélèvements) qui pourraient faire changer positivement son premier avis (frais à la charge totale du demandeur et il a 60 jours pour se prévaloir de ce droit) - l'agent peut aussi proposer une décision positive mais assortie d'une surveillance médicale une fois au Canada O'Hana
  19. Salut Alex93, Voici des infos que j'ai pu trouver en l'espérant en lien avec ta profession d'aide-soignante en France : Infirmièr(e) auxiliaire (DEP en santé et soins infirmiers) Personne qualifiée des services de la santé dont la fonction est d'assurer les soins généraux d'hygiène, de santé physique ou psychologique aux malades en milieu hospitalier ou à domicile, conformément aux prescriptions des médecins en vue de contribuer à la prévention de la maladie, au traitement de celle-ci, à la réadaptation des patients ou des patientes, au soulagement de la douleur ainsi qu'à l'accompagnement en fin de vie. Préposé(e) aux bénéficiaires (formation professionnelle courte) Employé qualifié ou employée qualifiée des services de santé dont la fonction est d'aider le personnel infirmier et hospitalier en assurant les soins de base et une présence auprès des patients et patientes ainsi qu'en dispensant des soins généraux d'hygiène et d'assistance physique tout au long du traitement prescrit par l'équipe médicale, en vue de contribuer à leur réadaptation. Auxiliaire familial et social (DEP en soins et assistance aux personnes à domicile Préposé ou préposée aux services personnels qui offre des services de maintien à domicile à des personnes et des familles en difficulté en effectuant diverses tâches reliées aux activités de la vie quotidienne, en assurant la prestation de soins d'hygiène et de confort, en fournissant l'assistance et le soutien d'ordre organisationnel, afin de veiller au mieux-être de ces personnes et ce, toujours en vue de stimuler l'autonomie et la prise en charge. * un DEP ou diplôme d'études professionnelle correspondrait en gros à un BEP voire même un bacc professionnel en France O'Hana
  20. O'Hana

    changement de situation

    Salut Mak2004, Que tu sois rendu au niveau fédéral ou provincial (CSQ) dans ton processus d'immigration, tu dois en aviser immédiatement les services d'immigration car un mariage constitue un changement majeur dans ta situation (matrimoniale ici en l'occurence). Car cela signifie concrètement que tu ne seras plus seule a immigré mais accompagné d'une autre personne (a moins que tu n'envisages d'immigrer sans ta future femme ), ce qui change beaucoup de choses dans ton processus d'immigration. Je laisse les autres forumistes compléter, O'Hana
  21. O'Hana

    PVT, su perdue..

    Salut Saori, Excuse-mio, je ne suis pas sûr de bien comprendre : tu as besoin de suivre une formation et de passer un examen dans un pays étranger dans le cadre de tes études actuelles ? Le site de CIC (www.cic.gc.ca section Étudier) indique que le visiteur temporaire au Canada n'a pas besoin de permis d'études si : - la formation en question n'excède pas six mois - et si la formation se termine avant la fin prévue du visa sous lequel se trouve la personne Il semble donc qu'une personne sous PVT pourrait satisfaire a ses conditions mais je n'en suis pas sûr : un contact auprès d'une ambassade serait plus approprié je pense. O'Hana
  22. Salut Sophienico, Je vios deux possibilités opur une formation aussi courte (moins d'un an) : - les prêts et bourses de l'Aide Financière aux Études du gouvernement du Québec a laquelle tu devrais être normalement admissible à titre de résident permanent. Mais bon, tu dois t'attendre à recevoir (beaucoup) plus de prêts que de bourses ... - être admissible aux programmes de formation subventionnés par Emploi-Québec (relevant du ministère de l'emploi et de la solidarité sociale et de la famille - MESSF). Mais dans ce cas, il faut souvent être référé par le CLE (Centre Local d'Emploi) duquel on dépend car c'est un agent du CLE qui va déterminer la pertinence de ton projet d'études (perspectives d'emploi favorables ou pas suite à ta formation) car on parle ici de deniers publics. Par ailleurs, c'est un programme surtout destiné aux personnes peu ou pas scolarisées (ex : pas complété ses études de secondaire 5) et on parle ici essentiellement de formation de secondaire professionnelle (DEP ou diplôme d'études professionnelles). O'Hana
  23. O'Hana

    delai?

    Salut Califa3, Probablement qu'un élément m'échappe (éclaire-moi dans ce cas s'il te plaît) mais comment ton père peut travailler et tes soeurs étudier alors que toi tu es sous visa touriste ici ? Tu n'as pas pu bénéficier d'un visa de travail (comme ton père) ou d'études (comme tes soeurs) ? En effet, ça ne prend pas de CSQ mais un CAQ je crois bien. Et toujours d'après ce que je sais, avoir une demande de résidence permanente en cours (même en ayant déja le CSQ) ne libère pas de l'obligation d'avoir un visa de travail pour faire un stage au Canada. Et quel type de stage s'agit-il ? Finalement, en ayant un tout petit peu plus d'infos sur ta situation actuelle serait bien : aide-nous pour qu'on puisse t'aider O'Hana
  24. O'Hana

    Etat du francais au Canada

    ... Comme les jeunes québécois que je vois, à chaque été à l'Université de Sherbrooke, en immersion anglophone : je ne pense pas qu'ils en ressortent tant que ça bilingue même si je vois la noblesse de l'intention de cette activité. Lorsque j'interviens avec des immigrants en francisation, je réalise aussi toute l'importance de la langue : derrière la langue, c'est toute une culture en jeu et en parlant de jeu, c'est un jeu de séduction qui semble s'opérer pour "s'approprier" ces immigrants. Sachant que c'est un gouvernement libéral au pouvoir actuellement au Québec (i.e. conception plutôt fédéraliste que souverainiste du Québec au sein de la confédération), je me dis que la fédération des commissions scolaires anglophones s'est essayé comme on dit en bon québécois O'Hana
  25. O'Hana

    Question sans réponse

    Salut Bob, Mêmes inquiétudes que mes prédécesseurs quant à la possibilité d'aller aux USA avec ton statut actuel au Canada. Parlant de ton statut actuel, je ne sais même pas si tu pourras te produire dans le Canada si cela implique une activité rémunérée. Je sais que les artistes n'ont pas besoin de permis de travail au Canada s'ils viennent s'y produire dans un temps bien défini et si c'est en-dehors des bars et des restaurants. As-tu vérifié si tu es admissible à un permis de travail ? Au moins, cela te laisserait le champ libre pour tout le Canada ... O'Hana
×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2025 immigrer.com

Advertisement