O'Hana

... Ou ce que tu peux faire, c'est lors de la validation de ton visa, demander à ce que CIC conserve ta carte jusqu'à ton retour. C'est une solution qui a été mise en place par l'Immigration pour les résidents permanents qui ne sont pas en mesure, pour tout un tas de raison, de récupérer leur carte à une adresse postale donnée. Cependant, CIC ne va conserver ta carte que 180 jours : tu as donc six mois, à partir du jour où tu vas valider ton visa, pour la récupérer auprès d'un centre CIC. Cela ne te dispense donc pas de demander un titre de voyage à usage unique lors de ton retour au Canada sans ta carte, mais à tout le moins, cela te permet de déposer ta demande de carte, de ne pas retarder indûment ses délais de traitement et de ne pas payer les frais de 50 CAD exigibles pour une nouvelle demande de carte (lors de la validation de ton visa, ta demande de carte est "gratuite" dans le sens que ses frais sont inclus dans le DRP). O'Hana

O'Hana

Salut Neo, Dans ta situation, je vois deux solutions : 1 - soit donner à l'agent lors de la validation de ton visa l'adresse d'une personne de confiance au Canada qui, lorsqu'elle recevra ta carte, te la renverra par la poste 2 - demander le titre de retour dans une ambassade canadienne si tu n'as pas ta carte RP : il est normal que tu ne puisses trouver aucune date de validité pour ce permis car, à ma connaissance, les dates de validité sont déterminées spécifiquement en fonction de la situation du demandeur (motif, date prévue de retour, etc) lors du dépôt de la demande O'Hana

Salut la gang, En effet, toutefois, à 52 ans, je la trouve plus proche de la cinquantaine que de la soixantaine concernant l'âge. Par ailleurs, vu qu'elle travaille comme infirmière en bloc opératoire, je pars de l'idée qu'elle a plus qu'un certificat d'études, non ? Comme je le disais dans ma première chronique : pour espérer gagner le gros lot, faut au moins s'acheter un billet O'Hana

Salut Full Moon, De ce que j'en sais : 1 - il faut être membre de l'OIIQ pour pouvoir exercer la profession d'infirmier(e) 2 - pour être membre de l'OIIQ, il faut minimalement détenir une technique en soins infirmiers (au collégial d'une durée de trois ans) ou détenir un baccalauréat en sciences infirmières (universitaire d'une durée de trois ans aussi) Cependant, pour être admis dans un baccalauréat en sciences infirmières, il faut soit déjà détenir la technique collégiale citée précédemment ou être inscrit à l'OIIQ ou être en voie de s'inscrire. Conclusion : une grande majorité d'infirmier(e)s sont titulaires d'une technique collégiale ou sont allés ensuite se perfectionner en allant faire un bacc à l'université. Toutefois, j'ai entendu parler d'un bacc à l'université de Montréal qui s'appelle structure d'accueil : il est de 120 crédits (4 ans) et il est ouvert à toute personne ayant un niveau DEC (collégial : équivalent du baccalauréat français ou du BTS) et qui désire suivre des études en sciences infirmières. Plus de détails sur le lien suivant : http://www.regis.umontreal.ca/index_fiche_...95015_desc.html Cela pourrait être intéressant pour toi dans la mesure où tu as largement le niveau collégial avec ta licence (qui serait l'équivalent d'un bacc au Québec). Autre possibilité : faire un DEC en sciences de la nature (chimie, biologie, physique, mathématiques) qui t'ouvre quasiment toutes les portes à l'université, y compris celle en sciences infirmières (qu'on me corrige au besoin). Compte environ entre 1000 et 1200 dollars par session juste en frais de scolarité(dépendamment des universités), sachant qu'une année universitaire comporte deux sessions (automne et hiver, parfois une troisième avec celle de l'été). Un bacc comporte généralement trois années d'études, parfois quatre (génie, enseignement par exemple). Je n'en ai aucune idée : cependant, les universités québécoises offrent dans leurs différents bacs en sciences infirmières un très large éventail de spécialisation (gériatrie, pédiatrie, urgences, psychiatrie, etc). O'Hana

Salut Mohamed 75, Considérant que le Québec aura besoin d'une main-d'oeuvre de formation essentiellement secondaire professionnel (CAP / BEP) ou technique (BTS) dans les prochaines années, je pense aussi que tu peux tenter ta chance en ayant des chances raisonnables de passer*. Les services d'immigration analysent, à mon avis, une demande dans sa globalité : en ce sens, les faiblesses peuvent être compensées par des forces ailleurs dans le profil. Tout dépend de quelles faiblesses et de quelles forces on parle. Je crois que l'évolution du marché du travail québécois joue en ta faveur (confirmé d'ailleurs par le MRCI qui recherche surtout maintenant des travailleurs de profil secondaire professionnel et/ou technique). L'idée du "plus on est scolarisé, plus on a de chances" est à démystifier de plus en plus. O'Hana * pour les perspectives d'emploi, voir la section IMT d'Emploi-Québec

Salut la gang, Pourquoi pas regarder cela comme une question de timing ? Je m'explique : D'un côté, on peut raisonnablement évaluer la durée totale du processus d'immigration entre un an et un an et demie de la DCS au visa apposé dans le passeport, pour une personne venant de France. De l'autre côté, vous envisagez prendre votre retraite d'ici 4 ans environ minimum. Par ailleurs, considérant qu'un CSQ est valable 3 ans à partir de la date de délivrance et que le visa fédéral doit être validé au maximum 1 an après sa délivrance. Conclusion : débuter votre demande de CSQ dès maintenant ou l'année prochaine et vous gagnez ainsi trois ans pendant lesquels non seulement vous êtes encore active (professionnellement) mais pendant lesquels aussi vous pouvez continuer à préparer votre retraite tout en déposant votre demande au fédéral. Pour en arriver à l'obtention du visa près d'une retraite sereine au Québec en percevant vos allocations. L'idée n'est de jamais informer l'immigration que vous envisagez de prendre votre retraite au Québec : je n'ai lu nulle part qu'un résident permanent n'a pas le droit de ne pas travailler une fois ici Et encore, je n'ai pas tenu compte de l'âge du capitaine dans mon raisonnement O'Hana

Salut la gang et merci Baloo911 pour nous rappeler ce jour si important, Si je peux concevoir qu'on puisse mourir pour une cause, je ne vois que de l'absurdité à être prêt à tuer pour une cause, aussi noble soit-elle. En ce sens, je ne veux retenir du 11 novembre que ces propos-là : Plutôt qu'un appel aux armes (le patriotisme est un concept m'apparaissant stupide et de plus en plus désuet dans le monde actuel). J'aimerai rajouter ce poème d'Arthur Rimbaud, écrit près de 30 ans avant la Première Guerre Mondiale mais qui reste toujours d'actualité à mon avis. Le dormeur du val C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. O'Hana

Salut la gang, Dans le même sens que RedFlag, je crois que c'est simplement une question de timing. Comme en marketing : la bonne personne au bon poste au bon moment. Essayer de trouver une recette ou des règles de succès d'insertion professionnelle à titre d'immigrant, c'est nier, à mon sens, le caractère très volatile et proactif du marché du travail et celui nord-américain en particulier (en partant de l'idée qu'une règle, c'est chercher à mettre absolument de la rigidité uniformément comme un standard susceptible de s'appliquer n'importe où et dans n'importe quelles conditions). Bien évidemment, il y a certaines règles à suivre (c.v., présentation en entrevue, réseau de contacts) mais cela est vrai jusqu'à une certaine limite. Tout simplement parce qu'on parle de recherche d'emploi et que dans ce processus, l'élément principal reste d'abord et avant tout le chercheur d'emploi, i.e. un être humain avec toute l'incertitude - mais aussi toute la richesse imprévisible - que ce dernier représente. Comme conseiller en orientation, le jour funeste où quelqu'un réussira à trouver la recette du succès de l'insertion professionnelle, je quitte ma profession car cela voudra dire qu'on aura été capable de catégoriser même l'être humain O'Hana

Salut la gang, J'avoue avoir un peu de misère à reconnaître ce caractère "d'indispensabilité", même si je pense très bien comprendre là où tu voulais en venir FortSympa En tant qu'immigrant, mes connaissances, n'importe qui peut les avoir aussi : il suffit de fouiller, d'être curieux, d'avoir la volonté d'aller au fond des choses. Si ce n'est pas moi, c'est une autre personne qui aura l'info et c'est ce qui compte : que le message se rende, qu'importe soit le messager. Ne lisez pas de la fausse modestie dans mes propos : c'est simplement un fait. Fondamentalement, je trouve plate que je sois obligé de travailler comme conseiller en orientation par exemple, parce que cela signifie qu'il y a des gens qui ne sont pas en mesure de pouvoir se donner une direction dans leur carrière ou leurs études. Le jour où je n'aurai plus de job ainsi que mes confrères et consoeurs, c'est parce que tout le monde saura où s'en aller dans la vie de manière autonome. Et ça sera cool alors, et moi je ferai d'autre chose. Parce que j'essaie simplement d'appliquer au jour le jour la philosophie de la citation figurant dans ma signature en bas de chacun de mes messages. Ceci dit, à la différence de Zephstone, Zogu ou Stadak et de toute autre québécois de souche intervenant sur le forum, je n'aurai jamais cette connaissance expérientielle du Québec : par exemple, je ne connaitrai le référendum de 95 qu'à travers mes lectures, des reportages à la TV ou des discussions avec des québécois mais jamais je ne pourrai vivre la tension ou l'atmosphère de cet événement. Mais cela n'est juste qu'une question de timing O'Hana

En effet, Très très belle chronique JayJay : c'est un doux plaisir que de te lire, ligne après ligne pour arriver, toujours trop rapidement, à la fin de ta chronique Ce n'est que cette année que j'ai réellement découvert le Plateau en y marchant avec deux excellents amis-forumistes et cela reste un de mes plus beaux souvenirs d'immigrant au Québec. O'Hana

Salut Liberty, Je me joins aux autres pour vous féliciter dans l'obtention de votre visa. Cependant, au risque de jouer les pointilleux énervants : Se faire apposer votre visa dans vos passeports signifie, officiellement, que votre procédure de résidence permanente est au stade "décision prise" : vous n'êtes donc pas officiellement résidents permanents pour Immigration Canada. Car il peut se passer beaucoup de choses entre l'apposition du visa et la validation de votre visa par un douanier canadien. Ce n'est justement qu'une fois votre visa validé que vous obtiendrez alors officiellement le statut de résident permanent et que votre procédure de résidence permanente sera alors arrivée au terme avec la mention "complétée". C'est là une distinction qu'on oublie souvent - et c'est légitime - mais qui peut faire toute une différence face à un douanier canadien O'Hana

Salut Cybercodes, À ma connaissance, tu as deux possibilités : 1) soit inscrire ton n° de passeport actuel dans ta demande et rajouter une lettre indiquant que tu as procédé à une demande de nouveau passeport et que tu leur enverras les photocopies des premières pages dès réception 2) soit attendre l'arrivée de ton nouveau passeport et ensuite envoyer ta demande de résidence permanente Il y a des chances que dans la solution 1), l'ambassade te renvoie ta demande au complet sans y avoir touché pour la raison de ton passeport périmé au moment du dépôt de ta demande mais il se peut aussi qu'ils acceptent de traiter ta demande en attendant ton nouveau passeport : ce faisant, tu gagnes (un peu) de temps sur les délais. Les délais de traitement restant un mytère complet, à toi de voir où tu es le plus gagnant : prendre le risque de voir ta demande retournée avec la perte de temps que cela implique ou attendre ton nouveau passeport pour envoyer ta demande. Il est bien sûr obligatoire d'inscrire ton n° de passeport car il va figurer sur ton visa et il constitue un élément de confirmation pour l'agent pour s'assurer que ce visa est apposé dans le passeport correspondant O'Hana

Salut Yapuka, Je fais affaire avec Bell pour mes appels locaux et Primus pour mes appels interurbains car c'est chez ce dernier que j'ai trouvé le tarif le plus compétitif pour appeler en Nouvelle-Calédonie (45 cents la minute). Même 1010710 est plus cher que Primus dans mes appels dans le fin fond du Pacifique Sud J'avais donc reçu l'offre de Primus pour prendre à leur charge mes appels locaux mais je les trouvais un peu plus cher que Bell pour exactement le même service. J'ai déjà essayé 1010710 pour mes interurbains (sauf pour la Calédonie) et c'est vrai que c'est intéressant et efficace. O'Hana

Salut LoneWolf, Je ne suis pas sûr de bien te comprendre : D'un côté, tu écris que l'on s'acharne sur la communauté arabe Et de l'autre, tu écris que la communauté arabe se débrouille mieux au Canada Que veux-tu essayer de faire passer comme message ? Recherches-tu un fautif ? Dans ce cas, qui vises-tu ? Les société européennes coupables de généralisations négatives et de persécution ou les communautés arables en Europe incapables de "s'éduquer ou de se professionnaliser" comme leurs pairs du Canada ? Comparer l'Europe et le Canada est un exercice déjà périlleux en soi mais pouvant aboutir, là aussi, à des généralisations dangereuses surtout. Finalement, je ne vois aucune pertinence intellectuelle à le faire car ces deux continents ne peuvent être comparés. Et à plus forte raison, on ne peut comparer deux communautés (arabes ou autre) dans deux environnements différents car elles ne partent pas avec les mêmes atouts (attention : je dis ici que les atouts sont différents et non que les atouts de l'un sont meilleurs que l'autre). Et en suivant cette logique un peu simplificatrice, il faut s'attendre à ce que le Canada suive la même logique de généralisation et de persécution comme tu le mentionnes que l'Europe à terme car .... d'où viennent une partie des immigrants qui arrivent au Canada ? Mon but n'est certainement pas de te jeter la pierre : simplement de réajuster des perceptions du mieux que je peux. O'Hana

Salut Amadina, Et moi je ne sais rien mais je dirai tout Non sérieusement Amadina, je n'en ai aucune idée pour ma part car je n'ai jamais habité à Montréal. Bien sûr, j'entend, vois et lis des affaires entre les branches (loyers, pass de bus, etc) mais rien ne vaut l'avis d'une montréalaise ou d'un montréalais Ainsi, il serait bien que celles et ceux qui savent puisse l'informer : je ne crois pas qu'Amadina cherchait à "mal" faire en demandant expréssement à Zogu, Zephstone et moi-même (il y a les MP pour ça) O'Hana

Salut gang, Tout comme Bouh : ça dépend du sujet en question O'Hana

Salut Julie_, Pour le logement, cela dépend dans quel endroit de la ville tu vas rester : - le nord est le quartier le plus riche de la ville : résidentiel, pas d'usines, beaucoup de verdure. Il y a aussi des immeubles à logement dont les loyers sont généralement les plus hauts de la ville. Compte environ 500 dollars et plus par mois pour un 4 1/2 juste en loyer - le sud (Ascot, Lennoxville) compte beaucoup d'immeubles à logements où reste la majorité des étudiants car ce coin est proche de l'Université. Loyer : entre 350 et 450 dollars par mois pour un 4 1/2 - l'ouest (centre commercial, Rock Forest, St-Élie d'Orford) est encore en plein développement (résidentiel, condos) : cela s'adresse surtout aux personnes aisées ou classe moyenne (jeune couple avec enfants en bas-âge par exemple) et les logements varient selon l'endroit : entre 400 et 700 dollars par mois pour un 41/2 environ - l'est (Fleurimont) ressemble un peu au sud avec beaucoup d'immeubles à logement aux loyers abordables. Moins intéressant car excentré par rapport au centre de la ville et surtout au principal pôle commercial de la ville qui se trouve dans l'ouest - le centre-ville : de manière générale, je te le déconseille car à Sherbrooke, on habite surtout en périphérie ou à l'extérieur de la ville. Je te le déconseille car les appartements ne sont pas souvent intéressants (même si les loyers le sont), très urbanisé, parfois de la délinquance Pour la nourriture, je crois que tu peux vivre raisonnablement avec 30-40 dollars par semaine en faisant l'épicerie (Super C, IGA, Maxi, Provigo, Métro). Côté activités sportives, Sherbrooke est bien équipé tant en installation (centres d'éducation physique de l'université et du collège, piste cyclables, etc) qu'en paysage (station de ski, lacs, rivières, etc). Côté culture, tout dépend ce que tu recherches : c'est sûr qu'en termes d'intensité, cela ne se compare pas à Montréal par exemple. Mais il y a des festivals qui valent le détour (Fête des Vendanges, Fête du Lac des Nations, Festival du Monde, etc), une bonne vie nocturne (Sherbrooke compte deux universités et trois collèges), un musée, deux cinémas. Pour Montréal, cela me coûte personnellement une trentaine de dollars en essence pour faire l'aller-retour et après, cela dépend ce que tu vas faire à Montréal : il y a une grosse différence de budget entre aller voir le Canadien au Centre Bell par exemple et aller y voir des amis Je te mets un lien vers l'Université de Sherbrooke qui parle de l'installation pour les étudiants étrangers : http://www.usherbrooke.ca/parents/environnement/ O'Hana

Salut la gang, Je crois que la question ne se pose plus : le 21 septembre dernier, Claude Béchard, le ministre de l'emploi (dont l'assistance-emploi relève, ce qui est l'équivalent du RMI) a proposé des modifications au programme d'assistance-emploi, dont celle concernant la "comptabilisation de l?avoir liquide des immigrants et dépendants". En clair, Mr Béchard propose l'interdiction de bénéficier de l'assistance-emploi aux immigrants durant les trois premiers mois de leur arrivée, suivant en ce sens son homologue du ministère de l'immigration qui exige trois mois de ressources financières à tout immigrant qui désire s'installer au Québec. Je ne sais cependant pas si cette mesure a été adoptée. Plus de détails ici : http://www.assnat.qc.ca/fra/conf-presse/2004/040921CB.HTM O'Hana

Salut Mec_Dan, J'irai dans le même sens que mes prédécesseurs : ta demande pourrait rentrer dans la catégorie d'une demande de résidence temporaire présentée pour obtenir un traitement médical. Cette demande est alors analysée autour d'une question centrale : est-ce que le demandeur risque de représenter une charge excessive pour les services de santé et sociaux du pays. À ce titre : - passer une visite médicale indiquant que ta maladie ne représente pas un danger pour la santé publique - tu dois fournir une preuve de ton médecin traitant indiquant qu'il a pris les dispositions pour que tu puisses suivre un traitement médical au Canada (pour éviter ainsi l'impact négatif sur les listes d'attente des canadiens et des résidents permanents) - il semble aussi que ton médecin doit être affilié à une institution canadienne pouvant dispenser le traitement médical que tu demandes - comme résident temporaire, tu ne bénéficieras donc pas de l'assurance-maladie canadienne : il faut donc fournir des preuves que les frais de ton traitement mais aussi les frais reliés à toute la durée de ton séjour seront déjà payés lorsque tu arriveras au Canada (un tiers ou un organisme peut défrayer ces dépenses en partie ou en totalité) En espérant que cela puisse t'aider, O'Hana

Salut Leelou, Peut-être trouveras-tu réponse à ta question dans ce post que j'avais mis il y a quelques semaines : http://www.forum.immigrer.com/index.php?showtopic=16941 Infos trouvées directement en allant au Consulat de France à Montréal il y a quelques semaines. O'Hana

Salut la gang, Merci pour vos bon mots qui me touchent Je vous remercie aussi de souligner ma contribution et j'ai oublié pour ma part de souligner les efforts que font tous les autres intervenants dans ce domaine : c'est un travail collectif qui aurait bien besoin d'une volonté politique plus affirmée ! Cette chronique était aussi destinée, implicitement, à tous les forumistes dont la langue maternelle n'est pas le français pour les pousser à s'exprimer peut-être davantage sur le forum : faire des erreurs (d'orthographe, de conjugaison, etc), c'est au moins la preuve qu'on essaie O'Hana

Je suis à Sherbrooke et je peux te confirmer que les prévisions de MétéoMédia pour aujourd'hui étaient exactes (malheureusement). Il est vrai qu'on annonce de la neige pour cette fin de semaine et vu le temps qu'il fait ces derniers temps, il est temps que ça tombe effectivement ! O'Hana

J'ai absolument aucun mérite Abricoty. Premièrement parce que je suis conseiller en orientation, donc l'information scolaire et professionnelle au Québec fait partie de mes tâches et deuxièmement parce que je travaille à temps partiel au Cégep de Sherbrooke ... Fait que je connais un peu comment ça marche pour étudier dans un cégep Hésites pas si tu as d'autres questions ! O'Hana

Salut la gang, Tout d'abord, toutes mes félicitations aux forumistes à qui Buffalo a demandé leurs passeports - Amène ton passeport (avec le visa apposé dedans bien sûr) - le formulaire en trois exemplaires que l'ambassade t'a envoyé avec ton passeport - ton exemplaire de CSQ - le visa original sous lequel tu es actuellement au Canada - un relevé de compte bancaire (j'en avais un mais l'agent ne me l'a même pas demandé) Pas besoin de visa pour les USA normalement : tu expliques la situation aux agents états-uniens et normalement, ils vont t'autoriser à faire le tour de leur poste frontière pour que tu puisses revenir immédiatement au Canada mais en arrivant des États-Unis. La carte RP prend environ 3 à 6 semaines en moyenne (l'agent te fera signer un formulaire - celui en 3 exemplaires - t'en remettra un et gardera les deux autres pour la carte) O'Hana