O'Hana
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Salut Boby, J'avais déjà rencontré une immigrante d'Argentine qui avait aussi une formation en économie et qui cherchait à s'intégrer professionnellement au Québec. Quelques recherches et appels nous ont fait arriver à la conclusion que les principaux employeurs seraient les gouvernements (institut des statistiques du Québec et Statistiques Canada) ou encore les institutions financières et les groupes d'assurances. N.B. : elle avait l'équivalent d'une maîtrise québécoise en économie et avait une spécialisation en valeurs mobilières Si ça peut t'aider, O'Hana
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Salut Jimmy et Scanlolo, Oui, je partage l'avis de Scanlolo : en voyant pour la première fois cette fameuse annonce, cela m'a surpris aussi ... Promouvoir la fierté d'être canadien autour du thème de la bière, j'ai trouvé ça pas mal original Mais ma lecture de cette annonce me fait dire que cela se faisait surtout en comparaison ou en défiance de nos chers voisins du sud. Un reportage sur SRC sur le sujet de la citoyenneté canadienne (il y a deux ans je crois) mentionnait justement que l'annonce de Molson était plus efficace que les annonces institutionnelles de Patrimoine Canada O'Hana
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Salut Sophie1963, J'imagine que même si tu ne sais pas encore où tu vas habiter, ça sera certainement dans la grande région métropolitaine (île de Montréal, Rive-Nord, Rive-Sud jusqu'en Estrie) car tu mentionnes le SRAM. Si cela avait été un cégep de Québec par exemple, cela aurait le SRAQ ou celui de Saguenay par exemple, cela aurait le SRALSJ. Bref, pour répondre à ta question, il serait important de savoir quel programme collégial t'intéresse : tous les programmes collégiaux ne sont en effet pas offerts dans tous les cégeps, surtout en ce qui concerne les techniques. Cependant, au niveau des DEC pré-universitaires, il y a plus de choix d'établissements. Après, il faudrait contacter le SRAM : voici la page qui parle des programmes et de l'admission. O'Hana
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Salut Dumaroc7, Théoriquement, tu n'es pas obligé de fournir une adresse où faire envoyer ta carte lors de ton arrivée au service d'immigration de l'aéroport. Il y a les solutions de Zayd et de Shargrine comme celle de contacter un télécentre CIC pour leur donner tes coordonnées postales dès que tu en auras. Tu as cependant un délai de 180 jours maximum (6 mois) à respecter dès la validation de ton visa pour leur fournir tes coordonnées sinon tu seras obligé de payer de nouveaux droits de traitement pour ta carte (de l'ordre de 50 CAD). Voici la page de CIC qui parle de cela et qui donne aussi les coordonnées des télécentres CIC : clique ici. O'Hana
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Salut Bibique, Le plus près que je vois personnellement pour assister un architecte compte tenu du profil que tu donnes, c'est technicien ou technologue en architecture. Ci-dessous, brève description de cette profession au Québec : La rémunération (salaire annuel moyen en dollars canadiens) va de 24 000 à 28 000 dollars en commençant jusqu'à 38 000 à 43 000 dollars selon les données statistiques d'Emploi-Québec. Bien sûr, cela peut varier selon l'employeur (bureaux d'architecte, entrepreneurs, gouvernements, bureaux d'ingénieurs ...) et je te donne ces chiffres à titre purement indicatif. Peut-être davantage d'informations sur le site del'Ordre des Architectes du Québec (OAQ). Ou encore sur l'un des 26 comités sectoriels du Québec sur le site d'Emploi-Québec. O'Hana
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Salut la gang, Je crois peut-être qu'on a oublié un petit élément dans cette triste histoire, élément qui a cependant toute son importance : la femme en question, bien que parrainée, est résidente permanente du Canada. Elle a donc des responsabilités mais aussi des droits. Et comme le souligne JayJay, l'expulsion d'un(e) résident(e) permanent(e) ne peut se faire aussi facilement : si je me rappelle bien, cela prend un certificat de sécurité prévu par la LIPR et c'est en effet un processus long et complexe car une expulsion implique une interprétation délicate de la charte des droits et libertés individuelles (auxquels les résidents permanents ont droit et sont assujettis). Et comme Yeux_Verts le souligne, un divorce n'emporte pas l'annulation pure et simple du statut de résident permanent de la personne parrainée à ma connaissance. Si cela était possible, cela serait trop facile et je vous laisse imaginer le pouvoir immense que cela donnerait au citoyen canadien ou résident permanent sur son ou sa conjoint(e) parrainé(e). Par ailleurs, sans partager entièrement la pensée de MaryMichel, je suis d'accord sur le principe que le parraineur doit savoir exactement dans quoi il s'engage lorsqu'il entame une procédure de parrainage. On ne peut pas demander au gouvernement du Canada de prendre une responsabilité qui ne le lui revient pas, d'autant plus que ce dernier a institué un processus de parrainage long et complexe pour justement éviter ce genre de tragédie. Après, c'est le partage des responsabilités et chacun doit s'assumer à l'intérieur de cet engagement. Finalement, je n'ai rien vu dans la Loi sur l'immigration et la protection des réfugiés (LIPR) ni dans le règlement qui y est rattaché pouvant autoriser aussi "facilement" une expulsion de ce genre. Entre la présomption d'acte terroriste (qui a aboutit au certificat de sécurité pour un RP il y a quelques mois) et incompatibilité dans un mariage, il y a une marge ... Toutefois, j'inviterai les personnes concernées à consulter la LIPR et son réglement car tous deux détaillent les actes ou délits commis par un résident permanents passibles d'une interdiction de territoire : LIPR et reglement. Et bien entendu, consulter les autorités compétentes (CIC en premier lieu) Bon courage, O'Hana
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Salut Tom_anais, Ayant moi-même été étudiant avant de devenir résident permanent au Canada, je trouve pour ma part que cela aide grandement au traitement de la demande pour les raisons suivantes : - étudier au Canada cela signifie obtenir un diplôme canadien, ceci réglant l'épineux problème de la reconnaissance des équivalences de diplômes étrangers (et par voie de conséquence, cela devrait théoriquement faciliter l'insertion sur le marché du travail canadien). - étudier au Canada signifie également vivre au rythme de la société pendant un, deux, trois ans ou plus. Concrètement, cela veut dire s'adapter au climat, à la culture locale et se créer des relations personnelles voire même professionnelles. Bref, que du bonus pour l'intégration à titre d'immigrant. - étudier au Canada cela signifie par ailleurs développer des compétences et acquérir une expertise dans un pays qui subit depuis plusieurs années un problème de relève de sa main d'oeuvre pour, au moins, les dix prochaines années. Problème qui touche toutes les provinces canadiennes et pratiquement tous les secteurs d'activités. Bref, pour l'agent qui traitera la demande d'un étudiant étranger qui désire devenir résident permanent, c'est s'éviter les questions sur la sincérité ou la lucidité de la personne sur son projet de vivre au Canada (ex : après trois ans de bacc au Canada, je pense que l'étudiant sait alors ce que c'est un hiver ici ) CIC le sait très bien tout cela et, en particulier pour le troisième point, assouplit les choses en proposant une mesure facilitatrice pour l'étudiant étranger qui désire travailler ici après ses études. De "mon temps" (en 2002-2003), c'était vrai en tout cas. Des expériences sur le forum montre que les délais sont plus longs, surtout depuis l'instauration du fameux 150 jours pour obtenir un casier judiciaire canadien. O'Hana
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Salut v-rO, Exactement. L'AR est comme une officialisation du traitement de ta demande. En interne, cela leur permet de calculer leurs statistiques et pour le demandeur, cela lui permet d'avoir une preuve que sa demande est en traitement en cas de problème (allongement des délais ...). Un agent n'envoie un AR que quand le dossier est complet. Tout à fait. C'est la première étape du processus, d'autre part, l'AR est accompagné du numéro qui a été attribué au dossier, cela signifiant que la demande est officiellement en traitement et cela permet de faire la distinction entre les demandes reçues et les demandes traitées. O'Hana
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Bah de rien Chicachoco Je suis moi-même à comptabiliser en ce moment mes jours de résidence pour ma demande de citoyenneté, alors avec des règles aussi précises, faut pas se tromper et les connaître comme il faut ... Petit ajout : bien évidemment, il faut tenir compte des jours d'absence du Canada dans le calcul de vos jours de résidence et ce, avant et après que vous soyez devenus RP. Personnellement, j'inclus dans mes journées d'absence celle de mon départ et celle de mon retour pour éviter tout retour de mon dossier de citoyenneté pour manque de quelques jours dans mes 1095 jours. Par ailleurs, si vous êtes marié avec une canadienne ou un canadien et que vous vous absentez avec votre conjoint hors du Canada, ces jours d'absence pourraient ne pas être comptés comme jours d'absence. Mais cela reste à l'entière discrétion du juge de la citoyenneté qui calculera vos 1095 jours. En clair : vaut mieux prévoir large et envoyer sa demande le jour où vous aurez dépassé les 1095 jours plutôt que de l'envoyer précisément le 1095ème jour. À 200 dollars le traitement de votre demande (dont 100 dollars non remboursable), vaut mieux trop que pas assez je pense ! O'Hana
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Salut Mary, À ma connaissance, ça, ça sera à la libre et entière discrétion du département d'enseignement (et donc de l'université) où tu voudras aller. Certaines universités pourront se montrer flexibles, d'autres seront vraiment "by the book" (appliqueront la règle à la lettre sans tenir compte de ta formation antérieure ni de tes expériences professionnelles) : c'est là un avantage du système universitaire (pas de règle absolue) mais aussi un inconvénient car ce qui est possible à l'UQÀM par exemple ne le sera pas nécessairement à Sherbrooke alors qu'on parle du même bacc aboutissant à la même profession. C'est ce que je constate aussi autour de moi et cela tourne souvent autour de deux impératifs : les cours de pédagogie (surtout depuis la dernière réforme) et les stages de maîtrise professionnelle en milieu scolaire. Pour enseigner au primaire et au secondaire, quelque soit la matière enseignée, cela prend obligatoirement un permis d'enseigner au Québec, pas de dérogation malheureusement. D'ailleurs, depuis l'année dernière, cela prend aussi un permis pour enseigner au secondaire professionnel, ça réglemente de plus en plus ... Peut-être le sais-tu déjà, mais dans ton domaine, cela prend le BEALS (Bacc en enseignement de l'anglais en langue seconde). Une recherche sur Google avec ce terme devrait te donner des résultats pertinents je pense. O'Hana
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Salut Mary, Pour te donner une idée, compte environ 1000 dollars par session en frais de scolarité à temps plein (environ 15 crédits par session, ce qui représente 5 cours de 3 crédits chacun pendant 15 semaines que dure la session : 5 x 3 heures de cours par semaine hors temps d'études). Donc, pour un bacc de 4 ans (120 crédits), ça représente 6 sessions (automne et hiver) soit 6000 dollars en tout + achat de livres + photocopies + frais de subsistance (logement, nourriture, transport, etc). 1ère solution : les prêts et bourses de l'Aide Financière aux Études (www.afe.gouv.qc.ca) 2ème solution : combiner l'AFE + travail à temps partiel (genre 10 à 15 heures par semaine) histoire d'avoir moins de dettes à rembourser à la fin de tes études. Ce n'est pas les emplois qui manquent sur un campus (réceptionniste, adjointe administrative, préposé à l'accueil, etc) 3ème solution : espérer une aide du fédéral. La seule accessible au Québec à ma connaissance c'est la bourse du millénaire à laquelle tout étudiant est automatiquement admissible lorsqu'il s'inscrit à un programme. Mais rares sont ceux qui l'obtiennent et cette bourse est surtout une bourse en récompense de performances scolaires (bourse d'excellence) 4ème solution : faire le tour de toutes les bourses privées offertes par des fondations ou des instituts (comme la fédération québécoise de la recherche scientifique). Mais elles s'offrent surtout pour les 2ème et 3ème cycle car ils font de la recherche dans leurs études. 5ème solution : contacter le Ministère de l'Éducation et le Ministère des Affaires Étrangères en France pour des bourses pour des études à l'étranger. Mais si tu viens ici à titre de résidente permanente, je ne sais pas si tu seras admissible. 6ème solution : étudier à temps partiel. Ca rallonge tes études (surtout pour un bacc de 4 ans) mais au moins, ça devient plus gérable financièrement. Si je pense à d'autre chose, je posterai un autre message, O'Hana
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Salut Pernouel, Conseiller en orientation ou orienteur, ça suffira largement Par contre, pour résumé, il faut que je fasse ma demande d'admission et par la suite si jamais je suis accepté, il y a de fortes chances qu'il me soit demandé de confirmer mon inscription à la fac alors que je n'ai pas encore mon visa RP...Cela peut-il annuler mon admission?
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Salut Pchakh, À ma connaissance, un tel projet n'est pas possible au Canada en restant en même temps sous visa étudiant. Même si les possibilités d'emploi s'élargissent doucement pour les étudiants étrangers (je crois me souvenir que les étudiants inscrits dans des établissements en région peuvent maintenant travailler hors du campus), CIC continue cependant de parler d'emplois salariés. Or, un commerce, tu es ton propre patron d'après ce que je comprend. Peut-être devras-tu changer complètement de statut (ne plus être étudiant et chercher un visa de travail) mais là encore, créer un commerce, c'est agir à titre d'investisseur et/ou de travailleur autonome, ce qui est encore moins évident à obtenir comme visa. Peut-être aussi en "by-passant" : te trouver un ou des associés résidents permanents ou citoyens canadiens qui seraient les propriétaires officiels du commerce et essayer de faire en sorte que ce commerce puisse rentrer dans le cadre de tes études (un stage de management par exemple si tu es en administration). O'Hana
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Salut Siropderable, Oui, le temps que tu as passé au Canada avant de devenir résident permanent va compter dans les 3 ans (ou 1095 jours) de résidence nécessaire pour pouvoir déposer une demande de citoyenneté canadienne. Cependant : - chaque jour passé au Canada avant d'être RP compte seulement pour une demi-journée dans les 1095 jours. Ex : si tu as passé deux ans comme étudiant, ces deux ans ne compteront que pour un an (365 jours x 2 le tout divisé par deux) - mais le total de jours admissibles dans une demande de citoyenneté passés au Canada avant d'être RP ne peut excéder 365 jours. Autrement dit, tu aurais pu passer deux ans ou dix ans au Canada avant d'être RP, seuls 365 jours seront comptabilisés dans les 1095 jours. Cela signifie que quelque soit le temps passé ici avant d'être RP, tu es obligé de cumuler deux ans de résidence comme RP pour chercher les trois ans nécessaires (une fois RP, chaque jour passé ici compte pour une journée) Si on prend ton cas par exemple, tes 880 jours passés au Canada avant ta RP reviennent finalement à 440 jours mais dans ta demande de citoyenneté, tu ne pourras mettre au maximum que 365 jours. Tu devras chercher le solde comme résident permanent - par ailleurs, seules les quatre années précédant le jour où tu déposes ta demande sont pris en compte dans le calcul des fameux 1095 jours. Ainsi, si tu déposes ta demande en 2006 par exemple, le juge de la citoyenneté ne va considérer tes jours de résidence (avant ou après RP) que depuis 2002, même si tu résides au Canada depuis avant cette année Bref, bon calcul O'Hana
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Salut Peggy, Moi je truste pas trop les suggestions bibliographiques de Jimmy car je sais qu'il est trop parti pris ... Sérieusement, merci pour ce petit résumé ben ben intéressant mais je ne rentrerai pas dans le débat états-uniens, anglais et canadiens Ils sont excellents Phil64qc pour les avoir lus, excellent choix ! O'Hana
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Salut Pernouel, Je connais un peu ces deux programmes parce qu'une partie de mon travail consiste à aider des étudiants collégiaux à s'orienter à l'université. J'en ai donc une couple qui étaient intéressés à ces programmes. En partant, ce sont deux programmes contingentés de ce dont je me rappelle : ça signifie qu'il y a un nombre limité de places disponibles et ce sont donc les "meilleurs" qui sont pris (soit par l'excellence de leur dossier scolaire, l'expérience professionnelle, parcours de vie, entrevue, production d'un travail pour le bacc en communication, etc). Deuxièment, le bacc en communication de l'UQÀM se décline en plusieurs variantes ou concentrations : en relations humaines, relations publiques, journalisme, etc. Lequel t'intéresse le plus ? Vu que ce sont des programmes contingentés, il est donc très important que tu respectes la date limite d'admission qui est le 1er mars 2005 pour la rentrée des cours en septembre 2005. Si tu déposes ta demande le 1er mars au plus tard (cachet de la poste faisant foi), ta demande sera traité au même niveau que celles de tous les autres. Après le 1er mars, ta demande ne sera traitée que s'il reste des places disponibles (ce qui est plutôt rare pour un programme contingenté). Par ailleurs, n'ayant pas fait le DEC québécois, tu pourrais être considéré dans la catégorie des étudiants ayant fait une formation hors-Québec : je crois qu'un pourcentage de places est réservé à ce type d'étudiants (généralement 30 %) le reste se partageant entre les finissants du cégep. Personnellement, je me dis que ça va être une question de timing dans ton cas : si tu commences les démarches maintenant et que tu es accepté à l'UQÀM, cette dernière va t'envoyer une lettre d'admission et demandera ta confirmation d'inscription le plus rapidement possible (programme contingenté ...) mais, de l'autre côté, il faudra que tu regardes où tu es rendu dans ta démarche d'immigration. Car sans statut RP, aucune inscription possible aux études. O'Hana
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Salut Red30, Ma tite pierre de contribution à la discussion Au Québec, tout le monde a droit à l'aide financière aux études : aucune discrimination au départ qui serait basée sur le revenu, le type d'études, etc. Cependant, l'aide que tu recevras sera calculée en fonction de ton profil : par exemple, si tu travailles à côté, tu recevras moins d'argent, si tu es à temps partiel ou temps plein, si tu as des enfants, etc. Généralement, l'aide financière t'accorde une aide qui couvre tes besoins essentiels (logement, nourriture, transport) et bien évidemment tes frais de scolarité. Il ne faut cependant pas s'attendre à quelque chose d'énorme : par exemple, beaucoup d'étudiants choisissent d'habiter en colocation car cela leur permet de réduire significativement le poste logement dans leur budget. Et cette aide (qu'on appelle communément prêts et bourses ici) est offerte pour la durée totale de tes études. Je te recommande fortement de consulter le site (site web de l'Aide Financière aux Études au Québec) où tu trouveras, j'en suis certain, beaucoup de réponses à tes questions sur ce sujet. À noter d'ailleurs que depuis cette année, l'étudiant québécois recevra plus de prêts que de bourses (merci Messieurs Charest et Reid, mais ceci est un autre débat ...) C'est très bien expliqué dans le site suggéré juste en haut. Généralement, l'étudiant commence effectivement à rembourser le capital + intérêt de ses prêts six mois après la fin officielle de ses études (qu'il ait diplômé ou qu'il ait abandonné ses études) le temps moyen estimé pour qu'il puisse se trouver un emploi. Les intérêts sont à payer dès la fin des études ; intérêts d'ailleurs payés par l'Etat durant tes études. Ce six mois-là, c'est que tu aies trouvé un emploi ou pas. Cependant, il est toujours possible de s'arranger avec l'AFE mais à ce moment-là, il ne faut pas être difficile dans les emplois qui passent même s'ils ne sont pas en adéquation avec la formation que tu as suivi. Je dirai que ça dépend que de toi : l'AFE fixe d'ailleurs une limite à l'endettement maximal d'un étudiant (autour de 30 000 dollars je crois pour un étudiant qui a une maîtrise mais à vérifier). Tu peux te consacrer à temps plein à tes études : l'inconvénient c'est que les prêts s'accumulent pendant ce temps là mais au moins tu peux compléter tes études dans le temps normalement imparti ou plus rapidement. À temps partiel, tu peux travailler à côté, donc demander moins d'aide financière mais ça peut rallonger significativement la durée de tes études. Je répondrai exactement que Zogu. Par ailleurs, les études en ce sens démontrent la complexité de la chose : trouver facilement un emploi, c'est en trouver un en deux mois ? six mois ? moins d'un an ? Et un beau salaire, c'est combien pour toi ? Et l'idée que plus on est scolarisé, plus on s'insère facilement sur le marché du travail a tendance à se transformer en mythe même si les universitaires gagnent généralement 50% plus que les collégiaux ou les secondaires (recherche de Fournier & Bourassa, 1998). O'Hana
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Salut Guishops, Est-ce que tu parles du visa de résidence permanente (catégorie travailleur qualifié) ou du visa de travail temporaire ? Quoique tu mentionnes que tu as passé ta VM, j'imagine donc que c'est le visa de résidence permanente ... Rendu à cette étape du processus, cela ne devrait pas trop poser de problèmes à l'immigration : normalement, tu as un n° de dossier que l'agent pourra vérifier sur son ordinateur. Vu qu'il ne te reste plus rien à faire si ce n'est attendre ton visa, l'agent pourrait t'autoriser l'entrée au pays mais peut-être qu'il te demandera de signer un formulaire où tu t'engages à quitter le Canada si ta demande de visa s'avère négative en fin de compte. Cependant, cela dépend vraiment à mon sens de l'agent sur lequel tu vas tomber : ça va de l'agent qui fait de l'excès de zèle à celui plus compréhensif ou indulgent. C'est stressant car on a pas de contrôle là-dessus ni aucune certitude. Une fois passé, tu pourrais contacter Paris pour leur indiquer que tu as changé d'adresse et leur indiquer celle où t'envoyer ta lettre de retrait de ton visa. Ensuite, envoi du passeport et tour du poteau. Bienvenue en Estrie ! O'Hana
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Salut la gang, Merci à toutes les personnes qui ont pu venir à cette rencontre mais aussi à celles qui ont exprimé le désir d'y être sans pouvoir répondre présent Ce fût très agréable en commençant par un verre (et des nachos, merci Jimmy !) au restaurant le Cartier pour finir tranquillement à jaser au Parc Jacques-Cartier juste à côté : au moins là, les enfants pouvaient se lâcher sans problème Petit message à l'attention de ma très chère Monika, toujours aussi égale à elle-même tant dans sa bonne humeur que dans sa passion à faire ce qu'elle aime dans sa vie et de sa vie, et qui va personnellement beaucoup me manquer ... Et je sais que je ne suis pas le seul à ressentir cela. Merci d'être simplement toi Monika ! Finalement, j'ai beaucoup apprécié cet afflux très récent d'immigrants qui sont venus s'installer à Sherbrooke, des jeunes comme des moins jeunes, c'est très plaisant à voir cela À la prochaine, Eddy
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Salut Senhajikamal, En allant sur le site web des universités (ou aussi des cégeps s'il veut étudier au Québec), il pourra consulter les programmes offerts dans son domaine et ainsi savoir les conditions d'admission, la description des cours, etc. 1 - une fois un programme choisi, il devrait contacter le responsable du programme pour une évaluation de son profil : ce processus doit aboutir à une lettre d'acceptation de l'établissement 2 - muni de cette lettre, il peut déposer une demande de visa étudiant auprès d'une ambassade canadienne en prouvant qu'il aura les fonds nécessaires pour vivre et payer ses frais de scolarité ici. Si c'est au Québec, il devra d'abord déposer une demande de certificat d'acceptation du Québec (CAQ) auprès d'une délégation générale du Québec à l'étranger et l'inclure dans sa demande de visa fédéral 3 - une fois le visa en poche, il devra au minimum attendre d'avoir un an de résidence légal à titre d'étudiant étranger au Canada avant de pouvoir déposer une demande d'immigration depuis le Canada 4 - cependant, comme étudiant, il ne pourra déposer sa demande d'immigration seulement un an avant la fin prévue de ses études : s'il la dépose avant, l'immigration pourrait refuser de traiter sa demande. un an, c'est généralement le temps moyen pour obtenir sa résidence permanente et cela assure à l'immigration que le demandeur a de bonnes chances de diplômer O'Hana
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Salut Walid, CIC va sûrement te demander pour quelle raison tu n'as pas pu compléter tes études dans le temps déterminé (durée de validité) de ton visa étudiant. Car, généralement, un visa étudiant est délivré pour une période permettant de compléter le diplôme poursuivi (technique, bacc, maîtrise, etc) selon un régime à temps plein et en partant de l'idée que tu n'échouera aucun cours. En ce sens, CIC suit les recommandations du CAQ du MRCI, lui-même émettant un CAQ selon la durée prévue du diplôme indiqué dans la lettre d'acceptation délivrée par l'établissement d'enseignement. Mais théoriquement, un visa étudiant est renouvelable indéfiniment (exemple : poursuite au doctorat après un renouvellement du visa pour faire une maîtrise après avoir obtenu un visa initial pour faire un bacc). Je crois que cela va dépendre de la raison invoqué et aussi après évaluation de tes ressources financières. Si d'autres forumistes peuvent compléter O'Hana
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Salut Pernouel, Comme beaucoup l'ont écrit avant moi, je trouve aussi que la résidence permanente est plus intéressante que d'arriver ici avec un visa étudiant. Il est vrai que la RP coûte cher ... mais obtenir un visa étudiant coûte encore plus cher : pas en termes de frais à payer (125 dollars) mais en termes de garanties à fournir soit essentiellement garantir que tu as les fonds nécessaires pour vivre et payer tes études durant toute la durée de ton programme. À titre indicatif, une session à temps plein coûte en moyenne 1000 dollars en frais de scolarité et un bacc s'effectue généralement en trois ans (six sessions) hors frais de logement, nourriture, etc. Comparativement aux 2000 dollars en moyenne que coûte un processus de RP, ça te change une perspective selon moi ... Surtout qu'en tant que RP, tu auras droit aux prêts et bourses. Pas si tu es étudiant étranger. Et il y a beaucoup de contraintes comme étudiant étranger (obligé d'étudier dans un programme précis, dans un endroit précis, limité au niveau des possibilités d'emploi), contraintes que tu n'aura pas à subir comme RP. Sans vouloir être indiscret, quels programmes de l'Université de Montréal t'intéresse ? En les sachant, probablement qu'on pourra mieux t'aider, qui sait ? O'Hana
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Merci de nous partager cet article très intéressant Nalc, Ça donne en condensé la vision que privilégie le parti actuellement au pouvoir au Québec pour la société québécoise. Sous prétexte de mondialisation et que le Québec doit nécessairement attraper le train pour ne pas être décroché, le gouvernement gère sa mission comme si c'était une entreprise. En donnant justement le gros bout du bâton aux entreprises qui pourront carrément dicter leurs exigences à la société. Ça sent l'explosion sociale à plein nez (si ce n'est déjà fait). Personnellement, je veux bien être entrepreneur dans mon travail mais pas question de le faire si cela signifie écraser quelqu'un à côté. Or, c'est justement le principe du serpent qui se mord la queue : lorsque tu entreprends, tu rentres nécessairement dans une logique de concurrence / domination. Bon, j'arrête mon discours pro-marxiste là O'Hana
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Salut @menophis, Pour ma part, je crois justement que c'est parce qu'il y a eu une grosse part de doute que cela a rendu mon projet d'immigration encore plus intéressant : à vaincre sans péril ... D'autre part, je ne tiens absolument pas à me retrouver, dans dix, vingt ou trente ans, à chanter quelque chose comme "j'aurai voulu être un artiiiiste" parce que j'ai laissé passer une occasion dans le passé. J'imagine le goût amer que ça me laisserait dans la bouche. Ce n'est pas une question que je ne vis qu'une seule fois (et c'est encore moins le cas lorsqu'on croit à la réincarnation hi hi) ou que la vie est trop courte : aucune vie est trop courte ou trop longue, c'est, je crois, "l'utilisation" qu'on en fait qui compte. O'Hana
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re-salut Quenelle, Je ne saurai trop te recommander le site du réseau de la formation professionnelle et technique au Québec pour les programmes d'enseignement du secondaire professionnel et collégial : réseau Inforoute Tu y trouveras les programmes, dans quels établissements il se donnent, la description des cours, les préalables nécessaires, la durée des formation, des liens vers les établissements et même le nombre de places disponibles (surtout pour les DEP). Pour l'universitaire, il n'existe pas à ma connaissance de site web gratuit qui concentre les programmes comme le réseau inforoute. Il faut donc que tu consultes chaque site des universités québécoises (Université de Sherbrooke, Université de Montréal, Mc Gill, Concordia, Laval à Québec et le réseau des université du Québec) où une description complète de chaque programme est disponible. O'Hana





