O'Hana

Salut la tuque et tous les immigrants futurs enseignants au secondaire Tu trouveras sur le lien suivant une description des cours au secondaire dont celui de l'Univers Social sur le site du MEQ (ministère de l'éducation du Québec) : description des matières au secondaire québécois (format PDF) O'Hana

Salut Quenelle, Aucun problème : le système éducatif québécois est très bien adapté pour accueillir le retour aux études des adultes que l'on parle de perfectionnement (formation continue) ou de réorientation de carrière, et ce, à tous les niveaux d'enseignement public (secondaire professionnel, collégial et universitaire). Médecine : très difficile. C'est la compétition ultra acharnée pour intégrer une des quatre facultés de médecine du Québec. À celle de Sherbrooke par exemple, la faculté n'accueille seulement que deux médecins immigrants par promotion et seulement s'ils satisfont aux examens d'admission et ils doivent s'attendre à être intégré, en cas de réussite, qu'en première année de doctorat de 1er cycle en médecine. Instituteur : ce qu'on appelle enseignant au pré-scolaire, primaire ou au secondaire selon l'ordre d'enseignement choisi. La voie quasi-obligatoire dans ton cas (car tu n'es pas enseignante en partant) sera de faire soit le BEPP (bacc en enseignement préscolaire et primaire) ou le BES (bacc en enseignement secondaire) qui durent chacun 4 ans et qui donnent accès au permis d'enseignement délivré par le Ministère de l'Éducation du Québec. J'ignore cependant si tu pourras travailler avec l'un de ces deux diplômes en France si tu y retournes un jour. O'Hana

Salut Goldman, Je travaille au Cégep de Sherbrooke pas comme enseignant mais comme conseiller en orientation auprès des étudiants en francisation à raison d'une journée par semaine. Par la force des choses donc, je connais un peu le milieu. À ma connaissance, chaque cégep est autonome dans son fonctionnement, ce qui inclus le recrutement de son personnel. Il ne faut pas passer par une instance centrale comme les commissions scolaires pour les écoles secondaires. Il te faut donc en effet cibler les cégeps qui t'intéresse et contacter ainsi directement le service des ressources humaines de chaque établissement pour appliquer. Je ne le connais pas précisément pour les enseignants mais je sais que c'est un milieu de travail recherché pour les bonnes conditions de travail, la rémunération et les avantages sociaux. Je ne peux pas me fier à ma propre échelle salariale à titre de conseiller pour te répondre car je n'y suis que "permanent occasionnel" et je n'ai pas les mêmes fonctions qu'un enseignant. Je te donne le lien vers le site de la Fédération des Cégeps du Québec qui te donnera beaucoup d'infos sur ce qu'est un cégep et dans la rubrique "carnet d'adresses" tu trouveras tous les cégeps du Québec avec leurs coordonnées. Il est vrai que cela prend de plus en plus un diplôme de second cycle universitaire pour enseigner au cégep (sauf peut-être dans les filières techniques). Cependant, ta connaissance de l'histoire ne concerne pas celle du Québec si je ne m'abuse ... Ca sera probablement la critique principale qu'on te fera et il serait alors peut-être intéressant que tu t'appropries l'histoire du Québec par tes propres lectures ou en contactant des enseignants en histoire au collégial pour connaître exactement les exigences de contenu pédagogique à maîtriser. D'autant plus que dans le domaine de l'histoire, les programmes ont été refondus il y a deux ou trois ans au cégep. Dernière info : si ta candidature est acceptée, il faudra probablement t'attendre à travailler au début comme surnuméraire occasionnel, i.e. par contrat pour remplacer du personnel en congé maladie par exemple. Il est assez rare de nos jours à pouvoir être embauché dans un cégep directement comme permanent à temps plein. O'Hana

Oui, il faut se décider gang ... En mettant le 21, on "perd" Angulo, En mettant le 28, on "perd" Mimiz, Mais je me dis que ces deux forumistes sont à Sherbrooke, il y aura donc d'autres occasions de se revoir. À cela s'ajoute une priorité personnelle en ce qui me concerne, soit de revoir une dernière Monika avant qu'elle ne nous quitte pour d'autres cieux Comme il faut choisir, je suivrai donc pour ma part la proposition d'Isseoasherbrooke : le 21 août à 15:00 au lieu indiqué au Parc Jacques Cartier. Concernant la météo, au pire, nous pourrons aller au Restaurant-bar le Cartier qui est juste à côté du parc : beau cadre et à l'abri de la pluie, qu'en pensez-vous ? J'attends vos confirmations ou autres suggestions ! O'Hana

Salut la gang, Petite rectification : Le Québec gère son propre système d'aide financière aux études et seuls les résidents québécois y ont droit de manière générale (donc, pas tous les étudiants canadiens). L'aide financière se compose de prêts et de bourses : les bourses sont un don alors que les prêts sont remboursables avec intérêts (sinon, ça ne s'appelerait pas des prêts, n'est-ce pas ). Le taux est de 4.5% environ et le gouvernement actuel au Québec a décidé récemment d'augmenter la part de prêts versus la part de bourses ... O'Hana

Appel entendu fort et clair Red Tom_anais, je ne te parlerai qu'au niveau du Québec car c'est encore le système éducatif que je connais le mieux au Canada. Et à cet effet, j'irai exactement dans le même sens que RedFlag : les départements universitaires sont quasiment souverains dans la valeur qu'ils accordent aux diplômes étrangers dans une demande d'admission dans un programme. Il y a bien des lignes générales (comme celle qui dit qu'un bacc français équivaut en effet à un DEC et permet l'admission à un bacc québécois) mais, dans le détail, cela dépend quel genre de bacc tu as fait et quel bacc - québécois - tu veux intégrer. Quelle genre d'infos précisément tu recherches ? O'Hana

Salut Ghislaine51, Pour tenter de répondre à ta question, je crois qu'il est important de resituer le contexte québécois concernant les professions en relation d'aide. Par aidant professionnel, on entend surtout les psychologues, les psychiatres et les psychanalystes grosso modo. Autour de ces trois professions gravitent une multitude d'autres professions en lien avec la relation d'aide dépendamment de la clientèle, du milieu, etc (psychoéducateur, travailleur sociaux, conseillers en orientation, etc). Dans cette offre de service aussi diversifiée, il existe encore actuellement cependant un vide autour de la profession de psychothérapeute. Cette profession, portée et assumée généralement par les psychologues, ne bénéficie en effet d'aucun cadre juridique : en clair, à l'heure actuelle au Québec, n'importe qui peut être psychothérapeute et avoir pignon sur rue, même sans voir suivi de formation appropriée. Je te laisse imaginer les conséquences que cela peut avoir sur la qualité du service rendu à la population ; conséquences que d'ailleurs l'Émission Enjeux sur Radio-Canada a souligné de manière éloquente dans un de ses reportages à vous faire glacer le sang dans les veines. Tout cela pour dire que l'Office des Professions n'a pas eu le choix que de se saisir du dossier et elle planche actuellement à réglementer cette profession pour éviter dérives et abus (voir exemple ici). Il faut donc s'attendre à ce que les professions en relation d'aide, et celle de psychothérapeute en particulier, soient toutes réglementées à terme, ce qui peut signifier concrètement dans l'obligation d'être membre d'un ordre professionnel par exemple (avec tout ce que cela implique : être diplômé d'un centre de formation accréditée, passer des examens, être en supervision obligatoire durant une période de probation, etc). À date, de ce que j'en sais, l'Office semble s'enligner dans l'obligation de détenir un diplôme de second cycle universitaire minimum dans un domaine pertinent pour pouvoir pratiquer légalement en relation d'aide. Mais ce n'est pas encore décidé officiellement mais si la tendance se maintient, cela deviendra une réalité à court moyen terme. Il serait certainement très intéressant de savoir dans quelle école québécoise tu as obtenu ton diplôme en relation d'aide : il serait alors peut-être plus facile de savoir s'il te sera plus aisé de pratiquer ici ou pas. O'Hana

Salut la gang, Travaille-nous ça Monika Cool Yeux_verts ! Hey, c'est sûr qu'on veut de toi mon cher Baloo ! Par contre, niveau hébergement, je connais pas trop pour Sherbrooke (ne les ayant pas trop utilisé), des personnes ont des suggestions ? Cela n'a été confirmé nulle part mais pas mal induit implicitement j'ai l'impression Monika Aucune date n'a encore été arrêté officiellement à ma connaissance : cependant, que ce soit le 21 ou le 28, je crois qu'on "perdra" du monde anyway ... O'Hana

Salut Alain, Voici l'information la plus précise que j'ai pu trouver à date : Si je trouve mieux, je posterai un message sans tarder dans ce fil de discussion. O'Hana

En effet, je viens de l'apprendre aujourd'hui, c'est cool Passeport biométrique : les E.-U. reportent leur délai au 26 octobre 2005 O'Hana

Salut la gang, Pour ma part, je ne vois aucun inconvénient - bien au contraire - à ce que tu te joignes au party Jaoli Pô pire ta période Frampol, pô pire pantoute O'Hana

Salut l'egécien ! Pour ma part, ce que je te suggère, c'est de prendre contact avec les responsables de chacune des deux maîtrises (celle de l'UQÀM et celle de Sherbrooke) pour qu'ils évaluent la pertinence de ton futur diplôme niveau licence (et de premier cycle dans le système québécois), et voir ainsi si tu peux être admis inconditionnellement (directement) ou conditionnellement (en suivant des cours préalables à l'entrée de la maîtrise). Ce qui est bien, c'est que tu comptes poursuivre dans le même domaine (administration des affaires) que celui dans lequel tu es déjà : ils pourront ainsi évaluer plus facilement tes cours en finance, compta, marketing, droit des sociétés, etc. O'Hana, egécien - promo 97

Salut, Il faudrait peut-être définir ce qu'on entend exactement par "le Québec". Personnellement, j'y vois un rapport de forces entre plusieurs acteurs chacun essayant de défendre ses propres intérêts. En gros : - le gouvernement via le MRCI qui essaie de pallier au manque de relève de la main-d'oeuvre avec l'immigration - les ordres professionnels qui essaient de protéger à tout prix les intérêts de leurs membres en réglementant l'accès à beaucoup de professions - le système éducatif qui, à mon sens, ne peut voir d'un très bon oeil l'arrivée de tous ces immigrants déjà formés et possédant de l'expérience professionnelle - et bien évidemment l'immigrant qui essaie de chercher une qualité de vie qui passe essentiellement par intégrer le marché du travail L'Etat, par son rôle, n'a pas le choix de tenir compte de tous ces intérêts (le plus souvent opposés) dans sa politique d'immigration sans parler de son devoir d'assurer des services d'insertion et de qualification pour ses citoyens déjà en partant. Je ne crois donc pas qu'on peut arriver aussi facilement à la conclusion que "le Québec n'a pas besoin de francophones" ... Au contraire. Mais pour préserver ce fragile équilibre qu'est la qualité de vie que recherche justement l'immigrant, il ne peut pas ouvrir les vannes aussi facilement à l'immigration sans finir par se mettre à dos l'opinion publique. Pour être capable d'offrir une qualité de vie à ses immigrants, le Québec doit se doter de structures conséquentes et cela prend du temps. Et comme l'écrit JayJay, la reconnaissance des diplômes est un problème qui n'est pas endémique au Québec. O'Hana

Salut Mec_Dan, En prouvant à l'agent d'immigration que tu as l'intention de quitter le Canada à l'expiration de ton visa de touriste. Cette preuve peut être apportée de plusieurs manières : - preuve d'emploi stable, temps plein et bien rémunéré dans ton pays - actifs à ton nom (maison, auto, terrains, etc) - famille au pays Je te souhaite de l'obtenir O'Hana

Salut Jer, De mon expérience, j'ai jamais eu à les utiliser ni recommander à des clients de le faire dans leurs démarches de recherche d'emploi. Cependant, cela n'exclue pas la possibilité et pour éviter de se retrouver dans une telle situation, mon opinion est mieux vaut trop que pas assez. J'ai donc amené avec moi mes bulletins de notes et un descriptif détaillé de mes cours même si je ne les ai jamais utilisé jusqu'à maintenant. Je crois cependant que ça peut s'avérer pertinent lorsqu'on parle d'emplois spécialisés exigeant des compétences ou des techniques particulières ... Savoir exactement dans quoi tu as étudié et si tu maîtrises bien tel ou tel concept peut alors en effet rassurer grandement l'employeur québécois O'Hana

Salut la gang, Vaste problème en effet. Mon impression d'ailleurs est que la conception de la citoyenneté aux USA est très axée sur le libéralisme : les institutions et l'Etat ont pour mission que de servir de moyens pour le citoyen qui peut les utiliser à sa convenance pour atteindre ses propres objectifs personnels de bien-être, etc. Ils ne doivent donc être en aucun cas des entraves et faire de l'interventionnisme (ou de l'ingérence selon le point de vue). Alors qu'au Canada, la conception de la citoyenneté est surtout d'approche républicaine (pas au sens du parti républicain aux USA) avec des valeurs fondamentales telles que la liberté, l'égalité et la fraternité. Concrètement, l'Etat et ses institutions doivent appuyer et aider le citoyen (donc, faire de l'interventionnisme) et la responsabilité étatique est souvent sollicitée d'ailleurs. O'Hana

Parce que Meadow a un passeport de l'ancienne version et qu'à partir d'octobre 2004, seul le passeport nouvelle version (lecture optique) sera accepté pour aller aux États-Unis Mylène J'en ai encore eu la confirmation dernièrement par un agent des douanes US. Elle pourra toujours aller aux USA avec son passeport mais elle devra d'abord faire une demande de visa à l'ambassade des USA à Ottawa (toujours selon l'agent) et ne pourra donc pas se présenter sans visa à un poste frontière américain. Ca ne l'empêchera pas de faire le tour du poteau mais ça rallongera et compliquera significativement l'affaire (alors que c'est censé être simple). Meadow, il te reste encore la possibilité de faire une prolongation de séjour auprès du centre de traitement des demandes à Vegreville en Alberta. O'Hana

Pour faire du pouce sur ce que SoniaUSA écrit, le tour du poteau est en effet une image : pour bien la comprendre, il faut savoir que cela ne peut évidemment pas se faire à un poste frontière comme un aéroport mais à un terrestre (comme les nombreux qui existent le long de la frontière avec les États-Unis). Ainsi, pour faire valider un visa, il faut obligatoirement arriver de l'extérieur du Canada : il s'agit donc d'aller aux États-Unis en auto par exemple et expliquer aux agents américains qu'on veut valider un visa au Canada. Habitués à cette pratique, les agents te laissent alors faire le tour de leur poste frontière (d'où le tour du poteau) te permettant ainsi de revenir au Canada depuis les États-Unis. Ca revient beaucoup moins cher que de prendre l'avion et de revenir à Trudeau et tu peux soit te faire refuser l'entrée aux États-Unis (sans conséquence majeure) soit en profiter, comme l'écrit SoniaUSA, pour passer quelques jours aux États-Unis et revenir ainsi au Canada et valider ton visa. À Stanstead en Estrie par exemple, cela revient à faire seulement une cinquantaine de mètres et revenir sur tes pas : c'est un peu étrange quand tu le fais la première fois mais après, tu trouves ça normal O'Hana

Pour ma part, j'en ai jamais entendu parler depuis que je suis mais ça ne signifie nécessairement pas que cela n'existe pas, des forumistes ont une idée ? Au Canada, je ne vois pas comment tu peux te créer une vie en toute légalité sans avoir de statut légal : à un moment ou à un autre, tu dois sortir ou ta carte d'assurance-maladie ou ton permis de conduire ou donner une preuve de ton statut au Canada (citoyen, indien, résident permanent, etc) pour acheter une auto, pour un prêt, travailler ou t'inscrire dans un établissement d'enseignement. C'est évident que la fraude existe comme de fausses cartes NAS par exemple mais, simplement sur le plan psychologique, je trouverai ça difficile de tolérer une telle vie clandestine. Quoique l'esprit humain est capable de s'habituer à beaucoup de choses ... O'Hana

Pour moi, Zogu a tout dit dans l'essentiel Bonne chance Toursette pour ton entrevue de demain ! O'Hana PS : Zogu, je trouve que tu as une trèèès mauvaise influence sur le forum ... oui, oui ... Avec toi, le FAQ n'a plus aucune utilité et les forumistes n'ont qu'à poster un message sur le forum et attendre que tu répondes (au cas où, c'est juste une jooke hein )

Tout à fait d'accord : le fameux "green paper" Mon sentiment par ailleurs est que l'économie américaine est à ce point gangrénée qu'elle ne peut plus se passer de ces immigrants clandestins pour la force économique qu'ils finissent par représenter dans le PIB. Certains finissent par pouvoir même créer leur propre entreprise, avoir un permis de conduire, payer des impôts, s'acheter une maison, etc alors qu'ils n'ont pas de statut légal. Ils permettent en effet à beaucoup d'entreprises d'économiser sur les charges sociales ou tout simplement de bénéficier d'une main-d'oeuvre à très bon marché qui, évidemment, n'ira pas se plaindre aux lois du travail. En disant cela, je ne jette pas la pierre que sur les États-Unis : je sais pertinemment que les autres pays occidentaux devraient balayer devant leurs portes avant de le faire devant celles des autres. O'Hana

Aucune idée Mylène Mais j'imagine que sur présentation de l'acte de décès, l'ambassade doit probablement réviser le dossier d'immigration pour les accompagnants mais cela ne doit pas signifier pour autant la fin de la procédure. De toute façon, je me dis qu'un tel événement doit remettre en question toute l'aventure de l'immigration pour le reste de la famille (ne serait-ce que du point de vue financier si le requérant principal était le soutien de la famille par exemple). O'Hana

Up date : - skribskred - carolynbox - bamsounet - isseoasherbrooke - el.crapo et son ami - Nadia - Mimiz - Jimmy - Frampol - Monika (youhou !) - O'hana Les Boudhettes en stand by Frampol : si on va dans un lieu public (comme le parc J Cartier), je pense pas qu'on aura le droit de boire de la bière ... Mais si on change d'endroit, moi je suis dans ma période Heinekein, Stella Artois et Beck's et toi ? O'Hana

Salut Lucye, Ayant moi aussi étudié et travaillé au Québec, j'avais inclus des copies certifiées conformes de mes visas dans mon dossier d'immigration. Je précise que j'ai déposé ma demande depuis le Canada donc il m'avait été demandé de fournir une preuve de mon statut légal au pays à titre d'étudiant puis de travailleur. Dans ton cas, je ne pense pas que cela puisse jouer en ta défaveur, bien au contraire : à mon sens, tu leur facilite leur travail (traduction pour toi : ça peut avoir un effet positif sur le délai de traitement de ton dossier) et tu manifestes ainsi un esprit de transparence. Avec les informations figurant sur les copies de tes visas, il est en effet facile pour l'ambassade de vérifier l'authenticité et la véracité de tes documents. Sans parler que cela démontre également ta connaissance du pays et aussi que tu n'as jamais été refusé dans une demande de visa pour le Canada. Je ne me rappelle plus trop les documents supplémentaires (donc, non demandés officiellement) mais je crois que j'avais inclus des lettres d'employeurs ou de professeurs indiquant ma capacité d'adaptation, ma connaissance du marché du travail, etc. Aucune idée si cela a pu avoir une influence ou non sur la vitesse de traitement de mon dossier (4 mois en tout à Buffalo) : en tout cas, je me suis assuré que l'agent avait tous les éléments dans mon dossier qui lui éviterait de se poser des questions et qui l'aurait obligé de faire des recherches supplémentaires. O'Hana

Salut la gang, Jorune amène un excellent point sur la pertinence et la raison d'être du requérant principal. Par contre, je suggère de contacter avant tout l'ambassade car il est rendu à l'étape du fédéral dans son processus d'immigration (même si la DGQ peut se révéler importante comme ressource). Malheureusement oui Isseo17 : les personnes accompagnant le requérant principal doivent arriver après ou en même temps que ce dernier. O'Hana