O'Hana

Salut, Je ne connais pratiquement pas les centres de formation privé en marketing pour les raisons suivantes : 1 - l'enseignement privé coûte très cher et cela réduit d'autant plus le bassin de personnes qui peuvent s'offrir cela et donc, cela réduit d'autant plus le pourcentage de clients que je rencontre qui y sont intéressés 2 - l'enseignement public (collège et universités) dans le domaine du marketing offre déjà des programmes en la matière très bien structurés et de haut calibre : HEC Montréal en est un très bon exemple Par ailleurs, la formation privé offre généralement peu de formation complète (marketing) mais surtout des contenus bien ciblés (fidélisation de la clientèle, étude de marché, stratégies de communication, etc). Non, c'est l'inverse : une fois ton visa en poche, tu peux t'inscrire dans un établissement d'enseignement. Et pour avoir le visa, il faut obtenir une offre d'admission. Et pour obtenir cette offre, il faut que le service d'admission reconnaisse que tu as le profil approprié pour intégrer un programme de formation. O'Hana

Salut Mec_Dan, Je pense que oui : de un, tu connais déjà un peu le système scolaire québécois et de deux, tu ne vivras pas l'isolement sans aucun support que connaissent beaucoup d'étudiants étrangers ici. Cela peut être très significatif dans ton adaptation au pays (et par voie de conséquence, dans ta réussite aux études). Ce qui serait probablement intéressant, c'est que ta famille présente au Canada rédige et signe une lettre d'engagement dans laquelle elle indique clairement qu'elle va subvenir à tes besoins (subsistance et frais de scolarité) pendant toute la durée de tes études. C'est un compromis intéressant lorsqu'on ne dispose pas des fonds nécessaires en totalité pour la demande de visa. De quelle condition parles-tu ? Celle d'avoir les fonds nécessaires pour subvenir à tes besoins durant toutes tes études ? Pour ma part, je la trouve exigeante en effet mais appropriée : l'idée est d'éviter de retrouver au Canada des étudiants étrangers en situation extrêmement délicate sur le plan financier avec toutes les conséquences que cela implique. Celle de ne pas pouvoir travailler durant ses études (sauf les exceptions mentionnées par Gegodoo) ? Encore une fois, je trouve celle-ci exigeante également mais appropriée pour la même raison que citée précédemment. Si déjà, tous les étudiants canadiens ne rencontraient pas de difficultés à financer leurs études, l'immigration serait certainement plus souples avec les étudiants étrangers. Mais ce n'est malheureusement pas le cas. On ne peut pas demander au Canada de prendre en charge les difficultés de ses résidents qui ne sont pas ciotyens, ni résidents permanents ni réfugiés. La seule mesure que je trouve très contraignantes est celle des frais forfaitaires que doivent payer les étudiants étrangers en plus des frais des scolarités (à l'exception d'étudiants venant de certains pays comme la France par exemple). Ces frais peuvent en effet monter jusqu'à 4000 dollars par session + les frais des scolarité (environ 1000 dollars par session à temps plein) sans parler les frais de subsistance ... Je comprend que les deux paliers de gouvernement veulent, par cette mesure, éviter de financer les études d'étudiants qui ne sont pas citoyens au pays (les frais de scolarité, de mémoire, ne couvrent que 15% des charges totales que représente chaque étudiant pour le système éducatif au Québec). Mais je trouve les conditions d'obtention d'un visa étudiant assez élitistes sur le seul critère financier ... Mais j'ai cette opinion dans la mesure où je considère l'éducation comme un bien commun. O'Hana

Merci Gegodoo pour ce correctif, J'étais effectivement parti dans ma réponse avec l'idée que DragoNoob arriverait au Canada avec le visa de résident permanent et non avec celui de visa étudiant. O'Hana

Salut, Des centres de formation privés dans quel domaine précisément ? Parce que ce n'est pas ce qui manque au Québec, surtout dans la région de Montréal ... En marketing je suppose ? De toute façon, on parle ici d'études (que ce soit dans le privé ou dans le public) et l'établissement va demander ton CAQ et ton visa d'études pour vérifier si tu peux étudier légalement au Canada et ainsi t'inscrire dans un de leur programme. O'Hana

Salut Sophie1963, Il faudrait que tu contactes le responsable du programme du baccalauréat (équivalent de la licence en France) en enseignement de l'éducation physique et de la santé de l'Université de Montréal. Voici la page web qui parle de ce programme : bacc en enseignement de l'éducation physique et de la santé de l'UM. De ce que j'en sais, cela prend nécessairement un DEC (le bacc français) pour être admis ou avoir déjà complété au moins 24 crédits universitaires si on a pas le DEC. O'Hana

Salut Wizi, J'ai en effet entendu parler de ce programme à HEC mais, de mémoire, je crois qu'il s'agit des candidats adultes admis en classe du soir au programme du B.A.A. ou en classe préparatoire au B.A.A. car ils ne sont justement pas titulaires d'un DEC qui leur aurait permis d'entrer en classe du jour à ce bacc. HEC est un peu un "cas à part" car c'est une sorte d'école de commerce version québécoise mais affiliée à l'Université de Montréal : il se pourrait donc qu'il existe des spécificités administratives relatives à l'admission que je ne connais pas et dans lesquelles je ne veux pas me risquer à répondre au risque de dire des bêtises Le fait que ton ami soit allé en SN est cependant déjà un bon point car cela suppose de bonnes aptitudes en sciences pures (mathématiques et finances pour faire le lien avec l'administration des affaires). Il aurait tout intérêt à contacter le service du registraire de HEC Montréal pour en avoir le coeur net. O'Hana

Salut, Je suis partant en ce qui me concerne Le parc Jacques-Cartier me paraît tout indiqué : bien desservi par les bus et c'est un coin de verdure au bord d'un lac (une rivière en fait). Je laisse les autres prendre le relais, O'Hana

Salut Le_bronx2003, En termes de délais, et de manière générale, ce qui s'obtient le plus rapidement par ordre décroissant : - un visa d'étudiant (obtention en quelques semaines) mais il faut obtenir une lettre d'admission et surtout prouver que tu vas pouvoir subvenir à tes besoins et payer tes frais de scolarité pendant toute la durée de tes études. Visa à durée maximale de trois ans, renouvelable quasiment indéfiniment sur preuve d'admission à un programme d'enseignement - un visa de travail (obtention en quelques semaines aussi) mais il faut obtenir une promesse d'emploi d'un employeur canadien, ce qui n'est pas chose aisée à distance. Visa d'une durée maximale d'un an renouvelable en théorie - un visa de résidence permanente (obtention entre un an et plus, surtout pour les demandeurs du Magrheb) qui te confère les mêmes droits qu'un citoyen canadien sans avoir la citoyenneté ni le droit d'avoir un passeport. Statut permanent mais la carte à renouveler tous les cinq ans et qui offre le droit d'obtenir la citoyenneté après trois années de résidence au Canada Je ne parle pas du Visa vacances travail car tu n'y es pas admissible à ma connaissance. Sinon, il y a aussi le parrainage. O'Hana

Bonjour Clem_1989, Pour étudier au Québec à titre d'étudiant étranger voici la procédure à suivre : 1 - obtenir un certificat d'acceptation du Québec (CAQ) à obtenir auprès d'une délégation générale du Québec (DGQ), il y en a une à Paris, rue de la Boétie. Ce document au coût de 100 CAD est obligatoire pour toute inscription dans un établissement d'enseignement québécois. Voici la procedure à suivre. 2 - une fois le CAQ obtenu, déposer une demande de visa d'études auprès d'une ambassade canadienne, il y en a une à Paris. Voici la procedure à suivre. Dans une réponse que j'ai récemment posté : document a fournir pour obtenir un CAQ, tu trouveras une façon d'obtenir la lettre d'admission obligatoire à fournir et pour le CAQ et pour le visa d'études. De mémoire, il te faudra aussi fournir des preuves financières pour subvenir à tes besoins durant toute la durée des études. Je laisse les autres forumistes compléter ou corriger mes informations. Ancien étudiant étranger au Québec, je peux te parler de ma propre expérience mais si tu es en mesure de me dire précisément quelles infos tu recherches, je serai alors plus à même de te répondre O'Hana

Salut DragonNoob, Les techniques du collegial (équivalent du BTS en France) permettent de travailler à côté tout en étudiant. À ma connaissance, il n'existe pas de formule d'apprentissage par alternance au niveau collégial : au niveau secondaire professionnel (CAP et BEP) oui ainsi qu'au niveau universitaire (régime coopératif : une session de cours puis une session en stage rémunéré). Beaucoup d'étudiants au collège ici travaillent à côté de leurs études mais c'est surtout les fins de semaine : les heures ouvrables (de 09:00 à 17:00) en semaine sont surtout destinées aux heures de cours. Il y a plus de flexibilité au niveau universitaire où tu peux quasiment te faire un menu à la carte (étudier à temps partiel voire très partiel, choisir tes cours pour chaque session, etc). O'Hana

Les détenteurs de l'ancienne version du passeport doivent payer une exemption de visa de 6 USD. Ils pourront par ailleurs rentrer aux USA jusqu'en octobre prochain mais devront par la suite faire une demande de visa dans une ambassade américaine avant de se présenter aux postes de frontière. Les détenteurs de la nouvelle version du passeport (à lecture optique) ne paient effectivement aucun frais. O'Hana

Salut Pucca, Voici la démarche que je te suggère : 1 - déterminer quel programme (baccalauréat, maîtrise, certificat ...) tu désires suivre au Québec 2 - aller sur les sites des universités québécoises (UQÀM, UM, Laval, Sherbrooke, Concordia, McGill et le réseau des universités du Québec) et te rendre sur la page du programme qui t'intéresse 3 - sur cette page figurent généralement le nom et les coordonnées du responsable de ce programme : entre en contact avec cette personne pour qu'elle évalue ton profil et voir si tu es admissible au programme visé (d'autant plus pertinent dans la mesure où tu as une formation hors-Québec) 4 - si tu es admissible, cette personne te proposera alors de remplir la demande d'admission (plus ça va, plus ce formulaire peut être téléchargé en ligne) puis de l'envoyer au service du registraire de l'université : une fois qu'il l'aura reçu, ce service le transfèrera à la faculté et au département concerné pour atterrir finalement sur le bureau du responsable du programme qui validera ta demande d'admission vu qu'il ou elle aura avalisé ton profil 5 - le service du registraire t'enverra alors en France une lettre d'admission que tu pourras inclure dans ta demande de visa d'études : après, tu pourras confirmer l'invitation d'admission en t'inscrivant au programme Sur la page web, il est souvent indiqué quelles sont les pièces à fournir pour une admission. En parlant avec le responsable du programme, peut-être que cette personne te demandera d'autres documents (c.v., bulletins de notes, etc). Bonnes démarches, O'Hana

Salut Hamid9, Cela peut être effectivement éliminatoire mais ça sera à l'agent médical de l'ambassade d'éavaluer la gravité de tes difficultés psychologiques sur la base de tes résultats et du diagnostic des médecins qui t'ont traité. Son évaluation se fera essentiellement sur deux plans : - vérifier si tu peux constituer un fardeau excessif pour les services de santé canadiens (ex : devoir retourner en thérapie voire même un internement) - vérifier si tu peux constituer un danger pour la sécurité publique canadienne Bon courage, O'Hana

Salut kya de coriande, Pour commencer, voici le lien vers Emploi-Québec qui traite de la profession d'ébéniste avec description de la profession, tâches, perspectives professionnelles par région du Québec, salaire moyen, etc Et ici le lien vers le comité sectoriel de main d'oeuvre des portes et fenêtres, meubles et armoires de cuisine où beaucoup d'ébénistes oeuvrent au Québec. Bon surf ! O'Hana

Salut Loïc 13, Ton post-doc se fera, j'imagine, sous le cadre de travailleur étranger hautement spécialisé. Dans ce cas, je pense que ta conjointe devra rentrer au Canada sous le statut de visiteur et envoyer ensuite une demande de visa de travail ouvert au centre de traitement des demandes à Vegreville en Alberta en se prévalant du projet pilote pour conjoint. Tu trouveras plus de détails ici. O'Hana

Salut Iso, Je crois que le délai de 12 semaines est le délai officiel que CIC donne étant donné le gros volume de cartes RP qu'il doit fournir. Prend note aussi que CIC donne toujours de plus longs délais afin d'avoir une marge de manoeuvre et éviter ainsi des plaintes pour retard, etc. Dans les faits, il faut compter entre 4 à 5 semaines pour obtenir ta carte de manière générale : c'est en tout cas le délai moyen que je constate autour de moi et sur le forum par exemple. Je ne sais pas si ce délai moyen peut te rassurer compte tenu de tes préoccupations familiales. Sinon, tu peux te rendre au bureau de CIC de Sherbrooke (sur la rue King Ouest dans le grand bâtiment qui regroupe Postes Canada, CIC, Ministère du Revenu et les Forces Canadiennes) en leur expliquant ta situation. Cependant, effectivement, sans carte RP, il te faudra un titre de voyage unique à aller chercher et payer dans une ambassade canadienne avant de pouvoir rentrer de nouveau au Canada. Au fait, bienvenue à Sherbrooke O'Hana

Salut, 4 semaines pour recevoir ma carte RP et 4 semaines aussi pour celle d'Impatience car c'est à mon adresse postale qu'elle a été envoyé. O'Hana

Salut Vancoussieum, Tu seras normalement admissible au régime d'assurance-maladie de la CB en tant que citoyen canadien. Je crois comprendre que c'est payant mais qu'il n'est pas obligatoire de s'y inscrire. En tant que nouveau résident, tu y seras admissible à partir du dernier jour du deuxième mois suivant le mois de ton arrivée dans la province. Plus de détail sur ici. Je te met également le lien vers le Ministère des Services de Santé de la CBoù tu trouveras aussi le BC Healht Guide. En espérant que cela puisse t'aider, O'Hana

Wow wow wow ... C'est l'été ... Il fait beau et chaud ... Je tombe en vacances demain ... Me semble que ça en fait des circonstances atténuantes pouvant expliquer mon "pourissage de fil de discussions" trèès accidentel : normal que je me relâche un peu O'Hana

Ouen, toute une pendaison de crémaillère en perspective (Oh my god, je suis en train de pourrir un fil de discussions finalement, c'est vrai que tu as une mauvais influence Peanut ) O'Hana

Salut Skyteamtrainee, M'a finir par demander des honoraires (c't'une joooooke) Oui, pour ta première question. Et oui, malheureusement, pour ta seconde question aussi. Parce qu'après le CSQ, il te faudra aller chercher ton visa de résidence permanente au niveau du fédéral, le CSQ ne sera pas suffisant. Le CSQ est nécessaire pour 1) la personne qui veut immigrer au Québec et 2) pour prouver au fédéral que la province de Québec t'a sélectionné. Et comme le fédéral a ses propres exigences aussi (dont celle d'un an d'expérience professionnelle), il faudra que tu ailles la chercher. Je ne sais pas si cela aura la même valeur "convaincante" qu'un visa de travail classique mais je ne pense pas trop m'avancer en disant que cela peut constituer un atout solide dans ta demande d'immigration. Parce que cela prouvera que tu es capable de te trouver un travail par toi-même et que tu t'es suffisamment adapté aux conditions d'emplois canadiennes pour qu'un employeur soit prêt à produire une lettre aussi favorable pour toi. Disons que le visa de travail classique a une valeur formelle et officielle car délivré par l'immigration elle-même alors que la lettre dont tu parles aura une valeur informelle ; valeur dont l'immigration va en décider la pertinence arbitrairement. Pour cette question, il faudrait que tu t'adresses aux PVT car ils sont plus spécialisés que moi pour te répondre : personnellement, je n'ai jamais utilisé le PVT mais des expériences sur le forum semblent montrer que c'est possible. Et sans devoir quitter le Canada en plus. O'Hana

J'aurai le goût de te répondre que cela dépend vraiment de la relation que tu es en train de développer avec la personne ... Je m'explique : il y a les connaissances qui ne reste que des connaissances, il y a les amis de passage que tu es content de les voir quand tu les vois et tu ne t'en portes pas plus mal quand tu ne les vois pas (et c'est réciproque). Et il y a les amis, qui, pour diverses raisons, tu développes de grandes affinités et avec qui tu as envie de développer quelque chose de durable et de régulier. Ce genre d'amitié, je pense, se développe dans le temps et hors du temps : dans le temps car une amitié solide se mesure souvent au nombre d'années et hors du temps car cette amitié peut tellement être forte que la séparation physique de plusieurs mois ou années ne pourra jamais l'entamer (à ce sujet, un bon film québécois qui illustre cela c'est les Invasions Barbares). Enfin, j'aurai le goût de rajouter un dernier élément mais, attention, n'y voir aucun préjugé ou jugement hâtif : à mon âge (proche de la trentaine), il m'est assez rare de développper de nombreuses amitiés comme lorsque j'avais 14-15 ans où j'avais pratiquement une dizaine de "nouveaux amis" à chaque année (et j'en perdais autant aussi d'ailleurs à chaque année ). Ainsi, j'ai plus envie aujourd'hui de développer sur la qualité que sur la quantité : ceci venant probablement expliquer mon besoin de me projeter davantage dans mes relations. O'Hana

Yess, toutes mes félicitations Peanut !! Un jour, mon tour viendra aussi patience patience ... O'Hana

Salut la gang, Mettons que pour ma part, j'ai aussi slalomé dans les dédales de l'immigration depuis mes cinq ans de résidence au Canada : j'ai été à quelques reprises à la limite dans mes délais d'expiration et grâce à la compréhension des agents d'immigration que j'ai rencontré, tout s'est passé sans problème. Cela pour dire que l'immigration canadienne est, généralement, toujours ouverte à la discussion à partir du moment où on peut les convaincre de la sincérité et de la légalité de nos motivations. Mettons aussi que ma vision de l'expérience d'immigration des VanSteph je la pose volontairement à partir des yeux de l'immigration qui, comme vous le savez aussi bien que moi, préférera l'application stricte des lois que l'ouverture à d'éventuelles dérives dont elle a la charge de d'éviter que cela arrive car elle devra en rendre des comptes au gouvernement (et devant la société canadienne par extension). Les VanSteph n'ont pas du tout le profil d'immigrants illégaux d'après ce que je peux lire sur leur profil. Mon inquiétude se pose seulement sur l'interprétation implicite (et tout à fait non-intentionnel de leur part j'en suis convaincu) que cela peut créer chez d'éventuels forumistes qui ont hâte d'arriver au Canada une envie de débarquer alors que le processus n'est pas entièrement complété. Et je met tout cela dans une perspective de paranoia qui touche l'Amérique du Nord plus particulièrement depuis 9/11. Je peux porter le chapeau de l'alarmiste en écrivant cela mais, encore une fois, je pose ma réflexion au niveau de l'immigration qui doit gérer des milliers de dossiers et qui, je pense, ne doit pas être trop favorable à l'idée qu'elle autorise l'accès au pays à des immigrants non encore reçus officiellement et qui pourraient s'évanouir dans la nature (encore une fois, je parle en termes généraux sans viser les VanSteph nommément). C'est, je crois, une question de relativisation entre le "law is law" qui est l'application stricte de la loi et l'ESPRIT de la loi qui permet de l'interpréter autrement sans pour autant que cela signifie sa violation flagrante et en toute impunité. Finalement, ce n'est pas tant l'expérience des VanSteph qui m'interpelle (en toute franchise et humilité, j'aurai certainement franchi le pas si j'avais été dans cette situation) mais plutôt TOUT ce que cela interpelle autour : l'immigration illégale, la sécurité du pays, les lacunes du système, etc. Cela pose des questions et des réflexions intéressantes et l'expérience des VanSteph n'a été finalement, ceci vu de ma personne cette fois-çi, comme un prétexte en quelque sorte à des enjeux beaucoup plus globaux. Bref, vivement vos visas ! O'Hana