O'Hana

Oh boy, je pourrai te prendre très sérieusement au mot moi Le Marquis, fais gaffe !! O'Hana

Salut Skyteamtrainee, De toute façon, cela te prendra au minimum un an d'expérience professionnelle lorsque tu seras rendu à l'étape du fédéral (après l'étape provinciale du Québec avec les six mois minimum obligatoire). Oui bien sûr que tu le peux : car sinon, dans quelle ambassade tu pourrais déposer ta demande d'immigration si ce n'est au moins dans celle qui se trouve dans ton pays de citoyenneté ? Corrige-moi, mais ton objectif est de vivre à Toronto et non à Montréal. Fais donc attention lorsqu'on te demandera ton lieu d'installation car cela m'étonnerait que le MRCI accepte de te délivrer le CSQ si tu indiques explicitement que tu ne veux pas t'installer au Québec O'Hana

Salut Phil64qc, J'aurai dû mentionner que je t'incluais aussi dans ma réponse à RedFlag, car je me doutais bien qu'il y avait surtout de l'humour (et pas vraiment du sérieux) dans vos réponses à tous les deux Bref, c'était plus par excès de zèle de conscience que d'autre chose ma tite "montée de lait" O'Hana

J'me disais ben aussi, c'est cool RedFlag Sur la même longueur d'ondes finalement O'Hana

Alors de nouveau merci beaucoup Le Marquis !! Il est vrai qu'en lisant ta chronique, je "sentais" très fort le Pacifique mais je n'osais pas avoir la pensée trop présomptueuse à mon goût que ma requête aie pu t'influencer Gêné je suis, mais heureux je le suis encore plus ! O'Hana

Salut Soasoa_mg, Je confirme la réponse de Lizzie : pour travailler au Canada, cela prend un NAS (numéro d'assurance sociale) et pour en avoir un, il faut justifier d'un statut au Canada te permettant d'en avoir un (ex : citoyenneté canadienne, résident permanent, travailleur temporaire, parrainage, étudiant étranger). Toutefois, tu peux arriver ici avec un visa touriste et faire des démarches de recherche d'emploi et si on te fait une offre d'emploi, tu peux alors changer de statut : passer de celui de touriste à celui de travailleur temporaire en faisant une demande de visa de travail. Cela peut être long et il faut qu'aucun résident du Canada n'applique sur ce poste mais c'est faisable. O'Hana

Salut la Féline, La formation québécoise qui s'apparente le plus à ton profil académique semble être la Technique en Bureautique, qui est d'ailleurs le plus haut degré de formation qu'on puisse atteindre ici dans ce domaine (collégial, pas de formation universitaire). Tu trouveras ici la page de l'inforoute (site d'information scolaire et professionnelle québécois) qui traite de cette formation avec aussi les endroits où ça se donne, détail des cours, formation apparentées, professions reliées. O'Hana

salut Valens, Malheureusement, je ne crois pas que je ne te serai d'une grande aide en ce qui me concerne. D'autres forumistes (Zephstone, Cynderella ou encore JayJay pour ne citer qu'eux) te seront d'une plus grande utilité car ils évoluent, de près ou de loin, dans ton domaine au Québec. Envoie-leur un PM Tout ce que je sais, c'est que le droit n'est pas le même ici qu'en Europe. Cependant, un profil avec carrières en Entreprises pourrait se révéler intéressant ici celui en Droit de l'Homme pourrait s'accorder avec les organisations internationales qui se trouvent au Canada j'imagine. Ceci dit, j'aimerai souligner l'humilité que vous affichez : Avec cela, vous partez avec d'excellentes armes dans votre intégration dans votre futur pays d'acceuil O'Hana

oh boy, Je vous trouve limite avec ce type de commentaires les gars Ne peut-on pas vouloir légitimement fêter la Fête Nationale de son pays d'origine dans son pays d'accueil ? C'est sûr qu'il y a une énooorme différence entre penser que le Québec est un département français (un préjugé parmi tant d'autres) et vouloir tout simplement fêter le 14 juillet ... Bon, c'est sûr qu'il ne faut pas s'attendre à voir la Légion Étrangère défilait sur la Ste-Catherine Comme tout pays, j'aime à croire que je fais la distinction entre le pays lui-même et les gens qui y habitent (même si c'est essentiellement les gens qui font le pays, je le reconnais). Au-delà de ce que je peux penser en bien ou en mal de la France, je me rappelle qu'une grande partie de qui je suis aujourd'hui, je le dois à elle (attention : je ne sous-entend rien en écrivant cela, j'essaie seulement de faire le tri entre ce qui est à jeter et ce qui doit être reconnu à sa juste valeur). Sans rancune O'Hana

Salut Soliléo, L'équivalent du BTA en France est, comme je le pensais, le DEC (Technique collégiale) en gestion est exploitation agricole. Il y a deux concentrations ou spécialisations principales : soit le DEC en production animale ou en production végétale. Plusieurs cégeps l'offrent au Québec mais je trouve pertinent de te pointer L'Institut des Techniques Agroalimentaires de ST-Hyacinthe (Rive-Sud de Montréal) : en regardant les programmes qui s'y donnent, probablement que tu pourras te faire une meilleure idée de comparaison avec le BTA Sinon, comme garde-forestier, j'en reviens encore aux programmes dont je parle plus haut que tu peux compléter avec merveille avec les commentaires très pertinents de Zogu et Nohal. Disons que moi j'apporte l'aspect théorique (où ça se donne) alors qu'eux eux t'apporte l'aspect plus pratique, ce que je trouve excellent ! O'Hana

Magnifique. Inspirant. Un très beau moment d'évasion et dans le temps et dans l'espace ! Merci beaucoup Le Marquis O'Hana

Salut Soliléo, Au niveau strict de l'équivalence, un BTA semble en effet l'équivalent d'un DEP et même d'un DEC Technique du niveau collégial. Maintenant, j'aurai besoin de savoir en quoi consiste exactement ton BTA (poste un message ou réfère-moi un site d'info si tu trouves cela plus pertinent) pour voir si ça peut vraiment "coller". Parce que Technicien Agricole, dans la lecture que j'en fais, cela me fait penser davantage au DEC en gestion et exploitation agricole, ce qui est assez loin du garde forestier même si tous deux sont en contact avec la nature ... O'Hana

Salut Dudus, Il existe la formation pour devenir agent de protection de la faune. En voici une description : La formation nécessaire est le DEP (diplôme d'études professionnelles - équivalent d'un CAP / Bac Pro en France) en protection et exploitation de territoires fauniques et posséder un permis de conduire de classe appropriée de la SAAQ. Un DEP se donne dans un CFP (centre de formation professionnelle) et celui-ci en particulier se donne : - CFP Harricana et École de la Foresterie (Abitibi) - CF Monts et Marées (Bas St-Laurent) - École Foresterie Duchesnay (Capitale-Nationale) - CFP Mt-Laurier (Laurentides) - École Forêt La Tuque (Mauricie) - CFP La Baie (Saguenay) La majorité des DEP s'offrent en cours du soir ou en alternance. Sinon, à Ottawa (donc en Ontario), il existe un certificat en travail forestier offert à la Cité Collégiale d'Ottawa. O'Hana

Pareil pour moi O'Hana

Salut Puce, Je te pointe ici un document PDF sur la procédure d'admission à l'OCCOPPQ (ordre professionnel des conseillers et conseillères d'orientation et psychoéducateurs et psychoéducatrices du Québec - ouf !) : clique ici. Tu aurais d'ailleurs tout avantage à consulter le site de l'OCCOPPQ car on y donne une description détaillée de ce que fait un conseiller d'orientation (c.o.), les coordonnées du bureau exécutif (dont le service d'admission), etc : http://www.occoppq.qc.ca/ Les possibilités se font de plus en plus intéressantes pour les raisons suivantes : - reconnaissance de plus en plus claire du titre réservé du c.o. qui devait, avant, faire la concurrence aux psychologues, aux travailleurs sociaux, etc dans des emplois connexes ou similaires - le départ à la retraite dans un horizon de cinq ans de plusieurs c.o. ce qui va libérer beaucoup de places pour la relève (phénomène qui touche d'ailleurs tous les secteurs d'activité québécois) - la diversification des secteurs d'activités dans lesquels interviennent de plus en plus les c.o. : d'abord le milieu scolaire qui reste encore la centralité de la compétence du c.o., mais aussi la réadaptation (CSST, SAAQ), l'aide à la recherche d'emploi (CJE, CLE, centres communautaires), la gestion des ressources humaines dans les organisations (sélection de personnel, consolidation d'équipe, etc), la pratique privée, la formation / enseignement, la psychothérapie avec accréditation, préparation à la retraite, mentorat, etc Cependant, nous (car je suis c.o. aussi) devons lutter contre certaines résistances : - tel le fait que le public croit encore que les c.o. ne travaillent que dans les écoles) - la reconnaissance de la compétence (être c.o. au Québec exige une formation de 2ème cycle universitaire et certains c.o. se retrouvent à faire du travail de technicien ou, à l'inverse, des techniciens font un travail de c.o. avec toutes les conséquences que cela peut avoir sur le public ; ceci dit avec tout le respect que j'ai pour les techniciens) - le titre de c.o. est réservé (seuls les membres de l'OCCOPPQ peuvent le porter) mais pas l'acte : quiconque peut faire le travail d'un c.o. au Québec sans risque d'être poursuivi au civil ce qui vient renforcer la confusion auprès du public et porter atteinte à la crédibilité de la profession Je te suggère de t'inscrire sur une liste de discussion qui regroupe près de 300 intervenants dans le domaine au Québec (c.o., conseillers en emploi, etc) pour chercher l'avis et l'opinion de mes autres collègues : il s'agit du Cointernet. À ta disposition si tu as d'autres questions O'Hana

Salut la gang, J'irai dans le même sens que Laurence car j'avais moi aussi entendu parler d'un flux migratoire positif pour le Québec dans un reportage de SRC. Un des "experts" interrogés mentionnait à ce titre qu'on pouvait attribuer cela notamment à la stabilité politique du Québec suite à l'élection d'un gouvernement libéral ; gouvernement réfractaire à tout projet séparatiste. O'Hana

Salut la gang, Comme tout à chacun, je déplore également l'adoption de la loi 53. Je n'irai pas sur le terrain qu'Abouzyad propose - avec franchise - à titre d'explication même si les événements (9/11) peuvent rendre la tentation très forte. Entre l'explication officielle (effectuer une meilleure répartition de la sélection des immigrants selon les bassins géographiques) et les multiples explications officieuses aussi pertinentes ou tendancieuses qu'elles soient, il y a peut-être un espace de discussion et de réflexions qui pourrait s'ouvrir. Cependant ... Cependant, peut-on faire un lien entre le fait que cette loi soit le fait d'un gouvernement libéral dans la province de Québec alors qu'il y a justement un gouvernement libéral à Ottawa ? Cette "parenté politique" entre ces deux paliers gouvernementaux aurait-elle pu aboutir à cette loi ? Sachant qu'il est de notoriété publique qu'Ottawa subit d'énormes pressions des États-Unis pour que le Canada resserre sa vigilance au niveau de son immigration ; pressions que l'ambassadeur des USA à Ottawa, Paul Celluci, ne se cache même plus d'exprimer publiquement en y allant de critiques bien prononcées. D'autant plus qu'il semble que Québec était empressé de faire adopter cette loi en refusant d'aller en consultations publiques. De par l'accord Québec-Ottawa sur l'immigration, Québec se réserve le pouvoir de sélectionner ses immigrants alors qu'Ottawa se chargeant des volets santé et sécurité des immigrants sélectionnés. En jouant sur l'aspect sécurité comme l'écrit Abouzyad, Québec semble empiéter sur une prérogative fédérale, un fédéral qui pourtant n'y a pas réagi ... En tout cas, je suis ptete à fond dans le champ mais le débat n'est pas près de se refermer. O'Hana

Salut, Je te recommande le Groupe ETFS : je l'utilise régulièrement pour des assurances voyage et j'en suis très satisfait et c'est cette compagnie que le MRCI de Sherbrooke propose le plus souvent pour le délai de carence de trois mois aux immigrants. O'Hana

Hi hi, c'est un peu comme l'administration le forum parfois : retour à mon bureau Skyteamtrainee Avant de te donner les coordonnées de Buffalo, petite remarque qui a son importance : tout demande d'immigration peut être faite depuis le Canada à condition que le demandeur soit résident légal au Canada depuis au moins un an ou auprès d'une ambassade dans un pays où le demandeur est citoyen. Vu que tu es français, tu peux déposer une demande sans problème à Paris comme le mentionne NuitBleue. Maintenant, en théorie, tu pourrais déposer une demande à Buffalo car tu disposeras, avec le PVT, d'un droit de résidence légal au Canada d'au moins un an. C'est là un petit flou réglementaire apparemment car en arrivant à Toronto, cela ne fera pas au moins un an que tu résides au Canada de manière effective. Cependant, pour te faire gagner un temps qui te sera appréciable par la suite, je te suggère de te rendre dans un centre CIC à Toronto une fois au Canada avec ton PVT pour leur demander à quel service canadien des visas (SCV) tu es éligible de manière sûre (Paris ou Buffalo). Voici la page web qui te donne les coordonnées de tous les SCV aux États-Unis dont Buffalo : clique ici. Next ! O'Hana

Salut ptit-loup, Je ne sais pas où tu en es dans tes démarches d'immigration (si tu les a commencé) mais il y a plusieurs catégories dans lesquelles tu peux appliquer pour immigrer au Canada. Dont celles notamment de gens d'affaires et de travailleur qualifié. Selon la catégorie que tu choisiras, cela peut avoir une incidence significative sur tes démarches. En gros, la catégorie des gens d'affaires imposent, par exemple, une expérience professionnelle pertinente dans la gestion et/ou de disposer d'un capital financier conséquent pour monter une entreprise viable ici. Celle de travailleur qualifié exige "seulement" d'avoir une expérience professionnelle (quelle qu'elle soit d'au moins un an) et de disposer de ressources financières mais seulement pour pouvoir vivre en attendant de se trouver un emploi salarié. Autrement dit, l'immigration s'attend à un profil particulier pour les gens d'affaires (profil pas toujours facile à avoir) alors que ce profil est moins exigeant pour le travailleur qualifié. Personnellement, je te suggère d'appliquer comme travailleur qualifié car cela peut avoir une incidence favorable sur tes démarches et cela ne t'empêchera pas de monter ta propre affaire une fois ici car tu seras alors résident permanent, ce qui signifie le droit de travailler autant comme salarié que comme entrepreneur. C'est un petit tour de passe-passe mais tout à fait légal mais qui te permettra d'arriver au même objectif que tu t'es fixé ici. O'Hana

Je sais que c'est une question de tempérament individuel mais je peux te dire qu'il y a des océaniens (pas de l'Atlantique mais du Pacifique Sud) au Québec et ils n'ont eu aucun problème d'adaptation au climat d'ici O'Hana

Salut skyteamtrainee, Je ne connais pas ben ben le PVT mais, info qui aura certainement son importance vu ta situation, c'est qu'il semble qu'il faut être français ET résider en France au moment où tu déposes une demande de PVT (par France, l'immigration entend la France métropolitaine + St-Pierre et Miquelon). Qu'on me corrige au besoin. Quoi qu'il en soit, à ma connaissance, seule l'ambassade du Canada à Paris gère ce programme entre la France et le Canada. Aucun service d'immigration aux États-Unis (Détroit, Washington, L.A. ou Buffalo) ne semble l'offrir : tu n'as donc rien à perdre (et tout à gagner) à contacter Paris pour voir si tu es éligible. Pour la résidence permanente, je laisse les PVT du forum prendre la suite O'Hana

Salut Lilicaty, À la suite de Lizzie, voici quelques sites où te sont proposés différents types d'hébergements du plus cher au plus accessibles : Tourisme Sherbrooke Tourisme Québec Annuaire des Vacances Bonne rentrée sur le campus O'Hana

Salut, Ce n'est pas un phénomène nouveau : pareille situation s'était produite lors de la Guerre du Vietnam avec les draft-dodgers (déserteurs américains venus au Canada). Télé-Québec avait fait un reportage sur eux l'an passé : il y en a même qui sont restés au Québec, aussi loin que Chicoutimi par exemple. Draft-dodgers : insoumis, déserteurs et réfractaires C'est vrai que la situation est quelque peu différente aujourd'hui mais ça sera intéressant de voir comment le Canada réagira. O'Hana

Salut guem69, Il faudrait déjà d'abord définir ce que tu entends précisément par devenir éducateur spécialisé au Québec. Car cela recouvre ici plusieurs professions dépendamment de la clientèle avec qui tu souhaites travailler (enfants, adultes, personnes âgées, déficiences, etc). De la profession que tu vises va dépendre la formation qu'il est nécessaire que tu ailles chercher ici. Ceci dit, dans ma pratique, par devenir éducateur spécialisé, c'est souvent la profession de technicien(ne) en éducation spécialisée à laquelle il est fait référence, dont voici une courte définition : Dans ce cas précis, la formation de référence est celle de la Technique d'éducation spécialisée (niveau collégial = équivalent du Bac Pro ou du BTS en France). C'est une formation qui se donne dans les cégeps et qui est offerte pratiquement dans toutes les régions du Québec ; par ailleurs, les conditions d'admission sont les mêmes pour tous les cégeps : Si c'est cette formation qui t'intéresse, il faudra alors que tu prennes contact avec le SRAM (service régional d'admission de la région montréalaise) car c'est lui qui gère toutes les admissions pour les cégeps de cette région. Je te mets la procédure d'admission à suivre pour les étudiants étrangers ici. Si c'est un cégep qui ne se dépend pas du SRAM (par exemple, à Québec ou sur la Côte-Nord), c'est au SRAQ (pour la région de Québec) ou le SRALJ (pour la région du Lac St-Jean). À côté de cela, d'autres formations pour d'autres professions similaires sont possibles : conseiller en réadaptation, travailleur social, psychoéducateur ... Tu pourrais aussi essayer de contacter Pom, un forumiste qui travaille comme éducateur spécialisé au Québec ! O'Hana