Petit-Lion
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Non, je ne crois pas ça, il me semble même avoir dit que la Chine était plus efficace pour imposer sa loi aux entreprises. Mais qu'appelles-tu une administration interventionniste? Ça veut dire qu'aux États-Unis, ce sont les grandes entreprises qui interviennent dans la gestion de l'État? Dans ce cas, on est bien d'accord : le gouvernement étatsunien est faible et c'est anti-libéral
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Belle théorie, que j'ai longtemps crue aussi, mais démentie par les faits. L'économie, ça ne tend pas vers le nivellement thermodynamique de la matière, ce serait plutôt le contraire. Une économie non régulée a naturellement tendance à s'organiser en entités de moins en moins nombreuses et de plus en plus grosses, aboutissant aux oligopoles que l'on connaît actuellement. Quand il n'y a pas de lois du tout, ces entités prennent évidemment des formes mafieuses. Cela tue la concurrence, l'esprit d'initiative et la libre entreprise. C'est anti-libéral. Les États-Unis, qui sont très interventionnistes, ont tout un arsenal de lois antimonopoles que même le Canada et l'Europe n'ont pas, et qui contribuent à maintenir le dynamisme de leur économie à condition que le gouvernement reste assez fort pour appliquer ces lois. Actuellement, il y a plus d'esprit d'entreprise, de concurrence et de dynamisme en Chine qu'aux États-Unis. Le gouvernement chinois y veille.
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Le salaire du PDG est voté par le conseil d'administration. Si la compagnie est mal administrée ou si le conseil d'administration est noyauté, n'achetez pas les actions. En fait, n'investissez pas dans une compagnie dont la haute direction est surpayée, et vous ne serez pas volé. Pareil pour les sportifs surpayés (et dopés, en prime) : ne regardez pas les matchs, n'achetez pas les rasoirs Gillette, le Coca-cola ni les céréales Kellogs, et vous ne serez pas volé.
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Un vendeur de télécommunications, on fait pas plus bas de gamme de nos jour, hihi!
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Pis elle a un âge convenable pour Jimmy, d'abord !
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Ah, les pitounes de stands de la rue Crescent... À St-Hubert, c'est pas triste non plus, elles atterrissent là en hélicoptère, hihi!
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Les moustiques gros comme des bombardiers.. c'est vrai ?
Petit-Lion replied to shadok's topic in Lounge
Un autre fil sur ce sujet ici. Et pas de bibittes à Montréal -
Tiens? il y a 40 % de non-anglophones à Toronto et à Vancouver, mais il n'y a pas de loi linguistique pour la sauvegarde de l'anglais. Comme c'est étrange.
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Rhaâââââ ! Jusque là j'étais calme, ne me lance pas là-dessus !¡! Oui, il faut une loi 101 en France! À l'intention de ces mutinationales françaises qui font de l'anglais leur langue officielle, obligatoire, même dans les communications entre francophones. Et à quoi ils servent, nos beaux syndicats? Et « france teuleucom », c'est les pires, dans leurs communications. Pas étonnant, vu qu'on dit aussi : avoir autant de classe qu'un représentant en téléphonie mobile, vous voyez le genre. Et le pire, c'est qu'on sait maintenant que cette « politique linguistique » n'a aucun effet sur les ventes des entreprises à l'export. C'est du pur snobisme d'intelligentsia parisienne. Pendant ce temps, au Québec, plus on est instruit, moins on emploie d'anglicismes. Il y aussi ce pilote français, à bord d'un avion d'Air France, sur un vol Paris-Toulouse (pas Paris, Texas, hein, j'ai vérifié) qui a déclaré à un contrôleur français « fire on board », lequel a compris « five men on board ». Gag. Sauf que moi, ça m'a pas fait rire. J'ai jamais fait d'aviation en France, et tout à coup j'ai pas envie d'en faire. Tenez, j'ai une autre blague pas drôle : « - Montreal centère, ziss is an A-three-forty Air France eight-seven-ziro, from Paris, to Montreal-Trudeau, over... - Air France huit-sept-zéro, ici Montréal-centre, bonjour, identifié radar, approche directe piste deux-quatre gauche, descendez à 6000 pieds. - (le pilote) Quoi? quelle piste il a dit? Quelle altitude? - (le copilote) La two-four left, je crois. Et descendre à 6000 feet. - (le pilote) Quels cons! C'est le Canada, non? Peuvent pas parler anglais, comme tout le monde? Et tout ça 30 ans après la bataille des gens de l'air des contrôleurs aériens québécois.
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Et tous ces gens qui se choquent de la « répression anti-anglo » ne savent sans doute pas que dans les années 1950, on ne trouvait pas un mot de français à lire sur les murs de Montréal (il y a quelques photographies d'époque visibles dans une station de métro, McGill, je crois)... Que les Québécois (unilingues francophones) recevaient leur facture d'électricité en anglais, entre autres petits plaisirs. Et pas besoin de dire qu'il était impossible de s'élever au-dessus de sa condition de porteur d'eau sans parler l'anglais. On arrive à l'aéroport, et on est agréablement surpris de voir tout affiché en français, alors qu'on croyait sans doute arriver dans un endroit genre Nouvelle-Orléans, avec quelque part un quartier français folklorique, on demandera à la réception de l'hôtel où il se trouve. Sans la loi 101, le français ne serait parlé au Québec que par quelques vieux. Une sorte de créole, quoi. Les choses sérieuses ne se feraient qu'en anglais. D'ailleurs c'est exactement ce que pensent des tas de gens EN FRANCE. Et ces gens-là débarquent à Montréal et viennent nous dire que l'anglais devrait être à égalité avec le français dans une province officiellement unilingue. Elle revient de loin, notre langue. Facile à dire, qu'elle ne risque rien, maintenant que les résultats sont là. Mais il en a fallu, des combats. Et à lire ce qui précède, il en faudra encore.
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Comme disait Stadak, le Canada a inventé le bilinguisme asymétrique : Deux langues officielles / One official language
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Ça peut toujours être utile. On m'avait donné le numéro d'un vague cousin éloigné. Je ne l'ai jamais rencontré, mais je lui ai téléphoné une fois. Il était trop loin pour qu'on se voie, mais il a quand-même accepté que je donne son nom en référence pour ouvrir ma première ligne de téléphone avec Bell. Merci à lui
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La loi 101, en matière d'affichage, sert à éviter que la rue Ste-Catherine ne finisse par ressembler à l'avenue des Champs-Élysées. Mettre l'anglais et le français à égalité au Québec, c'est mettre la poule et le renard à égalité dans le poulailler. On dit sourillon, icitte, hihi! (Je l'ai même placé dans une de mes traductions, avec la source )
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Le LASIK est rentable
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Oui, je me rappelle. Don Cherry au troisième rang, qu'est-ce qu'on a rigolé, au Québec! Ce qui me chagrine, c'est que lorsque l'on parle de culture, on répond télévision et téléromans. Et la musique canadienne? Et la littérature canadienne? Et la peinture canadienne (et autres arts « canoniques »)? Et la radio, et les journaux? (Désolé, j'ai pas de télé.) Ce ne sont que des questions, je ne sais pas grand-chose de tout cela moi-même.