Aller au contenu

Petit-Lion

Habitués
  • Compteur de contenus

    3 103
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Petit-Lion

  1. Quiconque maîtrise un tant soit peu l'anglais ou le français n'a pas besoin d'être assisté, à moins d'être un PDG suroccupé qui n'a pas une heure par semaine à consacrer à son projet, ou de sortir de prison, ou d'avoir un cas très compliqué avec conjoint réfugié ou enfants nés dans un avion en route vers le Canada, et encore. De plus, présenter un dossier par l'intermédiaire d'un avocat (ou autre con$eiller radié du Barreau) éveille aussitôt la suspicion chez les fonctionnaires de CIC : « Qu'est-ce qui ne va pas chez lui ? » Pour la plupart des questions, voici le site du meilleur conseiller en immigration que tu puisses trouver : www.immigrer.com. On y trouve notamment plusieurs fils de discussion au sujet des con$eillers en immigration. Bonne réussite
  2. C'est ça le problème... quand les techniciens d'entretien d'aéronefs répandent leur savoir, plus personne n'a envie de prendre l'avion... Quand les chirurgiens racontent leurs histoires de chirurgien, plus personne n'a envie d'aller à l'hôpital, et quand on sait ce qui se passe dans les cuisines des restaurants, y compris les plus pre$tigieux, plus personne n'a envie d'aller au restaurant
  3. C'est justement ce qui m'est arrivé le 6 octobre 2005 à Marseille, avec 250 autres passagers. Problème hydraulique sur le train principal de l'A330. Un mécanicien d'Air France était là (merci à lui), mais il fallait un outil spécial. Le temps qu'on le fasse venir de Paris et que la réparation soit effectuée, dans l'après-midi, les pilotes avaient dépassé leur temps de service, de sorte que le départ a été reporté au lendemain matin. À noter que les pilotes ont eu parfaitement raison d'agir ainsi et que personne ne leur a reproché de prendre du repos avant de voler. (En plus, c'est obligatoire.) Qu'a-t-on fait des 250 passagers ? C'est là que ça devient intéressant. Normalement, en charter, on dort dans l'aérogare. Mais, après le traditionnel bon de sandwich-boisson à la buvette de l'aéroport, Air Transat a décidé de loger tout le monde à l'hôtel. Ce sont donc trois employées d'Aéroport de Marseille qui ont fait preuve d'une énergie et d'une patience héroïque pour placer les gens par priorité (familles, couples, personnes seules... dont Bibi), réserver les chambres, commander les repas... Il y avait un seul autobus pour transporter tout le monde et les bagages, il a fallu sept ou huit rotations et ça a pris quatre heures. Comme c'était un bus de piste, un syndicaliste modèle zéro qui se trouvait là a trouvé moyen de critiquer le fait qu'on autorise un bus de piste à sortir de l'aéroport pour aller en ville... C'est ça aussi, Marseille. Bref, Bibi s'est couché dans les derniers, à minuit, dans un modeste deux-étoiles à perpète, après quelques sandwichs d'aéroport, les restos étant tous fermés (alors que les premiers de la liste étaient au restaurant du Sofitel à 19h, grrr). Réveil le lendemain à 5h30, cette fois ô merveille, on a deux autobus pour ramasser tout le monde. Embarquement, décollage et vol sans histoires, à bord les écouteurs et les verres d'alcool sont gratuits, on nous distribue une lettre d'excuses de la compagnie, une attestation de retard et un crédit de 100 dollars sur l'achat d'un prochain billet. La plupart des passagers étant québécois, ils ont été globalement très patients, pas plus d'un ou deux chialeux. Je n'ose pas imaginer la même situation avec un avion plein de Français persuadés qu'un avion d'une compagnie française, lui, ne serait pas tombé en panne. Au lieu de ça, on a bavardé et on a eu l'occasion de faire des rencontres En résumé, un grand coup de chapeau aux héroïnes de cette soirée-là, les employées de l'aéroport de Marseille, qui n'avaient jamais vu ça avant (je leur ai demandé). Et un grand merci à Air Transat, une compagnie charter qui assure un service digne d'une compagnie régulière.
  4. J'ai lu en effet de très nombreux commentaires sur Zoom, des gens très contents, des gens pas contents, de la bouffe dégueulasse, des bagages perdus, bref, rien de pire que les compagnies les plus pre$tigieuses, et aucun mort. J'ai commandé mon billet pour Paris, du 25 août au 11 septembre (chu pas superstitieux), pour presque deux fois moins cher que le concurrent le plus proche (Air Transat), en fin de haute saison.
  5. Future Shop, c'est le plus cher, mais comme ils remboursent la marchandise sans discuter dans les 14 jours, c'est très bien pour essayer tous les appareils qu'on veut. Ça pallie l'incompétence des innombrables vendeurs Dantech est pas mal, mais c'est tout petit. Bon service. La Centrale Informatique (www.shoplci.com), grand choix, pas cher, service pourri, tout le temps en rupture de stock. Soho Diffusion (www.sohodiffusion.com), le moins cher, possibilité de ramasser les commandes sur place à Montréal, mais la marchandise a plutôt l'air refurbished que neuve, et ils refusent de la reprendre. Il faut donc insister pour ouvrir le carton et tester avant de payer.
  6. En France, on appelle ça un marchand de listes, et ça, j'ai déjà testé. Que voulez-vous, j'étais jeune, naïf et provincial, et la réceptionniste avait un si beau sourire...
  7. C'est pas les Parisiens qui répondent en anglais aux touristes québécois qui demandent leur chemin ?
  8. Le train de l'Est devrait entrer en service dans deux à trois ans. Un projet annoncé par le premier ministre du Québec Jean-Charest, et qui semble bien plus sérieux que le projet de tramway du maire de Montréal, Gérald Tremblay, dont on ne parle plus beaucoup. Cette nouvelle ligne qui s'étendra jusqu'à Repentigny et Mascouche devrait rééquilibrer un peu le réseau régional, qui a longtemps négligé l'est de l'île, plus industriel (avec les raffineries), et aussi plus pauvrement peuplé. http://radio-canada.ca/regions/Montreal/20...-confirme.shtml
  9. Les grandes compagnies sont aussi exposées aux accidents que les compagnies charter et autres compagnies à faibles coûts. Les compagnies réellement calamiteuses qui ont causé les accidents de 2005 sont tout de même très peu nombreuses, et vous ne voyagerez pas dessus. Dans les histoires d'accidents, ce n'est pas la fatalité qui cause des problèmes, mais plutôt un enchaînement d'erreurs. Remarquez qu'il faut beaucoup d'erreurs et de défaillances pour en arriver là, parce que les multiples vérifications, les procédures, la redondance des systèmes... permettent de rattraper pas mal de petites erreurs. Dans le cas d'Air Transat, la première erreur est la réception, cinq jours auparavant, d'un moteur neuf légèrement différent de l'ancien, sans que les mécaniciens n'aient reçu la documentation de la modification, d'où un montage inadéquat de la conduite de carburant qui a brisé en vol. L'équipage a fait d'autres erreurs, mais les systèmes de l'avion (notamment l'hélice de secours qui a fourni la puissance électrique et hydraulique après l'arrêt des moteurs) et l'habileté de ce même équipage ont finalement permis un atterrissage forcé réussi, c'est-à-dire un atterrissage dont tous les passagers sont sortis vivants. Les compagnies comme Ryan Air ou Easy Jet font des vols à 20 euros et sont RENTABLES, maintenance comprise. La différence, c'est un certain confort dont les passagers n'ont pas besoin sur des vols court-courrier, un excellent taux de remplissage des avions (de l'ordre de 85 %), l'utilisation d'aéroports régionaux qui coûtent dix fois moins cher que les grandes plate-formes comme Roissy ou Heathrow, et un train de vie (salaire des équipages, haute direction, siège social...) nettement moins somptuaire que celui des grandes compagnies (et de leurs syndicats ) qui vivent encore comme à l'époque où un Paris-New York en 707 coûtait une année de salaire. Si ça peut vous rassurer, les compagnies à faibles coûts n'ont pas d'ateliers d'entretien. Leur maintenance est sous-traitée à de grandes compagnies comme Air France, lesquelles ne font pas de cadeaux à ces petits joueurs un peu trop remuants à leur goût.
  10. Petit-Lion

    depuis 7 mois au Québec

    Je suis resté aussi sept mois (dont quatre mois de recherche active) avant de trouver mon premier emploi. Mes techniques de recherche d'emploi n'étaient pas les bonnes.
  11. Ce n'est pas ce qui s'est déjà produit? Charest n'est pas bon, mais les péquistes sont encore trop empotés. Les chances que les Libéraux l'emportent une fois de plus par défaut sont grandes.
  12. En tout cas, j'admire les gens qui aiment les défis. Comme de nous convaincre que... - monter son affaire n'est pas plus facile en Amérique qu'en France. - le modèle social français fonctionne bien. - l'argent est roi, en Amérique. Seulement en Amérique... Sauf que... Si en Amérique, tout le monde travaille fort pour payer ses cartes de crédit (beau cliché, en passant), moi j'ai plutôt l'impression qu'en France, c'est le modèle social, qui vit à crédit. Alors le modèle social français, il ne faut pas le rejeter, non. Pas la peine, il tombera tout seul.
  13. Je confirme, j'ai eu la même expérience. Finalement, le Tribunal des affaires de sécurité sociale (TASS) a décidé que ça ne valait pas le coup de maintenir les poursuites. Difficile de faire cracher quelqu'un qui a gagné zéro franc ! Par contre, où es-tu allé chercher ces 150 dollars ?¿? Moi je me suis lancé avec ZÉRO DOLLARS, détails sur demande ! D'abord, les clichés ont une qualité : ils sont généralement sans trucages. Parle-nous de préjugés, si tu préfères. Ensuite, il y a effectivement en France, comme partout, des gens pour qui 8000 dollars de débours par an, en attendant quelques années que l'affaire prenne, c'est de l'argent de poche. Tant mieux pour eux. Mais ça ne fait pas de la France une méritocratie, mais une ploutocratie. À ce prix-là, moi, je reste au chômage. À moins qu'un banquier clairvoyant et audacieux croie à mon projet...
  14. si tu veux je peux t'en montrer un bon paquet comme ca ici aussi!!! des femmes qui touchent le bs avec 3 ou 4 enfants et qui vont faire du sport en salle de gym la journée et magasiner pendant qu'en plus de leur payer le bs tu leur payes aussi la garderie pour les 4 enfants qu'elles ont gratuit!!! rien n'est parfait ici non plus et les profiteurs il y en a en masse aussi!!! Mauvais exemple: une mère monoparentale ne peut de toutes façons PAS travailler. Le BS, c'est le minimum que la société lui doit pour élever seule quatre enfants. Moi je crois qu'elle mérite plus, et qu'elle n'a pas pour autant à se priver d'aller au gym ou autres petits plaisirs.
  15. Petit-Lion

    Un vélo d'occasion

    Y'en a un accroché à un poteau devant le métro Mont-Royal, avec une pancarte « à vendre », 45 $. Enfin j'veux dire, des vélos à vendre, y'en a presque à tous les coins de rue
  16. Oui, mais... dans les deux cas, quel taux de change a été appliqué ? Plus près du cours interbancaire, ou plus près du prix pour les touristes ? C'est là que les banques gagnent le plus d'argent. Les frais, c'est juste un prélèvement en plus en échange de rien, le client dira rien, de toutes façons. Pour connaître le taux interbancaire n'importe quel jour dans les dernières années : www.oanda.com.
  17. Et les autres scènes? On pourrait demander aux Français de transcrire les versions québécoises et aux Québécois de transcrire les versions françaises ? On corrigera à la fin ! (Moi je joue pas, j'ai tout compris, hé hé !) *MDR*
  18. Les films de Michael Moore ne sont pas des documentaires, mais des pamphlets. Certains disent qu'ils sont largement bidonnés, mais on peut être au moins sûr qu'il a tendance à beurrer épais (comme on dit icitte), et Bowling for Columbine ne fait pas exception.
  19. Qu'est-ce que tu entends par "chômage des jeunes comme une étrange chose exotique" Petit-Lion ? Parce que les jeunes (avec les femmes, les minorités visibles et les travailleurs âgés) fait partie de la catégorie des travailleurs de la population active particulièrement vulnérables à la précarité et à l'atypisme sur le marché du travail. O'Hana J'entends par là que la plupart des étudiants, et même des lycéens, travaillent le soir et les fins de semaine. Je vois des panneaux « Personnel recherché » dans toutes les boutiques du centre-ville, dans les épiceries, je lis d'immenses banderoles « On embauche » en haut des bâtiments dans les zones industrielles, et les centres d'appel font du recrutement sur les afficheurs électroniques du métro. Tu veux un boulot? Y'a qu'à se baisser. Je n'ai pas dit que c'était de bons emplois sûrs, bien payés et peu fatigants. Je le sais bien que ce sont surtout des McJobs. Mais le résultat, c'est que le chômage des jeunes, c'est de l'ordre de 25 % en France et de 0 % à Montréal. En ce qui me concerne, ayant toujours été dans la moitié exposée, en France, je sais ce que c'est que la précarité. Je me suis même dit que finalement, c'était quelque chose de normal partout dans le monde, sauf pour l'autre moitié de France qui est protégée par la sécurité d'emploi, par les forteresses syndicales des grandes entreprises, par les conventions collectives et autres protections contre le risque et contrela fatigue. Il est vrai que dans mon esprit, la notion de précarité s'est totalement vidée de sens (surtout depuis que je suis à mon compte), tandis que la notion de sécurité d'emploi m'apparaît de plus en plus comme une anomalie, un vague souvenir des trente glorieuses... du socialisme... un bizarre privilège d'ancien régime, quoi. Il n'y a pas que pour moi que la notion de précarité est vide de sens. Ici, changer d'emploi tous les six mois n'est pas incompatible avec location d'appartement, carte de crédit ni emprunt bancaire, tellement c'est normal.
  20. Petit-Lion

    voir.ca payant,

    Ça marche juste avec les proprios qui signent le bail avec le premier arrivé, c'est-à-dire un candidat locataire parmi ceux qui sont suffisamment dans l'urgence pour payer 10 dollars pour appeler avant tout le monde. Cependant, la plupart des proprios ne sont pas si pressés et font faire plusieurs visites avant de choisir un locataire. De plus, la plupart des logements à louer ne sont pas dans le journal, un panneau À louer sur le balcon étant généralement suffisant.
  21. En ce lendemain de la journée de la femme, voici (en rappel) les Lois des gars, en vigueur 364 jours par an. 1. Apprends ce qu'il faut faire avec le couvercle de la toilette. T'es une grande fille. S'il est levé, tu le descends. Nous en avons besoin levé, tu en as besoin baissé. Tu ne nous entendras pas nous plaindre parce que tu l'as laissé descendu. Et n'oublie pas que nous aussi nous avons à le descendre parfois, et nous y arrivons sans effort ni frustration. 2. Dimanche = sports. C'est comme la pleine lune ou les marées. Fais avec. 3. Le magasinage n'est PAS un sport. Et non, nous ne verrons jamais ça de cette façon. 4. Pleurer est du chantage. 5. Demande ce que tu veux. Soyons clairs à ce sujet : Les indices subtils ne fonctionnent pas. Les indices évidents ne fonctionnent pas davantage. Exprime-toi clairement. 6. Oui et Non sont des réponses parfaitement acceptables à presque n'importe quelle question. 7. Viens à nous avec un problème seulement si tu veux de l'aide pour le résoudre. C'est ce que nous faisons. La sympathie est la raison d'être de tes amies. 8. Un mal de tête qui dure 17 mois est un problème. Consulte un médecin. 9. Rien de ce qu'on peut avoir dit il y a six mois n'est recevable dans une argumentation. En fait, tout commentaire devient nul après sept jours. 10. Si tu ne t'habilles pas comme les filles de Victoria's Secret, ne t'attends pas à ce qu'on agisse comme les gars des téléromans. 11. Si tu penses que t'es grosse, c'est probablement que tu l'es. Ne nous le demande pas. 12. Si quelque chose qu'on a dit peut être interprété de deux façons et qu'une de ces interprétations te rend triste ou en colère, c'est l'autre qu'on voulait dire. 13. Tu peux soit nous demander de faire quelque chose, soit nous dire comment tu voudrais qu'on le fasse. Pas les deux. Si tu connais déjà la meilleure façon de le faire, fais-le toi-même. 14. En tout temps, s'il te plaît, dis tout ce que tu as à dire pendant les pauses publicitaires. 15. Christophe Colomb n'a pas eu besoin de se faire aider pour trouver son chemin et ce sera pareil pour nous. 16. TOUS les hommes voient seulement 16 couleurs, comme les paramètres par défaut de Windows. Pêche, par exemple, est un fruit, pas une couleur. Citrouille est aussi un fruit. Nous n'avons aucune idée de ce qu'est mauve. 17. Si ça démange, c'est pour qu'on le gratte. C'est ce que nous faisons. 18. Si nous te demandons ce qui ne va pas et que tu réponds « rien », nous agirons comme s'il n'y avait pas de problème. Nous savons que tu mens, mais ça ne vaut pas le coup de s'acharner. 19. Si tu poses une question à laquelle tu ne veux pas de réponse, attends-toi à une réponse que tu ne veux pas entendre. 20. Quand on va quelque part, absolument tout ce que tu portes est correct. Vraiment. 21. Ne nous demande pas à quoi on pense à moins que tu sois prête à discuter de sujets comme le baseball, le hockey ou les voitures. 22. Tu as suffisamment de vêtements. 23. Tu as trop de chaussures. 24. Je suis en forme. Rond est une forme. 25. Merci d'avoir lu ceci. Oui, nous savons que nous avons à dormir sur le canapé ce soir, mais savais-tu que ça ne nous dérange pas, c'est comme du camping.
  22. On ne comprend pas ce qui se passe en France, ici, comme souvent. On ne comprend pas non plus pourquoi un employeur devrait être obligé de garder quelqu'un dont il n'a plus besoin. Il faut dire que vu d'ici, le chômage des jeunes est une étrange chose exotique. Ils ont plutôt tendance à abréger leurs études pour commencer à travailler.
  23. Kool, je pourrai venir !
  24. Petit-Lion

    Rouler en moto ...

    http://www.motointer.com/ Compétitifs, je sais pas, je connais pas les prix en Europe...
  25. http://www.mtl4ever.com
×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2025 immigrer.com

Advertisement