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Petit-Lion

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Tout ce qui a été posté par Petit-Lion

  1. Petit-Lion

    les échecs?

    Y'a pas de différence entre rencontrer qqun sur le net ou dans une boîte. En effet, j'ai rencontré mes deux blondes sur le net. Donc, Internet ne me dérange pas, et inutile de personnaliser le débat, merci. Il n'y a pas de différence entre rencontrer qqun qui habite le même pays et rencontrer qqun qui habite loin, qui est pauvre, sans qualification et qu'il faudra parrainer pour qu'il vienne au Canada ? ah bon, moi j'aurais cru . . . Et je ne suis pas contre le principe du parrainage, je me suis donné la peine de préciser qu'il a été conçu pour permettre le regroupement familial, mais que les gens qui l'ont conçu à une époque où Internet n'existait pas n'imaginaient pas que des candidats à l'immigration s'en serviraient pour demander en mariage des Canadien(ne)s par Internet. La seule chose qui me dérange, dans ces histoires, c'est la misère des victimes . . . J'aime pas la misère, c'est là mon moindre défaut !
  2. Petit-Lion

    les échecs?

    Kotik, finalement tu as raison. Quelles que soient les mesures contre les abus, il y aura toujours moyen de les contourner, et il y aura toujours des gens naïfs pour se faire avoir. La loi n'y peut pas grand-chose. Laissons donc les choses comme elles sont. Comme le dit Guerrière, seule l'information peut permettre d'éviter la misère aux gens capables de comprendre, mais il y aura toujours d'autres gens qui courront après leur malheur, et l'expérience montre qu'il est vain d'essayer de leur faire entendre raison. Alors pour les autres, continuons de raconter des histoires d'horreur, car je trouve qu'il n'y en a pas assez sur ce forum, par rapport à ce qui se passe en réalité. On n'y lit que de belles histoires, ou des histoires qui ne sont pas finies. Or le rôle de ce forum est bien D'INFORMER, y compris sur les risques ÉNORMES liés au parrainage. Tiens, ça ressemble à la lutte contre la drogue, vous ne trouvez pas ?
  3. Petit-Lion

    Un peu d'humour

    Si, je viens de le tester, et ça marche encore ! *MDR*
  4. Correction : les premiers réseaux électriques datent de la FIN du XIXème siècle (ou début du XXème)
  5. En passant, les cuisinières et les sécheuses ne sont pas alimentées en triphasé, mais en « biphasé » : deux phases, un neutre et une terre. Entre les deux phases c'est pas vraiment du 220 V, mais du 208 V : (120 x 1,732). Le 110 V américain n'est pas vraiment du 110 V, d'ailleurs, c'est du 120 V. L'appellation 110 V est désuette, elle remonte aux premiers réseaux électriques du début du XIXème siècle, qui étaient en 110 V continu. De nos jours il n'existe nulle part de secteur en 110 V, sauf en cas de baisse de tension ! J'ai demandé à un électricien d'installer une prise « 220 V monophasé » pour brancher ma laveuse d'origine européenne. La plupart des appareils européens 220 V / 50 Hz fonctionnent aussi en 208 V / 60 Hz. Dans le cas contraire, c'est souvent la fréquence de 60 Hz qui risque de griller les appareils conçus pour le 50 Hz. Attention, un transformateur 110 V/220 V, s'il double vraiment la tension, produira du . . . 240 V. 240 V en 60 Hz, certains appareils risquent de ne pas apprécier . . .
  6. Petit-Lion

    les échecs?

    Bon oké, il ne s'agit pas de supprimer complètement le parrainage, puisqu'il se justifie dans certains cas précis de regroupement familial. Il s'agit de supprimer le parrainage dans les autres cas que le regroupement familial, et notamment dans les cas des mariages hors frontières, de manière à mettre fin à ce phénomère aberrant et ridicule de demandes en mariage par Internet. Oké, il y a des cas où ça se passe bien, et je ne peux que le souhaiter à YeuxVerts. Mais si la procédure de parrainage n'existait pas dans ce cas précis, 90 % des rencontres par Internet n'auraient tout simplement pas lieu. Et ça n'empêcherait pas des personnes sincères de rencontrer des Canadien(ne)s par Internet, d'immigrer en tant qu'immigrant indépendant . . . et de se marier (ou pas) après. Et si la personne n'a pas les moyens ni les qualifications pour immigrer par elle-même ? Et bien . . . épouse-t-on quelqu'un par charité ? moi je veux bien, mais ce serait moins risqué d'adopter un enfant.
  7. Bon, mon anecdote, maintenant. C'est marrant, tout le monde en a une ! J'avais choisi de réaliser un des rêves de ma vie, à l'occasion de mon aller simple vers l'Amérique, en juin 1998 : le Concorde. Donc je marchande férocement un billet Marseille-Paris-New York sur Air France, plus un billet « de continuation » New York - Montréal en train, indispensable pour passer la douane américaine quand on n'a qu'un aller simple (les billets Amtrak sont vendus dans les agences de voyage en France). Dès Marseille, l'accueil d'Air France est exceptionnel : non seulement je fais mon baptême de Concorde, mais en plus c'est mon premier voyage sur les lignes d'Air France, et ils en tiennent compte. À l'arrivée de la navette Air France à Paris, une hôtesse m'accueille dès la porte de l'avion et est aux petits soins pour moi dans tout le terminal, jusqu'au salon Concorde. Le traitement VIP, quoi ! je vous passe le luxe du salon Concorde, son bar ouvert avec les meilleurs alcools, etc . . . moi très raisonnable, je me gorge de café parce que la journée sera longue ! Le Concorde est là, on l'avitaille juste de l'autre côté de la vitre, à quelques mètres . . . Une émotion extraordinaire ! je savais beaucoup de chose depuis longtemps sur cette merveille ! J'embarque le dernier après un coup de téléphone à ma famille, il est 10h45. 11h00, décollage. Quelle poussée ! Quatre moteurs avec post-combustion, quel fabuleux manège !! on se retrouve rapidement très au-dessus des avions subsoniques, mais à la même vitesse qu'eux. Le mur du son, on le passera au dessus de l'océan. Il faut regarder l'affichage du machmètre dans la cabine, car le passage est imperceptible ! l'avion continue d'accélérer doucement, et la vitesse atteint Mach 2 une heure après le décollage. Quelques passagers se font photographier à côté du machmètre, tiens bonne idée ça. Décidément j'ai jamais d'appareil photo quand il le faut, moi. Pas de film à bord, pas le temps, et pas la place non plus. La cabine est un peu plus large qu'un autobus, les fauteuils sont confortables, mais moins larges qu'en classe affaires. Faut dire qu'on reste assis moins longtemps. La seule distraction, c'est le repas ! entrée au caviar, saumon, champagne . . . on ne se refuse rien, à bord du Concorde. On nous présente même les vins de la cave du Concorde ! Tiens, ça doit être le seul modèle d'avion équipé d'une cave, que je me dis . . . Après le repas, promenade dans l'avion. C'est un vol régulier, il est loin d'être plein. Environ 70 % de taux de remplissage, en moyenne. Il paraît qu'on a toujours l'occasion de voir quelques célébrités, sur ce vol. Moi je n'en ai vu qu'une : l'avion. Les autres passagers, je m'en foutais un peu, surtout que je pourrais me trouver à côté de n'importe quelle vedette, je ne la reconnapitais pas. Mais les immenses ailes delta du Concorde, ouf ! si larges qu'on voit très peu en bas à travers les minuscules hublots. Mais on est si haut . . . c'est le ciel qu'il faut regarder : à 60 000 pieds, il est presque violet, et on voit la courbure de la surface terrestre, si si ! Je retourne à ma place. Puis la surprise : l'hôtesse vient me voir, je suis invité à visiter le poste de pilotage, avec deux ou trois autres passagers qui font leur baptême de Concorde ! ouf . . . il y a des jauges, des cadrans et des interrupteurs jusqu'au plafond sur plusieurs mètres, on parle avec les pilotes et l'ingénieur mécanicien, ils sont très patients et visiblement heureux de nous répondre ! . . . Je ne pilotais pas, dans ce temps-là, sans quoi j'aurais certainement posé quelques questions pertinentes ! C'est bien trop court, car déjà la descente commence, et nous devons regagner nos places. Atterrissage à New York JFK à la minute près, à 8h45 du matin. Je me dis que si l'avion était parti de Paris plus tôt, juste après le lever du soleil, on aurait vu le soleil se recoucher pendant le vol . . . à l'ouest ! Mais bon, nous débarquons dans une aérogare déserte, le Concorde est l'un des seuls avions à se poser à JFK si tôt le matin. Mon traitement VIP continue, une autre hôtesse m'accompagne jusqu'à la frontière, les formalités sont rapides, le douanier ne me réclame même pas de preuve de continuation. Et me voilà aux États-Unis pour la première fois de ma vie ! Reste à rejoindre Manhattan, et l'auberge « chez Gisèle » où j'ai réservé. En passant, Gisèle est d'origine québécoise, et elle est bien connue des Québécois à New-York ! On me recommande de prendre une limousine ou un taxi, mais pour moi la folie est terminée. Je rejoins donc Manhattan comme tous les touristes impécunieux, navette gratuite, autobus urbain et métro (climatisé). Coût : 1,50 $US, et 3h30 à traîner ma valise avant de trouver l'auberge. Après les 20000 francs pour 3h45 de vol, j'ai pas peur des contrastes ! Il fait déjà très chaud à New-York, le 28 juin. Surtout que sans le savoir, j'arrive le jour de la Gay Pride ! mais bon je raconte mon voyage, pas mes visites touristiques. Trois jours plus tard, donc, je me rends au guichet Amtrak, à Pennsylvania Station, pour essayer d'expliquer que mon bon de transport doit être échangé contre un authentique billet de train. Faut croire que mon accent est encore pas mal épais, car ils trouvent rapidement une employée qui parle le français, yeah ! Tout va bien, et le train part presque à l'heure. Confortables, mais pas rapides, les trains américains. 9h de trajet prévues. Si ce n'est que le train sera dérouté peu avant la frontière par une inondation. Les passagers à destination de « Monnetriole » devront débarquer dans une ville dont j'ai oublié le nom, et continuer le voyage en autobus. Cependant ce sont de vrais autobus de ligne, nos bagages suivent, et on est convenablement informés. Amtrak traite mieux ses clients que US Airways ! Le contrôle douanier dure une heure, il semble qu'un passager n'était pas en règle. Finalement il aura fallu quinze heures pour aller de New York à Montréal, et c'est à plus de minuit que je trouverai l'auberge « chez Jean », où je passerai mes huit premiers jours de résident permanent . . . Souvenirs : un diplôme de passager supersonique le menu du Concorde . . . et une bouteille de cognac encore à moitié pleine, 5 ans après. Du cognac supersonique, ça se boit lentement !
  8. À Petit-Prince : Ah qu'on s'en souvient, de t'avoir attendu !
  9. À Geniort : En fait les ailes se couvraient de givre. Si vous êtes tout de même partis avec un quart d'heure de retard supplémentaire, c'est que le pilote a fait passer l'avion au dégivrage. Il a donc fait ce qu'il fallait et vous n'avez couru aucun danger. Mais il aurait dû vous en informer mieux que ça !
  10. Petit-Lion

    les échecs?

    Différence majeure avec les risques ordinaires d'un couple « homoculturel » : avec le parrainage, quand ça pète, c'est la misère noire pour celui/celle qui parraine. Le risque est le même, mais la conséquence est démesurée. Supprimons ce maudit parrainage !
  11. Tiens bonne idée, ça !
  12. Petit-Lion

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