Petit-Lion

Il neige partout au Québec, cette semaine, sauf à Montréal, où il pleut D'une manière générale, Montréal est la grande ville la plus au sud du Québec, donc la moins froide, mais pas de beaucoup. Il fait en moyenne 2 à 5 °C de moins à Québec qu'à Montréal, et encore 3 ou 4 °C de moins à Chicoutimi qu'à Québec. Ce gradient de température est assez semblable à celui de la France. À Sherbrooke, il fait aussi chaud voire plus chaud qu'à Montréal en été, et il y fait nettement plus froid (5 °C de moins) l'hiver. La principale différence, c'est la quantité de neige, et quelquefois le vent. J'ai lu des choses là-dessus à propos de Rimouski, je crois J'aime bien ce site : Météo d'Environnement Canada

D'ailleurs je vois au moins une bonne raison d'attendre : votre émigration et votre installation viennent de vous imposer une énorme charge de stress et de fatigue. Si vous recommencez dans la foulée, avec un sentiment d'échec par-dessus, vous risquez de craquer grave une fois en France.

Eille, pas si vite ! Ils n'ont pas encore décidé, je crois. Leelou, ma modeste opinion est que c'est trop tôt. Le blues de la famille et des amis, tout le monde passe par là. Pour la famille, il y a les avions, et les amis . . . invitez-les ! Si c'est une divergence entre toi et ton mari, oups . . . j'y connais rien ! mais j'aurais tendance à dire quand-même, donnez-vous du temps. Au moins un an, non ?

Je crois que les billets de dernière minute sont une notion du passé, du temps de la surcapacité. Depuis 2001, la moitié des avions ne vole plus, et pour l'autre moitié, les techniques de vente ont complètement changé : les sièges d'avions sont vendus aux grossistes par tranches, les moins chers quand le vol vient juste d'être mis sur le marché, et le prix augmente au fur et à mesure que l'avion se remplit. Donc plus la date de départ est rapprochée, plus c'est cher. À cela s'ajoute la technique classique de surcoût saisonnier, bien entendu. Les compagnies arrivant maintenant à remplir convenablement leurs avions, elles n'ont aucun intérêt à « casser le marché » en soldant les derniers sièges vides à la dernière minute. On ne voit qu'exceptionnellement des soldes de sièges (les Cyberaubaines d'Air Canada, par exemple), et encore je crois que c'est seulement le résultat de mauvais calculs de remplissage. On est donc maintenant à l'ère du réservez-tôt !

Les banlieues pourries (tu sais, les trois V ), les voitures qui brûlent, les trois douzaines de policiers anti-émeutes qu'il faut pour la moindre arrestation dans une zone de non-droit (autant dire qu'ils n'y vont pas souvent), les « tournantes » . . . des inventions des médias, tout ça. C'est TF1 pis le Fig-Mag qui exagèrent. La vérité (qu'on peut lire dans le Nouvel Obs), c'est que les banlieues sont des oasis de fraternité où il n'y a jamais de problémes, sauf quand les flics viennent faire de la provocation en s'y promenant sans en avoir préalablement demandé l'autorisation au caïd de l'endroit. J'exagère pas, là. La journaliste du Nouvel Obs s'était présentée au caïd, qui l'a baladée avec lui dans le quartier pour qu'on voit bien qu'elle était avec lui. Donc la journaliste n'a pas eu de problèmes, et s'est fait raconter des histoires de revendeurs de teush qui ouvraient des plans épargne-logement et faisaient vivre leur famille au chômage. Ah, j'allais oublier : après une agression, mes parents ont effectivement dû se barricader chez eux, en sortant le moins possible, et en prenant un maximum de précautions. Ça a duré quelques années, jusqu'à ce que la famille de truands d'à côté finisse par déménager.

C'est pas une anthologie, ce sont juste mes lectures . . . - Michel Tremblay, « Chroniques du Plateau Mont-Royal », dans les années 50 à 70, quand c'était encore un quartier ouvrier. C'est une série de cinq ou six romans, dont « Des nouvelles d'Édouard », très drôle, les aventures d'un Québécois à Paris ! Tremblay est l'écrivain-dramaturge numéro un au Québec. Il s'est surtout fait connaître avec « Les belles-soeurs », une pièce de théâtre en joual. - Yves Beauchemin, « le Matou », une histoire de restaurants et de mafia à Montréal, sur le mode un peu surnaturel (et aussi « L'enfirouapé », « Les émois d'un marchand de café », et le dernier que j'ai pas encore lu). Beauchemin doit être l'écrivain numéro deux, le Matou a été vendu à un million et demi d'exemplaires, traduit en quinze langues et adapté pour la télévision. Visiter aussi la Binerie Mont-Royal - Bernard Clavel, « Harricana » et les cinq ou six romans suivants, avec en toile de fond la colonisation héroïque de l'Abitibi au cours du vingtième siècle, des mines d'or aux grands barrages d'Hydro-Québec, le tout écrit dans un style époustouflant. - Gabrielle Roy, « Bonheur d'occasion », une bluette sentimentale à la mode d'autrefois (1945), sur fond de conscription pendant la deuxième guerre mondiale. On m'a dit aussi beaucoup de bien de Marie Laberge . . .

C'est vrai que les compagnies à faibles coûts sont nouvelles sur le marché transatlantique, mais leur modèle économique a fait ses preuves sur le continent américain et européen. Faibles coûts ne signifie pas forcément faible sécurité. Ça signifie plutôt avions amortis, aéroports régionaux à faibles coûts et sans retards (un avion au sol coûte cher), rien à manger à bord (l'avion n'est pas très sale aux escales), membres d'équipage qui ne sont pas surpayés et qui travaillent fort, organisation au sol impeccable et employés efficaces. Le modèle économique des grandes compagnies, en comparaison, n'a plus aucun sens. Avec leur train de vie ultra-luxueux (le poids de l'histoire, pensez à ce que coûtait un billet d'avion en 1960), leurs sièges sociaux (cf. celui d'Air France aux Invalides) et leur personnel syndiqué (tiens !), surpayé et pléthorique, les compagnies prestigieuses ont toujours été le secteur industriel le moins rentable de tous, même dans les années fastes, et ce, depuis que l'aviation commerciale existe. Pendant ce temps, en plein milieu de la crise la plus grave que l'aviation civile ait jamais connue, les compagnies à faibles coûts affichent des profits insolents!

*cling!* *cling!* *cling!* *cling!* Z'inquiétez pas, le 26 décembre, les magasins se mettent aux couleurs de la Saint-Valentin ! Les lapins de Pâques n'arriveront pas avant le 15 février . . . *cling!* *cling!* *cling!* *cling!* Moi je crispe d'avance rien qu'à l'idée d'entendre les maudits guerlots sur toutes les radios pendant deux mois . . . *cling!* *cling!* *cling!* *cling!* J'essaye de m'accoutumer, là, là . . . *cling!* *cling!* *cling!* *cling!* Bon je vais me graver une provision de disques, je crois . . . *cling!* *cling!* *cling!* *cling!* Merde, doit y avoir un virus dans Kazaa, c'est plein de grelots !! *cling!* *cling!* *cling!* *cling!*

C'est vrai qu'il n'y a que 10 % de syndiqués. Mais quand ils font, par exemple, une grève « préventive » dans les chemins de fer qui paralyse tout le pays, c'est pas juste au cas où le gouvernement voudrait leur supprimer la prime de saleté qui date des locomotives à charbon, nooon . . . en fait, ils se battent aussi au nom de tous ceux qui ne peuvent pas se défendre ! C'est-y pas gentil, ça ? Ça compense . . . Ah, précision : mes parents habitent près de Toulon, et ils ont vu de près ce que ça veut dire, habiter dans une zone de non-droit.

C'est toujours en France, le Var ? il me semblait qu'on l'avait privatisé, moi . . . et que c'est la Mafia qui l'avait racheté . . .

Tiens je viens justement d'acheter un billet d'avion pour Paris, je n'avais presque plus de bouteilles . . . (j'ai jamais acheté de vin à la SAQ, mouarf !) Et comme dit Petit-Prince, vaut mieux une bonne bière (importée de Belgique) que la vinasse du dépanneur <--- c'est quoi ces machins ? on vire tête carrée icitte ?¿?

Moui Schumarette, mais au moins ici j'ai pas à me battre contre l'Administration pour faire des affaires, et je ne serai pas puni par le gouvernement si je réussis... enfin j'veux dire, quand je réussirai! Et de toutes façons, je suis contre toute forme d'emploi garanti, gna!

Des CD de karaoké, et la machine qui va avec

Bien sûr qu'on peut être heureux, en France ! Si on est fonctionnaire, ou travailleur à statut, bardé d'avantages acquis, de privilèges corporatifs et autres protections contre la fatigue . . . c'est le fun, la France, les forteresses syndicales y sont plus solides que le mur de Berlin ! Mais si on est dans le secteur exposé, petites entreprises, travailleurs autonomes ou tout simplement jeunes diplômés qui n'ont pas leurs cinq ans d'expérience en IPv6, WAP et autres WiFi, alors on n'a qu'une envie, chercher de l'air, et aller là où ça bouge !

stikébonne!

C'est vrai que dans ta situation, tous les assureurs vont te regarder comme un casse-croûte! *$* Pour limiter les dégâts, évite les japonaises. Très bonnes autos, mais surcotées, et très appréciées des voleurs. Les petites américaines genre Chevrolet Cavalier sont les moins coûteuses, mais c'est normal, personne n'en veut, ce sont des « citrons » (pas fiables). Les Ford Tempo et Mercury Topaz passent pour être de bons mulets, pas sexy, mais qu'on peut trouver à 500 $. Les gros chars à moteur V8 bien polluant sont aussi du genre increvables, s'achètent pour une bouchée de pain, mais à 25 litres aux 100, vaut mieux ne pas les sortir tous les jours. Ça peut être un choix raisonnable si on roule peu, si on aime le style « collector » ou tout simplement pour se payer un trip en porte-avions américain ! Si tu vas chez un « professionnel »... ce mot m'amuse... ici aussi, la conscience professionnelle d'un marchand de chars usagés tient dans la boîte à gants, et y'aura encore de la place pour son honnêteté et ton ours en peluche. Certes, tu risques aussi de te faire avoir par un particulier, mais au moins ça te coûtera moins cher, puisque tu peux acheter un « bazou » à partir de cinquante dollars. Si c'est pour faire tes courses les jours de pluie, c'est parfait ! Autre précaution qui n'est pas du luxe : avant d'acheter une voiture d'une certaine valeur, vérifier qu'elle n'est pas gagée. On consulte pour ce faire le RDPRM, le Registre des droits personnels et réels mobiliers, ce qui coûte quelques dollars. Donc quand tu achètes une voiture à un particulier, il te conduit à la SAAQ la plus proche (vous devez y aller tous les deux) où tu payes la TPS de 7 % sur le prix d'achat que tu déclares, et qu'ils vérifient dans une espèce d'argus, mais si ta voiture n'y est plus cotée, c'est à vot' bon coeur. Ensuite, tu payes la plaque : 225 $. Je ne sais pas comment ça se passe quand on n'a pas de permis québécois, mais c'est possible, j'ai connu un gars qui a acheté sa voiture alors qu'il n'avait pas de permis du tout, il prenait encore des cours de conduite. Le tout se fait sur place, en dix minutes sans rendez-vous (s'il n'y a pas trop d'attente), et tu sors de là avec ton certificat d'immatriculation et une plaque toute neuve ! Le plus $$$ reste à venir. Attends-toi à ce que ton assurance coûte plus cher que tout le reste. Certaines compagnies font des faveurs aux étudiants, dans ce cas c'est pas la pub qui manque à l'université pour le savoir. Il paraît même que c'est moins cher en sciences de l'ingénieur qu'en arts, allez savoir pourquoi! . Sinon, la moins chère que j'ai trouvée pour moi est Desjardins (caisses populaires). Les assureurs instantanés style BelAir, ça ne m'a pas impressionné. Renonce à toute espèce de garantie tous risques ou même vol-incendie si ta voiture est trop ancienne. Faudra te contenter t'être au tiers. En tout cas, il faut magasiner. Quand tu auras choisi ton assurance, elle prendra effet dès le jour où tu téléphones ! tu recevras la facture et le certificat d'assurance plus tard, mais en attendant, il te suffit d'avoir le nom de la compagnie et le numéro de police pour être en règle sur la route. Tout se fait très vite Bon, tu viens d'acheter un bazou, de le plaquer et de l'assurer. Reste à passer l'hiver avec. Il te faut donc des pneus d'hiver, de l'équipement de pelletage, des câbles de démarrage ou idéalement une batterie neuve (ça lâche toujours quand tu es loin de chez toi, ces affaires-là)... ou bien tu t'abonnes à un service d'assistance routière, le plus populaire étant celui du CAA Québec. Batterie à plat, portes verrouillées avec les clés dans l'auto, voiture dans le champ, au moins tu sais quel numéro appeler. Et bien sûr, n'oublie pas le budget stationnement (42 $ par infraction) et la fourrière, très efficace quand la ville se décide enfin à ramasser la neige dans ta rue. Heu... t'es sûre que t'as vraiment besoin d'une auto ? celles des autres sont bien plus pratiques, tu sais !

Ludo, à t'entendre, « c'est le moment d'acheter! » Petite chanson qu'on entendait encore en 1992 dans les agences immobilières de Paris, juste avant un effondrement du marché (-30 % à -50 %) qui a duré sept ou huit ans . . . C'est toujours le moment d'acheter, pour un agent d'immeuble

C'est classique, ici. Quand on pose cinq fois la même question à la SAAQ, on a cinq réponses différentes. Ils y connaissent rien, ceux qui répondent au téléphone. Vaut mieux écrire. Quand ils répondent par écrit, ils vérifient avant

On ne trouve facilement que Tide HE, en effet. Le manuel de ma machine (Asko) recommande les marques suivantes : - Fab - Amway SA8 - Fresh Start - All - Tide HE - Wisk HE Y'a des marques qui ne doivent être disponibles qu'en Suède En fait, il faut faire des essais. Je crois que la plupart des lessives conviennent, mais à condition d'en mettre trois fois moins, sous peine d'avoir droit à un party de mousse dans la cuisine!

Dorval est déjà saturé, et inextensible. La tendance à long terme est à l'augmentation du trafic, on reviendra aux 5 % par an d'avant 2001. Donc . . . Soit on fait un TGV entre Toronto (saturé aussi) et Montréal . . . soit Mirabel rouvrira avant dix ans!

Entendu ce matin à la radio de Radio-Canada : en substance, les délais de vente s'allongent, les marges de négociation augmentent, les prix commencent à baisser et les agents immobiliers recommencent à travailler (en faisant visiter les maisons ). Tendance observée sur plusieurs mois, dans la région de Montréal, et en données corrigées des variations saisonnières, bien sûr. Mon avis : le prix des maisons va baisser doucement, celui des condos va baisser beaucoup plus rapidement, en raison des excès respectifs dont ces deux marchés ont été l'objet. Sur le marché du locatif, en revanche, aucune embellie à espérer avant plusieurs années.

De toutes façons, on y prend goût, alors autant passer tout de suite le 6A. Les écoles de conduite louent des motos 450 cm³ pour l'occasion, si on n'a pas la sienne. Il est exact que l'examen sur circuit fermé, ici, est plus facile que le « plateau » en France. Même si je connais un gars qui a été instructeur moto pendant dix ans en France et qui a psychoté à l'épreuve du contre-braquage d'ici (comme moi d'ailleurs) . . . elle n'est pas réaliste, cette partie de l'examen . . . Après l'examen sur circuit, il y a une période d'apprentissage de sept mois minimum, pendant laquelle on n'a pas le droit de rouler tout seul. En pratique, ça fait un an, à cause de l'hiver. Donc au printemps suivant on se précipite pour être dans les premiers à passer l'examen sur la route (une simple promenade avec quelques pièges), et vive la liberté ! <--- (ajouter les moucherons).

Magic, sois sûre que je t'aiderai volontiers, mais je suis à peu près sûr que ce ne sera pas nécessaire. En fait, ton seul souci sera de trouver tes premiers clients, mais ça, c'est ton métier Ensuite, faire ta première facture ! informations obligatoires d'une facture : - Nom et adresse du fournisseur (toi) - Nom et adresse du client - Date* - Nature de la marchandise ou du service - Montant hors taxes Si tu n'es pas enregistrée : - Ton numéro d'assurance sociale (NAS) - Mention "taxes non applicables" Si tu es enregistrée : - Tes numéros de TPS et de TVQ - Montant des deux taxes - Total taxes incluses La TVQ ne s'applique pas aux ventes effectuées hors de la province du Québec. Aucune taxe ne s'applique aux ventes effectuées à l'extérieur du Canada. Dans le cas de services, c'est l'adresse du client qui détermine l'application des taxes. *La date de la facture est importante, surtout en fin d'année : les montants facturés jusqu'au 31 décembre 2004 feront partie de tes revenus de 2004, même si le chèque te parvient un ou deux mois plus tard. Les termes de paiement (30 à 60 jours) se négocient avec le client. Ceci n'est qu'un résumé. Le ministère du revenu du Québec est une précieuse source d'informations, et ils ont toujours du temps pour répondre à nos questions.

Il y a de nombreuses compagnies d'avions-taxis autour de Montréal. Comme leur nom l'indique, ils vont où tu veux, y compris New-York. Et comme leur nom l'indique aussi, c'est extrêmement cher ! Voir Aéropro pour s'en faire une petite idée. Mon exemple est frappant parce qu'il s'agirait d'un vol privé, et non commercial. Le transport commercial de passagers est assujetti à une réglementation très contraignante et très coûteuse, pour le plus grand bien des passagers, d'ailleurs. Dans le cas d'un vol privé, le simple fait de demander aux passagers une participation aux frais est à la limite de la légalité. Quant à faire de la pub . . . Bref, on arrête de rêver pis on roule !

Hmm . . . y'a un marché, là, je devrais lancer ma compagnie d'aviation ! Exemples de prix pour un aller simple Montréal-Toronto, taxes incluses : - Par train (Via rail) : 124,33 $ en deuxième classe, en quatre à cinq heures. - Par bus (Greyhound) : 93,75 $, sept heures et demi à huit heures de route! - Par Air Petit-Lion, 3 heures de vol en C172 quadriplace à 107 $ de l'heure, ça fait 80 $ par personne (pilote compris), ou 107 $ par passager. Arrivée à Toronto City Centre, au pied de la tour du CN Bon c'est vrai qu'il y a des tarifs réduits « Réservez tôt » sur Greyhound, genre 57,39 $ une semaine à l'avance, ainsi que toute une série de tarifs spéciaux aussi compliqués qu'à la SNCF. Si vous êtes au moins deux, le moins cher est de louer une voiture. Emviron 40 à 50 dollars par jour ou 200 dollars par semaine (plus l'essence). Ah non, j'oubliais Allostop !! un service de covoiturage qui propose des trajets type Montréal-Chicoutimi (450 km) pour 30 $. Disponibilité des places très aléatoire, surtout pour un aller-retour.