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mysteral

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  1. Je vous invite à lire ce qui suit, c'est assez intéressant... L'éloge de la richesse d'André Dubuc Source : La Presse (http://www.lapresseaffaires.com/nouvelles/texte_complet.php?id=8,2004,0,042006,1258955.html&ref=rss_tout) Les Québécois ont réussi de grands rattrapages avec la Révolution tranquille, mais ils forment encore une société parmi les moins riches d'Amérique du Nord. Répartie par habitant, la taille de leur économie est parmi les plus faibles; leur revenu disponible moyen parmi les plus bas; l'ampleur des programmes sociaux qui font leur fierté, une des plus grandes. « La faiblesse de nos revenus, de notre croissance, nous rend vulnérables », s'inquiète Alain Dubuc qui vient de signer un essai solide, à la fois décapant et ambitieux. La lecture d'Éloge de la richesse, titre provocateur qui fait contre-pied à l'Éloge de la folie d'Érasme ou à l'Éloge de la fuite de Laborit, secoue notre confort et notre indifférence. On y trouve le talent didactique du journaliste à expliquer des réalités complexes et certaines de ses prises de position qui lui ont attiré au fil des ans admirateurs et détracteurs. Les uns et les autres trouveront ici matière à se remettre en question, s'ils veulent s'en donner la peine. Chiffres à l'appui, Dubuc fait d'abord ressortir en quoi nous sommes en voie de devenir, si nous ne le sommes pas déjà, les « nouveaux nègres blancs d'Amérique ». « Nous méritons mieux », lance-t-il, une fois le décor bien planté. Hélas! il n'y a pas mille et une façons de procéder. Le choc démographique qui nous guette au tournant de la décennie nous force à retrousser nos manches. À la différence des lucides, il ne propose pas que des rationalisations qui grignotent des acquis auxquels nous sommes profondément attachés. À la différence des solidaires, il ne préconise pas un meilleur partage d'un gâteau qui rapetisse puisque le Québec peut se targuer d'être déjà une société parmi les plus égalitaires. Neutraliser des épouvantails L'essayiste tente plutôt de surmonter cette opposition. « Il n'est pas possible pour la société québécoise de garder ses aspirations sans augmentation de son niveau de vie. Le problème de fond, c'est que notre économie ne fonctionne pas à son plein potentiel. » Notre croissance est plus faible qu'ailleurs au Canada ou aux États-Unis, notre productivité, c'est-à-dire la quantité de biens ou de services générée par heure de travail, tout autant. « Il faut sortir du monde des affaires le discours économique sur la croissance, plaide-t-il en entrevue. Le développement économique peut servir au développement social. » Dans son ouvrage, il s'attache à secouer nos peurs ataviques envers la création de richesse, trop associée au creusement du fossé entre fortunés et démunis, comme c'est si criant aux États-Unis. « Dans l'ensemble de la planète, c'est plutôt le contraire que l'on observe, écrit-il. Dans les sociétés pauvres, les inégalités ont tendance à être plus fortes, alors que les pays où la justice sociale est la plus grande sont en général les pays les plus riches. » Il aurait même pu ajouter: et souvent de taille comparable au Québec, si on pense au Danemark, à la Norvège, aux Pays-Bas ou à la Suède. Bien sûr, avec pareil objectif, certains s'enrichiront plus que d'autres. Mais est-il préférable que tout le monde reste au même niveau ou ne vaut-il pas mieux que nous produisions davantage pour tous? En comparant les assiettes fiscales du Québec et de l'Ontario, l'essayiste-journaliste met en lumière que le fardeau repose davantage ici sur les gens qui gagnent moins de 50 000 $ parce que ceux qui en gagnent davantage ne sont pas assez nombreux. Dans ce contexte, le vieux slogan Faisons payer les riches a bien plus de sens quand il y a plus de richesse à partager. Il préconise, comme cela se fait en Europe, de taxer davantage la consommation que le revenu. Une taxe de vente laisse place à moins d'échappatoires et favorise l'épargne. À ce titre, occuper le champ abandonné par Ottawa lui paraît une bonne idée, quitte à neutraliser la ponction nouvelle par une baisse équivalente des impôts. Renouveler un modèle désuet Dubuc poursuit sa remise en question du modèle québécois, déjà étayée dans de multiples chroniques et éditoriaux. Il note ainsi qu'en santé publique, le Québec ne se distingue pas vraiment des autres provinces. Il dépense même moins par habitant que les autres, surtout parce qu'il paye moins bien ses grands artisans que sont médecins et infirmières. Il s'en prend aussi à une certaine conception de la justice sociale sur laquelle s'appuie, par exemple, le gel des droits de scolarité ou des tarifs d'Hydro-Québec, désormais levé. Cela favorise avant tout ceux qui ont les moyens de payer, soutient-il. Ces mesures coûtent cher et ne sont pas conçues pour ceux qui en auraient vraiment besoin. Ainsi, avec la création de l'assurance médicaments, la gratuité pour les assistés sociaux a disparu. Bref, ose-t-il nous dire, nous sommes devenus conservateurs. L'audace qui avait présidé au développement du modèle québécois s'est émoussée au point où il paralyse désormais notre progrès. Tout en laissant aux politiciens le soin de négocier les virages qui s'imposent à ses yeux, il esquisse quelques pistes que d'autres ont déjà développées, reconnaît-il: les étudiants accepteraient mieux un dégel s'il était assorti d'une véritable réforme des prêts et bourses; les consommateurs s'opposeraient moins à des hausses de tarifs graduées selon le niveau de consommation. « Les hausses d'électricité ne pourront jamais rattraper les prix du marché, nuance-t-il en entrevue. La dépendance des Québécois à cette source d'énergie est le résultat d'un vieux pacte. » Voilà ce que devrait préconiser une vraie gauche. Faute de traditions politiques au Québec, sa voix est portée par les centrales syndicales. Elles ont avant tout des intérêts corporatistes qui tirent profit du statu quo, opine-t-il. Coaliser souverainistes et fédéralistes Briser le clivage entre souverainistes et fédéralistes, nous débarrasser de réflexes défaitistes ou attendeux deviennent nécessaires pour parvenir à créer plus de richesse. On peut vouloir être exceptionnels comme petite nation. Être plus riche que son pays comme la Catalogne ou la Bavière. « Ça me paraît souhaitable, affirme Dubuc. Ce désir devrait être plus fort encore chez les souverainnistes qui ont besoin d'outils économiques pour réaliser leur objectif.» Malheureusement, il note chez eux plutôt le désir de vanter les réussites, nombreuses admet-il, et de cacher le mou dans l'économie du Québec, sauf si c'est pour blâmer Ottawa. Est-il possible de parler franchement de réglementation du travail, de fiscalité, de coûts reliés à l'essor d'une vie française en terre d'Amérique sans braquer tout le monde? Est-il possible de faire reconnaître aux régions que leur dynamisme dépendra d'abord de la vitalité de la métropole, que Québec ne sera jamais aussi grand que Montréal qui n'aura par ailleurs jamais le charme unique de la Vieille Capitale? Ce sont quelques grandes questions auxquelles l'auteur nous convie à débattre. Il s'en prend aussi à la fierté mal placée. Plusieurs d'entre nous ont pavoisé quand Wal-Mart a plié bagage à Jonquière après une percée syndicale de la FTQ. L'histoire a fait le tour du monde grâce au magazine The Economist. « Quel signal avons-nous envoyé aux investisseurs du monde entier? » demande Dubuc. La cible des stratèges syndicaux nord-américains n'était pas anodine puisque notre Code du travail facilite davantage la syndicalisation. Ses conséquences sont plus graves qu'il n'y paraît. La création de richesse s'appuiera sur le capital physique et humain. En d'autres termes, sur l'investissement et sur l'éducation. L'économie du Québec repose beaucoup sur la PME qui dispose de peu de ressources physiques. On peut la rendre plus productive en allégeant la réglementation ou en créant, par exemple, un guichet unique pour l'administrer. Cela ne suffira pas cependant à donner au Québec le nouvel élan dont il a besoin. Repenser le rôle de l'État Il faut attirer des capitaux, mais pas comme autrefois en vendant par exemple à rabais l'électricité. Les investisseurs ont l'embarras du choix des terres d'accueil. Un climat d'affaires stable et une attitude d'ouverture font partie de ce qu'ils recherchent. Une fiscalité non seulement compétitive mais surtout plus cohérente, une réglementation moins tatillonne, mais qui préserve nos valeurs socioculturelles et environnementales, des lois du travail plus adéquates, surtout dans la construction, voilà qui embellirait un tel climat. « Il n'est pas question de faire du Québec une zone de maquilladoras », se défend bien l'essayiste, faisant allusion à ces complexes industriels mexicains. Le Québec n'a plus les moyens d'une autre Gaspésia. Faisant l'autopsie de cet échec cuisant, Dubuc en arrive à la conclusion que le motif généreux à son origine n'est plus approprié. L'obsession de la création d'emplois devient désuète quand la démographie conduit naturellement à une baisse du chômage. Les nouveaux emplois n'exigent pas les mêmes compétences, les mêmes aptitudes que ceux qui disparaissent, cependant. La création de richesse passe aussi par celle de travailleurs capables d'en générer. Ce seront des immigrants formés, des jeunes instruits, des moins jeunes recyclés. D'où l'importance de stimuler l'éducation, de financer la recherche et ses meilleurs viviers que sont les universités. Bref, l'État devra se soucier davantage d'éducation. « Ce faisant, on envoie aux citoyens le message qu'une logique de croissance, ce n'est pas une destruction de l'État, mais un déplacement de ressources. »
  2. Effarant non ??? Et dire que ça a coûté 40 000 $ !!! Voyez l'article de La Presse.
  3. mysteral

    Regret de la France ?

    Les grèves, le SECAM, les centrales nucléaires, les fonctionnaires, etc... Les centrales nucléaires ? En effet, mais je rappelle qu'il existe encore des centrales au charbon au Canada quand même !!!
  4. Photo : Radio-Canada Laetitia a 16 ans et vit au Québec depuis 10 ans. Elle a obtenu la nationalité canadienne, mais pourrait la perdre parce que ce son père était marié à deux femmes, l'une ici et l'autre en Côte d'Ivoire. Si elle est expulsée là-bas, elle se retrouvera dans un pays politiquement instable où elle ne connaît personne. Menacée d'expulsion à cause de son père Source : La Presse Le monde de Laetitia est en train de basculer. Au Québec depuis 10 ans, cette adolescente d'origine ivoirienne de 16 ans risque l'expulsion vers son pays d'origine parce que Citoyenneté et Immigration Canada (CIC) accuse son père de polygamie. L'histoire semble farfelue, mais le statut matrimonial du père de Laetitia plonge en plein désarroi une famille enracinée à Montréal. Tandis que le père se bat depuis des années pour casser un avis d'expulsion, la fille doit à son tour comparaître cet après-midi devant la Commission de l'immigration et du statut de réfugié. " Ils (Citoyenneté et Immigration Canada) sont en train de détruire la famille. C'est dur d'entendre ma fille me demander: Est-ce que je vais partir? ", a confié hier le père, Barthélémy, qui préfère taire son nom de famille. Il faut remonter à 1992 pour comprendre l'origine de cette affaire. À l'époque, Barthélémy habite en Côte-d'Ivoire et tombe amoureux d'une Québécoise. Le couple se marie et s'installe au Canada. Trois ans plus tard, la fille de Barthélémy, alors âgée de 6 ans, va rejoindre le couple. La nouvelle épouse accepte de parrainer son mari et la fillette pour qu'ils obtiennent la résidence permanente. Le couple divorce en 1996. L'année suivante, l'ex-épouse apprend que Barthélémy était déjà marié en Côte-d'Ivoire. Elle l'accuse de polygamie devant la Cour supérieure et prévient CIC de son intention d'annuler son parrainage. En 2002, CIC accuse Barthélémy d'avoir fourni de " fausses déclarations pour obtenir sa résidence permanente ". Des accusations que réfute aujourd'hui encore le principal intéressé. " Je suis polygame par culture, mais j'étais célibataire à l'époque ", jure-t-il. Dans son rapport, CIC confirme que Laetitia a été parrainée par l'ex-épouse québécoise de l'Ivoirien et " est devenue citoyenne canadienne entre-temps ". Quatre ans plus tard, en octobre 2005, un rapport contradictoire de CIC recommande l'expulsion de Laetitia et juge que l'adolescente devrait être " interdite de territoire " parce qu'elle a été parrainée par un " répondant dont il a été statué qu'il était interdit de territoire pour de fausses déclarations ". Rencontré hier, l'avocat de l'adolescente, Stéphane Handfield, s'explique mal comment, entre les deux rapports, Laetitia a pu perdre sa citoyenneté canadienne et changer de parrain. L'avocat ne comprend pas non plus pourquoi CIC n'a pas recommandé l'expulsion du père et de la fille en même temps, il y a quatre ans. " Je me sens frustrée " Nerveuse à la veille de sa comparution, Laetitia traverse des moments éprouvants. " Je me sens frustrée. Je ne comprends pas la connexion avec le dossier de mon père ", indique-t-elle. " Je suis québécoise et canadienne. C'est ma culture, je n'ai pas envie d'aller vivre ailleurs ", ajoute Laetitia, dans un cri du coeur. Solidement engagée dans son milieu, l'adolescente étudie dans un collège privé de Montréal, où elle apprend l'espagnol et l'anglais, fait du théâtre et de l'improvisation et chante dans la chorale. " Tout pourrait basculer du jour au lendemain ", déplore Laetitia. L'avocat de l'adolescente souligne qu'il est insensé de renvoyer Laetitia en Côte-d'Ivoire, où le climat politique et social demeure instable. " Elle fait quoi une fois là-bas? Elle n'a pas de père, pas de mère, pas de frère et pas de soeur là-bas ", souligne Me Handfield. La mère de Laetitia habiterait Londres. Selon l'avocat, il ne fait aucun doute que la polygamie du père est l'élément déclencheur des malheurs de Laetitia. " Si la polygamie était légale, on ne l'aurait (Barthélémy) jamais accusé d'être admis sous de fausses représentations ", résume l'avocat. Au Canada, la polygamie est un acte criminel selon l'article 293 du Code criminel. " On ne peut pas lui dire: Tu es citoyenne canadienne, et ensuite lui dire: Tu ne l'es plus, simplement parce qu'on reproche quelque chose à son père ", insiste Barthélémy. Polygamie et liberté Ce dernier conteste farouchement les lois canadiennes interdisant la polygamie. L'Ivorien d'origine invoque l'article 2 de la Charte des droits et libertés, lequel stipule que " tout individu a la liberté de conscience et de religion ". " Tu ne peux pas te baser sur la polygamie pour expulser un Noir africain, c'est dans leurs us et coutumes ", plaide Barthélémy, aujourd'hui remarié et père d'un garçon de 18 mois. Citoyenneté et Immigration Canada n'a pu commenter le dossier sans le consentement écrit des personnes concernées. Lien vers la source : http://www.cyberpresse.ca/article/20060329...77/CPACTUALITES
  5. Eh bé, quelle aventure ! En tous cas, bonne chance et bon courage pour la suite...
  6. Très intéressant, même si le rapport date d'une dizaine d'année. Je serai curieux de voir les résultats actuels.
  7. Je confirme... Et encore merci pour le tuyau !!!
  8. mysteral

    Où changer les euros ?

    Les banques appliquent leurs taux de change en prenant une marge. C'est comme ça partout non ???
  9. Tu peux aller voir ici également : http://www.useblue.com/travel/default.aspx
  10. Je viens de recevoir les IVM par la poste aujourd'hui et l'ambassade me demande, en complément, le fameux certificat de bonne conduite militaire ou une attestation de dispense. Comme je suis né après le 1er janvier 1975, je suis automatiquement dispensé... :gna: Dès lors, quelqu'un peut-il me dire où je peux me procurer cette attestation ? Merci beaucoup !!!
  11. Extrait de son blog : "Le sandwich à la viande fumée de chez Schwartz est un point de passage obligé. Succulent!"... -> http://www.al1jup.com/viewPost.php?id=204
  12. mysteral

    Environnement

    Interdiction de laisser tourner son moteur à l'arrêt Source : Radio-Canada La Ville de Montréal adopte des mesures concrètes pour faire diminuer de 20 % les émissions de gaz à effet de serre (GES) sur son territoire d'ici 2012, comme le prévoit son Plan vert, dévoilé en avril dernier. Les automobilistes devront faire leur part en ce sens, a annoncé le responsable du Développement durable et économique de la Ville de Montréal, M. Alan De Sousa. Ainsi, un règlement interdisant de laisser tourner le moteur d'un véhicule immobilisé pendant plus de trois minutes sera adopté sous peu par chaque Conseil d'arrondissement, qui aura aussi le mandat de le faire appliquer. M. De Sousa est confiant de voir cette mesure bien accueillie par la population. Seront exemptés les véhicules d'urgence, ainsi que les taxis et voitures de livraison en hiver. Le règlement ne s'appliquera pas non plus par temps froid (sous les 10 degrés celsius sous zéro) ou en cas de verglas. On ignore encore à quelle date le règlement entrera en vigueur. Initialement, les contrevenants se verront donner des avertissements sans amendes. Ils s'exposeront ensuite à une amende d'au moins 50 dollars. La Ville fait sa part La municipalité misera aussi sur sa propre efficacité énergétique, en favorisant la réduction du chauffage et de la climatisation dans ses édifices, et en donnant des directives claires à ses employés utilisant des véhicules motorisés. Quand les contrats d'approvisionnement en vigueur prendront fin, en 2007, la Ville entend aussi utiliser des carburants moins polluants, comme le biodiesel et l'éthanol. Article : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/regio...rov=rss&ref=rss
  13. Ah les élections... Ottawa annonce un programme de 700 millions Source : Radio-Canada À la veille du vraisemblable déclenchement d'une campagne électorale fédérale, le ministre de la Citoyenneté et de l'Immigration, Joseph Volpe, a annoncé, jeudi, un programme d'aide de 700 millions de dollars. Ce programme a notamment pour but d'accélérer la réunification des familles et de permettre l'entrée d'un plus grand nombre d'immigrants au pays. Échelonné sur cinq ans, il s'ajoute à des investissements déjà annoncés par Ottawa pour les services d'établissement et d'intégration des nouveaux arrivants. Le plan libéral prévoit aussi de faciliter la demande de statut de résident permanent pour les travailleurs et les étudiants étrangers. Les postulants pourraient faire la demande à partir du Canada, plutôt que d'avoir à sortir du pays. Manoeuvre électoraliste? Les organismes qui oeuvrent auprès d'immigrants se réjouissent de cette annonce, mais émettent des doutes quant à la sincérité du gouvernement. Ils craignent de ne pas voir Ottawa y donner suite et susciter de faux espoirs chez ceux aspirant à s'établir au Canada. Le ministre Volpe assure toutefois que cette annonce n'est en rien une promesse électorale. « Je tiens à vous rappeler que les nouveaux immigrants n'ont pas le droit de vote », précise-t-il. Son opinion n'est pas partagée par la députée conservatrice Diane Ablonczy, porte-parole de l'opposition officielle en matière d'immigration. « Est-ce crédible? [...] Étant donné le moment choisi et vu le peu de temps alloué à l'élaboration du plan, on peut se poser la question », souligne-t-elle. Le mois dernier, le ministre Volpe a déclaré souhaiter l'arrivée de quelque 300 000 immigrants au pays d'ici cinq ans. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/parte...rov=rss&ref=rss Oups, je n'avais pas vu le message de PP... Sorry ! Oups, je n'avais pas vu le message de PP... Sorry ! Sorry, je n'avais pas vu le message de PP...
  14. mysteral

    Réussir au Québec

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