Petit-Lion
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Barlen, en fait tu cherches quelqu'un qui pourrait t'héberger ? Si tu n'as pas d'amis sur place, le moins cher, c'est de louer une chambre à quelqu'un qui partage son appartement. Ça coûte tout de même 300 à 400 $ par mois à Montréal et à Québec. Tu connais sûrement l'Association Québec - île Maurice. Tu y trouveras peut-être des ressources pour les nouveaux arrivants, y compris en matière de logement et d'hébergement. Au moins, tu y feras des connaissances, et je suis sûr que tu pourras compter sur la solidarité de tes compatriotes
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J'ai habité là. Le quartier est calme et sécuritaire. Ton appart sera bruyant s'il donne sur une grande artère : St-Denis, Châteaubriand, Christophe-Colomb... En gros, les lignes d'autobus. Le principal problème (que j'ai eu) risque de venir des voisins. Éviter les blocs d'appartements, toujours mal isolés. Il y a moins de risques dans un triplex. Non.
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Au Québec, il faut faire deux déclarations et payer des impôts au gouvernement du Canada et au gouvernement du Québec. Les barêmes des deux sont assez proches. Impôt fédéral (Canada) En 2003, le taux de la première tranche était de 16 % de 0 à 32183 $. Cependant, comme en France, il existe toute une série de crédits d'impôts comparables aux abattements des impôts français, et qui dépendent des situations particulières (personnes à charges, frais professionnels, frais de scolarité, etc.) En l'absence de toute condition particulière, tout le monde a au moins un montant personnel de base qui était de 7756 $ en 2003. Donc on paye 16 % d'impôts sur la partie du revenu qui dépasse 7756 $. Pour les salariés, prélevé à la source sur le salaire. Impôt provincial (Québec) C'est un peu plus compliqué, mais au bout du compte on paye 16 % d'impôts sur la partie du revenu qui dépasse 7687,50 $. Pour les salariés, prélevé à la source sur le salaire. Cotisations sociales fédérales - Assurance-emploi : Les travailleurs autonomes ne cotisent pas. Pour les salariés, c'est l'employeur qui fait le calcul, car c'est prélevé à la source sur le salaire. Je ne sais pas comment il fait le calcul, mais je crois qu'il n'y a pas de prélèvements quand c'est le salaire minimum. Cotisations sociales provinciales - Fonds des services santé : 1 % du montant du revenu qui dépasse 11670 $. - Assurance médicaments : 4,58 % du montant du revenu qui dépasse 12040 $. - Régime des rentes du Québec (RRQ) : pour les travailleurs autonomes, 9,9 % du montant du revenu qui dépasse 3500 $. Pour les salariés, prélevé à la source sur le salaire. Je ne sais pas comment c'est calculé. De plus les cotisations sont soit plafonnées, soit progressives, soit les deux, et leurs montants s'ajoutent partiellement ou totalement aux abattements d'impôts ci-dessus (donc réduisent l'impôt). Les chiffres ci-dessus s'appliquent à une personne seule et à des revenus minimum. Tout ça est compliqué. Ce qui répond à ta question : grosso modo, une personne seule, sans enfants et qui n'a droit à aucune déduction paye 32 % d'impôts (16 % fédéral et 16 % provincial) sur la partie du revenu qui dépasse 7700 $. C'est vraiment beaucoup ! mais bon, je n'ai pas parlé des remboursements de TPS/TVQ et d'impôts fonciers. Ça aide beaucoup aussi.
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Ben là, faut savoir ce que tu veux. Si tu arrives à trouver un boulot au Canada avant de quitter la France, mes respects ! Mais la plupart des immigrants, aussi qualifiés soient-ils, arrivent ici sans travail et galèrent plusieurs mois avant de trouver un boulot acceptable. Une chose est sûre : tu ne seras pas ingénieur ici. Peut-être plus tard, mais ça sera long, compliqué et cher. Mais ça, j'espère que tu le sais déjà !
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J'ai eu un problème du même genre, mais pour ma carte d'assurance sociale (carte NAS). À l'époque, il n'y avait pas de carte de RP. J'ai trouvé un bon emploi quelques semaines avant d'obtenir mon visa. Suffisamment bon pour que j'attente le dernier moment. Onze mois plus tard, six jours avant la date limite de mon visa, j'ai présenté ma démission et j'ai pris deux semaines de vacances à Montréal. Là, j'ai fait les formalités d'immigration et je suis allé demander ma carte NAS. J'ai dit au Ministère que je n'avais pas encore d'adresse où expédier ma carte NAS, ce qui est normal pour un nouvel arrivant. Dans ce cas, ils gardent la carte et on peut revenir plus tard sur place pour se la faire remettre. Je suis donc retourné en France terminer mon préavis (négocié à deux mois), régler mes affaires, séjourner dans ma famille, etc. Quatre mois plus tard, aller simple pour Montréal. Je suis retourné au Ministère, ils ont ouvert un classeur et m'ont donné ma carte ! Pour la carte de RP, la question est donc : peut-on demander à CIC de la conserver en arguant qu'on n'a pas d'adresse où l'expédier ? Oui.
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Question bagages, il y a deux sortes de compagnies : les grandes compagnies à vols réguliers (Air France, Air Canada, KLM, British Airways...) et les compagnies charters (Air Transat, Corsair, Zoom airlines...). Compagnies régulières : En soute, 2 valises par personne de 32 kg max chacune, soit 64 kg max par personne. En cabine, 2 bagages à main par personne avec une limite de 10 kg (quelquefois 15 kg) au total. Compagnies charters : En soute, 1 valise par personne de 20 kg max. En cabine, 1 bagage à main par personne ne dépassant pas 5 kg au total. Ne comptent pas dans le calcul des bagages à main : vêtements, sac à main, livres et journaux, appareil photo, ordinateur portatif et autres accessoires personnels (baladeur), ainsi que les produits achetés à la boutique hors taxes. Ce sont des règles générales. En pratique, pour des raisons de politesse commerciale, les compagnies sont plutôt souples et ne facturent généralement pas des excédents raisonnables (5 à 10 kg), ou une valise en plus si le poids total ne dépasse pas trop la limite. On pèse rarement les bagages à main à l'embarquement, sauf si on vous voit soulever votre sac à dos avec des grimaces d'haltérophile. Vaut mieux être fort et avoir l'air de porter ses douze bouteilles comme une plume !
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Yep ! et merci pour Hibernia, en passant. Ça me passionne, ces trucs-là. J'en étais resté à Ekofisk, moi
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Dris, j'ai déjà posé la question (voir ici), et très peu de monde de ce forum fait appel aux services d'un avocat ou d'un consultant en immigration. Je crois que ça n'est utile que pour les candidats qui ne parlent pas le français ni l'anglais ou qui n'ont pas le temps de s'occuper de ça. Le consultant peut à la rigueur éviter qu'un dossier soit retardé pour cause d'erreurs ou de pièces manquantes, mais il ne fera jamais accélérer le traitement d'un dossier. Un avocat, lui, n'est utile qu'en cas d'obstacle judiciaire (condamnation antérieure, par exemple). En dehors de ça, n'importe qui de moyennement instruit peut s'occuper de ça lui-même. Et surtout, c'est horriblement cher, par rapport au service rendu !!
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En effet, le réseau 127 / 220 était l'ancien réseau triphasé d'EDF, du temps des installations « 110 volts », il y a plus de trente ans, donc. Cette valeur a facilité le passage du « 110 » au 220, par simple commutation des installations existantes sur les nouveaux transformateurs. Vos grands-parents ont sûrement dans leur grenier quelques vieux appareils ménagers bitension de ce temps-là. Maintenant, le réseau EDF résidentiel actuel est bien en 220 / 380 triphasé. Je crois que 240 et 400 volts sont plutôt des limites maximales pour les appareils électriques. Puisqu'on est dans l'histoire, rappelons que le « 110 volts » n'existe nulle part. Ce nom est un héritage des premiers réseaux à courant continu. Au Québec, la distribution industrielle triphasée est beaucoup plus disparate : on peut trouver du 120/208, du 277/480, du 347/600... mais du 120/220, ça ne se peut pas. Pour compliquer un peu plus les choses, le manuel de ma cuisinière (américaine) indique clairement qu'elle fonctionne en 120/240 et en 120/208 volts... ben oui, y'a souvent une petite cuisine dans les usines, pour les employés
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J'ai trouvé ici ! Donc la distribution moyenne tension est en 25 kV triphasé : 14,4 × \/¯3 = 25. Le transformateur résidentiel de quartier (schéma ci-dessus) produit les deux « phases » (peut-on encore parler de phases ?) du courant domestique à partir d'une seule phase du réseau moyenne tension. Les industriels comme le garage d'à côté sont raccordés aux trois phases de la moyenne tension par des transformateurs triphasés. Bon, je me sens plus intelligent maintenant !
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En passant, Zogu, ton dessin est celui d'une prise de cuisinière (trois broches droites verticales), et ta photo est celle d'une prise de sécheuse : deux broches droites et une broche en L. Bien vérifier avant d'aller acheter un câble ! Il y a le neutre et la terre, aussi, à ne pas confondre. La terre, c'est bien la broche ronde ? (Le trou du milieu, sur la photo, ne sert à rien, à part faire croire que c'est du triphasé )
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Toujourstoujours, ton truc est génial ! je viens d'apprendre qu'on pouvait faire du 240 V avec deux prises 120 V ordinaires, pour peu qu'elles ne soient pas raccordées à la même phase. C'est qu'on ne trouve pas des entrées de four et de sécheuse dans tous les logements ! D'ailleurs les plinthes chauffantes électriques sont toujours alimentées en 240 volts, ça aussi c'est bon à savoir. C'est ça que je comprends pas. Dans ma prise « 220 », j'ai bien 120 V entre chaque phase et la terre, et 240 V entre les phases. Si le déphasage était de 120°, ça donnerait 208 V (120 V × \/¯3). Donc les phases du réseau biphasé sont bien déphasées de 180°. Dans ce cas, elles ne peuvent donc pas provenir d'un réseau triphasé... Donc Hydro-Québec aurait deux réseaux de distribution distincts, un biphasé pour le résidentiel et un triphasé pour les industries. Le garage à côté de chez moi a du 347 V / 600 V, par exemple. 347 × \/¯3 = 600, c'est bien du triphasé. En Europe, toute la distribution est triphasée : dans le résidentiel, c'est 220 V sur une phase et 380 V sur trois phases. Ça doit être beaucoup plus simple !
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On en apprend tous les jours ! J'ai toujours cru que les deux phases des cuisinières et des sécheuses étaient déphasées de 120° et provenaient d'un réseau de distribution triphasé. Pris d'un doute, je suis allé mesurer, et la tension de ma prise « 220 V » est exactement le double de celle de mes prises « 110 V », comme le dit Toujourstoujours. Et moi qui croyais que ma laveuse européenne marchait en 208 volts... De plus, le secteur donne souvent un peu plus que la tension nominale qui est de 120 volts (et pas 110). Ce soir j'ai mesuré 124,5 volts sur mes prises « 110 » et 249 volts sur ma prise « 220 ». Rien que ça !! La distribution triphasée est donc inconnue, ici ? Comment ils font pour fabriquer deux phases à 180° ? Petit-Lion (qui avait donc tout faux dans un précédent post... j'espère que personne n'est mort ! )
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Dans un tel cas, le parrainage est la solution la plus rapide (quelques mois) pour obtenir un visa de résident permanent. Oui mais... Le parrainage est une décision plus importante que le mariage, parce que le parrain s'engage financièrement pour un minimum de trois ans, de manière irrévocable, même si un divorce survient entretemps. C'est un pensez-y bien, comme on dit ici. De plus, les demandes de parrainage ne sont pas acceptées automatiquement : le gouvernement du Canada se montre plutôt inquisiteur afin de vérifier qu'il ne s'agit pas d'un mariage blanc, ou pire, d'un cas de manipulation. Merieme, peut-être que tu te qualifies aussi pour immigrer à titre de travailleur qualifié. Ça fera moins peur à ton amoureux (ah, l'engagement... ) mais ça risque d'être beaucoup plus long : au moins un an, quelquefois deux ou trois ans.
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Z'avez fait votre tour d'avion au dessus de Québec ? Parce que ça, en Europe, hein ! PS : Nat & Laurent, z'êtes comiques! *MDR*
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- Des frais de dossier ? C'est quoi ça ?¿? - Hé bien, c'est ce que nous coûte l'ouverture de votre dossier : le papier, l'encre, le salaire de la personne qui s'en occupe, le loyer de la succursale... - Ah OK... mais alors, si je paye tout votre travail, le taux de l'hypothèque, c'est le prix coûtant ? puisque vous n'avez plus besoin de faire de marge ? - Heu... --------------------------->
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Ouan, full pas rapp, le OM !
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D'accord. Maintenant voici mes conditions : - Taux de l'hypothèque d'au plus 3 % fixe sur quinze ans.
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[potin] Ah c'est lui, Léo Kalinda ? Kool ! [/potin] Le droit du sang, en Allemagne, ça ne devait pas changer, ça ?
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La crème de la crème de l'Occident . . . jolie formule . . . Corneille, un grand talent et, je crois, une grande âme
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Effectivement, je reconnais que je généralise . . . le gouvernement français ne répertorie pas plus de 751 zones urbaines sensibles (ZUS), dans lesquelles ne vivent que 5 millions d'habitants. Même pas 10 % de la population française ! J'ai failli recopier la liste dans mon message, mais Laurent n'aurait pas aimé. Voici donc la liste (connexion haute vitesse conseillée) : Les 751 zones urbaines sensibles Bon, au Québec il y a Kanasetake, et puis . . . ?
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Pas besoin de présenter une lettre de recommandation de papa-assureur. Quand tu fais convertir ton permis français en permis québécois, la SAAQ regarde la date de délivrance de ton permis de conduire en France, et ça devient de l'ancienneté au Québec. Donc tu obtiens un permis québécois tout neuf avec 16 ans d'ancienneté inscrits dans ton dossier à la SAAQ. Sitôt fait, sur place, tu leur demandes de t'imprimer une fiche intitulée « Renseignements relatifs au dossier de conduite ». Ça, c'est gratuit, instantané, et ça sort donc un dossier... vierge, mentionnant tes seize ans d'expérience de conduite, « aucun point d'inaptitude » et « aucune sanction présente à ce dossier ». Ensuite, tu écris au Groupement des assureurs automobiles pour leur demander un relevé de dossier du Fichier central des sinistres automobiles. C'est gratuit aussi (sauf le timbre), et une dizaine de jours plus tard tu reçois un dossier pour les six dernières années (limite de conservation des renseignements). Dossier vierge, évidemment, puisqu'ils n'ont jamais entendu parler de toi. Avec ces deux documents, tu ne devrais avoir aucun problèmes pour t'assurer dans les meilleures conditions. Groupement des assureurs automobiles 500 rue Sherbrooke Ouest, bureau 600 Montréal (Québec) H3A 3C6
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Y'en a pas !! zéro, niet, nada ! On en a parlé récemment ici : Travailleur autonome : faut-il y penser ?
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Ah, les colocs . . . En arrivant ici, j'ai commencé par louer un 2 1/2 meublé, tout seul. Un réflexe d'individualisme à la française, et un espoir (déçu) de recevoir bientôt de la visite de France. Je ne connaissais absolument personne dans ce pays, et j'ai mis six mois à trouver du boulot. Sans l'internet, j'aurais fini par me taper la tête contre les murs. Ce fut donc une grosse erreur. Ensuite, j'ai loué des chambres chez les autres. Fini la solitude, mais bonjour la précarité. J'ai déménagé tous les quatre mois pendant deux ans, pour des raisons diverses*. J'étais encore assez nomade, à cette époque. Mais le nomadisme, à la fin, ça lasse, surtout avec la crise du logement qui s'en venait. Enfin, mon appart avec mon bail à moi! Mais c'était un 5 1/2 avec trois chambres, bien trop grand pour moi, et j'ai recommencé à m'ennuyer . . . alors j'ai trouvé des chambreurs, par relations uniquement (jamais d'annonces dans Voir), et depuis ce temps, j'adore ça, la colocation ! j'ai découvert des mondes qui n'étaient pas les miens, certains ex-colocs sont restés mes amis. Puis j'ai acheté le logement que je louais, et j'ai toujours un ou deux chambreurs. Par habitude . . . Que voulez-vous, je travaille tout seul chez moi! Les règles de colocation, ça dépend. Moi je partage pas la bouffe ni la cuisine, chacun son étagère dans le frigo et dans les placards. Comme l'auto-organisation de l'entretien laissait à désirer, on a convenu d'un petit calendrier de partage des tâches qui est affiché sur le frigo. Ça se passe bien ! Ah oui, pas de mélange, non plus. Si une coloc vous plaît, attendez qu'elle s'en aille avant de lui faire la cour. Si vous tombez amoureux, too bad, vaut mieux déménager, mouarf ! [mavie] *C'était l'une des raisons diverses! [/mavie]
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Meubles neufs : livraison gratuite. Sinon c'est qu'on se fout de vous, avec les marges qu'ils font. C'est de l'ordre de 1000 (mille) pour cent, dans l'industrie du meuble. Meubles usagés : plein de marchands sur la rue Papineau, à Montréal. Un que j'aime bien, Dans l'décor, 4872 avenue du Parc. Livraison pour un prix modique, 5 à 10 $, même si on achète une commode à 50 $. Et c'est négociable ! Moi j'ai jamais acheté un meuble neuf, à cause de leurs marges de dingues !





