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Messages posté(e)s par immigrer.com

  1. Un neurologue français qui veut travailler au Québec est incapable d’être embauché dans un hôpital malgré 29 postes vacants dans cette spécialité et plus de 50 000 patients en attente de soins.  

    «Ça n’aboutit pas, le temps passe. [...] C’est quand même incroyable d’en arriver à une situation comme ça», déplore le Dr Christophe Couratier.

     

    Français d’origine, ce médecin spécialisé en neurologie est coincé dans une impasse depuis trois ans. En 2015, il s’était installé au Québec avec sa famille et avait été embauché à l’hôpital Pierre-Le Gardeur, à Terrebonne. Il suivait environ 4000 Québécois.


    Opportunité en Guadeloupe  
    «Mes patients m’aimaient bien», jure l’homme de 58 ans, spécialisé dans certaines maladies (Parkinson, migraine, etc.). 

    Le Collège des médecins du Québec (CMQ) prévoit que les professionnels de l’étranger doivent travailler cinq ans avec un permis restrictif avant d’obtenir un permis «régulier». 

    En 2019, après avoir complété quatre ans sur cinq, le médecin a eu une opportunité dans un centre d’expertise en Parkinson en Guadeloupe et est parti y travailler. 

    En fait, le docteur avait compris de ses discussions avec le CMQ qu’il pouvait terminer sa cinquième année de permis restrictif à l’étranger. Un an plus tard, son rêve de revenir au Québec a toutefois viré au cauchemar. 

     

    source et suite : https://www.journaldemontreal.com/2023/12/01/un-neurologue-francais-incapable-detre-embauche-au-quebec-malgre-les-milliers-de-patients-en-attente

  2. Voici l'expérience frustrante de Céline Fiuza, une étudiante française de 26 ans, avec la bureaucratie d'Immigration Canada. Arrivée au Québec à 18 ans, Céline a rapidement décidé d'y faire sa vie. Elle a étudié à l'Université Laval en travail social et en affaires publiques, et s'est intégrée à Québec, travaillant, faisant du bénévolat et nouant des relations.

    Cependant, son parcours a été interrompu quand Immigration Canada a refusé sa demande de renouvellement de permis d'études en novembre, invoquant qu'elle n'avait pas fourni de reçu pour ses données biométriques. Ce refus est survenu malgré une indication dans son dossier qu'elle n'en avait pas besoin. La lettre de refus, écrite dans un français peu clair, a exacerbé la confusion.

    Ce problème aurait pu être facilement résolu par un appel téléphonique, mais les tentatives de communication de Céline avec Immigration Canada ont été infructueuses. Elle a même cherché de l'aide auprès de députés, mais sans succès. Heureusement, après une intervention médiatique, son dossier a été mis à jour et la décision de refus remplacée par « en cours de traitement ».

    Le cas de Céline souligne les défis bureaucratiques plus larges auxquels font face les immigrants au Canada, en particulier les réfugiés qui rencontrent des obstacles encore plus grands pour obtenir la résidence permanente, comme l'a souligné un rapport de la vérificatrice générale du Canada.

     

    Source : La Presse

  3. Le gouvernement canadien a annoncé une voie d'accès plus rapide pour ceux qui ont de la famille au Canada et qui viennent de certains pays mais il faut être ressortissant de ces pays : Colombie / Haiti / Venezuela

     

    https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/demande/formulaires-demande-guides/guide-5991-voie-acces-rp-ressortissants-colombiens-haitiens-venezueliens.html

  4. Pour voir ou découvrir les chansons de ce groupe icône du Québec, dont l'"Amérique qui pleure", "Les étoiles Filantes", "Plus rien" et bien d'autres 

     

    https://www.tvanouvelles.ca/2023/11/15/15-chansons-marquantes-des-cowboys-fringants?fbclid=IwAR3ZKheMCfPSLqOdiNdS5KVfm5W55L-f_8HNIP61mjQ5FOp1kvxw2rnoKOY

     

     

    Et aussi cette superbe chanson :

     

     

     

  5. MISE À JOUR 

    Il aura fallu dix mois d’angoisse et de vache maigre pour que la situation d’une famille originaire de la France bien établie au Québec et menacée d’expulsion par Ottawa soit régularisée, au moment où les gouvernements cherchent à prioriser l’immigration francophone.  

     

    «C’est un peu de l’esclavage moderne. Ce côté injustice, ce n’est pas facile à accepter [...] pourquoi nous traiter de la sorte? Ç’a été très violent», lâche Aurélie Martin, arrivée il y a près de trois ans avec son mari et ses trois enfants. 

     

    Son rêve de grands espaces au Québec a viré au cauchemar en décembre dernier lorsqu’Immigration Canada a refusé la prolongation de leur permis de travail. Jusque là, elle était gérante d’épicerie, alors que son mari travaillait chez Héma-Québec. Le document fédéral leur laissait 90 jours pour régulariser leur situation et obtenir un autre statut, sans quoi ils devaient quitter le sol québécois.  

    Mais les démarches pour y arriver s’avèrent longues et complexes, à la fois pour le travailleur immigrant et l’entreprise qui l’emploie. Dépassé par les procédures, l’employeur de Mme Martin a lancé la serviette. Une autre entreprise avait toutefois grandement besoin de main-d’œuvre et a accepté d’entreprendre les démarches.

    Sans salaire du jour au lendemain et non admissible au chômage, le couple y a laissé toutes ses économies. Réussir à subvenir aux besoins de sa petite famille et mettre du pain sur la table a été un combat quotidien. Heureusement, il a pu compter sur la générosité de sa famille, d’amis et d’ex-collègues de travail.

    «Mes anciens patrons me donnaient des caisses de légumes qu’ils allaient jeter, alors on pouvait quand même faire la soupe. On s’est débrouillé comme ça, des amis québécois qui nous amenaient des sacs de course», raconte avec émotion la femme, qui est gérante en alimentation.  

    https://www.journaldemontreal.com/2023/11/13/famille-francaise-confrontee-a-la-bureaucratie-federale---dix-mois-dangoisse-et-de-vache-maigre

     

    suite et source

  6. Le 2023-11-07 à 15:45, Jiyane a dit :

    Bonjour Je suis Joane je vous donne mon témoignage depuis Haiti ou j’attend depuis 17 mois la résidence permanent ! Mon époux a faire le parrainage de moi et de ma fille 15 ans qui n’est pas sa fille , nous avons 14 ans de relations  2 ans de mariage un fils de 6 ans citoyens canadien qui a du aller vivre avec sont pere a cause de la situation sécuritaire qui ne cesse d'augmenter en Haiti.
    J’ai  déjà reçus mon CSQ depuis janvier 2023

    examen médical complète depuis 25 decembre 2022 et bientôt expiré 25 decembre 2023

    éligibilité en cours depuis 12 decembre 2022

    on a envoyer le certificat de police le 7 août 2023 a date aucun mise a jours n’a été faite ,

    je vie une situation difficile j’ai subit une tentative de kidnapping chez moi ou je me suis échapper de justesse mon mari travail dans la construction il droit être sur les chantiers de très taux il ne peux pas concilier  l’école et le travail et par dessus tout il y a mon fils qui pence que je l’ai abandonner il ne comprend pas pourquoi nous sommes séparer je suis engrosser stresse dès il m’arrive de croire je vais mourir en Haiti sans revoir mon fils et mon mari vu le taux de criminalité élever en Haiti 

      On a 24 heures de vie renouvelable en Haiti 

    Merci beaucoup Jiyane. Votre témoignage exprime bien la situation difficile que vous vivez en Haiti. Oui, votre témoignage sur l'attente du parrainage démontre à quel point cette situation peut être dangeureux au niveau de la sécurité. J'espère que vous pourrez arriver rapidement au Canada. Comme vous avez peut-être déjà vu, nous avons fait le reportage sur les parrainages, et abordé les délais horribles. Votre mari ne peut pas parler à son député local afin de souligner le fait que vous êtes dans une situation qui peut devenir dangereuse? Bon courage pour cette terrible attente. 

  7. Natasha MacDonald-Dupuis

    Publié le 7 novembre 2023

    Radio-Canada

    Au Québec, n’importe qui peut ouvrir une école privée pour préposés aux bénéficiaires. Ces usines à diplômes visent surtout les nouveaux arrivants, qui ignorent souvent que les formations ne sont pas reconnues. Et les autres victimes sont les aînés, révèle La facture.


    Ils viennent d’Algérie, d'Haïti, de pays francophones d’Afrique. Certains sont demandeurs d’asile ou étudiants étrangers, d’autres sont détenteurs d’un visa de touriste. De bouche à oreille ou sur les médias sociaux, parfois même de leur pays d’origine, ils entendent parler d’un métier très demandé au Québec : celui de préposé aux bénéficiaires.

    Pour des centaines, voire des milliers de dollars, des écoles non reconnues leur font miroiter une formation express et la possibilité d’obtenir un emploi. L’inscription ne nécessite pas de permis d’études ni de travail. Mais plusieurs omettent de dire que leurs diplômes n’ont aucune valeur aux yeux du ministère de l’Éducation.

    Ce marché parallèle, un secret de polichinelle dans le milieu, a bondi depuis la pandémie. À Montréal seulement, onze écoles ont pignon sur rue. La province ne vérifie pas la qualité de leurs formations.

    Parfois des versions très écourtées de celles données dans les centres de services scolaires, ces formations ne permettent pas, à elles seules, d’être embauché comme préposé aux bénéficiaires dans les CHSLD, par exemple.

    Mais au niveau des RPA, il existe une zone grise : les préposés aux bénéficiaires des écoles non reconnues, de même que les préposés qui n’ont aucune formation du tout, ont une période d’un an après l’embauche pour obtenir des formations en règle. En 2022, le gouvernement Legault avait annoncé qu'un diplôme en règle serait exigé dès l'embauche, avant de faire marche arrière récemment.

    Le président du Regroupement québécois des résidences pour aînés, Marc Fortin, estime que cette exception d’un an est vitale pour la survie de bien des RPA, mais il critique du même souffle les écoles non reconnues.

    source et suite : https://ici.radio-canada.ca/recit-numerique/6516/faux-diplomes-ecoles-preposes-beneficiaires-etranger

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