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  1. Il y a une semaine, la direction du Lycée international français des provinces de l'atlantique, LIFPA, officialisait le projet d’un établissement à Halifax dont l'ouverture est prévue en septembre. Le maire, Mike Savage soulignait que la présence importante des Libano-Canadiens dans la municipalité avait joué un rôle dans cette implantation. Mais quelle est la place de cette communauté en Nouvelle-Écosse et son influence dans la francophonie ?

    Le récit de la venue du Lycée international français des provinces de l’Atlantique est émaillé de rebondissements. Le premier choix des promoteurs de ce lycée français s’est d'abord porté sur Saint-Jean au Nouveau-Brunswick, mais après de multiples tergiversations, c’est finalement Halifax qui a été choisi.

    Consulté au début du projet, le consul honoraire du Liban à Halifax, Wadih M. Fares a fortement appuyé la candidature de la ville néo-écossaise.

    Lorsque l’association Don Bosco Mobilités Internationales qui porte le projet a annoncé son souhait d’installer l’établissement à Saint-Jean, il s’est même demandé : pourquoi la communauté libanaise n'ouvrirait-elle pas sa propre école privée ?

    Un projet bien accueilli

    Finalement avec l’abandon au Nouveau-Brunswick, l’association Don Bosco et l’Ambassade de France ont de nouveau sollicité le consul. Avec ma position et pour l’intérêt de notre communauté, je les ai aidés à sécuriser l’endroit avec un propriétaire, un ami à moi, confie le consul honoraire dans son bureau situé dans les locaux de son entreprise de construction à Halifax.

    Je crois fermement qu'il s'agit d'un excellent ajout au système d'éducation que nous avons en Nouvelle-Écosse, explique le consul honoraire.

    Nous sommes une communauté très unie, et nous voulons préserver notre culture et nos valeurs autour de la famille, et je pense que cet établissement français va nous aider à cela.

  2.  

    L’image de l’Université Laval à Québec détournée pour de la fraude à l’international
    De fausses bourses d’études sont proposées, notamment sur Facebook

     

     

    MISE À JOUR 

    Des fraudeurs se servent de la réputation de l’Université Laval pour offrir de fausses bourses à des étudiants étrangers qui rêvent de poursuivre leur scolarité au Québec.

    Une ingénieure en logistique de 26 ans du Cameroun a répondu le 19 janvier à une annonce prétendant offrir une bourse d’études de l’Université Laval.

    L’offre apparaissait sur WhatsApp, l’application de communication la plus répandue en Afrique.

    «Je suis à la recherche d’une bourse pour faire mon master [maîtrise] et mon doctorat», a raconté Corine Époupa, actuellement à l’emploi d’une société pétrolière dans son pays.

    La jeune femme reçoit rapidement une réponse à sa demande d’une personne disant être Sophie D’Amours, rectrice de l’Université Laval. En plus de reprendre le nom de la véritable rectrice, l’expéditeur utilise aussi son image, celle de l’institution et la bonne adresse.

     

    «J’ai vu sur internet que la rectrice s’appelait bien Sophie D’Amours. Le fait de savoir qu’il existe des organismes canadiens qui octroient des bourses d’études aux étudiants étrangers m’a mis en confiance sur la véracité de l’information», a précisé Mme Époupa.

    Méfiance

    Mais durant le processus, certains éléments la font douter.

    «La conception du formulaire à remplir et l’énorme disponibilité de Sophie D’Amours» l’interpelle. 
     

    «Une connaissance au Canada est entrée en contact avec l’Université qui l’a informée qu’il n’y avait pas de programme de bourses d’études disponible pour le moment», a révélé la jeune femme.

    Le fraudeur lui dit que sa demande a été acceptée, mais qu’elle doit payer 108 000 francs CFA (240$) pour compléter l’inscription. Le montant peut paraître dérisoire ici, mais il est supérieur au salaire mensuel moyen de 83 000 CFA au Cameroun.

    Les étudiants d’ici à risque

    Une rapide recherche a permis au Journal de trouver une demi-douzaine de pages Facebook de la frauduleuse Commission Fédérale des Bourses Étrangères Canada (CFBE) reprenant l’image de l’Université Laval.

    suite et source : https://www.journaldemontreal.com/2024/02/14/limage-de-luniversite-laval-detournee-pour-de-la-fraude-a-linternational

  3. Le nombre de médecins augmente au Québec

    Radio-Canada


    Le Québec continue d'augmenter ses effectifs médicaux, puisque 280 médecins de plus se sont ajoutés au réseau de la santé depuis un an. selon les plus récentes données du Collège des médecins (CMQ) publiées jeudi matin.

    En date du 31 décembre 2023, le tableau du Collège des médecins (CMQ) publié jeudi matin, indique que le Québec comptait 26 001 médecins inscrits. Parmi les médecins actifs, 47 % sont des médecins de famille et 51,4 % sont des médecins spécialistes. Environ 1,5 % détiennent un permis délivré dans le cadre de l'entente Québec-France.

    Les données montrent également qu'une centaine de médecins de plus qu'en 2022 sont inactifs, c'est-à-dire qu'ils sont en congé de maladie, année sabbatique, congé parental, à la retraite ou encore qu'ils sont temporairement partis à l'extérieur du Québec pour faire une formation spécialisée. Au total, 11,9 % des médecins étaient inactifs en 2023.

    Pratiquement toutes les régions du Québec ont fait des gains d'effectifs, Montréal étant celle qui en a le plus avec 33 nouveaux médecins de famille et 63 médecins spécialistes. Québec arrive au deuxième rang avec 38 médecins de plus, suivi par les Laurentides avec l'ajout de 29 médecins.

    L'Estrie compte, pour sa part, 27 médecins actifs de plus et le Centre du Québec, 15.

    Par ailleurs, 457 médecins exercent hors du Québec, un nombre qui est resté stable.

    Deux médecins de famille de moins au Centre-du-Québec

    Quatre régions ont perdu des médecins de famille en 2023. Lanaudière est celle qui a vu le plus de ces professionnels déserter avec huit médecins de famille en moins. Quatre médecins de famille ont quitté l'Abitibi-Témiscamingue, le Saguenay-Lac-Saint-Jean en a perdu trois et le Centre-du-Québec deux. De son côté, l'Estrie en a gagné 6.
    source et suite : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2049564/medecins-famille-centre-du-quebec

  4. L’UQAM offrira une voie rapide pour les enseignants dès septembre

    Alors que l'idée d'une formation courte pour qualifier de nouveaux professeurs faisait presque l'unanimité contre elle il y a un an, l'UQAM fait volte-face et offrira dès septembre une formation de 30 crédits menant au brevet d'enseignant au primaire. La formule, unique au Québec, est testée depuis cet été.

    « Je suis contre l’idée de donner un brevet à rabais », déclarait sans détour le doyen de la Faculté d'éducation de l'UQAM Jean Bélanger au Journal de Québec en février 2023.

    Jean Bélanger réagissait alors aux sept priorités du ministre Bernard Drainville (dont celle de créer une voie rapide) à titre de président de l'association représentant les doyens des facultés d’éducation (ADÉREQ).

    Le doyen ne s'en cache pas : il était très perplexe et estimait que ça allait trop vite. La sortie du ministre Drainville a eu un effet d'électrochoc, reconnaît-il.

    Malgré ses réticences, celui qui cumule plus de 20 ans d'expérience au Département d'éducation de l'UQAM souhaitait lutter contre la pénurie d'enseignants, mais pas n'importe comment, précise-t-il.

    Jean Bélanger a interpellé tous les professeurs de la faculté en disant : il faut faire quelque chose. J'ai levé la main, et les choses se sont placées très rapidement, raconte Elaine Turgeon, directrice de l’Unité des programmes de 1er cycle en éducation préscolaire et en enseignement primaire (ÉPEP).

     

     

    [Si on ne fait pas ça], on laisse les gens qui ne sont pas formés dans les classes et on prend le risque que [leurs élèves] ne fassent pas les apprentissages nécessaires, qu'ils accumulent un retard, et après, on va avoir un problème de société.

    Une citation deÉlaine Turgeon, enseignante en didactique, directrice de l’Unité des programmes de 1er cycle en éducation préscolaire et en enseignement primaire (ÉPEP), UQAM

    Élaine, c'est vraiment l'idéatrice du projet, insiste Jean Bélanger.

    C'est ainsi que le diplôme d'études supérieures spécialisées (D.E.S.S.) de l'UQAM de 30 crédits, à temps partiel sur deux ans, est né. Ce sera le premier programme permettant rapidement à des professeurs de se qualifier par une formation offerte en présentiel, et non entièrement à distance, comme d’autres formules existantes.

    La TÉLUQ propose un programme de 30 crédits pour qualifier les enseignants non légalement qualifiés qui enseignent déjà au primaire, mais la formation est entièrement donnée à distance. Même chose pour la voie rapide de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) qui vise l'enseignement au secondaire.

    Les formations de l'UQAM, la TÉLUQ et l'UQAT ont toutefois un point commun : elles concernent les enseignants non légalement qualifiés, c'est-à-dire des professeurs déjà embauchés dans le réseau scolaire.

    Selon les plus récents chiffres compilés par le ministère de l’Éducation, plus de 7000 personnes non légalement qualifiées ont un contrat à temps plein ou à temps partiel actuellement. En incluant les suppléants, ce chiffre bondit à 30 000, selon la vérificatrice générale du Québec.

    Avec ces personnes-là, on peut aller beaucoup plus rapidement qu'avec des étudiants qui sortent du cégep, qui ont 19 ans et qui n'ont pas nécessairement d'expérience des classes du primaire et des élèves du primaire, explique Elaine Turgeon.

    suite et source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2043083/uqam-voie-rapide-formation-enseignants

  5. Une dette de 21 000 $ pour accoucher sans assurance maladie au Québec

    Québec n’a toujours pas tranché sur la possibilité d'offrir des accouchements gratuits à des centaines de migrantes sans assurance chaque année. La Régie de l'assurance maladie du Québec (RAMQ) avait proposé diverses options à cet effet en 2022. Une facture qui pourrait dépasser les 20 millions de dollars.
     

     

    Lorsqu’elle a accouché dans un hôpital de Montréal en 2022, Fatoumata (prénom fictif) s’est organisée pour limiter la facture.

    Sans assurance ni carte d’assurance maladie du Québec, elle voulait éviter des frais d’environ 5000 $ par nuit d’hospitalisation.

    Je suis donc restée [jour et nuit] à la pouponnière sur une chaise, raconte cette mère dans la trentaine. Un lit lui sera finalement aménagé près du bébé.

    Quelques mois plus tôt, cette résidente permanente avait pris contact avec l’hôpital.

     

    Pour les femmes qui n’ont pas eu de suivi à l'hôpital, on demande un dépôt pour les honoraires des médecins d’environ 3500 $, explique-t-elle.

    Au total, elle et son conjoint ont finalement reçu une facture de 7000 $ après l’accouchement.

    Des fois, je leur verse 150 $, 200 $, 1000 $, ça dépend. [...] Il me reste 1500 $ environ à payer, dit-elle.

    Tomber enceinte ici sans assurance maladie, c'est quelque chose de vraiment stressant.

    Une citation deFatoumata (prénom fictif)
     

    Des centaines de femmes chaque année

    Le cas de Fatoumata n’est pas unique.

     

    Selon une compilation de documents obtenus par Radio-Canada auprès de la moitié des établissements de santé, en 2023, environ 900 migrantes sans assurance ont accouché dans des hôpitaux au Québec, surtout dans la région de Montréal.
     

    Lors de notre passage au Centre de pédiatrie sociale de Saint-Laurent, situé à Montréal, Augustine Messa Taga était sur place pour obtenir un suivi médical en vue de son accouchement prévu dans quelques semaines. Ce service est fourni gratuitement.

    suite et source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2047159/dette-accouchement-assurance-maladie-quebec

     
     

     

  6. Simon Croz toujours sans permis de travail

    Bientôt papa, le Français d'origine, qui n'a plus les papiers pour travailler au Québec depuis neuf mois, a épuisé toutes ses économies.

    Les déboires du Pistolois d'adoption Simon Croz avec Immigration Canada ne sont toujours pas terminés. Il attend avec impatience un nouveau permis de travail, neuf mois après s’être vu retirer le droit de travailler à titre de directeur général de l’organisme Paralœil.

    Celui qui a fait l’objet d’une mobilisation politique et citoyenne, notamment avec la campagne #UnispourSimon, apprenait en octobre dernier que la mesure d'expulsion qui le visait était suspendue. Mais il attend, encore aujourd'hui, des nouvelles du ministère pour avoir le droit de travailler à nouveau.

    Alors que sa conjointe attend un enfant pour le mois de juin, Simon Croz aimerait que cesse l'anxiété quotidienne que vit sa famille. Il se dit impatient de travailler et de contribuer à la société, d'autant plus qu'il a épuisé l'entièreté des économies qui lui permettaient de tenir jusqu’à aujourd’hui, après des mois à se serrer la ceinture. Les caisses sont vides, lance le Français d'origine.

    On a besoin d’un peu de sérénité, de se projeter dans l’avenir, que ce soit d’un point de vue professionnel, d’un point de vue financier, mais on est encore en train de se battre, on est encore dans cet imbroglio administratif.

    Une citation de Simon Croz
     

    De nombreux citoyens du Bas-Saint-Laurent s'étaient mobilisés pour soutenir le Pistolois, notamment dans le cadre de la campagne #UnispourSimon. Une centaine de personnes étaient d'ailleurs présentes lors du lancement. (Photo d'archives)

    PHOTO : RADIO-CANADA / PATRICK BERGERON

    Il attend donc toujours la régularisation de son statut, qu’il a perdu au mois de mai 2023. Il explique que son dossier, l'été dernier, était soi-disant traité en urgence comme il était menacé d’expulsion du pays. Mais lorsque la mesure d’expulsion est tombée, les fonctionnaires du ministère de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté du Canada (IRCC) auraient remis son dossier dans la catégorie des traitements standards. Pour faire une image, ils l’ont remis sous le dessous de la pile, croit Simon Croz.

    Depuis le 14 janvier, sa demande de permis de travail est officiellement en retard, explique-t-il. Il a dès lors relancé le député fédéral Maxime Blanchette-Joncas, qui a pu faire pression pour que son dossier obtienne à nouveau un traitement urgent, soutient le Pistolois.

    L’homme de 40 ans dit relancer les fonctionnaires toutes les deux semaines. Il assure que son dossier est complet et qu’il ne resterait plus qu’à vérifier ses antécédents judiciaires, selon les derniers échos qu’il a pu obtenir.

    suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2047234/simon-croz-permis-travail-immigration

  7. Voici le parcours du Dr Yevhenii Linetskyi, un médecin ukrainien confronté aux défis de l'immigration au Canada, notamment l'adaptation professionnelle et linguistique. Linetskyi exprime la difficulté inattendue de ces obstacles, résumant son expérience par : "Je m’attendais à ce que ce soit difficile, mais pas à ce point." Malgré un soutien initial, il trouve l'intégration complexe, citant le manque de reconnaissance des qualifications et les barrières linguistiques. Face à ces défis et après un emploi temporaire en recherche, il envisage de retourner en Ukraine ou ailleurs en Europe, mettant en lumière la nécessité d'un meilleur accompagnement pour les professionnels de santé immigrants.

    Source : Radio-Canada

  8. Le gouvernement de la Colombie-Britannique a annoncé lundi qu’aucun nouvel établissement d’enseignement postsecondaire ne serait autorisé à inscrire des étudiants étrangers, pendant deux ans, alors que la province cherche à éliminer les cas « d’exploitation ».

    La ministre de l’Éducation postsecondaire, Selina Robinson, a également annoncé que son gouvernement fixait des exigences linguistiques minimales dans les établissements d’enseignement privés, afin que les étrangers soient « mieux préparés » avant de venir étudier dans cette province. 

    La ministre affirme dans un communiqué que de nombreux étudiants étrangers sont exploités et que les établissements postsecondaires seront inspectés plus fréquemment pour garantir le respect des normes d’enseignement.

    Le gouvernement fédéral a annoncé la semaine dernière qu’il plafonnera le nombre de visas d’études approuvés au cours des deux prochaines années, afin de ralentir l’essor du programme pour étudiants étrangers. Le ministre fédéral de l’Immigration, Marc Miller, a déclaré que cette limite réduirait le nombre de nouveaux visas étudiants de 35 % cette année.

    Le programme fédéral de visas d’études s’est considérablement développé depuis quelques années. En 2022, le programme a connu une augmentation de 31 % par rapport à l’année précédente, pour atteindre plus de 800 000 étudiants étrangers. Cet accroissement exerce une pression supplémentaire sur le marché immobilier canadien.

    La ministre Robinson a indiqué lundi que la pause sur les nouveaux établissements durerait jusqu’en février 2026.

    Les nouvelles normes incluraient aussi « des critères d’évaluation plus élevés pour la qualité des diplômes, les besoins démontrés du marché du travail en diplômés et en ressources appropriées, ainsi que le soutien aux étudiants », indique le communiqué.

     


    suite et source : https://www.ledevoir.com/societe/806209/colombie-britannique-aucun-nouvel-etablissement-ne-pourra-inscrire-etudiants-etrangers-ici-2026?

     

  9.  

    L’un est Normand, l’autre, Breton. Ils forment à eux deux le nouveau duo de châtelains de la région de la baie des Chaleurs. Non seulement ont-ils sauvé par leur achat un objet rare dans le patrimoine québécois, mais ils rêvent aussi d’en faire profiter toute la région. Visite des propriétaires.

    Des Européens à la rescousse du patrimoine québécois ? Pourquoi pas ? « Ça fait 25 ans que je suis au Québec », précise Dany Torchy, cinquantenaire, verbomoteur et heureux comme un roi dans son château plus grand que nature.
     

    Il circule parmi les trois bâtiments qui forment ensemble le château Bahia : il y a le bâtiment principal, puis l’« auberge », et un troisième bâtiment est encore en construction. Tout est bâti en bois. « Les tourelles ne sont pas de la décoration. Elles servent toutes à quelque chose », dit le châtelain. En plein hiver, « on chauffe au bois magistralement ».

    Du haut de la tour d’observation, il pointe les hameaux autour de la baie des Chaleurs. « On a été conquis par la région », lâche-t-il, avant de rappeler que c’est juste en face de ce château que s’est déroulée la bataille de la Ristigouche, dernier soubresaut de l’Amérique française au XVIIIe siècle. « On est à Pointe-à-la-Garde, ici ! »

     

     





    https://www.ledevoir.com/economie/806075/devoir-gaspesie-chateau-baie-chaleurs-sauve-francais

  10. «Acheter à Montréal a été si facile alors que c’était impensable à Paris»: comment Camille, 41 ans, et Benoît, 39 ans, sont devenus propriétaires

    Par Jean-Bernard Litzler
    Publié , mis à jour 

    TOI, MON TOIT - Coups de cœur, projets plus ou moins fous, galères et plus-values… Dans cette série, les Français racontent au Figaro leurs aventures immobilières. Ce couple qui a choisi de s’installer au Québec a rapidement pu acheter un confortable appartement où la famille s’est agrandie.

    Avec son mari Benoît, 39 ans, Camille, 41 ans, se décrit spontanément comme une parfaite incarnation de la «vraie classe moyenne à Paris» même si pouvoir vivre dans la capitale est déjà, aux yeux de certains, un privilège. À leurs débuts professionnels, cet ingénieur informaticien issu de Centrale Lille et cette webdesigner indépendante gagnent raisonnablement bien leur vie. Assez pour se loger à Paris, mais y devenir propriétaire leur semble totalement hors de portée. Grâce à un bon plan familial, ils louent entre 2012 et 2016 un appartement de 60 m² dans le 15e arrondissement pour 1650 euros par mois. Le logement, dans un immeuble des années 60, est vraiment «dans son jus» mais le tarif reste intéressant pour une telle surface, très bien située vers le métro Cambronne.

    suite et source : https://www.lefigaro.fr/placement/acheter-a-montreal-a-ete-si-facile-alors-que-c-etait-impensable-a-paris-comment-camille-41-ans-et-benoit-39-ans-sont-devenus-proprietaires-20240128?

  11. En compagnie de Frédéric Lopez, Gérard Jugnot, Donel Jack'sman, Adriana Karembeu et Barbara Pravi se livrent à une immersion 100 % nature, pour vivre des émotions hors normes. Ensemble, ils se lancent dans un parcours itinérant, à travers le Canada, pour se déconnecter du monde virtuel et se reconnecter à soi, aux autres et à la nature. L'animateur et ses quatre invités évoluent en quasi-autonomie, guidés par un "architecte de l'aventure". Un voyage qui mêle activités et moments d'introspection pour permettre à ces personnalités de sortir de leur zone de confort afin de vivre de façon authentique des moments drôles et émouvants, en un mot, inoubliables.

    Visionner: https://www.immigrer.com/gerard-jugnot-donel-jacksman-adriana-karembeu-et-barbara-pravi-au-quebec/

     

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  12. L'Université Laval à Québec offre un bac génie logiciel avec une spécialité Sécurité informatique.  Je ne sais pas si cela va vous aider à comparer votre niveau. En contactant le registraire, vous pourriez avoir plus de détails. 

    Les universités au Québec offrent de nombreuses possibilités, à temps plein, partiel, le soir, des stages, etc. C'est très flexible en Amérique du Nord au niveau universitaire. 

     

    https://www.ulaval.ca/etudes/programmes/baccalaureat-en-genie-logiciel
     

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