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Messages posté(e)s par immigrer.com

    Un hôtel autochtone parmi les meilleurs au monde, selon un magazine de voyage

     

    Radio-Canada

     

    Le Klahoose Wilderness Resort, un lieu de villégiature appartenant à une Première Nation de la Colombie-Britannique, figure sur la liste des 15 meilleurs établissements où séjourner en 2023 du magazine de voyage américain AFAR.

     

    Selon la publication, la sélection des 15 destinations présente ce qu'il y a de mieux en matière de design, de confort et de durabilité dans le monde entier.

     

    L’éditrice déléguée principale d’AFAR, Jennifer Flowers, explique que les établissements choisis cherchent continuellement à réduire leur empreinte carbone, à aider les communautés de manière significative et à mettre les clients en contact avec des paysages [locaux].

     

    Le Klahoose Wilderness Resort est situé sur les terres traditionnelles de la nation Klahoose, à Desolation Sound, près de Powell River.

     

    suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1969129/klahoose-nation-autochtone-resort-hotel-nature-faune-voyage-afar

  1.  
    L’UQAR inondée de demandes d’admission d’étudiants étrangers

    Édouard Beaudoin

     

    En prévision de la prochaine rentrée, l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) indique avoir reçu plus de 12 000 demandes d’admission d’étudiants étrangers. Un nombre hors norme, considérant que l’université accueille 6710 étudiants, dont 650 de l’étranger.

    On parle de chiffres totalement gonflés avec nos habitudes, lance le directeur des services à la communauté étudiante de l’UQAR, Jean-François Ouellet.

    « Des demandes d’admission, on en avait quelques milliers chaque année… mais jamais au-delà d’un 12 000. »

    — Une citation de  Jean-François Ouellet, directeur des services à la communauté étudiante de l'Université du Québec à Rimouski (UQAR)

     

    Et encore, ce chiffre est conservateur, selon le directeur.

     

    M. Ouellet fait le même constat que ses homologues du Cégep de Rimouski quant à l'ambiguïté occasionnée par une annonce faite par l’ex-ministre de l’Immigration, Jean Boulet.

    Nous avons un intérêt à attirer et à retenir les étudiants [étrangers], déclarait Jean Boulet en mai 2022, parlant de ces derniers comme d’une force vive. Il affirmait alors que certains étudiants poursuivant leurs études en région dans certains programmes ciblés verraient leurs droits de scolarité nivelés pour atteindre ceux de leurs camarades de classe québécois – des milliers de dollars en économie.

    Cependant, seuls 46 étudiants seront admissibles à ce programme à l’UQAR, alors que l’objectif de l’annonce était de répondre à des besoins de main-d'œuvre d'employeurs en région.

    Je crois que [l’annonce] a créé des attentes parmi bien des étudiants à travers le monde, suggère Jean-François Ouellet, qui ajoute que l’administration de l'Université anticipait que ce ne seraient pas tous ses étudiants étrangers qui bénéficieraient de ces nouvelles bourses.

     

    source et suite: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1971115/admissions-universite-quebec-rimouski-uqar-etudiants-etrangers

  2. Un Français partage les raisons qui le poussent à quitter le Québec et ça fait (beaucoup) réagir

     

    Sarah-Florence Benjamin

    4 avril 2023 16H55

    MISE À JOUR 4 avril 2023 16H55

     

     

    Une publication du site Immigrer.com sur l’expérience négative d’un immigrant français fait réagir sur les réseaux sociaux. Installé au Québec depuis trois ans, l’internaute anonyme fait la liste de ce qui lui déplaît dans la province, des conditions de travail à l'état des routes. Si certaines remontrances n’étonnent pas, d’autres sont plutôt originales.  

    Immigrer.com, un média francophone destiné aux personnes qui immigrent au Canada, a soulevé de nombreuses réactions en publiant le témoignage d’un «expatrié» français en mal du pays. L’article qui reprend les propos d’une publication sur le forum d’Immigrer.com datant de septembre 2020 décrit ce qui cause la «lassitude générale du Québec» qui afflige un internaute surnommé Freediver92. 

     

    La publication énumère d’abord les attraits de la Belle Province qui avaient charmé Freediver92 en 2017: la facilité de trouver un emploi (ou même deux), un logement (si on en a les moyens), le prix plus bas des maisons (et des voitures de luxe), les tarifs d’électricité relativement bas, l’accès gratuit à l’eau et le prix avantageux de l’essence.

     

    Source: https://www.24heures.ca/2023/04/04/un-francais-partage-les-raisons-qui-le-poussent-a-quitter-le-quebec-et-ca-fait-beaucoup-reagir


    Voici le témoignage en question: https://www.immigrer.com/au-quebec-depuis-3-ans-envie-de-rentrer-en-france/

  3. Lisa-Marie Gervais

     

    Une éducatrice spécialisée d’origine française a perdu son emploi parce qu’elle n’arrive pas à obtenir une nouvelle carte de résidence permanente. Ce précieux morceau de plastique lui est nécessaire pour prouver qu’elle est bel et bien résidente et ainsi obtenir un nouveau numéro d’assurance sociale (NAS) afin d’être payée par son école.

     

    « Tout est en règle : j’ai un emploi, j’ai un statut légal, mais je n’ai pas la carte dont j’ai besoin pour avoir un nouveau NAS [exigé par] le service de paie », a expliqué au Devoir Charlotte Biélitzki-Sacré, une Française qui vit au Québec depuis 10 ans.

     

    En attendant qu’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) lui envoie sa preuve de résidence demandée il y a plusieurs mois, cette mère de famille habitant la région de Québec doit rester chez elle, sans aucun revenu. « Cela me coûte toute mon énergie et mon équilibre mental pour ne pas perdre tout espoir de voir ma situation s’arranger », dit-elle.

     

    Même une simple lettre qui confirmerait son statut de résidence et lui permettrait de demander un nouveau NAS semble impossible à obtenir. Celle qu’elle avait eue au début dans l’attente de sa première carte est maintenant expirée. « J’ai appelé partout, à l’immigration, à Service Canada. J’ai envoyé des courriels, mais personne ne peut me répondre à ce jour », souffle-t-elle, découragée. « Personne ne peut me la fournir. Ce ne sont que des portes qui se ferment devant moi. »

     

    Difficultés avec IRCC

     

    Tout comme son conjoint, Mme Biélitzki-Sacré a obtenu sa résidence permanente en 2021 et la carte le prouvant quelque temps après. Mais à la suite d’un vol de sac lors d’un voyage, elle a fait une demande de renouvellement en décembre 2022 pour en obtenir une autre. Or, non seulement ce fut le silence radio pendant quatre mois, mais elle vient tout juste d’apprendre d’un agent d’Immigration Canada qu’il n’y a rien dans son dossier à cet effet. « Ma demande a été égarée ou, selon leurs propos, “jamais reçue”. »

     

    source et suite: https://www.ledevoir.com/societe/788437/immigration-pas-de-carte-de-residence-pas-de-nas-et-pas-d-emploi

  4. Étienne Lajoie à Toronto

    Initiative de journalisme local



    Plusieurs immigrants africains rencontrent des problèmes bureaucratiques en arrivant au Canada parce que leur nom est mal inscrit sur leurs cartes officielles par les autorités gouvernementales, déplorent des intervenantes du milieu communautaire. Ces dernières dénoncent l’« inconsidération culturelle » des autorités canadiennes.

    Les cartes d’identité canadiennes, comme dans plusieurs autres pays, utilisent le modèle « nom et prénom ». Mais certains États, dont le Djibouti, en Afrique francophone, y font exception. Les Djiboutiens ont trois prénoms sur leur passeport : le premier est le leur, le deuxième est celui de leur père et le troisième appartient à leur grand-père. Lorsque certains obtiennent leur première carte de résidence permanente au Canada, l’espace prénom est manquant ou leur nom est inversé. Ainsi, une femme peut se retrouver avec un nom masculin, par exemple.

    L’erreur peut causer plusieurs maux de tête. Si un résident permanent devient citoyen canadien, il devra par exemple changer son nom légal afin d’obtenir un passeport en raison de l’erreur sur la carte. Dans d’autres cas, une erreur est introduite dans le deuxième ou troisième permis de travail obtenu par un demandeur d’asile, disent des intervenantes. Lorsque la personne se présente au comptoir de Service Canada, permis en main, pour renouveler son numéro d’assurance sociale, sa demande est refusée en raison de l’erreur, expliquent des intervenants.

    La solution pour les immigrants djiboutiens est souvent de modifier leur nom auprès des instances provinciales, ce qui leur permet, par la suite, de changer leur nom sur leur carte de résidence permanente et d’autres documents officiels. Mais le processus est coûteux : un adulte doit débourser 137 $ pour le faire, tout comme un enfant, à moins que ce dernier le fasse en même temps que son parent. La nouvelle carte de résidence permanente, elle, coûte 50 $.

     

    Le ministère ontarien des Services au public et aux entreprises ne recense que quatre changements de nom officiels faits par des Djiboutiens en 2021 et 2022. Mais Sana Khalil, une agente de la Clinique juridique francophone d’Ottawa, qui vient en aide à des Djiboutiens, estime que les données provinciales « n’ont aucun sens » et que le nombre de changements de nom est plus élevé. L’une de ses collègues à la clinique, dit-elle, a fait « plein de demandes ».

     

    source et suite: https://www.ledevoir.com/societe/787449/immigration-le-nom-des-immigrants-francophones-source-d-erreurs-bureaucratiques

  5.  

    Un café avec… Nathalie Palladitcheff 

    La cheffe des angles morts
     

    Elle gère un portefeuille immobilier de 77 milliards de dollars dans 19 pays, plus que quiconque au Canada. Elle en sait donc un brin sur le télétravail, l’immobilier et la place en devenir des femmes dans ce monde très masculin.

    Je rencontre Nathalie Palladitcheff à son bureau de l’Édifice Jacques-Parizeau, dans le Vieux-Montréal. Le magnifique immeuble vitré abrite la Caisse de dépôt et placement du Québec et ses satellites, notamment la filiale Ivanhoé Cambridge, que préside Mme Palladitcheff.

    La Française d’origine est peu connue du grand public, mais très appréciée dans son industrie. Volubile, vive, généreuse d’elle-même, Nathalie Palladitcheff utilise fréquemment les termes « humilité » et « travail d’équipe » pour décrire son succès.

    Et ce succès, il n’est pas ordinaire : sous sa direction depuis 2019, Ivanhoé Cambridge a littéralement dégonflé sa présence dans les centres commerciaux, en déclin avec le commerce électronique, et traversé une douloureuse pandémie pour l’immobilier. Ivanhoé a ainsi réalisé 250 transactions d’une valeur de 27 milliards en trois ans, cédant des centres commerciaux et achetant des immeubles industriels et de logistique.

     

    Et depuis deux ans, les rendements sont au rendez-vous : à 12,4 % par année, en moyenne, la Caisse de dépôt surpasse ses indices de référence dans l’immobilier (avoisinant 7,7 %), ce qui n’était pas le cas depuis quelques années.

    La gestionnaire vient d’ailleurs d’être récompensée par les principaux dirigeants et investisseurs immobiliers de la planète avec le prestigieux prix Carrière de la publication spécialisée PERE (pour Private Equity Real Estate).

    Grâce à une femme, ce succès ? Après tout, elle est la première nommée à la tête de ce géant immobilier et l’une des très rares à diriger une telle entreprise dans le monde. Elle-même n’a jamais eu de femme comme patronne.

    « Je ne sais pas s’il y a un leadership féminin ou un style et des compétences féminins. Ce que je sais, c’est que la diversité apporte un autre regard. Or, dans mon poste, le plus dangereux, c’est l’angle mort, ce que vous ratez. La principale menace, c’est si vous n’avez pas l’équipe qui vous garantit de voir à 360 degrés. D’où l’importance d’avoir des femmes, des jeunes, des moins jeunes, des personnes avec des expériences différentes, qui donnent le plus de chances d’éviter l’angle mort », dit la gestionnaire de 55 ans.

    Pourquoi si peu de femmes ?

    ......

    Nathalie Palladitcheff est un agent de changement à cet égard. Son comité de direction de 10 personnes chez Ivanhoé Cambridge compte autant de femmes que d’hommes.

    La gestionnaire est arrivée à Montréal en 2015, après avoir accepté l’offre de Daniel Fournier – ex-PDG d’Ivanhoé Cambridge – de devenir chef des finances de l’entreprise. Mme Palladitcheff était alors responsable des finances de la société Icade, affiliée à la Caisse des dépôts et consignations française, l’équivalent de la Caisse de dépôt du Québec.

    Traverser l’Atlantique a exigé mûre réflexion. Ses trois garçons avaient alors 10, 12 et 17 ans et son mari devait quitter son emploi. Aujourd’hui, personne dans la famille ne regrette la décision.

    Quelques mois plus tard, son plus jeune fils, alors âgé de 12 ans, lui a dit : « Ici, c’est comme si tout était possible. » « Et il vous dira la même chose aujourd’hui, à 18 ans. Il trouve qu’ici, c’est comme si le ciel était plus haut. Et moi, j’ai senti ça aussi », dit Mme Palladitcheff, devenue PDG d’Ivanhoé Cambridge en 2019 et citoyenne canadienne il y a 18 mois.

    suite et source: https://www.lapresse.ca/contexte/2023-03-26/un-cafe-avec-nathalie-palladitcheff/la-cheffe-des-angles-morts.php

     

  6. Voici cinq conseils pour un CV qui se démarque

     

    AGENCE QMI
    MISE À JOUR 

    Comment se démarquer en quelques secondes parmi des dizaines d’autres postulants à partir de son CV seulement? 

    Le magazine économique américain Forbes a tenté de répondre à cette question. Voici cinq conseils pour attirer l’attention des employeurs en quelques secondes.

     

    1) UTILISEZ DES TITRES CLAIRS 

    Votre CV devrait être divisé entre cinq sections clairement identifiées pour permettre aux employeurs de trouver rapidement les mots-clefs recherchés lors d’une analyse rapide, a estimé le magazine.

    Normalement, ces sections devraient être les informations de contact, un résumé du CV, les compétences, l’expérience et l’éducation. Il est possible d’utiliser le gras, l’italique et le sous-ligné pour mettre certaines compétences en évidence ou organiser davantage sa présentation.

    2) ALLEZ DROIT AU BUT AVEC UNE LISTE À POINTS 

    Les gros paragraphes perdent rapidement l’attention du lecteur. Il est préférable d’organiser votre pensée en petit paragraphe, ou encore en utilisant des listes à points, en allant droit au but.

    Cela est aussi valable pour la description de tâche d’un emploi précédent que pour la liste des compétences.

    3) SOIGNEZ VOTRE POLICE D’ÉCRITURE 

    Le choix d’une bonne police d’écriture et une taille appropriée peuvent faire un long bout de chemin entre la pile des CV intéressants et la poubelle.

    Si la taille d’écriture ne doit pas être en deçà de 10 points, Forbes conseille plutôt de viser 11 ou 12, pour que l’employeur n’ait pas à «plisser les yeux» en lisant votre résumé. Le magazine recommande par ailleurs les polices d’écriture traditionnelles, telles que Times New Roman, Cambria, Georgia, Helvetica, Calibri et Trebuchet MS.

     

    suite et source: https://www.journaldemontreal.com/2023/03/29/voici-cinq-conseils-pour-un-cv-qui-se-demarque-1

     
  7. Après un incendie dramatique qui a fait plusieurs victimes dans le Vieux-Montréal dans des Airbnb illégaux, le site Airbnb va désormais afficher que les logements qui ont une accréditation de la CITIQ, l'organisme gouvernement du Québec qui donne les autorisations. Si un Airbnb n'a pas cette accréditation c'est qu'il est illégal et donc il peut être non conforme et amené des problèmes de sécurité comme ceux qui étaient loués illégalement dans le Vieux-Montréal. 

     

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    « La nouvelle loi du Québec pour Airbnb, c’est vraiment une bonne nouvelle »

    La cheffe de Projet Montréal estime que cela va contribuer à remettre sur le marché des logements locatifs autrefois indisponibles.

     

    Radio-Canada
     

    La mairesse de Montréal, Valérie Plante, était de passage sur le plateau de Tout le monde en parle (TLMEP), dimanche, où il a été beaucoup question de logement. De logement social, surtout.

    Il a d'abord été question de l'incendie mortel d'un immeuble du Vieux-Montréal, où des logements auraient été loués à des fins touristiques illégalement. Une tragédie, a dit la mairesse, qui n'a pas manqué d'offrir ses condoléances aux familles qui attendent toujours de pouvoir identifier leurs proches.

    S'il y a une chose que cette tragédie a mise en lumière, a dit Mme Plante, c'est bien la difficulté de faire respecter la législation en matière d'hébergement touristique, qui relève du gouvernement provincial. Elle a expliqué qu'il est impossible d'inspecter tous les logements et que c'est beaucoup plus facile de le faire lorsqu'une plainte est déposée ou qu'une demande de permis est faite pour une résidence.

     

    Il y en a [des propriétaires] qui ne sont pas corrects, qui sont récalcitrants. Ils s'en fichent, des gens. Ils laissent vivre les gens dans de la vermine, même qui font des "rénovictions". Alors nous, on essaie vraiment de faire un ménage là-dedans. Puis la nouvelle loi du Québec pour Airbnb, c'est vraiment une bonne nouvelle, a-t-elle mentionné.

     

    Dans la bonne direction

    L'élue s'est réjouie que la ministre du Tourisme, Caroline Proulx, ait réussi à obliger Airbnb à ne mettre sur leur plateforme que les logements qui sont légaux. On avance dans la bonne direction, a-t-elle dit, ajoutant que cela allait contribuer à réduire les "rénovictions" et surtout la subdivision des grands logements pour en faire des plus petits pour la location commerciale.

    suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1966472/mairesse-montreal-tlmep-airbnb-logement-social-dimanche

     

  8. Sous certaines conditions, le gouvernement canadien recule sur l’interdiction d’achat immobilier des étrangers

     

    Le gouvernement canadien vient d’annoncer qu’il changera les règles pour l’accès à la propriété pour les non-Canadiens. En effet, nous avions annoncé dès le mois de novembre que les étrangers ne pouvaient plus acheter des propriétés à partir du 1er janvier 2023, créant une certaine panique chez certains nouveaux arrivants qui n’avaient pas le bon statut.

     

    Le ministre canadien du Logement et de la Diversité et de l’Inclusion, Ahmed Hussen, en a fait l’annonce le 27 mars afin d’amener des modifications au règlement d’application de la Loi sur l’interdiction d’achat d’immeubles résidentiels par des non-Canadiens.

    Ainsi afin d’accroître la marge de manœuvre des nouveaux arrivants et des entreprises qui cherchent à augmenter l’offre de logements au Canada, le gouvernement fédéral apporte des modifications au Règlement entré en vigueur en début d’année. L’objectif est d’élargir les exceptions pour permettre aux non-Canadiens d’acheter un immeuble résidentiel dans certaines circonstances. 

     

    suite et source: https://www.immigrer.com/sous-certaines-conditions-le-gouvernement-canadien-recule-sur-linterdiction-dachat-immobilier-des-etrangers/

  9. Explosion des demandes d’admission d’étudiants étrangers au cégep

    Une annonce gouvernementale qui faisait miroiter des exemptions de droits de scolarité a provoqué un raz-de-marée de candidatures en provenance de l’Afrique francophone. Cependant, seule une poignée d'entre eux pourront en bénéficier et se retrouveront sur les bancs d’un cégep québécois en septembre prochain.

     

    Fannie Bussières McNicoll
     

    Bon an, mal an, pandémie ou pas, le Service régional des admissions au collégial de Québec (SRACQ) reçoit environ 2000 demandes d’admission d’étudiants étrangers. Mais cette année, il en a reçu plus de 13 000, une véritable avalanche.

    C’est du jamais vu! Les derniers mois ont été infernaux, lance Marc Viens, le directeur général du SRACQ, dont sont membres environ le tiers des cégeps de la province, tous hors de la région de Montréal.

    En général, explique Marc Viens, les étudiants français représentent environ 50 % des demandes d’admission et ceux d’Afrique francophone constituent une grande partie des demandes restantes. Cette année, il y a eu presque 10 fois plus de candidatures africaines, au point de représenter près de 80 % de l’ensemble des demandes.

     

    En fait, les demandes d’admission d’étudiants étrangers ont plus que quadruplé dans les cégeps hors Montréal entre 2022 et 2023. Et cette tendance se manifeste dans presque tous les programmes techniques. Tant en éducation à l’enfance qu’en génie, en passant par des techniques d’animation 3D ou de gestion d’entreprises agricoles, le nombre de demandes a bondi de manière exponentielle.

     

     

    suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1964766/explosion-demandes-admission-etudiants-etrangers-cegep-afrique

  10.  

    Radio-Canada
     

    Alexandre Gagné, un enseignant d’économie au Collège Stanislas, à Montréal, fait face à 15 chefs d’accusation de nature sexuelle. Ces crimes auraient été commis sur sept jeunes, de 2019 à 2022.

    L’homme de 48 ans a comparu mardi après-midi au palais de justice de Montréal.

    Les chefs d’accusation contre lui sont : exploitation sexuelle, agression sexuelle, leurres, menaces, actions indécentes, distribution de pornographie juvénile, fait de rendre accessible à un enfant du matériel sexuellement explicite, extorsion et distribution de cannabis.

    L'établissement scolaire a communiqué par courriel avec les parents pour confirmer la suspension de l'enseignant et condamner sans réserve l'ensemble des comportements rapportés dans les médias.

    Nous demeurons en étroite collaboration avec le SPVM pour contribuer à faire évoluer l'enquête et encourageons tous les élèves ou membres du personnel victimes d'abus ou de harcèlement à communiquer avec les autorités compétentes, est-il écrit dans la missive destinée aux parents.

     

     

     

    source et suite

    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1965046/alexandre-gagne-accusations-six-victimes

  11. UN TEXTE DE LAÏSSA PAMOUPHOTOGRAPHIES PAR GAVIN BOUTROY

     
     
     



    Les questions linguistiques au Canada se résument souvent aux langues officielles. Or, des familles immigrantes dont la langue maternelle n'est ni l'anglais ni le français mènent des luttes de survie identitaire acharnées. Elles font face non seulement à la difficulté de préserver une langue officielle en milieu minoritaire, mais aussi à celle de transmettre leur langue maternelle alors qu’elles se trouvent à des milliers de kilomètres de leurs terres natales.



    Dans la maison de Solange Kiriza, à Winnipeg, on est accueilli en français ou en swahili. Derrière ces deux langues se cachent deux combats que parents et enfants mènent au quotidien.

    Cette famille originaire de la République démocratique du Congo est installée au Manitoba depuis 2011. Les parents sont arrivés au Canada avec trois enfants d’âge scolaire, et trois autres sont nés dans la capitale manitobaine.

    Tous ont été scolarisés en français dans les établissements de la Division scolaire franco-manitobaine, le conseil scolaire responsable des écoles françaises au Manitoba.
     

    Solange Kiriza et son conjoint, Gilbert Bahiga, ont été formés en français en Afrique. Tous les deux parlent couramment cinq langues. Pour eux, assurer la scolarisation en français de leurs enfants au Canada tout en s’assurant qu'ils maîtrisent au moins une de leurs langues maternelles.

    Nous sommes arrivés au Canada avec une culture, nos langues et des richesses que nous ne voulons pas perdre, dit Gilbert Bahiga.

    Les parents ont dû choisir parmi les langues africaines qu’ils parlent. Ils ont opté pour le swahili, un choix stratégique, puisque cette langue compte plus de 200 millions de locuteurs, ce qui en fait l’une des 10 langues les plus parlées au monde.

    Ce choix s'est fait avec un pincement au cœur, car le couple devait faire le deuil de la continuité de ses autres langues pour les prochaines générations.

    Ce n'est vraiment pas facile! Malheureusement, il faut parfois ça pour avancer, lance Gilbert Bahiga, ajoutant que, après cette première étape déchirante, la famille n’a plus le droit à l’échec en ce qui concerne le swahili.



    suite et source: https://ici.radio-canada.ca/recit-numerique/5438/double-combat-linguistique-minoritaire-immigration-francophone

  12. Le Certificat d’acceptation du Québec (CAQ) pour études sera en ligne

     

    "Dans le cadre des demandes de sélection temporaire pour étudier au Québec, le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration ne transmettra plus de copie physique du Certificat d’acceptation du Québec (CAQ) pour études, à compter du 15 mars 2023. 

    Ainsi, plutôt que de recevoir une copie papier par la poste de votre CAQ pour études, une lettre d’attestation de délivrance de votre CAQ pour études sera téléversée dans votre dossier en ligne Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.. Vous devrez utiliser ce document pour présenter votre demande de permis d’études auprès du gouvernement fédéral, répondre aux exigences de votre établissement d’enseignement et accéder aux services prévus pour les étudiantes et les étudiants étrangers." 

     

    source et suite : https://www.quebec.ca/nouvelles/actualites/details/modification-transmission-certificat-acceptation-quebec-etudes-46288

  13. Un couple franco-québécois a dû plier bagage et quitter à regret sa vie montréalaise devant un nouveau cul-de-sac d’Immigration Canada. Le gouvernement demande des papiers pour un enfant, alors qu’il n’était même pas encore né au moment d’amorcer les démarches.

    Le soleil de la Corse traverse la fenêtre de Stéphanie Riccini. Ce n’est pas pourtant de gaieté de coeur qu’elle se trouve en territoire français, pays natal de son conjoint. « Mon conjoint était devenu un touriste. On ne voulait pas être illégal au Québec. On a fait nos cartons et on est venus en France », raconte-t-elle.

     Je ne trouvais aucune information. Je ne trouvais rien qui m'indiquerait quelque chose à faire. J'étais un peu dans le néant.

    — Stéphanie Riccini
     

    Le couple filait le parfait bonheur à Montréal. Elle travaillait dans le domaine judiciaire, tandis que lui roulait sa bosse en informatique. Le bonheur s’est multiplié lorsqu’un enfant a cogné à la porte de leur vie. Le petit Livio voit le jour en septembre 2021, en France.

     

    Leur train de vie a pris un triste tournant en mars 2022 quand le père, Olivier Riccini, a entamé ses démarches pour obtenir sa résidence permanente auprès d’Ottawa. Sa demande a été expressément rejetée par le fédéral. La raison évoquée par Immigration Canada : « Vous devez fournir le certificat de sélection du Québec (CSQ) délivré par la province de Québec pour Riccini, Livio [leur fils]. »

    Impossible de fournir un tel document. Québec exige plutôt que « l’enfant [soit] ajouté à la demande de CSQ de l’autre parent en attente de résidence permanente », selon un porte-parole du ministère de l’Immigration du Québec, qui a décliné l’invitation du Devoir à commenter le dossier pour des raisons de confidentialités.

    Ensuite, impossible pour eux d’ajouter l’enfant au certificat de sélection québécois, car il n’était pas né quand le formulaire a été rempli. « Mon enfant n’était même pas en création quand il l’a reçu ! Quand l’enfant n’est pas né, comment on s’y prend pour l’inclure dans un certificat de sélection ? » s’indigne Stéphanie Riccini.

    La naissance du petit Livio en France complique certainement la demande. « S’il était né ici, ça aurait pris une tangente différente », avance le porte-parole de Québec.

    « Comment [les services à Ottawa] en sont venus à cette demande-là ? La date de naissance est sûrement là », se demande la mère, maintenant résignée à vivre en France. « Ils sont passés totalement à côté. »

    Silence radio

    Des appels de part et d’autre pour obtenir des explications n’ont rien donné pour le couple. Stéphanie Riccini travaille quotidiennement avec « de la paperasse », et n’en revient pas de devoir consulter un avocat en immigration pour obtenir de l’information. « Je ne trouvais aucune information. Je ne trouvais rien qui m’indiquerait quelque chose à faire. J’étais un peu dans le néant. Pourquoi on me demande ça ? Est-ce qu’ils n’ont pas regardé les dates et pensent que c’est un enfant majeur ? Ou c’est vraiment une information qu’il me manquait, à moi. Mais, je ne peux pas trouver ça en ligne. »

    Leurs tentatives de parler à quelqu’un n’aboutissent à rien. Des messages automatisés leur répondent tant au provincial qu’au fédéral. « La seule communication reçue de la part des services d’immigration est une demande reçue deux fois à plusieurs mois d’intervalles afin que nous leur fassions parvenir le CSQ de notre fils qui est sur la demande. »

     

    suite et source: https://www.ledevoir.com/societe/785292/immigration-un-couple-franco-quebecois-s-est-vu-refuser-par-l-immigration-pour-un-enfant-pas-encore-ne

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