Habitués JM137 Posté(e) 28 mai 2010 Habitués Posté(e) 28 mai 2010 les francais que j ai rencontre a montrel sont plutot cool. En fait je pense qu il y a ceux qui sont degoute du manque d ouverture en france. Mais certain en effet viennent au quebec avec leur prejuge. Je me souviens du gare qui au seance de bien venu comparait toujours le quebec a la france. se plaignait de voire ds femmes voile ds les administration quebecoises. Quand a l histoire du profilage raciale. Elle existent bien et elle ne sont pas niees contrairement a la france. Je ne ne pense pas que montreal deviendra paris. 1 la mixite urbaine est plus developpe a montreal nord qu a sarcelle je veux dire qu il n existe pas vraiment de banlieux -ghetto- reserve au immigrants ou a une race a montreal. 2 La discimination a l embauche, au logement au loisir est beaucoup plus faible a montreal et est activement combattu par un arsenal juridique et des procedures. 3 les canadiens apprecient mieux l apport des immigrnats. 4 Il n y a pas a de «type» CANADIEN. Il est plus facilement accepte d etre canadien noire, asiatique, latino etc. Perso en tant que noire je ne me suis jamais senti discrime au canada. Ou plutot si, ma cote est plus elevee chez les filles. Vive le canada. Je rappele que le gouverneur generale du canada est noire, la ministre de l immigration du quebec est noire etc... Je pense qu'il est difficile de comparer car l'histoire de l'immigration est différente dans les 2 pays. Dans 20 ou 30 ans, quand l'immigration actuelle en sera à sa 2ème ou 3ème génération comme en France, on risque de retrouver la même situation. Et ce particuliérement au Québec où même si il n'y a pas de type Canadien, il y a un type Québécois de Souche. Seul l'avenir nous le dira mais je ne vois pas différence fondamentale. Citer
Invité Posté(e) 28 mai 2010 Posté(e) 28 mai 2010 (modifié) Moi ce qui m'inquiète de plus ce sont les cohortes de Français qui arrivent en masse au Québec -Montréal. A chaque coin de rue , tu entends des Français et là ça commence à faire trop . Si ça continue comme ça vaut mieux retourner ou traverser la frontière plus vers le Sud ou bien aller vers l'Ouest du Canada, au moins on ne risque de tomber sur beaucoup de Français puisque l'anglais fait défaut. T'as une dent contre les français? Pas du tout , c'est juste que j'ai quitté la France ou plutôt immigré au Canada pour voir autres choses, vivre de nouvelles expériences et non retrouver les mêmes habitudes ou les mêmes types de personnes qui ont tendance à avoir les mêmes comportements , qui veulent imposer à tout le monde leur façon de voir les choses, qui n'arrêtent pas de comparer le Canada et la France. Mis à part ça , aucun problème , je suis moi même Français , mais bon peut être pas vraiment pour d'autres , ça me va très bien. C'est juste un constat que je fais , d'après ce que je vois et j'entends autour de moi, pleins d'amis Français disent la même chose , je suis libre d'exprimer mes idées sans être taxé d'anti ceci ou cela. Le jour ou je ne me sentirai plus bien au Canada et ben je prendrai la décision qui s'y impose , pas de mort d'hommes ou quoique ça soit. Modifié 28 mai 2010 par Rocknroll75 Citer
Invité Posté(e) 28 mai 2010 Posté(e) 28 mai 2010 Moi ce qui m'inquiète de plus ce sont les cohortes de Français qui arrivent en masse au Québec -Montréal. A chaque coin de rue , tu entends des Français et là ça commence à faire trop . Si ça continue comme ça vaut mieux retourner ou traverser la frontière plus vers le Sud ou bien aller vers l'Ouest du Canada, au moins on ne risque de tomber sur beaucoup de Français puisque l'anglais fait défaut. T'as une dent contre les français? depuis longtemps. Depuis quand déjà? Peux-tu me rappeler..... Citer
Habitués grizzli Posté(e) 28 mai 2010 Habitués Posté(e) 28 mai 2010 Moi ce qui m'inquiète de plus ce sont les cohortes de Français qui arrivent en masse au Québec -Montréal. A chaque coin de rue , tu entends des Français et là ça commence à faire trop . Si ça continue comme ça vaut mieux retourner ou traverser la frontière plus vers le Sud ou bien aller vers l'Ouest du Canada, au moins on ne risque de tomber sur beaucoup de Français puisque l'anglais fait défaut. T'as une dent contre les français? depuis longtemps. Depuis quand déjà? Peux-tu me rappeler..... juste a lire tes messages sur le forum. Equinox a réagi à ceci 1 Citer
Invité Posté(e) 28 mai 2010 Posté(e) 28 mai 2010 Moi ce qui m'inquiète de plus ce sont les cohortes de Français qui arrivent en masse au Québec -Montréal. A chaque coin de rue , tu entends des Français et là ça commence à faire trop . Si ça continue comme ça vaut mieux retourner ou traverser la frontière plus vers le Sud ou bien aller vers l'Ouest du Canada, au moins on ne risque de tomber sur beaucoup de Français puisque l'anglais fait défaut. T'as une dent contre les français? depuis longtemps. Depuis quand déjà? Peux-tu me rappeler..... juste a lire tes messages sur le forum. C'est ton point de vue grizzli , et ça n'engage que toi. J'ai ma liberté de paroles , je discutes dans le respect et je dis ce que je penses. Je ne suis pas là pour dire ce que je ne penses pas , pas un béni oui-oui. A bon entendeur. Bonne journée grizzli. Citer
Habitués Kweli Posté(e) 28 mai 2010 Habitués Posté(e) 28 mai 2010 (modifié) Ben peut-être que c'est parcequ'à Montréal, les gangs de rues du nord et de l'est sont à majorité composés de jeunes noirs, dont pas mal d'haïtiens. Je ne suis pas sûr qu'on trouve des WASPs dans les crips ou les bloods. Malheureusement, c'est un mythe de croire que les gangs sont majoritairement composés de jeunes Noirs. Comme il y en a plein d'autres sur toutes les "races" et origines, les Français ci, les Chinois ça, les Juifs ci, les Arabes ça, etc. En fait, il y a des gangs multiethniques et des gangs à une composante raciale/ethnique majoritaire. Toutes les communautés ont des membres dans les gangs, incluant les Latinos (tu ne le croirais pas, palmeto, hein!!!) et les Autochtones. Maria Mourani (députée du Bloc québécois, d'origine libanaise, née à Abidjan) a écrit deux excellents livres sur les gangs de rue, qui mettent à terre ces mythes qui établissent un lien entre gangs et immigration. Le premier est La face cachée des gangs de rue et le deuxième est Gangs de rue inc. Extraits de Gangs de rue inc: Brisons les préjugés ! Le phénomène des gangs de rue ne résulte ni dun problème dimmigration ni dun manque dintégration des immigrants. Comme vous le verrez dans ce livre, les gangs de rue sévissent un peu partout dans les Amériques. On ne peut pas dire que les Salvadoriens ou les Mexicains sont des immigrants dans leur propre pays ; on ne peut pas dire que les membres dune cinquième génération de Québécois dorigine haïtienne sont des étrangers dans leur propre pays : cest beaucoup plus complexe quil ny paraît au premier abord. Les gangs de rue sont des acteurs du milieu criminel, tout comme les motards et les membres du crime organisé traditionnel. Il sagit dun phénomène criminel complexe qui exige une fi ne analyse. Au Canada, les gangs de rue sont multiethniques. On y trouve des personnes de toutes les origines, y compris des autochtones. Les gangs de rue prennent la couleur du territoire où ils sévissent. Dans les Prairies, les membres sont le plus souvent des autochtones avec des non-autochtones (des Blancs) ; au Québec et en Ontario, les gangs sont très mélangés (Antillais, Asiatiques, Latino-Américains, Canadiens français, Canadiens anglais, etc.) ; dans lOuest, ce sont plutôt des Asiatiques. Certaines bandes peuvent être très homogènes sur le plan ethnique. Cependant, il faut cesser de croire que cest lorigine ethnique qui sous-tend ladhésion aux gangs de rue. Comme tous les phénomènes criminels, ladhésion aux gangs découle de plusieurs variables pauvreté, exclusion sociale, décrochage scolaire, marginalisation des jeunes, absence parentale, perspectives davenir restreintes ou inexistantes, banalisation de la violence, etc. Les motards ne représentent pas le peuple québécois et sa culture. Le clan italien nest pas le symbole de la communauté italienne. Il ne faut surtout pas mettre des communautés entières au banc des accusés chaque fois que lon voit des jeunes Noirs ou des Latino-Américains dans des gangs de rue. Toutes les personnes dorigine salvadorienne, antillaise, cambodgienne ou arabe ne font pas partie de gangs de rue, tout comme les Canadiens français ou anglais ne sont pas tous des motards. Il y a des moutons noirs dans toutes les communautés. Il est très important de contrer l« ethnicisation » de ce phénomène, qui stigmatise des communautés entières au Québec et au Canada sans contribuer pour autant à une lutte efficace aux gangs de rue. Cette ethnicisation progressive, qui date approximativement des années 20 et qui a vu apparaître les grandes théories culturalistes (qui tentent notamment dexpliquer la formation des gangs de rue par le choc des cultures entre immigrants et leur société daccueil), a, daprès moi, créé un clivage entre « eux » (les gangs de rue et leurs communautés dimmigrants) et « nous » (le bon Canadien français ou anglais qui na rien à voir là-dedans). Or, ces gangs de rue se nourrissent de la ghettoïsation des territoires dont ils sont issus et tiennent des communautés entières en otages communautés soumises à la loi du silence et écrasées par le rejet de ce « nous » qui, pendant longtemps, a préféré ignorer que ce phénomène le concernait aussi. Il est donc difficile dobtenir lunité et la cohésion sociétale qui permettraient non seulement de débusquer ces membres de gangs de rue, mais aussi de restituer aux communautés les territoires libérés lors darrestations policières. Modifié 28 mai 2010 par Kweli Citer
Invité Posté(e) 28 mai 2010 Posté(e) 28 mai 2010 (modifié) Ben peut-être que c'est parcequ'à Montréal, les gangs de rues du nord et de l'est sont à majorité composés de jeunes noirs, dont pas mal d'haïtiens. Je ne suis pas sûr qu'on trouve des WASPs dans les crips ou les bloods. Malheureusement, c'est un mythe de croire que les gangs sont majoritairement composés de jeunes Noirs. Comme il y en a plein d'autres sur toutes les "races" et origines, les Français ci, les Chinois ça, les Juifs ci, les Arabes ça, etc. En fait, il y a des gangs multiethniques et des gangs à une composante raciale/ethnique majoritaire. Toutes les communautés ont des membres dans les gangs, incluant les Latinos (tu ne le croirais pas, palmeto, hein!!!) et les Autochtones. Maria Mourani (députée du Bloc québécois, d'origine libanaise, née à Abidjan) a écrit deux excellents livres sur les gangs de rue, qui mettent à terre ces mythes qui établissent un lien entre gangs et immigration. Le premier est La face cachée des gangs de rue et le deuxième est Gangs de rue inc. Extraits de Gangs de rue inc: Brisons les préjugés ! Le phénomène des gangs de rue ne résulte ni d'un problème d'immigration ni d'un manque d'intégration des immigrants. Comme vous le verrez dans ce livre, les gangs de rue sévissent un peu partout dans les Amériques. On ne peut pas dire que les Salvadoriens ou les Mexicains sont des immigrants dans leur propre pays ; on ne peut pas dire que les membres d'une cinquième génération de Québécois d'origine haïtienne sont des étrangers dans leur propre pays : c'est beaucoup plus complexe qu'il n'y paraît au premier abord. Les gangs de rue sont des acteurs du milieu criminel, tout comme les motards et les membres du crime organisé traditionnel. Il s'agit d'un phénomène criminel complexe qui exige une fi ne analyse. Au Canada, les gangs de rue sont multiethniques. On y trouve des personnes de toutes les origines, y compris des autochtones. Les gangs de rue prennent la couleur du territoire où ils sévissent. Dans les Prairies, les membres sont le plus souvent des autochtones avec des non-autochtones (des Blancs) ; au Québec et en Ontario, les gangs sont très mélangés (Antillais, Asiatiques, Latino-Américains, Canadiens français, Canadiens anglais, etc.) ; dans l'Ouest, ce sont plutôt des Asiatiques. Certaines bandes peuvent être très homogènes sur le plan ethnique. Cependant, il faut cesser de croire que c'est l'origine ethnique qui sous-tend l'adhésion aux gangs de rue. Comme tous les phénomènes criminels, l'adhésion aux gangs découle de plusieurs variables – pauvreté, exclusion sociale, décrochage scolaire, marginalisation des jeunes, absence parentale, perspectives d'avenir restreintes ou inexistantes, banalisation de la violence, etc. Les motards ne représentent pas le peuple québécois et sa culture. Le clan italien n'est pas le symbole de la communauté italienne. Il ne faut surtout pas mettre des communautés entières au banc des accusés chaque fois que l'on voit des jeunes Noirs ou des Latino-Américains dans des gangs de rue. Toutes les personnes d'origine salvadorienne, antillaise, cambodgienne ou arabe ne font pas partie de gangs de rue, tout comme les Canadiens français ou anglais ne sont pas tous des motards. Il y a des moutons noirs dans toutes les communautés. Il est très important de contrer l'« ethnicisation » de ce phénomène, qui stigmatise des communautés entières au Québec et au Canada – sans contribuer pour autant à une lutte efficace aux gangs de rue. Cette ethnicisation progressive, qui date approximativement des années 20 et qui a vu apparaître les grandes théories culturalistes (qui tentent notamment d'expliquer la formation des gangs de rue par le choc des cultures entre immigrants et leur société d'accueil), a, d'après moi, créé un clivage entre « eux » (les gangs de rue et leurs communautés d'immigrants) et « nous » (le bon Canadien français ou anglais qui n'a rien à voir là-dedans). Or, ces gangs de rue se nourrissent de la ghettoïsation des territoires dont ils sont issus et tiennent des communautés entières en otages – communautés soumises à la loi du silence et écrasées par le rejet de ce « nous » qui, pendant longtemps, a préféré ignorer que ce phénomène le concernait aussi. Il est donc difficile d'obtenir l'unité et la cohésion sociétale qui permettraient non seulement de débusquer ces membres de gangs de rue, mais aussi de restituer aux communautés les territoires libérés lors d'arrestations policières. Bel article. L'hypocrisie qui règne est énorme , les médias ont sans doute leur responsabilité mais pas seulement ce sont aux membres de ces communautés qui sont montrés du doigt qui doivent également agir. Au lieu de combattre les vrais criminels à col blanc , qui sont issus de la mafia et autres groupes qui pratiquent les blanchiments d'argent à tout va , il faut montrer aux petits peuples autre choses pour les occuper c'est à dire noyer le poisson quoi. La corruption et le blanchissement entre la mafia et les entreprises font plus perdre les États que les autres types de crimes qu'il faut également bien sûr combattre. Pour la construction d'édifices publics , les magouilles qui sont faites dans les appels d'OFFRES sont hors du commun et de surcroît ce sont les contribuables qui paient pour ces travaux via à des impôts . En espérant que je ne sois pas taxé d'anti-Québécois ou je ne sais quoi. Modifié 28 mai 2010 par Rocknroll75 Citer
Habitués Kweli Posté(e) 28 mai 2010 Habitués Posté(e) 28 mai 2010 Dans 20 ou 30 ans, quand l'immigration actuelle en sera à sa 2ème ou 3ème génération comme en France, on risque de retrouver la même situation. Ah?? Le Canada est un pays fondé sur l'immigration. Il compte 4 siècles d'immigrants français, trois siècles d'immigration anglaise, les Juifs et les Irlandais sont arrivés au 19 siècle. Le 20ème siècle a connu l'immigration massive des Européens (Italiens, Grecs, Juifs Européens) et des milliers de Haïtiens, d'Asiatiques, etc. Tous ceux que je viens de citer sont rendus à plusieurs générations. Pourquoi ce ne sera jamais comme en France ici? le Québec a une vraie politique d'immigration, qui a ses limites certes, mais il choisit 60% de ses immigrants. Ces derniers n'ont pas de contentieux historique avec leur pays d'accueil, qui n'a jamais colonisé un autre pays. Aux dernières nouvelles, il n'y a pas de ghettos ici et le mot banlieu est plutôt synonyme de réussite sociale. Et surtout ici, on est capables de mener un débat de société sans nous crêper le chignon. kobico a réagi à ceci 1 Citer
Habitués MrNiceGuy Posté(e) 28 mai 2010 Habitués Posté(e) 28 mai 2010 Au Canada, les gangs de rue sont multiethniques. Oui en effet, les gangs de rue sont multiethniques pourtant certaines communautés pourraient être surreprésentées dans les gang de rue, ce qui pourrait expliquer leurs démêlées plus fréquentes avec la police... Voici un article d'un chercheur externe indépendant qui dénoncent les raisonnements falacieux et manipulations de statistiques des Commissions des droits de la personne et autres groupes pour des raisons idéologiques et politiques... Bonne lecture... En fait, ceux qui prétendent que le « profilage racial » est une pratique établie dans la police sont justement ceux qui militent contre cette pratique. Ils avancent un argument bidon facilement réfutable pour ensuite affirmer que c'est de la sottise d'utiliser le profilage racial comme méthode d'enquête. En dépit de son ambiguïté, l'expression « profilage racial » a reçu l'approbation des tribunaux canadiens. Les tribunaux sont devenus prompts à placer toute violation des droits légaux sur l'autel du « profilage racial » lorsque ce sont des membres des minorités visibles qui font l'objet de telles violations. L'absence de « motif suffisant » (terme de la jurisprudence canadienne équivalent au « motif précis » de la jurisprudence américaine) est souvent considérée comme une preuve de jure de la pratique du « profilage racial », même en l'absence de toute preuve que les préjugés raciaux ont joué un rôle, ce qui a pour conséquence de susciter une asymétrie dans le traitement des garanties juridiques en ce qui a trait aux pouvoirs de la police, en particulier les pouvoirs relatifs aux fouilles, aux saisies et à la détention, prévus aux articles 8 et 9 de la Charte canadienne des droits et libertés, ainsi qu'aux conséquences de l'abus de ces pouvoirs, lesquelles sont précisées au paragraphe 24(2). Une telle asymétrie risque de jeter le discrédit sur l'administration de la justice, de rendre plus difficile la tâche d'assurer la sécurité publique et d'appliquer la loi au sein des minorités visibles, et de mettre en péril la sécurité des minorités visibles elles-mêmes puisqu'elle a pour conséquence de donner plus de pouvoirs aux criminels et aux organisations criminelles au sein des minorités visibles. En dépit du fait qu'elles soient de plus en plus acceptées par les tribunaux, les médias et le public, les allégations de « profilage racial » reposent sur des preuves non concluantes et souvent fabriquées, ou ne sont tout simplement pas fondées. La Commission sur le racisme systémique dans le système de justice pénale en Ontario, la source la plus citée par ceux qui concluent à l'existence du « profilage racial »,a faussé les preuves recueillies dans le cadre de sa propre enquête afin d'en arriver inévitablement à une telle conclusion, ce qui rend cette dernière dénuée de fondement. Les deux seules collectes de données sur le « profilage racial » effectuées au Canada sont celles qui ont été menées par le Toronto Star en 2002 et celle qui a été menée plus récemment par Scot Wortley pour le compte du service de police de Kingston. Bien qu'ils n'aient jamais fait l'objet d'une évaluation par des pairs, ces travaux ont été publiés et continuent de circuler. Ces études ont suscité tellement de problèmes méthodologiques que tout le monde dans le milieu de la recherche s'entend pour dire qu'elles sont dénuées de valeur scientifique. Les défenseurs des droits de la personne, qui, il y a seulement dix ans, ont dénoncé et ont réussi à force de pressions politiques à faire interdire la collecte de données sur la race et l'appartenance ethnique par les organismes de justice pénale sous prétexte qu'une telle pratique alimentait les stéréotypes au sujet des contrevenants, ont depuis découvert que les allégations de « profilage racial » constituaient un moyen efficace de revendiquer des droits à l'égalité renforcés non seulement pour les minorités visibles, mais pour tous les groupes désavantagés et pour tout membre d'une classe protégée définie par la loi. Les organisateurs de mouvements extrémistes ont aussi découvert que ces allégations constituaient un outil efficace pour susciter l'indignation face aux injustices perçues et un sentiment d'aliénation, en particulier chez les jeunes des minorités visibles. Les commissions provinciales des droits de la personne se sont rapidement jointes au combat contre le « profilage racial », même si les pouvoirs de la police et les poursuites judiciaires ne relèvent pas de leur domaine de compétence, ce qui a eu pour conséquence d'atténuer de façon considérable la distinction traditionnelle entre garanties légales et droits à l'égalité. Le fait d'ignorer les garanties légales et d'examiner les problèmes relatifs à l'application de la loi et aux décisions judiciaires du point vue des droits à l'égalité, comme l'ont fait plusieurs commissions provinciales des droits de la personne, ne fait qu'ajouter à la confusion suscitée par la question du « profilage racial ». Cette confusion a des conséquences. David Tanovitch, avocat de l'appelant dans l'affaire R. c. Richards , avait déjà proposé qu'on adopte ce point de vue : « les tribunaux devraient imposer à la Couronne qu'elle fasse la preuve, dans tous les cas où les accusations criminelles sont portées à la suite de l'interpellation d'une personne de race noire, que cette interpellation était légale et ne résultait pas d'un profilage racial [.] (et) dans le cas où la Couronne ne pourrait pas réfuter la présomption d'illégalité, la validité des accusations criminelles serait remise en question ». Cependant, c'est ce qui est prévu dans la législation canadienne pour tous les citoyens en vertu du paragraphe 24(2) de la Charte. Proposer ainsi une interprétation asymétrique met en péril le principe même de l'égalité des droits et des libertés sur lequel repose la Charte. Les analyses des données sur le profilage racial collectées au Canada et les rapports des défenseurs des droits de la personne et des commissions provinciales sur les droits de la personne sont truffés de raisonnements fallacieux et de manipulations statistiques. http://www.rcmp-grc.gc.ca/pubs/ccaps-spcca/ineq-fra.htm Citer
Habitués Kweli Posté(e) 28 mai 2010 Habitués Posté(e) 28 mai 2010 (modifié) Lu sur cyberpresse: http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/rima-elkouri/201005/27/01-4284153-la-peur-du-noir.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_rima-elkouri_3263_section_POS1 La peur du Noir Rima Elkouri La Presse Pourquoi, à Montréal, les jeunes Noirs sont-ils plus susceptibles d'être interpellés par la police que les jeunes Blancs? Pourquoi sont-ils aussi surreprésentés dans le système de justice que le sont les jeunes Noirs aux États-Unis? Une épaisse couche de déni recouvre en général ces questions taboues. Une couche que le sociologue Christopher McAll, invité à prendre la parole hier aux audiences de la Commission des droits de la personne sur le profilage racial, n'a pas hésité à gratter. Et sous le déni, en scrutant les faits à la loupe, qu'a-t-il trouvé? De la peur. Une peur qui se nourrit elle-même de façon insidieuse et irraisonnée. Une peur qui, sans égard à la réalité, finit par créer sa propre logique vicieuse et par justifier l'exclusion de toute une population que l'on décrira faussement comme prédisposée au crime. Sans détour, chiffres troublants à l'appui, le chercheur de l'Université de Montréal, qui pendant six mois a passé au peigne fin les dossiers de 2001 archivés dans des boîtes de carton de la Chambre de la jeunesse, n'a pas hésité à mettre son scalpel dans la plaie. Ses conclusions démontent le discours dominant sur la sécurité publique et les croyances populaires sur lesquelles s'appuie ce discours. Selon l'étude du professeur McAll et de Léonel Bernard(1), les jeunes Noirs montréalais sont, de façon générale, 2,24 fois plus susceptibles d'être arrêtés que les jeunes Blancs. Ils sont cinq fois plus susceptibles de se faire arrêter pour vol à l'étalage et risquent sept fois plus d'être arrêtés pour possession et trafic de stupéfiants. L'étude ne dit pas que les jeunes qui ont été arrêtés n'ont rien fait de mal, mais elle met en lumière le traitement différentiel des uns et des autres. Car si on met de côté les cas où les jeunes ont été arrêtés à la suite d'observations des policiers ou d'un agent de sécurité sur la place publique, les données dévoilent une tout autre réalité. «Il y a un certain artifice, note M.McAll. On a l'impression que les jeunes Noirs sont le plus souvent impliqués. Mais nos résultats suggèrent que c'est parce qu'ils sont davantage surveillés par les policiers.»Pour le sociologue, cette distorsion dans les pratiques prend racine dans la peur et dans l'attention démesurée que l'on porte aux gangs de rue dans les débats publics. Dans les données de 2001, les interventions liées aux gangs de rue étaient plutôt rares. En 2009, les gangs de rue n'étaient responsables que de 1,6% des crimes commis à Montréal. Pourtant, le Service de police de la Ville de Montréal place la lutte contre les gangs de rue en tête de la liste de ses priorités. Pourquoi donc accorder la priorité à un phénomène marginal qui ne concerne qu'un nombre minime de crimes? Mon collègue Hugo Meunier a déjà posé la question au SPVM. Réponse absurde de la police: parce que le public a peur. Comme, dans l'esprit des gens, alarmés par les médias, le problème des gangs de rue a une importance démesurée, la police lui accorde à son tour une importance démesurée. Même si le sentiment d'insécurité de la population est lié avant tout à une lecture erronée de la situation - les statistiques montrent que Montréal est une des villes plus sûres en Amérique du Nord -, la police agit donc comme si la perception était la réalité. Mais depuis quand les priorités de la police devraient-elles être guidées par le poids médiatique d'un problème et les peurs non fondées? Ainsi tourne une roue qui nous mène droit vers le précipice des banlieues françaises, a dit hier le professeur McAll: «En consacrant beaucoup de ressources aux gangs de rue et aux jeunes Noirs qui y sont associés, cela crée un phénomène de sur-surveillance des jeunes Noirs, qui crée à son tour un phénomène de surreprésentation, qui alimente encore les peurs.» J'ai tenté hier d'obtenir les commentaires du SPVM sur cette étude, qu'il a en main depuis le mois de mars. En vain. Il sera intéressant de voir ce que le service de police aura à proposer au cours de ces audiences publiques pour éviter le précipice. Modifié 28 mai 2010 par Kweli Citer
Habitués Kweli Posté(e) 28 mai 2010 Habitués Posté(e) 28 mai 2010 (modifié) Un autre: http://www.cyberpresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/humour-et-varietes/201005/28/01-4284570-le-profilage-racial-vu-par-eddy-king-mieux-vaut-en-rire.php Le profilage racial vu par Eddy King : mieux vaut en rire... Eddy King est bien placé pour parler de profilage racial, puisqu'il en a déjà été victime. Il a décidé d'aborder le problème par le moyen de l'humour. Le profilage racial, Eddy King connaît très bien. Alors que des audiences publiques sur le profilage racial se déroulent ces jours-ci, l'humoriste d'origine congolaise et française a vécu ces discriminations policières liées à la couleur de la peau. Vivant au Québec depuis l'âge de 13 ans, Eddy King préfère en rire, même s'il prend le sujet au sérieux. Du coup, il s'est servi de ses expériences désolantes pour en faire un sketch qu'il présente régulièrement en première partie du show de Rachid Badouri, et ce, jusqu'à la fin de l'année. La Presse a assisté à sa prestation, vendredi dernier, au Théâtre du Vieux-Terrebonne. Eddy King est arrivé sur scène avec un t-shirt et une casquette. Le personnage était campé: il écoute du rap dans son auto, les policiers interviennent. «Du rap pour un flic, c'est comme du sang pour les requins, ça les attire!» lance Eddy King, déclenchant des rires dans la salle. «Pour un flic, les Noirs se ressemblent tous, continue-t-il. S'ils arrêtaient Tiger Woods, ils le prendraient pour Gregory Charles!» La salle rit aux éclats. «Merci aux Arabes et aux musulmans! L'aéroport, c'est finalement le seul endroit où je ne suis pas victime de profilage racial: je ne suis plus le suspect numéro un!» Un bon accueil Jusqu'à demain, Eddy King se produit à la salle Albert-Rousseau, à Sainte-Foy. Joint par La Presse, l'humoriste dit que les spectateurs «reçoivent bien» ce sketch sur le profilage racial. «En premier, ils le trouvent drôle, et c'est la priorité de mon travail, dit-il. Et puis, à la sortie, ils me disent souvent: «C'est vrai, ce que tu dis.» Parce que ce que j'explique dans le numéro, c'est vraiment arrivé.» «Les flics m'ont vraiment pris, continue-t-il. Je suis habitué à me faire stopper par eux, mais cette fois-là, ils m'avaient stoppé parce que j'avais une sanction sur mon permis pour laquelle je n'étais pas au courant, car la Société de l'assurance automobile ne m'avait pas prévenu. Et là, ça m'avait frustré parce qu'ils avaient vraiment trouvé quelque chose pour m'embarquer dans la voiture.» Eddy King raconte que ça s'est passé dans la nuit. «Je revenais d'un spectacle. J'avais mes pancartes de Tintin au Congo dans la voiture. Ça fait qu'ils m'ont laissé à 2 h du matin sur la rue Sainte-Catherine devant un crack house avec mes pancartes de Tintin! Je suis rentré à la maison, j'étais frustré. Alors j'ai écrit là-dessus parce que c'est plus possible.» Également noir de peau, le boxeur québécois Jean Pascal est un des meilleurs amis d'Eddy King. Il a, lui aussi, goûté à la médecine du profilage racial, dit Eddy: «L'an dernier, quand il était en préparation pour son combat contre Adrian Diaconu, mes amis et moi, on faisait de la promotion pour le party qui devait avoir lieu après le combat. Un de mes amis conduisait la belle voiture de Jean Pascal. En l'espace de quelques heures, il s'est fait stopper cinq fois sur le boulevard Saint-Laurent. Cinq fois. Comme ça. Et ça nous arrive tout le temps. Les gens ne sont pas nécessairement au courant de cette réalité.» Devoir d'éducation Eddy King est un humoriste, mais il estime avoir aussi une sorte de devoir d'éducation. «Je veux que les gens, quand ils sortent du spectacle, se posent des questions ou que ça serve à quelque chose», dit-il. Eddy King lancera son one man show à l'automne 2011. En attendant, on le verra au Festival Juste pour rire cet été. Il sera en répétition, mardi à Laval, mais ce n'est pas public. Et la police n'est pas invitée non plus! Modifié 28 mai 2010 par Kweli Citer
Habitués MrNiceGuy Posté(e) 28 mai 2010 Habitués Posté(e) 28 mai 2010 L'étude ne dit pas que les jeunes qui ont été arrêtés n'ont rien fait de mal, mais elle met en lumière le traitement différentiel des uns et des autres. Car si on met de côté les cas où les jeunes ont été arrêtés à la suite d'observations des policiers ou d'un agent de sécurité sur la place publique, les données dévoilent une tout autre réalité. «Il y a un certain artifice, note M.McAll. On a l'impression que les jeunes Noirs sont le plus souvent impliqués. Mais nos résultats suggèrent que c'est parce qu'ils sont davantage surveillés par les policiers.» Etre plus surveillé par la police ( à supposé que ça soit vrai ) pousserait au crime ? Complètement inepte comme argument ! Les arguments des défenseurs de la victimisation à outrance sont complètement ridicules !!! Citer
Invité Posté(e) 28 mai 2010 Posté(e) 28 mai 2010 (modifié) L'étude ne dit pas que les jeunes qui ont été arrêtés n'ont rien fait de mal, mais elle met en lumière le traitement différentiel des uns et des autres. Car si on met de côté les cas où les jeunes ont été arrêtés à la suite d'observations des policiers ou d'un agent de sécurité sur la place publique, les données dévoilent une tout autre réalité. «Il y a un certain artifice, note M.McAll. On a l'impression que les jeunes Noirs sont le plus souvent impliqués. Mais nos résultats suggèrent que c'est parce qu'ils sont davantage surveillés par les policiers.» Etre plus surveillé par la police ( à supposé que ça soit vrai ) pousserait au crime ? Complètement inepte comme argument ! Les arguments des défenseurs de la victimisation à outrance sont complètement ridicules !!! De toute façon MrNiceGuy , tu trouveras toujours un contre-argument pour te donner raison , pour te sentir en accord avec tes idées et préjugés. Raison de plus donc de ne pas trop perdre son temps à discuter avec toi..... Modifié 28 mai 2010 par Rocknroll75 Citer
Habitués Kweli Posté(e) 28 mai 2010 Habitués Posté(e) 28 mai 2010 L'étude ne dit pas que les jeunes qui ont été arrêtés n'ont rien fait de mal, mais elle met en lumière le traitement différentiel des uns et des autres. Car si on met de côté les cas où les jeunes ont été arrêtés à la suite d'observations des policiers ou d'un agent de sécurité sur la place publique, les données dévoilent une tout autre réalité. «Il y a un certain artifice, note M.McAll. On a l'impression que les jeunes Noirs sont le plus souvent impliqués. Mais nos résultats suggèrent que c'est parce qu'ils sont davantage surveillés par les policiers.» Etre plus surveillé par la police ( à supposé que ça soit vrai ) pousserait au crime ? Complètement inepte comme argument ! Les arguments des défenseurs de la victimisation à outrance sont complètement ridicules !!! Just for you: http://www.cyberpresse.ca/sciences/201005/27/01-4284365-les-cerveaux-racistes-insensibles-a-la-douleur-des-autres-races.php Citer
Habitués MrNiceGuy Posté(e) 28 mai 2010 Habitués Posté(e) 28 mai 2010 L'affaire Villanueva ou les mensonges des partisants de profilage racial... Certains avait accusé de profilage racial AVANT même le début de l'enquête alors qu'on se rend compte maintenant que les Villanueva étaient vraiment des voyous membre de gang de rue.. appelé les "bloods"... Source: La Presse La photo montre les frères Fredy et Dany Villanueva et deux amis à l'intérieur d'une voiture. L'un des amis fait le signe de l'«est» (un e), tandis que l'autre semble simuler un revolver. Catherine Handfield La Presse À quand remonte la photo sur laquelle on voit les frères Villanueva faire le signe des Bloods? À l'automne 2006, comme le prétend Dany Villanueva? Ou a-t-elle été prise un an plus tard, comme l'estime la Ville de Montréal? Cette question a été abordée mardi à l'enquête publique sur la mort de Fredy Villanueva, abattu par un policier à Montréal-Nord au mois d'août 2008. L'avocat de la Ville de Montréal, Me Pierre-Yves Boisvert, a produit cette photo en preuve au cours de son contre-interrogatoire. Son but : miner la crédibilité de Dany Villanueva en démontrant que, contrairement à ce qu'il a affirmé, il était encore membre d'un gang de rue lors de l'intervention policière qui a coûté la vie à son jeune frère. La photo montre les frères Villanueva faire le signe du gang des Bloods (B) à l'intérieur d'une voiture. Deux amis sont avec eux : l'un semble simuler un fusil, et l'autre fait le signe de l'Est (E). C'est Fredy Villanueva qui occupe le siège du conducteur. http://www.cyberpresse.ca/dossiers/villanueva-lenquete/201005/04/01-4277043-une-photo-montre-les-villanueva-faisant-des-signes-de-gang.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_aujourdhui-sur-cyberpresse_267_article_ECRAN1POS1 Citer
Habitués MrNiceGuy Posté(e) 28 mai 2010 Habitués Posté(e) 28 mai 2010 <br /><br /><br />L'étude ne dit pas que les jeunes qui ont été arrêtés n'ont rien fait de mal, mais elle met en lumière le traitement différentiel des uns et des autres. Car si on met de côté les cas où les jeunes ont été arrêtés à la suite d'observations des policiers ou d'un agent de sécurité sur la place publique, les données dévoilent une tout autre réalité. «Il y a un certain artifice, note M.McAll. On a l'impression que les jeunes Noirs sont le plus souvent impliqués. Mais nos résultats suggèrent que c'est parce qu'ils sont davantage surveillés par les policiers.»<br /><br /><br /><img src='http://www.forum.immigrer.com/public/style_emoticons/default/rofl.gif' class='bbc_emoticon' alt='' /> Etre plus surveillé par la police ( à supposé que ça soit vrai ) pousserait au crime ?<br />Complètement inepte comme argument !<br />Les arguments des défenseurs de la victimisation à outrance sont complètement ridicules !!!<br /><br /><br />De toute façon MrNiceGuy , tu trouveras toujours un contre-argument pour te donner raison , pour te sentir en accord avec tes idées et préjugés.<br />Raison de plus donc de ne pas trop perdre son temps à discuter avec toi.....<br /> C'est toi qui devrait arrêter tes préjugés et ton racisme anti-français Rocknroll75 Affirmer que la police surveille plus certaines communautés que d'autres est basé sur des préjugés haineux anti-policier de la part de certains de l'industrie de la victimisation... et ça ne pousse nullement au crime...c'est des affirmations ridicules des partisants de la victimisation à outrance... Citer
Habitués MrNiceGuy Posté(e) 28 mai 2010 Habitués Posté(e) 28 mai 2010 <br /><br /><br />L'étude ne dit pas que les jeunes qui ont été arrêtés n'ont rien fait de mal, mais elle met en lumière le traitement différentiel des uns et des autres. Car si on met de côté les cas où les jeunes ont été arrêtés à la suite d'observations des policiers ou d'un agent de sécurité sur la place publique, les données dévoilent une tout autre réalité. «Il y a un certain artifice, note M.McAll. On a l'impression que les jeunes Noirs sont le plus souvent impliqués. Mais nos résultats suggèrent que c'est parce qu'ils sont davantage surveillés par les policiers.»<br /><br /><br /><img src='http://www.forum.immigrer.com/public/style_emoticons/default/rofl.gif' class='bbc_emoticon' alt='' /> Etre plus surveillé par la police ( à supposé que ça soit vrai ) pousserait au crime ?<br />Complètement inepte comme argument !<br />Les arguments des défenseurs de la victimisation à outrance sont complètement ridicules !!!<br /><br /><br /><br />Just for you:<br /><br /><a href='http://www.cyberpresse.ca/sciences/201005/27/01-4284365-les-cerveaux-racistes-insensibles-a-la-douleur-des-autres-races.php' class='bbc_url' title='Lien externe' rel='nofollow'>http://www.cyberpres...utres-races.php</a><br /> Complètement ridicule comme argumentation Kweli. Et ça vient de Kweli la raciste qui supporte le racisme du conseil de bande de Kanawake et les expulsions racistes de blancs dans cette réserve... Citer
Habitués Kweli Posté(e) 28 mai 2010 Habitués Posté(e) 28 mai 2010 (modifié) De toute façon MrNiceGuy , tu trouveras toujours un contre-argument pour te donner raison , pour te sentir en accord avec tes idées et préjugés. Raison de plus donc de ne pas trop perdre son temps à discuter avec toi..... Lui, il a honte d'avouer qu'il est Québécois, c'est sans doute sa façon de s'intégrer dans la communauté immigrante qui fréquente ce forum Il va bientôt nous conseiller de nous laver la face à l'eau de Javel pour passer inaperçus La science a prouvé que les cerveaux racistes sont insensibles à la douleur de personnes d'autres races (voir article plus haut). Un individu de ce forum répond bien à la description des individus en question. C'est ce qu'on faisait dans les pensionnats autochtones pour blanchir les Peaux-rouges. Modifié 28 mai 2010 par Kweli Citer
Habitués MrNiceGuy Posté(e) 28 mai 2010 Habitués Posté(e) 28 mai 2010 <br /><br />De toute façon MrNiceGuy , tu trouveras toujours un contre-argument pour te donner raison , pour te sentir en accord avec tes idées et préjugés.<br />Raison de plus donc de ne pas trop perdre son temps à discuter avec toi.....<br /><br /><br /><br />Lui, il a honte d'avouer qu'il est Québécois, c'est sans doute sa façon de s'intégrer dans la communauté immigrante qui fréquente ce forum <img src='http://www.forum.immigrer.com/public/style_emoticons/default/laugh.gif' class='bbc_emoticon' alt='' /> <br /><br />Il va bientôt nous conseiller de nous laver la face à l'eau de Javel pour passer inaperçus <img src='http://www.forum.immigrer.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif' class='bbc_emoticon' alt='' /><br /><br />La science a prouvé que les cerveaux racistes sont insensibles à la douleur de personnes d'autres races (voir article plus haut). Un individu de ce forum répond bien à la description des individus en question. <img src='http://www.forum.immigrer.com/public/style_emoticons/default/wink.gif' class='bbc_emoticon' alt='' /> <br /><br /><font size="1"><font color="#C0C0C0">C'est ce qu'on faisait dans les pensionnats autochtones pour blanchir les Peaux-rouges. </font> </font><br /> Argumentation bidon de Kweli basé sur son profond complexe d'infériorité... Citer
Habitués MrNiceGuy Posté(e) 28 mai 2010 Habitués Posté(e) 28 mai 2010 Kweli La science a prouvé que les cerveaux racistes sont insensibles à la douleur de personnes d'autres races Ça s'applique très bien à ton cas Kweli la raciste qui supporte les explusions racistes des blancs de Kanawake... Citer
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