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Les attendeux de résidence permanente à Abidjan


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  • Habitués

Bienvenue !

Je suis au canada depuis une semaine précisément a Longueuil une ville non loin de Montréal (Belle ville, très calme chic ).

En semaine jai fai bocou lol ! NAS / RAMQ / COMPTE BANCAIRE il ne reste que le PERMIS.

Je vais bien ainsi que ma famille !

Bonne installation mais on attend toujours vos différents retour d'expérience :good:

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Bienvenue !

Je suis au canada depuis une semaine précisément a Longueuil une ville non loin de Montréal (Belle ville, très calme chic ).

En semaine jai fai bocou lol ! NAS / RAMQ / COMPTE BANCAIRE il ne reste que le PERMIS.

Je vais bien ainsi que ma famille !

Bonne installation mon cher et reviens nous retracer ton parcours afin d'aider ceux qui sont encore en procédure. A bientot sur place.

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  • Habitués

Benzene,cherida,peps.je ne sais pas si quelqu un dans ce forum est plus deprimé que moi.je sais que tous les attendeux d abidjan vivent actuellement la meme situation que moi.il ya des fois je me demande si c est nous qui sommes la cause de la guerre d abidjan.nous n en sommes pour rien.les assoifés du pouvoir sont à l origine de cette crise.pourquoi subissons nous cette douloureuse épreuve comme si c était une punition.dakar ne fait pratiquement rien pour nos dossier et dire qu ils sont incapables de repondre au message ou bien manque de volonté.je suis vraiment triste,très triste.quand je regarde le temps,les moyens deployés je deviens courroucé.qu est-ce que concrètement nous avons fait pour meriter ce silence de dakar?y a t il une autre facon de les amener à la raison?ne se retrouvent il pas à l ambassade pour seulement sinon pour ce silence qui ne s explique pas.je vous assure que je ne sais plus quoi dire.

Bonjour TLM !

Crise Abidjanaise/ivoirienne ou pas, je pense que Abidjan/Dakar est globalement dans les délais qui ont toujours été les siens à savoir de 12 à 20 mois pour la finalisation d'un dossier, délai auquel en principe, les attendeux d'Abidjan s'attendait.

Il est vrai qu'avec l'arrivée, j'allais dire l'intrusion de Sydney qui boucle le traitement en 4 à 6 mois, il n'y a pas photo. Mais, anyway, qu'y a t-il de suprenant dans l'attente dont fait preuve les attendeux de Abidjan/Dakar qui n'était pas prévisble au moment du dépôt du dossier ?

Ceci dit, je (crois que je) comprends le stress et l'angoisse de l'attente des uns et des autres, mais étant donné -comme je l'ai plus haut- que les délais auxquels font face les attendeux de Dakar/Abidjan étaient prévisible, je pense que toute proportion gardée, ils doivent rester conséquent envers eux mêmes, et eviter le plus possible de faire les comparaisons entres les délais des uns et des autres.

Je vous propose de mettre ce temps à profil pour préparer votre intégration professionnelle en tenant compte des VRAIS réalités et non celles véhiculées par les médias, à savoir :

1. Au vu des offres d'emploi et exigence dans mon domaine, suis je compétitif en l'état actuel ? puis je faire des formations d'appoint avant mon arrivée au Canada ?

2. Au cas où je dois retourner aux études, quelle filière choisir ? quel cursus (DEC, Baccalauréat, Certificat, Maitrise Doctorat) choisir ?

3. Ne serait-il pas souhaitable par réalisme d'oublier mon niveau (BAC+5 /7) et faire une formation technique de 3ans au Cegep afin d'obtenir un DEC, diplome qui est assez pratique et efficace pour l'obtention d'un boulot ?

Une fois de plus beaucoup de courage et de patience.

PS : Moi meme pour mon retour aux études, je ne ferai pas le DEC mais la maîtrise en espérant GRANDEMENT que je trouverai un stage en entreprise qui sera l'objet de mon mémoire, et me servira de 1ere expérience).

Merci Merlino / EnAttente pour ces pistes de réflexions qui j'espèrent attireront l'attention des uns et des autres sur les réalités québécoises. J'ose croire que le peu de réactions à ce post traduit le silence qui caractérise toute réflexion profonde. Sans vouloir effrayer qui que se soit, la réponse à la question : "Y-a t-il une vie après le visa ?" mériterait bien d'être débattue sur ce forum en parallèle aux flots de congratulations mutuelles et d'inquiétudes somme toute légitimes. Les retours d'expériences tant souhaités prendraient alors tout leur sens et peut être on verrait plus d'installeux venir partager plus souvent leur évolution, question d'aider les attendeux bientôt installeux à mieux négocier leur intégration.

Bonne chance à tous

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  • Habitués

Bienvenue !

Je suis au canada depuis une semaine précisément a Longueuil une ville non loin de Montréal (Belle ville, très calme chic ).

En semaine jai fai bocou lol ! NAS / RAMQ / COMPTE BANCAIRE il ne reste que le PERMIS.

Je vais bien ainsi que ma famille !

Bonne Installation ToQ :thumbsup:

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Benzene,cherida,peps.je ne sais pas si quelqu un dans ce forum est plus deprimé que moi.je sais que tous les attendeux d abidjan vivent actuellement la meme situation que moi.il ya des fois je me demande si c est nous qui sommes la cause de la guerre d abidjan.nous n en sommes pour rien.les assoifés du pouvoir sont à l origine de cette crise.pourquoi subissons nous cette douloureuse épreuve comme si c était une punition.dakar ne fait pratiquement rien pour nos dossier et dire qu ils sont incapables de repondre au message ou bien manque de volonté.je suis vraiment triste,très triste.quand je regarde le temps,les moyens deployés je deviens courroucé.qu est-ce que concrètement nous avons fait pour meriter ce silence de dakar?y a t il une autre facon de les amener à la raison?ne se retrouvent il pas à l ambassade pour seulement sinon pour ce silence qui ne s explique pas.je vous assure que je ne sais plus quoi dire.

Bonjour TLM !

Crise Abidjanaise/ivoirienne ou pas, je pense que Abidjan/Dakar est globalement dans les délais qui ont toujours été les siens à savoir de 12 à 20 mois pour la finalisation d'un dossier, délai auquel en principe, les attendeux d'Abidjan s'attendait.

Il est vrai qu'avec l'arrivée, j'allais dire l'intrusion de Sydney qui boucle le traitement en 4 à 6 mois, il n'y a pas photo. Mais, anyway, qu'y a t-il de suprenant dans l'attente dont fait preuve les attendeux de Abidjan/Dakar qui n'était pas prévisble au moment du dépôt du dossier ?

Ceci dit, je (crois que je) comprends le stress et l'angoisse de l'attente des uns et des autres, mais étant donné -comme je l'ai plus haut- que les délais auxquels font face les attendeux de Dakar/Abidjan étaient prévisible, je pense que toute proportion gardée, ils doivent rester conséquent envers eux mêmes, et eviter le plus possible de faire les comparaisons entres les délais des uns et des autres.

Je vous propose de mettre ce temps à profil pour préparer votre intégration professionnelle en tenant compte des VRAIS réalités et non celles véhiculées par les médias, à savoir :

1. Au vu des offres d'emploi et exigence dans mon domaine, suis je compétitif en l'état actuel ? puis je faire des formations d'appoint avant mon arrivée au Canada ?

2. Au cas où je dois retourner aux études, quelle filière choisir ? quel cursus (DEC, Baccalauréat, Certificat, Maitrise Doctorat) choisir ?

3. Ne serait-il pas souhaitable par réalisme d'oublier mon niveau (BAC+5 /7) et faire une formation technique de 3ans au Cegep afin d'obtenir un DEC, diplome qui est assez pratique et efficace pour l'obtention d'un boulot ?

Une fois de plus beaucoup de courage et de patience.

PS : Moi meme pour mon retour aux études, je ne ferai pas le DEC mais la maîtrise en espérant GRANDEMENT que je trouverai un stage en entreprise qui sera l'objet de mon mémoire, et me servira de 1ere expérience).

Merci Merlino / EnAttente pour ces pistes de réflexions qui j'espèrent attireront l'attention des uns et des autres sur les réalités québécoises. J'ose croire que le peu de réactions à ce post traduit le silence qui caractérise toute réflexion profonde. Sans vouloir effrayer qui que se soit, la réponse à la question : "Y-a t-il une vie après le visa ?" mériterait bien d'être débattue sur ce forum en parallèle aux flots de congratulations mutuelles et d'inquiétudes somme toute légitimes. Les retours d'expériences tant souhaités prendraient alors tout leur sens et peut être on verrait plus d'installeux venir partager plus souvent leur évolution, question d'aider les attendeux bientôt installeux à mieux négocier leur intégration.

Bonne chance à tous

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Voilà qui est dit.

Je me pose toujours la question de savoir: pourquoi beaucoup d'installeux ne viennent pas très souvent au Forum pour nous parler des pièges à éviter de façon concrète?

Pourquoi retournent -ils presque tous aux études?

Certes nous ne posons pas des questions relatives à la vie au Canada mais je suis souvent intriquée de voir que certains ne reviennent même plus nous dire bonjour ou bien nous donner les cas concrets.

Merci à Toi Mathy de soulever ceci

et espoir que cela changera et nous apportera à tous une autre orientation de notre futur vie au Québec

Sur ce Bon début de semaine à tous.

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  • Habitués

Voilà qui est dit.

Je me pose toujours la question de savoir: pourquoi beaucoup d'installeux ne viennent pas très souvent au Forum pour nous parler des pièges à éviter de façon concrète?

Pourquoi retournent -ils presque tous aux études?

Certes nous ne posons pas des questions relatives à la vie au Canada mais je suis souvent intriquée de voir que certains ne reviennent même plus nous dire bonjour ou bien nous donner les cas concrets.

Merci à Toi Mathy de soulever ceci

et espoir que cela changera et nous apportera à tous une autre orientation de notre futur vie au Québec

Sur ce Bon début de semaine à tous.

Les circonstances à mon avis s'y prêtent.... :innocent:

- Les uns parce que leurs intérêts changent au fil du temps et s'effritent, et qu'ils en ont assez des sempiternels retour des mêmes questions des toujours louveteaux. Ceux là ont à coup sûr d'autres chats à fouetter.

- D'autres sont capillotractés de lire des propos méprisants ....Ils préfèrent voir ailleurs, car ne se retrouvant pas dans les idées véhiculées , soit parce qu'elles vont à l'encontre de leurs rêves ou de leurs espoirs, soit parce qu'ils les jugent trop tièdes, trop pâlichonnes ou au contraire trop fortes et incontournables.....

- D'autres enfin, parce qu'ils ont l'impression d'avoir dit tout ce qu'ils avaient à dire. Ceux-ci peuvent partir avec l'impression du devoir accompli, même si parfois ils ont l'impression de n'avoir été ni écoutés, ni compris.

Somme toute, chacun vient ici pour glaner des infos, discuter, argumenter, creuser... Vient un temps où le tour de la question a été fait, et où la rengaine s'installe. C'est là, il me semble, qu'il faut lâcher prise. Le moment dépend de la "longueur de mèche" de chacun.

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  • Habitués

Je dirais peut être tu as raison peut être pas mais chacun se dit c'est un forum, je suis libre de dire ce que je veux et d'ailleurs qui me connait?

Je comprends que le temps fait défaut pour certains et que pour d'autres ils n'en savent pas grand chose, mais je préfère que la catégorie qui n'a rien à dire se tait.

Je prends un cas tout simple, nous les camerounais on aime bavarder même si c'est pour ne rien dire, on bavarde et on bavarde tout simplement pour alimenter le forum mais qui prend la peine avant de balancer une info de se rassurer qu'elle est vrai?

Très peu, et on croit aux dires de certains heureusement que tu nous le rappelles très souvent de ne jamais prendre toute info comme vérité.

Mais si je comprends bien l'installeux Mathy, il nous ouvre son expérience si et seulement si nous lui posons des questions concrètes, alors profitons de ce que l'attente est souvent longue en journée pour poser des ''right questions'' et vivement que toi aussi tu y feras partie et on te verra aussi dispo que tu l'aies now.

Question: qu'ont tant besoin des canadiens en terme de produits alimentaires venant de chez nous?

ou alors que peut bien commercer un camerounais au Canada en puissant du Camer?

Vous avez l'expérience du terrain à savoir le besoin et nous comment rapprocher ces besoins à la demande canadienne?

Pls ne tirez pas sur moi lol

Modifié par kadoquebec2012
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  • Habitués

Bonjour les amis,

Je vous file cette article, chacun ensuite pourra se faire une idée. Mais comme je dis chacun à sa place et sa route au Québec, ce n'est pas le copié collé. Et la vie au Québec, c'est pareil comme au Cameroun, tout le monde ne réussit pas. Sinon tous les immigrants seraient des multi millionnaires.

Bonne lecture....

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/claude-picher/201106/29/01-4413574-immigrants-et-diplomes.php

Immigrants et diplômes

S'il est un sujet qui refait régulièrement surface dans l'actualité, c'est bien la place des immigrants instruits sur le marché du travail. Encore samedi dernier, dans les pages Forum de La Presse, quatre diplômées immigrantes faisaient part de leurs frustrations: «Nous nous sommes résignées à chercher un emploi qui ne correspond pas à nos compétences», écrivent-elles. «De guerre lasse, nous avons demandé l'assistance-emploi. Nous, avocates, professeures, médecins, découragées, seules à la maison, nous avons l'impression d'avoir perdu une partie de notre identité; nous vivons une perte d'estime et de l'angoisse vis-à-vis de l'avenir, nous nous sentons inutiles et à la charge de la société québécoise.»Bonjour les amis,

Le témoignage est bouleversant, en effet. À quoi cela sert-il d'attirer des jeunes diplômés par milliers si c'est pour les laisser poireauter à l'assurance-emploi?

Or, voici qu'une toute nouvelle étude d'Anne-Marie Rollin, de la Division de l'analyse économique de Statistique Canada, vient démontrer que les immigrants instruits qui décident de poursuivre leurs études postsecondaires au Canada sont largement récompensés. Il s'agit d'une étude portant sur les immigrants âgés de 25 à 44 ans, possédant au moins 10 années de scolarité, et qui se sont installés au Canada en 1998 et 1999. La recherche s'étend sur une période de huit ans (donc, jusqu'en 2007) et couvre 108 000 personnes. Les résultats, hautement intéressants, viennent de paraître dans L'emploi et le revenu en perspective, une publication spécialisée de Statistique Canada.

Le document compare deux situations: celle des immigrants qui ont intégré le marché du travail sans poursuivre d'études postsecondaires au Canada, et celle des immigrants qui ont décidé d'obtenir un diplôme d'une institution canadienne.

On peut comprendre ce qui pousse un immigrant, même diplômé, à investir temps et argent, parfois même à s'endetter, afin de poursuivre des études au Canada. Il n'est pas facile, pour un immigrant récent, d'intégrer le marché du travail. L'étude cite les obstacles les plus courants: reconnaissance nulle ou partielle de l'expérience et des diplômes acquis à l'étranger, manque d'expérience locale, barrière linguistique, faiblesse des réseaux sociaux, différence dans la qualité de l'éducation selon le pays d'origine.

Voyons d'abord la situation des femmes immigrantes qui ne poursuivent pas d'études postsecondaires une fois installées au Canada. Au bout de huit ans, seulement 48% d'entre elles toucheront un revenu d'emploi. Mais chez celles qui suivent la voie plus difficile d'un retour aux études, ce pourcentage grimpe à 72%. Chez les hommes, les proportions correspondantes sont 67% et 90%. Ce sont des chiffres qui parlent d'eux-mêmes: le marché du travail est beaucoup plus accessible pour ceux qui poursuivent leurs études une fois installés au Canada.

La distinction entre les hommes et les femmes est importante: chez les immigrants, il y a trois fois plus d'hommes que de femmes dans la catégorie des travailleurs qualifiés. Parce qu'elles partent de plus loin, les jeunes immigrantes, surtout si elles poursuivent des études au Canada, ont proportionnellement beaucoup plus de chances d'améliorer leur situation, comme on le verra plus loin.

Non seulement les immigrants qui acceptent de retourner aux études ont-ils de bien meilleures chances d'intégrer le marché du travail, mais ils occuperont aussi de bien meilleurs emplois.

Voici sans doute un des aspects les plus spectaculaires de la recherche.

Prenons le cas d'une jeune immigrante qui a fait certaines études (secondaires ou collégiales), mais n'a pas atteint l'université, et qui trouve un emploi dès la première année de son arrivée. En moyenne, au bout de huit ans, au fil des augmentations salariales et des promotions, son revenu d'emploi aura grimpé de 59%, ou environ 6% par année, ce qui est très bien. Mais si la même personne entreprend de poursuivre des études postsecondaires ou universitaires dès la deuxième année suivant son arrivée, son revenu d'emploi, toujours au bout de huit ans, bondira de 147%. Chez les hommes, les proportions correspondantes sont de 42% et 82%.

En ce qui concerne les diplômes obtenus à l'étranger, les chiffres sont éloquents. Ainsi, une jeune immigrante qui arrive au Canada avec un diplôme universitaire de son pays d'origine, et qui intègre rapidement le marché du travail, verra ses revenus d'emploi augmenter de 62% au bout de huit ans. Mais si elle décide de retourner aux études, son revenu bondira de 136%, plus du double. Chez les hommes diplômés, les chiffres correspondants sont de 56% et 91%.

On l'a vu, de nombreux obstacles viennent compliquer la vie de l'immigrant qui cherche à se tailler une bonne place sur le marché du travail, dans un domaine qui correspond à ses compétences. Mais pour ceux qui ont la persévérance et la ténacité de poursuivre leurs études une fois installés dans leur pays d'accueil, l'obtention d'un diplôme canadien vient en grande partie aplanir ces obstacles.

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  • Habitués

ou alors que peut bien commercer un camerounais au Canada en puissant du Camer?

Je ne suis pas certain d'avoir bien assimilé la question :rolleyes: --- Merci d'être plus explicite. :thumbsup:

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  • Habitués

Mince alors Mendelcm,

Voilà une des réponses à mes questions.

Oh je te dis infiniment merci.

Je comprends maintenant pourquoi beaucoup retournent aux études.

Mais dis moi stp: est ce qu'il faut nécessairement l'évaluation comparative pour retourner aux études?

De 2, quelles sont les formations de courtes durées à savoir 18 mois par là mais qui ouvrent les voies dans les domaines en demande?

Une fois de plus merci.

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  • Habitués

ou alors que peut bien commercer un camerounais au Canada en puissant du Camer?

Je ne suis pas certain d'avoir bien assimilé la question :rolleyes: --- Merci d'être plus explicite. :thumbsup:

je m'explique, je veux faire du commerce à savoir écouler les produits made in Cameroun au Canada lesquels sont en demande?

Merci

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  • Habitués

Salut,

En ce qui concerne l'évaluation comparative, je ne sais pas exactement, mais je sais que d'autres universités font eux même une évaluation de ton diplome et n'ont pas besoin de la comparative.

Par rapport à la seconde question, tout dépend de ton profil initial. Mais j'avoue aussi que je ne suis pas trop informé aussi en dehors mon secteur d'activité. Mais tout le monde sait quand même que les gens du secteur de la santé ont le vent en poupe sur le marché de l'emploi.

A PLUS.........

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  • Habitués

Voilà qui relance les débats.

Mais j'ai une question Toshiba, si je ne retourne pas aux études, et que je reconnais en moi que je suis un bon bosseur au camer, puis je challenger les immigrants ou bien les québécois qui ont eu des diplômes?

Je pose cette question par rapport au système éducatif de notre chère patrie le Cameroun.

Car je me demande pourquoi toujours retourner aux études pour avoir l'expérience Canadienne dans la mesure où les jobbines ne peuvent pas faire l'affaire?

Est ce le diplôme qui est valorisé ou bien ma capacité à travailler?

Le hic est de se faire recruter?

Merci d'éclairer ma lanterne

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  • Habitués

Rebonjour,

Moi, j'ai bien dit que la vie ici n'est pas le copié collé. Y'en a qui réussissent sans retourner aux études....

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  • Habitués

LÉvaluation comparative des études effectuées hors du Québec nest pas toujours requise. Afin de ne pas retarder ces démarches, il faut prendre la peine de vérifiez tout dabord si vous avez vraiment besoin de ce document

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  • Habitués

Salut,

En ce qui concerne l'évaluation comparative, je ne sais pas exactement, mais je sais que d'autres universités font eux même une évaluation de ton diplome et n'ont pas besoin de la comparative.

Par rapport à la seconde question, tout dépend de ton profil initial. Mais j'avoue aussi que je ne suis pas trop informé aussi en dehors mon secteur d'activité. Mais tout le monde sait quand même que les gens du secteur de la santé ont le vent en poupe sur le marché de l'emploi.

A PLUS.........

Thanks

ainsi même si je n'ai pas les diplômes requis et que je veux m'investir dans la santé pour formation de 18 mois par là je suis en poupe au Québec?

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  • Habitués

Rebonjour,

Moi, j'ai bien dit que la vie ici n'est pas le copié collé. Y'en a qui réussissent sans retourner aux études....

J'aimerai te dire mention très honnorable Mendelcm pour cette réponse ...:biggrin2:

Je Plussoie, la vie c'est pas du Copier-coller --- C'est pas du formatage, on ne peut se fier à rien et tout est possible :thumbsup:

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  • Habitués

Rebonjour,

Moi, j'ai bien dit que la vie ici n'est pas le copié collé. Y'en a qui réussissent sans retourner aux études....

Là tu nous le rappelles et c'est le souhait de bcp d'entre nous du moins car nous sommes des mamas et des papas et c'est pas facile lol de retourner sur les bancs mais n'oublions pas aussi que dans cette catégorie le pourcentage est très inférieur à ceux qui ont réussi avec les études.

Mais le hic c'est comment?

Modifié par kadoquebec2012
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