Chronique nocturne d'Ottawa

[Osquare]

L'inexistence de métro rend peu crédible cette histoire.

Il est vrai cependant qu'Ottawa présente surtout l'avantage d'être un lieu de transition facile avec le Québec, qui est juste en face (Gatineau) et qu'il y a une université francophone où on peut, entre autres, faire des études de pédagogie ("baccalauréat en éducation" : pédagogie, ça sonne laid aux oreilles canadiennes) en seulement huit mois, contrairement aux années demandées par les québécois. Cette situation est d'ailleurs surprenante, car le Ministère de l'Education québécoise reconnaît pourtant le bac en éducation d'uOttawa. Au point qu'il délivre des bourses à des gens qui étudient là.

Ottawa a l'image d'une ville de fonctionnaires gris et ultra-conformistes, encore plus "politiquement corrects" que la moyenne canadienne, qui ne sortent de chez eux que pour promener le chien ou aller au supermarché, avant de venir se poster à nouveau face à leur immense téléviseur.

Ce stéréotype n'est pas entièrement faux. N'empêche que la ville a beaucoup d'espaces verts, quelques musées, des salles de concert ...

C'est un bon endroit pour y passer quelques années.

Mais pour les coins sympa, c'est carrément en Colombie-Britannique qu'il faudrait aller voir.

[kabi]

Ah bon, il y a un métro à Ottawa ??

Moi qui habite à Ottawa côté Est, entre Vanier et Orléans, je suis surpris.

Bah non le métro n'existe pas, le LOEB non plus au quartier Vanier (à moins que je ne suis pas au courant),

Par contre les acteurs de l'histoire sont réels et chacun a vécu ce qui est raconté dans cette chronique.

J'ai fait de sorte de faire un lien pour tisser les rencontres afin de passer d'un acteurs à l'autres . sinon cela aurait donné 7 ou 8 récits séparés. sans aucuns gouts à lire

Voila une fois pour toute pour ceux qui discrédite cette chronique