Habitués Nemesis Posté(e) 5 mars 2008 Habitués Posté(e) 5 mars 2008 Les articles, enquêtes et autres statistiques se suivent mais ne se ressemblent jamais...Cet article vient contrebalancer un peu ceux de janvier parlant du recul de l'usage du français à Montréal.Le français de plus en plus utilisé au travailLe français est de moins en moins parlé à la maison, mais on l'utilise de plus en plus souvent au travail. Non seulement au Québec mais aussi dans d'autres provinces dont le Nouveau-Brunswick et l'Ontario, révèlent d'étonnantes données du dernier recensement rendues publiques mardi par Statistique Canada.D'après l'agence, plus du quart des Canadiens utilisaient «le plus souvent» ou «régulièrement» la langue de Molière au travail en 2006. Au Québec, cette proportion atteignait 94,3%, en légère hausse depuis 2001.En comparaison, la langue de Shakespeare est employée le plus souvent par 17% des travailleurs québécois, auxquels s'ajoutent 22% qui l'utilisent fréquemment.«Ça sera probablement une surprise pour nombre de personnes puisqu'en décembre on avait une diffusion qui montrait une baisse du français», reconnaît Jean-Pierre Corbeil, analyste des données linguistiques à Statistique Canada, Selon lui, l'analyse des tendances permet toutefois de mieux comprendre ce phénomène.«On a reçu plus d'un million de nouveaux immigrants dont 80 pour cent ont une langue autre que le français ou l'anglais comme langue maternelle, donc ce n'est pas étonnant de voir que le poids du français a diminué. Par contre, la dynamique linguistique a l'extérieur du foyer est différente. Là on est dans une sphère publique et l'utilisation des langues est plus dépendante des groupes en présence», explique-t-il.D'après lui, la sélection par le Québec d'une partie de ses immigrants est la cause principale du lent changement qui semble s'opérer sur le marché du travail.L'arrivée au pays d'un grand nombre de travailleurs originaires de la France, d'Haïti, du Maghreb et d'autres pays où le français est utilisé expliquerait la popularité grandissante du français dans les usines, bureaux et commerces.Quelque 77,3% des immigrants qui n'ont appris aucune des langues officielles du Canada au berceau parlent français au travail. Ce pourcentage était de 76% la première fois que Statistique Canada l'a mesuré, en 2001.Ces données sont de nature à rassurer ceux qui craignaient d'autres mauvaises nouvelles sur le front linguistique, après la publication de statistiques sur la diminution du poids démographique des francophones au Canada qui ont provoqué un débat à Québec sur la francisation des immigrants.Les chiffres de Statistique Canada pourraient jeter un éclairage nouveau sur les conclusions que s'apprête à rendre publique l'Office de la langue française, qui a fait son propre bilan quinquennal de l'état de la langue au Québec.Le contenu de ce document n'est pas connu encore, mais des extraits controversés sur la situation du français à Montréal ont été coulés aux médias au début de janvier.Si l'on se fie à Statistique Canada, la situation a peu changé dans la métropole entre 2001 et 2006. Les plus récentes données disponibles indiquent que 60% des travailleurs qui résident sur l'île de Montréal parlent français le plus souvent au travail.Le pourcentage atteint 74% dans la ville de Montréal, mais il est beaucoup plus faible dans les municipalités de l'Ouest de l'archipel comme Pierrefonds et Sainte-Anne-de-Bellevue.Montréal demeure l'une des villes où l'on parle le plus souvent une langue autre que le français ou l'anglais au travail, mais il semble que cela soit de moins en moins fréquent, notamment grâce à l'arrivée d'un grand nombre de travailleurs ayant l'arabe pour langue maternelle qui ont tendance à utiliser surtout le français dans le cadre de leur emploi.Le recensement de 2006 contient par ailleurs une rare bonne nouvelle pour les francophones hors Québec.Même si l'anglais est sans conteste la langue dominante dans les entreprises, l'utilisation du français est soit stable, soit en hausse dans presque tous les coins du pays. C'est notamment le cas à Ottawa ainsi que dans certaines villes du Nouveau-Brunswick.Jean-Pierre Corbeil croit que l'immigration et la mobilité entre les provinces expliquent en partie ce phénomène.Source: La Presse AffairesAprès, dans les faits, est-ce vraiment le cas? Par exemple, dans la compagnie où je travaille, 100% québécoise pourtant..., l'usage de l'anglais est très courant et représente un bon 40% du mode de communication au quotidien. Plusieurs employés sont anglophones d'origines, mais parlent toutefois parfaitement le français. Et c'est là où je m'étonne de voir mes collègues francophones "switcher" en anglais (réflexe?) dès qu'ils ont besoin de communiquer avec l'un d'eux alors qu'ils pourraient parfaitement le faire en français. Un paradoxe québécois qui me laisse perplexe! Citer
Invité Posté(e) 5 mars 2008 Posté(e) 5 mars 2008 (modifié) Pour avoir pour travailler dans une grande compagnie "anciennement canadienne" de l'industrie de l'aluminium (je parie que vous avez devinez ???) je peux vous dire que l'usage du français était inférieur à 40%. Le fait de "switcher" de l'anglais au français selon les personnes m'a étonné au début mais par la suite je n'y faisais plus attention.Moi même selon la personne je parlais anglais ou français... alors que la plupart parlaient le français. Pour la petite anecdote ma boss anglophone ne parlait en français que lors de ma présence... :maxpayne: Modifié 5 mars 2008 par -HoB!Z- Citer
Habitués Nemesis Posté(e) 5 mars 2008 Auteur Habitués Posté(e) 5 mars 2008 Le fait de "switcher" de l'anglais au français selon les personnes m'a étonné au début mais par la suite je n'y faisais plus attention.Switcher en anglais quand la personne en face est capable de parler en français, hum... je reste vraiment perplexe devant ça également... Citer
Habitués Pimili Posté(e) 5 mars 2008 Habitués Posté(e) 5 mars 2008 Ça n'empêche pas qu'il faut être bilingue pour trouver un emploi de qualité.Mais bon, ça c'est partout maintenant... Citer
Habitués Shaman Posté(e) 5 mars 2008 Habitués Posté(e) 5 mars 2008 Le fait de "switcher" de l'anglais au français selon les personnes m'a étonné au début mais par la suite je n'y faisais plus attention.Switcher en anglais quand la personne en face est capable de parler en français, hum... je reste vraiment perplexe devant ça également...Salut,moi ca ne me choque pas vraiment. Je bosse au Luxembourg depuis 8 ans et ici aussi on switche souvent en anglais au travail, meme s'il y a des francais, des belges et des luxembourgeois.A fortiori, toutes les communications ecrites (papier ou mail) se font en anglais...+s Citer
Habitués Nemesis Posté(e) 5 mars 2008 Auteur Habitués Posté(e) 5 mars 2008 moi ca ne me choque pas vraiment. Je bosse au Luxembourg depuis 8 ans et ici aussi on switche souvent en anglais au travail, meme s'il y a des francais, des belges et des luxembourgeois.Le Luxembourg n'est pas le Québec, le contexte historique et politique est totalement différent, donc sans grand rapport. Citer
Habitués Redflag Posté(e) 5 mars 2008 Habitués Posté(e) 5 mars 2008 Plusieurs employés sont anglophones d'origines, mais parlent toutefois parfaitement le français. Et c'est là où je m'étonne de voir mes collègues francophones "switcher" en anglais (réflexe?) dès qu'ils ont besoin de communiquer avec l'un d'eux alors qu'ils pourraient parfaitement le faire en français. Un paradoxe québécois qui me laisse perplexe!Plusieurs explications possibles:- Le syndrome du "faut pratiquer son anglais". Si l'on veut être baveux, on dira que ça permet aux Québécois de ne pas oublier muffler, switcher, ploguer, canceller, céduler, focusser, performer et j'en passe ! - Courtoisie/respect ? - Syndrome du colonisé ? - Pour épater la galerie. Même au Québec, bien parler anglais ça fait branché. Redflag Citer
Laurent Posté(e) 5 mars 2008 Posté(e) 5 mars 2008 La ministre, elle est contente...Josée LegaultVoir - www.voir.camercredi 5 mars 2008Christine St-Pierre se dit "très encouragée" par la situation du français au travail. On connaît son optimisme débordant. Mais encore une fois, elle manque le bateau.On nous dit que les dernières données du recensement de 2006 sur lutilisation des langues au travail montrent de bien beaux progrès pour le français au Québec. On nous dit que 65 % des immigrants utilisent le français au travail, soit 2 % de plus quau recensement de 2001. Méchant gain !La ministre responsable de la loi 101, Christine St-Pierre, sen est réjouie : "Cest un gain, pas un recul !" Bravo pour ses talents mathématiques. À moins quils ne viennent de ses nouvelles chef de cabinet et attachée de presse - les précédentes ayant été "mutées" à la suite des cafouillages de St-Pierre dans laffaire des études cachées de lOffice de la langue française.Le problème est que le diable se cache toujours dans les détails. Dans les faits, seulement 55 % des immigrants récents parlent surtout le français au travail. Le fameux "65 %" est en fait laddition de ce 55 % aux 10 % y parlant autant langlais que le français. Trente ans après la loi 101, ce nest tout de même pas le pactole.Si on obtient ce 55 %, cest surtout grâce à la proportion accrue dimmigrants récents connaissant déjà le français ou venant de pays où on le parle, comme le Maroc, Haïti ou la Roumanie, ce quon appelle des immigrants francophones, francophiles ou francotropes. Bref, la force dattraction du français demeure insuffisante auprès des immigrants allophones ou anglophones. Quant à la loi 101, son impact reste mitigé dans les lieux de travail.Un autre diablotin caché dans les détails du recensement : chez les immigrants arrivés ici avant 1961, 47 % utilisent surtout langlais au travail. Cest vraiment, vraiment beaucoup ! Chez ceux qui ont immigré entre 1976 et 1980, 27 % parlent surtout anglais au travail. Ce chiffre passe à 32 % pour ceux arrivés entre 1996 et 2000 et descend à 29 % chez ceux arrivés entre 2001 et 2005. Regardez bien ces dates et vous comprendrez à quel point le contexte politique joue un rôle déterminant, soit en faveur du français, soit contre lui !Le français au travail se renforce entre 1976 et 1980, entre lélection du PQ, ladoption de la loi 101 et le référendum. Il perd ensuite du terrain entre 1996 et 2001, soit après la défaite référendaire et larrivée de Lucien Bouchard. En affirmant que tout renforcement de la loi 101 lempêcherait de se "regarder dans le miroir", Bouchard avait envoyé aux nouveaux arrivants un message dévastateur pour le français : si même le PQ avait maintenant peur de la loi 101, pourquoi sévertuer à la respecter ?Autres petits détails : seulement 24 % des anglophones parlent surtout le français au travail - une baisse de 4 % depuis 2001. Chez les allophones (de langue maternelle autre que le français ou langlais), 45 % parlent anglais au travail, seul ou avec une autre langue. Un autre 12 % y parle autant langlais que le français. Même chez les immigrants les plus récents - donc avec plus de francophones ou francophiles -, 32 % des allophones parlent surtout langlais au travail. Alors, si vous avez la perception que le français occupe un terrain insuffisant au travail pour une langue majoritaire, vous ne vous trompez pas.Respirez par le nez pour la donnée suivante : seulement 38 % des résidents de lOuest de lîle de Montréal utilisent le français au travail, seul ou même avec une autre langue ! Oui, oui, au Québec...TOUT ÇA POUR ÇAAprès ces chiffres et la confirmation récente que le français recule à Montréal comme langue maternelle ou dusage, Statistique Canada conclut finalement que la place du français au travail à Montréal est DEMEURÉE STABLE ! Mais la ministre, elle est contente.Au moment de mettre sous presse, on attendait le rapport quinquennal de lOQLF, prévu pour le 5 mars. Ce sera aussi à décortiquer. Tout comme le sera le mystérieux plan daction promis par Christine St-Pierre pour la fin mars.En attendant, résumons. 1) La force dattraction du français ici est encore à des lunes de celle de langlais dans le reste du Canada. 2) Ses progrès relatifs sont surtout dus à larrivée récente dun plus grand nombre dimmigrants parlant le français ou venant de pays où il est présent, ainsi quà lusage accru du français au travail comme langue SECONDAIRE ou circonstancielle avec langlais. 3) Comme langue principale au travail à Montréal, là où il concurrence langlais, le français avance lentement, trop lentement.Bref, Pauline Marois sest égarée en sattardant autant au "bilinguisme" alors que le français peine encore à dominer nettement là où il se mesure à langlais.VOUS AVEZ DIT "MAJORITAIRE" ?Une belle illustration en est ce qui se passe à lhôpital Lachine de Montréal. Le gouvernement Charest veut le fusionner avec le réseau anglophone de McGill. Comme quoi les "fusions forcées" ne sont pas le monopole du PQ ! Craignant que lhôpital ne perde son autonomie, plusieurs médecins, infirmières et citoyens sy opposent. Ils craignent aussi quavec le temps, au gré des échanges de personnel, langlais ne sy installe comme langue de travail au même titre que le français.Dites-le-moi si jai tort, mais nest-ce pas là le genre de danger qui guette normalement une langue minoritaire, et non celle de la majorité ? Source http://www.voir.ca/blogs/jose_legault/arch...inistre-elle-es (...) Citer
Laurent Posté(e) 5 mars 2008 Posté(e) 5 mars 2008 Le mercredi 05 mars 2008Les immigrants au secours du françaisLouise LeducLa PresseLes voici finalement, celles dont on avant tant besoin pour y voir clair en pleine tourmente linguistique en janvier: les données de recensement sur l'utilisation du français en milieu de travail. Loin de la débandade redoutée, Statistique Canada conclut plutôt à un quasi-statu quo.Grâce à la sélection d'immigrants déjà francophones à l'arrivée, l'utilisation du français au travail est pratiquement inchangée dans l'île de Montréal, à 69% en 2001 et en 2006. À l'échelle du Québec, 65% des travailleurs immigrants ont déclaré utiliser le plus souvent le français (seul ou avec une autre langue) au travail, en hausse de 2% par rapport au dernier recensement.C'est ce qui ressort des données du recensement de 2006, publiées hier par Statistique Canada.Premier constat: ces nouvelles données détonnent par rapport au recensement de 2001, alors qu'il y avait quasi-égalité au Québec entre l'adoption de l'anglais ou du français par les immigrants récents.Cette fois, la sélection serrée d'immigrants, basée en bonne partie sur leur connaissance du français, semble avoir stoppé l'hémorragie.«En 2006, peut-on lire dans le recensement, la forte croissance dans l'immigration récente des groupes de langues maternelles arabe, espagnole et roumaine explique en partie la hausse de l'utilisation du français en milieu de travail, en raison de la propension plus grande de ces groupes à connaître et à utiliser le français», écrit Statistique Canada.De ces nouvelles données de recensement, on s'attendait au pire. D'une part, il y avait eu, en décembre, de premières données dévoilant que pour la première fois depuis 1931, la proportion de Québécois ayant le français pour langue maternelle était passée sous la barre des 80% (à 79,6%). Au surplus, il y avait eu cette enquête du Journal de Montréal sur la facilité à trouver un emploi à Montréal lorsqu'on ne parle que l'anglais.Comment les données de recensement diffusées en décembre pouvaient-elles être si inquiétantes et celles-là, sur le travail, pas trop mal, finalement? «En décembre, quand on demandait aux gens quelle était leur langue maternelle, ils répondaient que c'était l'arabe, par exemple. Cela n'empêche pas ces personnes dont la langue maternelle est autre de pouvoir s'exprimer parfaitement en français et de travailler dans cette langue», dit Jean-Pierre Corbeil, spécialiste en chef du secteur des statistiques linguistiques à Statistique Canada.«Une victoire par défaut»C'est une victoire, «mais une victoire par défaut», lance le professeur Charles Castonguay, spécialiste des questions d'assimilation linguistique.Oui, le français s'est à peu près maintenu, «mais non pas en raison de sa force intrinsèque, mais grâce à la composition ethnolinguistique d'une cohorte particulière», dit-il.«On ne change pas de langue comme on change de chemise», poursuit-il.S'il y a eu «renversement de la tendance», ça a tout à voir avec les Maghrébins, Français et autres francotropes (comme les appelle M. Castonguay) et certainement rien à voir avec des efforts particuliers de francisation de la part du gouvernement puisqu'il n'y en a pas eu, à son avis.À titre d'exemple, en 2006, le Québec comptait 15 500 travailleurs immigrants récents de langue maternelle arabe, dont 84% déclaraient utiliser le plus souvent le français au travail.L'ennui, poursuit M. Castonguay, c'est que l'on sélectionne des immigrants spécifiquement en vertu de leur connaissance du français et que plusieurs restent ensuite sur la touche parce qu'ils ne parlent pas aussi anglais, comme l'ont dit plusieurs immigrants à la commission Bouchard-Taylor. «Il y a une incongruité entre la politique de sélection des immigrants et les possibilités réelles d'épanouissement au travail quand on parle uniquement en français», regrette M. Castonguay.«Heureusement qu'on s'est donné une loi 101! s'exclame pour sa part Michel Grant, professeur associé à l'UQAM en relations de travail. Beaucoup de chemin a été fait, mais beaucoup de chemin reste à faire.»Et qui ne parle ni français ni anglais au travail? Pour beaucoup, des Chinois. C'est le cas de 21,2% d'entre eux, à Montréal, en une proportion presque égale à celle des Chinois de Toronto, comparativement à 29,6% des Chinois de Vancouver qui ne travaillent dans aucune des deux langues officiell http://www.cyberpresse.ca/article/20080305...82/CPACTUALITES Citer
Habitués Éric70 Posté(e) 5 mars 2008 Habitués Posté(e) 5 mars 2008 Les résultats du recensement ne contredit pas les autres études ou statistiques.Le résultat est que dans l'ensemble du Québec l'utilisation du Français comme langue de travail c'est amélioré mais sur l'ile de Montréal la situation reste inchangée !!! Et toutes les inquiétudes que nous avons eu dans différents reportages et articles parlaient de la situation sur l'ile de Montréal pas à l'extérieur de l'ile. Citer
Habitués Nemesis Posté(e) 5 mars 2008 Auteur Habitués Posté(e) 5 mars 2008 Plusieurs explications possibles:- Le syndrome du "faut pratiquer son anglais". Si l'on veut être baveux, on dira que ça permet aux Québécois de ne pas oublier muffler, switcher, ploguer, canceller, céduler, focusser, performer et j'en passe ! - Courtoisie/respect ? - Syndrome du colonisé ? - Pour épater la galerie. Même au Québec, bien parler anglais ça fait branché.Je ne suis même pas certain que cela soit pour l'une de ces raisons, bien qu'au départ, je pensais effectivement que c'était par pure courtoisie. Sauf, bien évidemment, pour le reste de l'équipe qui elle, est totalement francophone. Bref, que les immigrants utilisent le français au travail, c'est bien, mais que les Québécois le fasse également, c'est mieux. Citer
Habitués Angela Posté(e) 6 mars 2008 Habitués Posté(e) 6 mars 2008 Les résultats du recensement ne contredit pas les autres études ou statistiques.Le résultat est que dans l'ensemble du Québec l'utilisation du Français comme langue de travail c'est amélioré mais sur l'ile de Montréal la situation reste inchangée !!! Et toutes les inquiétudes que nous avons eu dans différents reportages et articles parlaient de la situation sur l'ile de Montréal pas à l'extérieur de l'ile.+1. Chaque fois qu'il est question de l'île de Montréal, tout devient problématique. D'où la question: est-ce le milieu de travail, le milieu de vie, ou la montréalisation de l'immigration qui pose problème? Au fait, où est-ce que les immigrants sont allés chercher l'idée que Montréal est LA ville par excellence de l'immigration? J'y perds mon latin, moi. Je me casse la tête à le dire à mes amis nouveaux immigrants mais mon message ne passe pas ... Citer
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