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Le rythme scolaire au Québec par Scrogn


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Notre chroniqueuse montréalaise nous parle du rythme scolaire au Québec. À quoi vous attendre ici pour vos petits.

À lire en page d'accueil.

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et moi qui pensais que le champ de bataille dans mon entrée

c'etait une specialité de notre famille... -_-

concerant le rythme scolaire,

nous on l'adore tous (papa ours, maman ours, et les trois oursons) du lundi au vendredi de 8h a 15h30...que du bonheur.

je me rappel ces maudits samedi matin en france, ou je devais me lever pour pas grand choses...

et bien qu'il n'y ai que 3 périodes de vacances durant toutes l'année, les enfants sont beaucoup moins fatigués.

ca me fait penser que en france ils ont enfin decidés de supprimer l'école le samedi prochain a partir de la rentrée prochaine,

tu aurais pu penser que tout le monde aurait aimés ca...

et bien non il y a encore un (gros) gang qui a encore chiallé... pathétique :wacko:

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Jai vu aujourdhui en page daccueil la petite chronique de Laurence sur lécole. Je la trouve très bien écrite elle aussi comme dhabitude car tout est là, bien résumé. Cependant, je ne suis pas tout à fait daccord avec son point de vue sur les écoles françaises qui selon moi ne doivent pas être réservées uniquement à des enfants dexpatriés. Selon moi, lécole, cest une question de choix.

En ce qui nous concerne, je crois que je lavais expliqué, il y a plusieurs facteurs qui nous ont décidés à choisir lécole française et nous navions absolument aucun a priori envers lécole québécoise ou autre de façon générale. Je le répète, cest un choix. Le premier facteur, cest que notre fille est du mois de décembre. Dans le système scolaire québécois, elle serait entrée à lâge de 6 ans, alors quelle a pu entrer à lâge de 5 ans à lécole française (cest à partir de 3 ans en France). Vous me direz, ce nest pas une grosse différence mais quand vous voyez votre fille qui sembête un peu à la garderie et qui demande à découvrir de nouvelles choses, on na pas voulu attendre un an supplémentaire. Et sa garderie était très bien par ailleurs. Second facteur : cela fait presque 11 ans que nous vivons ici et nous lavions déjà mentionné, nous avons eu une grosse période de réflexion sur notre avenir (elle est toujours en marche dailleurs mais nous penchons plus pour rester au Québec selon les dernières nouvelles). Si nous décidions de rentrer vivre en France, nous pensons que notre fille réintégrerait plus facilement le système scolaire. Troisième facteur : même si nous navons rien contre lécole québécoise, nous sommes comme beaucoup de parents et denseignants contre la Réforme. En fait, japprécie lidée, cest-à-dire développer les compétences transversales, etc. Mais je suis pour des connaissances de base avant cela. Or, la réforme lance les enfants directement dans ce nouveau système dapprentissage sans leur donner avant cela les connaissances de base. Cest un vaste sujet mais jai mon point de vue là-dessus. Quatrième facteur : autant, cest possible dentrer dans le système scolaire français dès la maternelle, autant, çaurait été beaucoup plus difficile par la suite en tant quenfant nayant jamais fréquenté le système scolaire français. Et on sest dit quau cours de son cursus, elle pourrait au cas où sans problème intégrer le système québécois (des enfants français dont les parents viennent dimmigrer ici le font).

Le résultat de notre choix, cest que notre fille évolue aujourdhui dans un milieu très international. Elle a des amies québécoises, libanaises, marocaines, etc. Elle a laccent québécois car elle est née ici et continue davoir des amies dans notre quartier ou ailleurs. Elle développe à la fois une excellente culture générale et en plus des compétences autres (théâtre, arts) pour lesquelles les écoles québécoises sont souvent excellentes. Son école contribue même au Programme Vers le Pacifique qui se retrouve dans plus de 930 écoles du Québec. Elle peut intégrer dans quelques années le Cégep puis lUniversité (les élèves des écoles françaises ont une excellente cote R). Bref, à part les facteurs énoncés, il ny a pas grand-chose de différent. Effectivement, comme le dit avec humour Scrogn, il y a lHistoire avec Charlemagne et Napoléon mais ils sintéressent aussi à lunivers et la province dans laquelle ils vivent. En bio, elle sen va étudier la faune ou la flore du Québec, etc.

Dans l'éducation à la française, j'aime beaucoup moins le côté un peu « éducation à la baguette » dautant que ma fille na absolument pas besoin de ça. En même temps, je suis pour une certaine discipline. Jaime moins le côté « apprentissage bourrage de crâne » mais ça, cétait à notre époque (ça a bien changé) et en plus, on en est pas mort. La preuve, on est issu pour beaucoup de ce système et on réussit très bien à sadapter au milieu de vie et au milieu professionnel au Québec.

Donc, finalement, je suis pour le choix. Il n'y a pas de mauvais choix. Il n'y a que des bons choix car les deux systèmes scolaires sont bons et ont leurs spéficités. Chacun voit midi à sa porte.

Voilà pour la pierre que j'apporte à l'édifice en matière d'éducation, un sujet qui me tient à coeur.

Posté(e)

Cher Grizzli, il semblerait que le virus "champ de bataille dans l'entrée" ait atteint le stade du "faisons pire que mes petits amis". :gna:

Je pense que Steph56 cristallise finement l'éternel débat qui divise la communauté immigrante française : doit-on, pour le bien de nos enfants, les scolariser dans un système français de France ?

Pour ma part, je pense que c'est partir d'un postulat plein de sentiments louables mais assez hasardeux.

Jai vu aujourdhui en page daccueil la petite chronique de Laurence sur lécole. Je la trouve très bien écrite elle aussi comme dhabitude car tout est là, bien résumé. Cependant, je ne suis pas tout à fait daccord avec son point de vue sur les écoles françaises qui selon moi ne doivent pas être réservées uniquement à des enfants dexpatriés. Selon moi, lécole, cest une question de choix.

Je suis parfaitement d'accord avec vous, c'est un question de choix des parents. Seulement, je rejoins le point de vue de Laurence dans la mesure où les écoles franco-françaises me semblent pour le moins mal-appropriées pour les enfants qui feront, chez nous, le reste de leur vie. Nombreux français fraîchement arrivés ont fait part de leur malaise quant aux relations sociales et professionnelles. Or celles-ci s'apprennent à l'école, si j'en crois le credo de l'éducation nationale française.

En ce qui nous concerne, je crois que je lavais expliqué, il y a plusieurs facteurs qui nous ont décidés à choisir lécole française et nous navions absolument aucun a priori envers lécole québécoise ou autre de façon générale. Je le répète, cest un choix. Le premier facteur, cest que notre fille est du mois de décembre. Dans le système scolaire québécois, elle serait entrée à lâge de 6 ans, alors quelle a pu entrer à lâge de 5 ans à lécole française (cest à partir de 3 ans en France). Vous me direz, ce nest pas une grosse différence mais quand vous voyez votre fille qui sembête un peu à la garderie et qui demande à découvrir de nouvelles choses, on na pas voulu attendre un an supplémentaire. Et sa garderie était très bien par ailleurs.

Là aussi, parfaitement d'accord avec vous. Notre aîné savait lire à quatre ans et demi. Non pas grâce au système français, mais bien à cause de nous. Alors qu'en France, on nous reprochait d'aller trop vite (alors que le souhait de cet apprentissage provenait de notre fils lui-même), ici, l'enseignante a préféré utiliser ce "petit truc" pour donner l'envie à ses élèves de maternelle d'apprendre.

Second facteur : cela fait presque 11 ans que nous vivons ici et nous lavions déjà mentionné, nous avons eu une grosse période de réflexion sur notre avenir (elle est toujours en marche dailleurs mais nous penchons plus pour rester au Québec selon les dernières nouvelles). Si nous décidions de rentrer vivre en France, nous pensons que notre fille réintégrerait plus facilement le système scolaire.

Permettez-moi de sourciller ici. J'ai réintégré le système français à l'âge de 15 ans, mon frère à l'âge de 17 ans et ma soeur, à 13 ans. Or, nous avons tous eu une éducation scolaire uniquement québécoise (sauf mon frère avec ses deux semaine à Marie-de-France), et nous avons tous eu notre bac sans problème. Je n'ai jamais refait (redoublé, si vous préférez) une classe. Au risque de vous paraître prétentieuse, je pourrai vous préciser que j'ai fait des études supérieures qui furent franchement honorables.

Surtout, je me demande si votre fille, en supposant qu'elle fasse sa vie ici, n'éprouvera pas de difficultés en "intégrant" le système québécois...

Troisième facteur : même si nous navons rien contre lécole québécoise, nous sommes comme beaucoup de parents et denseignants contre la Réforme. En fait, japprécie lidée, cest-à-dire développer les compétences transversales, etc. Mais je suis pour des connaissances de base avant cela. Or, la réforme lance les enfants directement dans ce nouveau système dapprentissage sans leur donner avant cela les connaissances de base. Cest un vaste sujet mais jai mon point de vue là-dessus.

Là aussi (décidement ! :D ), je partage votre point de vue. J'étais (et suis toujours) complètement réfractaire à la "méthode globale" d'usage majoritairement en France, malgré les réformes. Mais, voyez-vous, le rôle éducatif des parents paraît se réduire comme peau de chagrin. En effet, j'ai la faiblesse de croire que les papas et les mamans ne peuvent ni doivent se cantonner à l'aspect purement "fait pas ci, fait pas ça". Beaucoup de mes connaissances de base (comme l'histoire de France, par exemple ;) ) et plus généralement ma culture m'ont été inculquées par mes parents...

Quatrième facteur : autant, cest possible dentrer dans le système scolaire français dès la maternelle, autant, çaurait été beaucoup plus difficile par la suite en tant quenfant nayant jamais fréquenté le système scolaire français. Et on sest dit quau cours de son cursus, elle pourrait au cas où sans problème intégrer le système québécois (des enfants français dont les parents viennent dimmigrer ici le font).

Oui, dans la mesure où ces enfants d'immigrants français avaient "l'excuse" :lol: de vivre dans l'hexagone. À mon sens, il serait délicat de justifier sa "mise à l'écart" dans une école franco-française au Québec, avant de rejoindre les bancs d'école plus locale.

Le résultat de notre choix, cest que notre fille évolue aujourdhui dans un milieu très international. Elle a des amies québécoises, libanaises, marocaines, etc. Elle a laccent québécois car elle est née ici et continue davoir des amies dans notre quartier ou ailleurs. Elle développe à la fois une excellente culture générale et en plus des compétences autres (théâtre, arts) pour lesquelles les écoles québécoises sont souvent excellentes. Son école contribue même au Programme Vers le Pacifique qui se retrouve dans plus de 930 écoles du Québec. Elle peut intégrer dans quelques années le Cégep puis lUniversité (les élèves des écoles françaises ont une excellente cote R). Bref, à part les facteurs énoncés, il ny a pas grand-chose de différent. Effectivement, comme le dit avec humour Scrogn, il y a lHistoire avec Charlemagne et Napoléon mais ils sintéressent aussi à lunivers et la province dans laquelle ils vivent. En bio, elle sen va étudier la faune ou la flore du Québec, etc.

Je vais certainement vous étonner en vous révélant que le milieu de mon enfance fût certainement plus "international" (du moins, par rapport aux origines) que celui que j'ai eu, en France. Mes copains (et les baveux) étaient "pure-laine", chinois, syriens, égyptiens, vietnamiens, haïtiens, belges, français... Mais nous étions tous québécois, de la même école, du même quartier. À mes yeux, c'est un apprentissage formidable de la notion de la communauté.

Dans l'éducation à la française, j'aime beaucoup moins le côté un peu « éducation à la baguette » dautant que ma fille na absolument pas besoin de ça. En même temps, je suis pour une certaine discipline. Jaime moins le côté « apprentissage bourrage de crâne » mais ça, cétait à notre époque (ça a bien changé) et en plus, on en est pas mort. La preuve, on est issu pour beaucoup de ce système et on réussit très bien à sadapter au milieu de vie et au milieu professionnel au Québec.

Bizarrement, ce n'est pas trop ces aspects "éducation à la baguette" et "bourrage de crâne" qui m'ont heurtée en France. J'ai fait partie des Cadets de l'Air (un organisme dirigé par l'armée canadienne pour les jeunes. En gros, des scouts en plus rigolo) et le "par-coeur" est prisé ici, surtout si vous faites du théâtre. Seulement, au Québec, on vous demande de comprendre avant d'apprendre par coeur....

Je serais moins optimiste que vous sur votre dernier point : beaucoup de français, mal préparés sur le milieu de vie et professionnel, parce qu'ils pensent que leur système est forcément meilleur, échouent et mettent leur échec sur le dos du Québec....

Donc, finalement, je suis pour le choix. Il n'y a pas de mauvais choix. Il n'y a que des bons choix car les deux systèmes scolaires sont bons et ont leurs spéficités. Chacun voit midi à sa porte.

Voilà pour la pierre que j'apporte à l'édifice en matière d'éducation, un sujet qui me tient à coeur.

Je n'apporte sans doute rien. Mais c'est notre expérience et c'est que nous avons pu observer sur trois générations et sur les 2 bords de l'Atlantique.

  • Habitués
Posté(e)

Je ne voudrais pas intervenir mal à propos dans votre discussion, mais en fait vous n'opposez pas école française et école québécoise mais école publique et école privée.

Question : pourquoi un adolescent sur trois est dans une école secondaire privée à Montréal (c'est ce que je viens d'entendre à la télé) ?

Donc quand nos amis québécois nous ont dit en avril, pour le secondaire mettez vos enfants dans le système privé et non en public, on les a mis dans une école privée et française, parce que pour nous c'était plus simple comme choix, et puis c'était trop tard pour les inscrire dans une école privée et québécoise (inscription en septembre)

Notre choix est donc pragmatique et la course aux écoles privées des jeunes montréalais nous pousse à laisser nos enfants dans leur école actuelle, qui même si elle est française ne les empêchera pas de s'intégrer au pays.

A propos, pour en revenir au rythme : ils commencent à 8h15 et finissent vers 15H15 tous les jours sauf le samedi et là je suis comme Grizzli, je respire, car c'est quand même le plus important :lol:

Pour le champ de bataille dans l'entrée, c'est universel :dodotime:

  • Habitués
Posté(e)

Une petite précision pour les écoles privées à Montréal :

Les enfants sont admis dans une école privée dès lors qu'ils réussissent un examen (ou plutôt un concours) et tous les examens sont organisés en septembre et octobre 2007 pour la rentrée de septembre 2008. Ce qui est impossible lorsqu'on arrive de l'étranger.

Par contre, un enfant venant de France est admis sur dossier dans une école privée française, donc au niveau purement pratique c'est un choix beaucoup plus simple.

Le prix est sensiblement le même quelque soit l'école privée.

Evidemment, si vous mettez vos enfants dans le public, la question ne se pose pas, par contre c'est la question du niveau : quelle est la classe équivalente ?

Posté(e)

Je ne pourrais pas me prononcer pour Steph56 mais Le billet de Laurence et ma réponse concernaient les écoles de type Marie-de-France ou Stanislas qui sont gérées par la France, avec le programme de l'éducation nationale française. Je pense, en effet, que ces établissements sont parfaits pour les enfants d'expatriés qui, par définition, n'ont pas vocation à rester au Québec.

Je n'ai rien (et visiblement Laurence non plus) contre les écoles francophones privées. J'en ai fréquenté une durant 2 ans et je m'y suis bien plue ! Ces écoles sont québécoises.

Sinon, formons un front de lutte contre "le champ de bataille dans l'entrée" ! Créons une commission Scrogn-Nini-Grizzli ! :lol:

  • Habitués
Posté(e)
Sinon, formons un front de lutte contre "le champ de bataille dans l'entrée" ! Créons une commission Scrogn-Nini-Grizzli ! :lol:

MDR,

si j'y pense cette apres-midi, je prendrais 2 photos

15h30

et 16h...

LOL

immaginez le bordel:

  • 3 sac d'ecoles
  • 3 boites a lunch
  • 3 vestes
  • 3 paires de chaussures
  • et au choix une crosse de hockey ou un sac de sport
  • ah, pis maintenent qu'il commence a faire frette... les paires de gants et les bonnets :hypnotize:
  • encore 5 a 6 semaines et on aura les habits de neige en plus :maxpayne:
  • Habitués
Posté(e)

merci laurence de ces infos, je n'en suis pas encore là et je me demande comment je vais faire pour faire garder ma fille de 2 ans et 3 mois......a montréal

Posté(e)

Ouais, ben ne te plains pas, Grizzli ! Moi, j'ai un troupeau de "petits amis" en plus... :crazy:

  • Habitués
Posté(e)

est ce que les écoles françaises prennent les enfants dés la maternelle soit 3 ans?

  • Habitués
Posté(e)
est ce que les écoles françaises prennent les enfants dés la maternelle soit 3 ans?

c'est 5 ans ou garderie

  • Habitués
Posté(e)

et trouver une place en maternelle a montréal est quelque chose d'envisageable dans un délai raisonnable?

  • Habitués
Posté(e)
Je ne pourrais pas me prononcer pour Steph56 mais Le billet de Laurence et ma réponse concernaient les écoles de type Marie-de-France ou Stanislas qui sont gérées par la France, avec le programme de l'éducation nationale française. Je pense, en effet, que ces établissements sont parfaits pour les enfants d'expatriés qui, par définition, n'ont pas vocation à rester au Québec.

Je n'ai rien (et visiblement Laurence non plus) contre les écoles francophones privées. J'en ai fréquenté une durant 2 ans et je m'y suis bien plue ! Ces écoles sont québécoises.

Sinon, formons un front de lutte contre "le champ de bataille dans l'entrée" ! Créons une commission Scrogn-Nini-Grizzli ! :lol:

Je parlais justement de Stanislas où il y a 20% de fançais (dont des résidents permanents), 20% de franco-canadien, 40% de canadiens et 10% autres nationalités, donc pas que des expatriés français :simous:

Pour ceux qui ne sont pas encore à Montréal et qui veulent inscrire leurs enfants dans une école privée francophone et non française, il faut être sur place en septembre soit un an avant, donc il faut inscrire ses enfants un an dans une école publique, leur faire passer les concours en septembre octobre (ce qui veut dire préparation) pour qu'ils intègrent une école privée francophone québécoise, et si ils ont les concours, cela veut dire les changer d'école au bout d'un an.

Cela ne me paraît perso pas très réaliste.

Si bien sur, vous êtes là depuis plusieurs années, c'est plus facile. Mais si on arrive de l'étranger avec des enfants en début de secondaire, c'est un peu galère ! surtout qui'ici le secondaire commence à 12 ans et non à 11 ans. :innocent:

  • Habitués
Posté(e)
est ce que les écoles françaises prennent les enfants dés la maternelle soit 3 ans?

c'est 5 ans ou garderie

Non Stanislas et Marie de France ont chacune une maternelle qui commence à 3 ans (si l'enfant est né avant le 30 septembre) mais il y a peu de place donc pour l'année prochaine il vaut mieux les inscrire dès maintenant, il existe aussi sur Montréal des maternelles privées mais je ne les connais pas. (se renseigner auprès des expatriés :innocent: )

Garderie ici veut dire assistante maternelle ! et les écoles québécoise prennent effectivement les enfants à partir de 5 ans.

  • Habitués
Posté(e)

ha nini merci............je trouvais ça étonnant mais je suis bien content d'apprendre cette nouvelle, merci.......la mienne aura trois ans en juillet et donc ça devrait le faire pour septembre

  • Habitués
Posté(e)
ha nini merci............je trouvais ça étonnant mais je suis bien content d'apprendre cette nouvelle, merci.......la mienne aura trois ans en juillet et donc ça devrait le faire pour septembre

Alors fait cherche une école et fait l'inscription dès maintenant, les info par internet et par téléphone c'est facile à avoir, la poste marche bien aussi et tous les montréalais font les inscriptions en ce moment, donc les classes se remplissent pour septembre 2008

:rolleyes::rolleyes:

  • Habitués
Posté(e)

ils peuvent pas m'attendre lol

  • Habitués
Posté(e)

Je peux me tromper mais à Stanislas et au CIMF, l'école maternelle ne commence qu'à 4 ans.

  • Habitués
Posté(e)

Je profite de ce post pour poser ma question...les ecoles bilingues sont donc obligatoirement privées?

Outre le fait de parler anglais et francais à la maison, vers quel type d'ecole faut il se diriger pour que les enfants puissent parler anglais facilement? Plutôt les écoles francaises ou québécoises?

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