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Tranches de vie 1 : les jobines


Laurent

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Angéla,

J'ai adoré ta chronique !! Elle ne m'a absolument pas paru longue du tout, c'était comme un petit roman !

Je te félicite pour ta ténacité, ton courage et ton attitude.

Je pense que tu es une femme formidable !!

Bravo encore :rolleyes:

Moi j'ai trouve ca trop court, on en veut encore :D

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oh boy! :mellow:

On en apprend de plus en plus sur notre chère Angela...et je suis de plus en plus impressionnée! :blushing: C'est ce qu'on appelle une battante non? ;)

peanut qui est née avec une cuillère en argent dans la bouche en comparaison... :huh:

P.S.: Comme dirait l'autre...RESPECT! :wub:

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oh boy! :mellow:

On en apprend de plus en plus sur notre chère Angela...et je suis de plus en plus impressionnée! :blushing: C'est ce qu'on appelle une battante non? ;)

peanut qui est née avec une cuillère en argent dans la bouche en comparaison... :huh:

P.S.: Comme dirait l'autre...RESPECT! :wub:

Voilà ce que j'appelle une femme battante lol. Angela n'as tu pas une sur jumelle pour moi?

C vrai que débarquer à Québec sans expérience Canadienne, ni diplôme reconnu ne peut que pousser vers les jobines.. Mais bon, au final c de réussir non?

Qui dit mieux?

Cam

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  • Habitués

Magnifique chronique, quoi dire de plus... ça me rappelle le boulot de femme de ménage que j'ai eu pendant 2 ans suite à mes études universitaire... c'est vrai qu'on prend des leçons d.'humilité, mais que de belles amitiés j'ai pu créer dans ce petit motel près du boulevard...

Merci Angela, tu es une vraie écrivaine, un pure plaisir de te lire.

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  • Habitués

Trés belle Chronique encore une fois et le sujet est trés bien choisit car les jobines et bien c'est un passage pour beaucoup............mais tout ce qui ne nous tue pas nous rends plus fort ...avec ses jobines , on apprécie encore plus la valeur d'un travail.

Ne change rien Angela , on adore tes longueeeeeeeees chroniques

a+

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  • Habitués

Salut Angela,

C'est drôle car je lisais ta chronique et je m'identifiais beaucoup. Je me disais que finalement, on passe tous par là, même les gens nés ici. En tout cas, moi je suis passée par là. Moi aussi j'ai fait des jobines pénibles, moi aussi j'ai été femme de chambre dans un motel (mais pas un motel de passe! :P) et j'avais des courbatures (j'ai fait ça pendant plusieurs années quand j'étais étudiante donc je compatis), moi aussi j'ai travaillé dans des usines minables (dont une de pâtes italiennes que j'ai larguée le soir même tant c'était pour moi une vision de l'enfer), moi aussi j'ai travaillé chez Kraft (t'as raison, c'est quand même la classe en comparaison). Et même après avoir terminé mon université, j'ai été femme de ménage au Complexe Desjardins, en me faisant regardée de haut par les cols blancs à leur bureau, en rageant intérieurement, et en ayant rien à dire à mes collègues. J'ai aussi fait de l'entrée de données à m'en arracher les yeux. Ça m'a pris un an et demi après avoir eu mon diplôme pour décrocher mon premier job dans mon domaine, un job de nuit qui a presque ruiné ma santé, surtout que j'ai conservé mon autre job de jour pendant plusieurs mois en plus, car je n'avais aucune garantie d'heures et que j'avais peur de me retrouver le bec à l'eau.

La grosse différence entre toi et moi en fait, en dehors bien sûr de ton statut d'immigrante, c'est que tu as fait ça alors que tu étais une adulte, que tu étais mariée avec deux enfants, et que tu avais laissé derrière une vie et une reconnaissance de tes compétences. Si moi j'ai trouvé mon parcours assez pénible et que je savoure aujourd'hui ma victoire de n'être plus sur le mode « jobine », j'ose même pas imaginer comment je me serais sentie à ta place, surtout au niveau de l'orgueil. Or l'instinct de survie est plus fort que tout et tu as raison dans ta conclusion:

« Ça sert à quoi, une jobine ? À apprivoiser le marché du travail d’ici. À ne pas trop s’endetter. À éviter l’aide sociale. Et enfin ? À en être suffisamment dégoûté pour se chercher un vrai emploi … »

Ça, tu l'as dit! Mes félicitations, you're a winner! ;)

Modifié par cherry
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  • Habitués

Merci Angela. Très beau récit , on se déniaise quand même!!! Et j'en redemande.... Quel courage ! Quelle persévérance!! Chapeau bas... et surtout ne change pas trop, t'es magnifique.

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À mon tour de te féliciter Angela pour ce récit si précis et si bien tourné pour ne laisser apparaitre que des messages positifs malgrès ton amertume. Bref, je trouve ton parcours tellement formateur et ce, pour tout le monde: immigrants ou pure laine.

Il y a un parcours qui m'a le plus interpelé car ma femme a vécu (et sa saga continue d'ailleurs!) quelque chose de semblable à ce que tu décrits sur la misère humaine quand il s'agit d'empathie notamment dans une même famille et de surplus quand la maladie et l'âge s'y mêle... lors de ton expérience en tant que préposé aux bénéficiaires..

Encore bravo et bon vent Angela.

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  • Habitués

MERCI, MERCI À VOUS TOUS ...

MOI: Tu peux compter sur moi. Un vrai moulin à paroles ...

PEANUT et CAM: une battante? survivante serait peut-être plus approprié. Ce que j'ai vécu là n'est peut-être rien en comparaison d'autres choses ...

ARCELOR: Ah! Le travail à l'usine ... Je l'ai vécu. Par exemple chez Kraft. Être planté toute la journée devant une chaîne de production pour pallier aux carences du robot. Celui qui met les bouchons aux mayonnaises à l'envers et pschiiiiiiiiiit! Une belle douche à la mayonnaise ... Ou le convoi de fromages bloqué à l'autre bout puis bang! Me voila enseveli sus des paquets de Velveeta et de P'tit Québec ... qu'il faudra revérifier un à un et éventuellement démolir... Cherry se reconnaîtra là-dedans je crois.

Quant à mon africain pure laine de mari, je vous raconte ça une autre fois ... Il est encore en dedans, tsé.

CHERRY et HANI JO: merci de votre témoignage. Vous confirmez ce que je dis: les jobines, c'est un passage obligé pour tous. La seule différence, c'est que nous commençons sur le tard, c'est tout. La conception nord-américaine du travail, c'est vraiment quelque chose. On initie les jeunes au travail assez tôt. Ça commence par la distribution des journaux. Puis la garde d'enfants. Puis les MacDo. et ainsi de suite. À 21 ans, on a enfin un diplôme et une solide expérience du milieu du travail. Alors que moi, j'ai approché pour la toute première fois le marché du travail à 20 ans ... Ce qui est déplorable, c'est que certains jeunes pennent trop tôt le goût de l'argent et laissent tomber l'école.

GLYCINE, MISSION.QC, SOPHIE, AUREL, TITI : Merci, c'est très gentil à vous.

AIT-OUAHI: J'aimerais que ta femme nous fasse partager son expérience. Car moi, je raconte ça comme une jobine, une parenthèse dans ma carrière. Est-ce que pour elle, il s'agit d'une jobine ou d'une carrière?

Modifié par Angela
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ARCELOR: Ah! Le travail à l'usine ... Je l'ai vécu. Par exemple chez Kraft. Être planté toute la journée devant une chaîne de production pour pallier aux carences du robot. Celui qui met les bouchons aux mayonnaises à l'envers et pschiiiiiiiiiit! Une belle douche à la mayonnaise ... Ou le convoi de fromages bloqué à l'autre bout puis bang! Me voila enseveli sus des paquets de Velveeta et de P'tit Québec ... qu'il faudra revérifier un à un et éventuellement démolir... Cherry se reconnaîtra là-dedans je crois.

Quant à mon africain pure laine de mari, je vous raconte ça une autre fois ... Il est encore en dedans, tsé.

CHERRY et HANI JO: merci de votre témoignage. Vous confirmez ce que je dis: les jobines, c'est un passage obligé pour tous. La seule différence, c'est que nous commençons sur le tard, c'est tout. La conception nord-américaine du travail, c'est vraiment quelque chose. On initie les jeunes au travail assez tôt. Ça commence par la distribution des journaux. Puis la garde d'enfants. Puis les MacDo. et ainsi de suite. À 21 ans, on a enfin un diplôme et une solide expérience du milieu du travail. Alors que moi, j'ai approché pour la toute première fois le marché du travail à 20 ans ... Ce qui est déplorable, c'est que certains jeunes pennent trop tôt le goût de l'argent et laissent tomber l'école.

Ha ha ha! J'imagine bien la scène avec la machinerie qui plante! Moi est aussi j'ai connu ça, mais j'étais dans la section chocolat Bakers: sacs qui se font bouffés, pépites de chocolat qui revolent partout, et méga container en forme de cheminée qui débordent de chocolat fondu et que je devais nettoyer à la pelle. Moi qui adore le chocolat, j'étais servie! :P

Et c'est vrai qu'ici, les jeunes commencent tôt à travailler, c'est même valorisé. Et entre ça et l'argent de poche ridicule donné par les parents, le choix est vite fait, surtout quand on aime les fringues ou les bidules électroniques... Pour moi par contre, c'était clair que j'allais me rendre jusqu'à l'université, il n'y a jamais eu de doute dans mon esprit. C'est très probablement lié à mon milieu familial, mes parents étant deux universitaires. Je crois que ça joue beaucoup sur la perception que le jeune a de son avenir. Tu peux dormir tranquille. ;)

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AIT-OUAHI: J'aimerais que ta femme nous fasse partager son expérience. Car moi, je raconte ça comme une jobine, une parenthèse dans ma carrière. Est-ce que pour elle, il s'agit d'une jobine ou d'une carrière?

Dans son cas, après s'être découragée de rechercher un poste d'universitaitire pour continuer dans son domaine, elle s'est dite, tant qu'à recommencer à zéro, autant le faire dans un domaine qui lui a toujours plu (mieux vaut tard que jamais) et qui est celui de la santé. Il s'agit donc bien d'une future carrière d'infirmière qui commence à tourner au cauchemard...

Je vais lui proposer d'en parler car, en plus, elle a eu connaissance qu'il y a d'autres personnes qui ont vécu plus ou moins les mêmes difficultés, et donc son expérience pourrait certainement aider d'autres personnes à éviter certaines situations ou réorienter leurs choix ailleurs.

Et si tu permets, peux tu nous parler de ton mari africain pure laine, que devient il ? A t il eu le parcours un peu plus facile que toi?

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Tu nous a offert là une belle leçon de courage. J'ai également 2 enfants et j'aimerai un jour avoir la force et le courage dont tu as fais preuve durant ces années. Tu es un bel exemple pour nous autres et il vrai que c'est toujours un plaisir que de te lire. Bonne suite..

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  • Habitués
Oups, je retire ma question sur ton mari car je viens de lire ta réponse à une autre personne et je respecte.

Ne t'en fais pas, je ferais une chronique sur ses propres tribulations. La prochaine peut-être, mais je ne sais pas encore ...

Désolée pour ton épouse. Tu sais, à un certain moment j'ai voulu me réorienter dans la carrière d'infirmière. À quelque chose malheur est bon: mon bref passage comme préposée m'a définitivement convaincue que j'étais dans le champ ... Et j'aimerais beaucoup que ta femme nous fasse son témoignage. Et non pas par simple curiosité.

Tu vois, beaucoup d'immigrantes embrassent les métiers de la santé, parce qu'avec le vieillissement de la population, ce sont des métiers d'avenir. On peut être sûr de ne jamais chômer, dans ces métiers-là. Or, dans ces domaines-là, il faut penser d'abord à ce que l'on peut donner et non à ce que l'on peut recevoir. Trop compliqué quand on n'a pas le coeur à ça. En plus, ce sont des métiers qui affectent beaucoup nos proches. Ma mère est infirmière, j'en sais quelque chose. Je pense donc que le témoignage de ta femme permettrait à certaines de réfléchir davantage avant de se lancer ...

Kaélan: merci beaucoup.

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Oups, je retire ma question sur ton mari car je viens de lire ta réponse à une autre personne et je respecte.

Ne t'en fais pas, je ferais une chronique sur ses propres tribulations. La prochaine peut-être, mais je ne sais pas encore ...

Désolée pour ton épouse. Tu sais, à un certain moment j'ai voulu me réorienter dans la carrière d'infirmière. À quelque chose malheur est bon: mon bref passage comme préposée m'a définitivement convaincue que j'étais dans le champ ... Et j'aimerais beaucoup que ta femme nous fasse son témoignage. Et non pas par simple curiosité.

Tu vois, beaucoup d'immigrantes embrassent les métiers de la santé, parce qu'avec le vieillissement de la population, ce sont des métiers d'avenir. On peut être sûr de ne jamais chômer, dans ces métiers-là. Or, dans ces domaines-là, il faut penser d'abord à ce que l'on peut donner et non à ce que l'on peut recevoir. Trop compliqué quand on n'a pas le coeur à ça. En plus, ce sont des métiers qui affectent beaucoup nos proches. Ma mère est infirmière, j'en sais quelque chose. Je pense donc que le témoignage de ta femme permettrait à certaines de réfléchir davantage avant de se lancer ...

Kaélan: merci beaucoup.

Merci à toi pour ces mots de soutien, cela me touche vraiment.

Elle est d'accord pour faire un petit résumé même si c'est très difficile car la situation dure depuis maintenant plus de deux ans. Mais comme elle est du genre battant (exactement comme toi d'ailleurs), et surtout elle y croit, et est convaincue qu'elle est non seulement capable de recevoir mais surout de donner, alors elle s'accroche et toute la famille et les amis la soutiennent.

Vois tu, elle avait un autre job assez interessant et pas mal bien rémunéré mais elle a choisi de laisser tomber pour celui là, comme elle dit: "après avoir installé tout mon petit monde (logement -proprio, école pour les enfants(nbre:4), mari: boulot stable..), il est temps de penser à moi et de faire quelque chose que j'aime vraiment..." et c'est pour cela qu'elle continue en espérant que les choses finissent par s'améliorer car elle est aussi optimiste.

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  • Habitués
Merci à toi pour ces mots de soutien, cela me touche vraiment.

Elle est d'accord pour faire un petit résumé même si c'est très difficile car la situation dure depuis maintenant plus de deux ans. Mais comme elle est du genre battant (exactement comme toi d'ailleurs), et surtout elle y croit, et est convaincue qu'elle est non seulement capable de recevoir mais surout de donner, alors elle s'accroche et toute la famille et les amis la soutiennent.

Vois tu, elle avait un autre job assez interessant et pas mal bien rémunéré mais elle a choisi de laisser tomber pour celui là, comme elle dit: "après avoir installé tout mon petit monde (logement -proprio, école pour les enfants(nbre:4), mari: boulot stable..), il est temps de penser à moi et de faire quelque chose que j'aime vraiment..." et c'est pour cela qu'elle continue en espérant que les choses finissent par s'améliorer car elle est aussi optimiste.

Super! Si ta femme aime ça, 50% des obstacles sont déjà écartés. Si en plus elle a le soutien des siens ...

Laisse-moi deviner: ce sont des collègues qui lui causent des misères, n'est-ce pas? Pas les bénéficiaires. Dans ma courte pratique, jamais, jamais, au grand jamais je n'ai eu un problème avec les patients. Mais les collègues, oooh! boy! J'en aurais des tonnes de bouquin à écrire là-dessus. Même que je me demandais: si ces bonnes femmes (métier féminin à plus de 90%) me font autant d'entourloupes alors que je suis bien portante et capable de me défendre, combien de misères font-elles endurer aux patients?

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  • Habitués

y'a quand même un truc qui me chagrine sur ce post,c'est de se dire à quel point il faut renier sur son orgueil pour faire ces jobines...

ok ce n'est pas le genre de chose qui motive la levée le matin mais je suis d'accord avec "il n'y a pas de sous métier"...

en tout cas merci pour la chronique qui ne m'a pas paru longue car intéressante et facile à lire :rolleyes:

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Merci à toi pour ces mots de soutien, cela me touche vraiment.

Elle est d'accord pour faire un petit résumé même si c'est très difficile car la situation dure depuis maintenant plus de deux ans. Mais comme elle est du genre battant (exactement comme toi d'ailleurs), et surtout elle y croit, et est convaincue qu'elle est non seulement capable de recevoir mais surout de donner, alors elle s'accroche et toute la famille et les amis la soutiennent.

Vois tu, elle avait un autre job assez interessant et pas mal bien rémunéré mais elle a choisi de laisser tomber pour celui là, comme elle dit: "après avoir installé tout mon petit monde (logement -proprio, école pour les enfants(nbre:4), mari: boulot stable..), il est temps de penser à moi et de faire quelque chose que j'aime vraiment..." et c'est pour cela qu'elle continue en espérant que les choses finissent par s'améliorer car elle est aussi optimiste.

Super! Si ta femme aime ça, 50% des obstacles sont déjà écartés. Si en plus elle a le soutien des siens ...

Laisse-moi deviner: ce sont des collègues qui lui causent des misères, n'est-ce pas? Pas les bénéficiaires. Dans ma courte pratique, jamais, jamais, au grand jamais je n'ai eu un problème avec les patients. Mais les collègues, oooh! boy! J'en aurais des tonnes de bouquin à écrire là-dessus. Même que je me demandais: si ces bonnes femmes (métier féminin à plus de 90%) me font autant d'entourloupes alors que je suis bien portante et capable de me défendre, combien de misères font-elles endurer aux patients?

Tu as bien deviné car c'est en plein ça.

Et comme tu as dit, c'est un milieu de concentré de femmes et malheureusement il ya aussi le fait qu'elle avait un niveau disant qui peut des fois déranger certaines collègues, et provoquer des jalousies...etc.

Mais je lui laisse le soin de faire son récit et comme tu dis, elle aussi, il lui faudra résumer car elle en a vu beaucoup beaucoup et de toutes les couleurs.

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  • Habitués

Angela, c'est une chronique qui nous donne assurément le goût de lire la suite. Tu sais rendre une situation glauque presque comique (enfin, avec le recul on peut se permettre de dire ça). Je suis toujours aussi convaincue que tu as ta place ici, et que tu connaîtras ton ascension...

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  • Habitués
Angela, c'est une chronique qui nous donne assurément le goût de lire la suite. Tu sais rendre une situation glauque presque comique (enfin, avec le recul on peut se permettre de dire ça). Je suis toujours aussi convaincue que tu as ta place ici, et que tu connaîtras ton ascension...

En effet, j'ai eu l'impression de lire un roman qui m'a accroché! Je serais très curieux d'entendre parler de ces difficultés de s'adapter à la vie en appartement que ton marie à eu! Et j'ai hâte de lire sur ton arrivée à Québec.

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