Hiémal Posté(e) 14 mars 2007 Posté(e) 14 mars 2007 Citation Voila ce que j'ai entendu avant hier à mon travail , entre un SUISSE et un QUEBECOIS !Ce dernier ne semblait pas porter dans son coeur les Français , et en conclusion il a laché cette petite phrase en vous evitant les stéréotypes sur les Français (seule la langue nous est commune , point.) : De toutes les manières , Nous sommes attirés par les USA , et notre mentalité se sent plus proche d'eux que de tous les autres !J'ai réfléchie quelques instants , car ce n'est pas la première fois que j'entends des amabilités sur les Français , mais j'ai trouvé surprenant cette idée d'attirance vers le voisin du sud , je n'ai pas trouvé de réponses , en avez vous une ?Sans vouloir ironiser d'une quelconque manière, je serais curieux de connaître quel peuple se sent en général proche de la mentalité et de la culture françaises Au Québec, pour des raisons à la fois historiques, culturelles et économiques, les relations entre Français et Québécois sont très ambivalentes, mélange d'amour et de haine, d'admiration et de méfiance, conséquence d'un ressenti paradoxal, celui d'appartenance à la (feue) mère-patrie et de celui d'avoir été colonisé et abandonné par cette même mère-patrie.Je n'aime pas faire de généralités sur les questions nationales, mais il est vrai qu'on peut observer au Québec deux grandes tendances sociologiques (parmi d'autres) sur les questions identitaires : l'américanophilie et la francophilie (qui ne sont d'ailleurs pas forcément incompatibles, comme cela a été dit plus haut), de même que leurs pendants négatifs extrêmes (américanophobie et francophobie, qui ne sont malheureusement pas incompatibles non plus ).L'appartenance à l'une ou l'autre de ces deux tendances dépend d'un certain nombre de facteurs, dont l'âge et la condition socio-économique. Généralement, les personnes issues d'anciennes générations et travaillant dans des domaines intimement liés à la langue française (éducation, journalisme francophone, artistes, etc.) sont plus portées à être francophiles. A noter que beaucoup de ces personnes sont des femmes, souvent d'obédience souverainiste.A contrario, les personnes (surtout issues de la jeune génération) travaillant dans des domaines où la langue française est peu valorisée au profit de l'anglais (droit international, monde des affaires, nouvelles technologies, etc.) sont souvent plus portées à être anglophiles/américanophiles. Dans ce cas-ci, beaucoup sont des hommes, souvent d'obédience fédéraliste. Ce sont bien sûr des tendances très générales, chaque personne étant unique et ayant développé son propre background.Pour conclure, je rajouterais que la situation géographique du Québec et ses quelques 200 années de colonisation britannique font que bien des Québécois, même parmi les plus francophiles, se considèrent d'abord et avant tout comme des (Nord-)américains. Citer
Habitués fletch Posté(e) 14 mars 2007 Habitués Posté(e) 14 mars 2007 Je suis malheureusementdu même avis..Exact, toujours la même rengaine, toujours des problèmes dûs aux nationalités, aux religions, etc...Ca devient très très pesant à force... Citer
Habitués JayJay Posté(e) 14 mars 2007 Habitués Posté(e) 14 mars 2007 (modifié) Eh bien quant à moi je remercie les Italiens de Montréal, car ce sont eux les premiers qui nous ont ouvert à un monde culinaire différent (vous l'aurez deviné, manger fait partie de mes trois activités préférées). Au Québec dans les années soixante, on mangeait des patates, des carottes pis du navet. Ce sont les Italiens, nouveaux arrivants, qui nous ont commencé à réclamer certains produits (notamment légumes : brocolis, artichauts) qu'ils avaient l'habitude de consommer. Je suis née dans une petite ville du Nord, où il n'y avait pas un immigrant... sauf quelques Italiens, dont un qui avait une boucherie où il vendait des viandes et des charcuteries magnifiques. Ma mère a connu une patiente qui lui a refilé une authentique recette de lasagne, vous n'en avez jamais goûté d'aussi bonne, et encore aujourd'hui nous l'appelons "la lasagne de Mme Maggioni" et elle n'a rien à voir avec nos lasagnes plates!!!! Ce sont grâce à eux qu'on mange des tomates séchées, des aubergines marinées, du rappini, des pâtes fraîches, des bonnes charcuteries (pas du baloney!), du vrai café... Une incursion à l'épicerie Milano sur St-Laurent, c'est un pélerinage, et je ne manque jamais d'aller me chercher un sandwich et un Gelato au Caffé Italia d'à côté. La gastronomie réunit les peuples et là-dessus, je trouve que les Québécois doivent remercier les Italiens du Québec!!! Modifié 14 mars 2007 par JayJay Citer
Habitués Zeus Posté(e) 14 mars 2007 Habitués Posté(e) 14 mars 2007 JayJay a dit : Eh bien quant à moi je remercie les Italiens de Montréal, car ce sont eux les premiers qui nous ont ouvert à un monde culinaire différent (vous l'aurez deviné, manger fait partie de mes trois activités préférées). Au Québec dans les années soixante, on mangeait des patates, des carottes pis du navet. Ce sont les Italiens, nouveaux arrivants, qui nous ont commencé à réclamer certains produits (notamment légumes : brocolis, artichauts) qu'ils avaient l'habitude de consommer. Je suis née dans une petite ville du Nord, où il n'y avait pas un immigrant... sauf quelques Italiens, dont un qui avait une boucherie où il vendait des viandes et des charcuteries magnifiques. Ma mère a connu une patiente qui lui a refilé une authentique recette de lasagne, vous n'en avez jamais goûté d'aussi bonne, et encore aujourd'hui nous l'appelons "la lasagne de Mme Maggioni" et elle n'a rien à voir avec nos lasagnes plates!!!! Ce sont grâce à eux qu'on mange des tomates séchées, des aubergines marinées, du rappini, des pâtes fraîches, des bonnes charcuteries (pas du baloney!), du vrai café... Une incursion à l'épicerie Milano sur St-Laurent, c'est un pélerinage, et je ne manque jamais d'aller me chercher un sandwich et un Gelato au Caffé Italia d'à côté. La gastronomie réunit les peuples et là-dessus, je trouve que les Québécois doivent remercier les Italiens du Québec!!!Bien sur qu'ils y en a des bons d'Italiens et des mauvais aussi suis fils d immigré italien en France de pere et de mere mais j aime pas beaucoup la mentalité ....je prefere venir au quebec que d aller passer une semaine en Italie et j habite le sud de la France, mais l Italie ouffffffff que des mauvais souvenirs de vacances et pas une fois plusieurs fois .cela dit lItalie est un pays magnifique a visiter mais avec des gardes du corps hihiihihhiivive le Quebeczeus Citer
Habitués Zetto Posté(e) 14 mars 2007 Habitués Posté(e) 14 mars 2007 JayJay a dit : ... Une incursion à l'épicerie Milano sur St-Laurent, c'est un pélerinage, et je ne manque jamais d'aller me chercher un sandwich et un Gelato au Caffé Italia d'à côté.et n'oublie pas les canollis de chez Roma juste à côté Citer
Habitués Zetto Posté(e) 14 mars 2007 Habitués Posté(e) 14 mars 2007 Zeus a dit : cela dit lItalie est un pays magnifique a visiter mais avec des gardes du corps hihiihihhiivive le Quebeczeusje ne sais pas où exactement vous avez été en Italie mais c'est un pays que j'ai souvent visité du nord au sud et j'y ai même fait un stage... l'image de la criminalité et des gardes du corps je ne l'ai vue que dans les films étranger sur l'Italie, particulièrement les productions américaines Citer
Habitués Zeus Posté(e) 14 mars 2007 Habitués Posté(e) 14 mars 2007 Zetto a dit : Zeus a dit : cela dit lItalie est un pays magnifique a visiter mais avec des gardes du corps hihiihihhiivive le Quebeczeusje ne sais pas où exactement vous avez été en Italie mais c'est un pays que j'ai souvent visité du nord au sud et j'y ai même fait un stage... l'image de la criminalité et des gardes du corps je ne l'ai vue que dans les films étranger sur l'Italie, particulièrement les productions américaines Suis allé du nord au sud de l'Italie de Turin en passant par Milan en descandant la Toscane Pise Florence , Rome , Palerme pour ne citer que les grandes villes et j ai encore de la famille làbas mais je n'irais jamais plus en Italie ... vive le Quebec.... j'ai 13 tampons sur mon passeport du Canada et jamais eu un probême Zeus Citer
Habitués jimmy Posté(e) 14 mars 2007 Habitués Posté(e) 14 mars 2007 JayJAy : Citation (vous l'aurez deviné, manger fait partie de mes trois activités préférées).Oui bon il fallait bien que quelqu'un le demande : pis les deux autres sont...dans l'ordre ? jimmy Citer
Habitués peanut Posté(e) 14 mars 2007 Habitués Posté(e) 14 mars 2007 je dirais magasiner et...faire l'amour? peanut qui s'essaie! :blushing: Citer
Habitués JayJay Posté(e) 15 mars 2007 Habitués Posté(e) 15 mars 2007 Pfff, ben non, c't'affaire! M'occuper de mes deux enfants!!!...Surtout quand ils me laissent regarder Grey's Anatomy à l'heure. Citer
Habitués Labrador Posté(e) 15 mars 2007 Habitués Posté(e) 15 mars 2007 peanut a dit : je dirais magasiner et...faire l'amour? peanut qui s'essaie! :blushing: u sang Italien peanut ??? ou des dons de mediums ???l'Italie est un pays magnifique avec sa gastronomie plus connue que la Française....Seul dilème , le Nord et le Sud sont trés trés trés différent . Citer
Habitués geez Posté(e) 15 mars 2007 Habitués Posté(e) 15 mars 2007 (modifié) Zetto a dit : l'image de la criminalité et des gardes du corps je ne l'ai vue que dans les films étranger sur l'Italie, particulièrement les productions américaines C'est sûr que les films plein de clichés sont loin d'être aidants : en France, on passe tous devant la Tour Eiffel tous les jours, en conduisant une DS ou en marchant, avec un bérêt vissé sur la tête et une baguette de pain sous le bras et avec Edith Piaf en musique de fond ! Le tout en râlant, bien sûr... :elendil: Modifié 15 mars 2007 par geez Citer
Habitués MIMOSA06 Posté(e) 15 mars 2007 Habitués Posté(e) 15 mars 2007 JayJay a dit : Au Québec dans les années soixante, on mangeait des patates, des carottes pis du navet. Ce sont les Italiens, nouveaux arrivants, qui nous ont commencé à réclamer certains produits (notamment légumes : brocolis, artichauts) qu'ils avaient l'habitude de consommer. Je suis née dans une petite ville du Nord, où il n'y avait pas un immigrant... Ce sont grâce à eux qu'on mange des tomates séchées, des aubergines marinées, du rappini, des pâtes fraîches, des bonnes charcuteries (pas du baloney!), du vrai café... La gastronomie réunit les peuples et là-dessus, je trouve que les Québécois doivent remercier les Italiens du Québec!!!Mon dieu que la vie devait être triste avant , ............. :bad: grazié mille Citer
Habitués mimile Posté(e) 15 mars 2007 Habitués Posté(e) 15 mars 2007 Nemesis a dit : Gagnon a dit : Normal car nous SOMMES des Américains ! À moins que tu parlais des ÉtatsUniens .... dans ce cas je préfère largement les Français.En France, Américains pour nous = ÉtatsUniens pour vous, et Nord-Américains pour nous = Américains pour vous. Dénominations différentes d'un côté ou de l'autre de l'Altantique (un peu compliqué parfois).Ouaaais...Chacun a le droit d;utiliser le vocabulaire qu'il veut après tout. Moi, ce que je constate, c'est que seuls les Québécois (parmis les autres canadiens) utilisent le mot 'américains' pour parler d'eux et d'Etats-Uniens pour parles des habitants des USA. Les canadiens anglophons se disent canadiens. Point à la ligne. Par contre si vous dites à des américains des USA, que les canadiens sont aussi américains, ils vont vous rigoler au nez. Et pour longtemps, croyez-moi ! Citer
Habitués BREIZH Posté(e) 15 mars 2007 Habitués Posté(e) 15 mars 2007 Sittingbull a dit : Voila ce que j'ai entendu avant hier à mon travail , entre un SUISSE et un QUEBECOIS !Ce dernier ne semblait pas porter dans son coeur les Français , et en conclusion il a laché cette petite phrase en vous evitant les stéréotypes sur les Français (seule la langue nous est commune , point.) : De toutes les manières , Nous sommes attirés par les USA , et notre mentalité se sent plus proche d'eux que de tous les autres !J'ai réfléchie quelques instants , car ce n'est pas la première fois que j'entends des amabilités sur les Français , mais j'ai trouvé surprenant cette idée d'attirance vers le voisin du sud , je n'ai pas trouvé de réponses , en avez vous une ?question:c'est quoi un français?un provincial venant d'une région fortement marqué par sa culture locale?un parisien?un français d'origine africaine ou magrhébine? Citer
Habitués JayJay Posté(e) 15 mars 2007 Habitués Posté(e) 15 mars 2007 mimile a dit : Nemesis a dit : Gagnon a dit : Normal car nous SOMMES des Américains ! À moins que tu parlais des ÉtatsUniens .... dans ce cas je préfère largement les Français.En France, Américains pour nous = ÉtatsUniens pour vous, et Nord-Américains pour nous = Américains pour vous. Dénominations différentes d'un côté ou de l'autre de l'Altantique (un peu compliqué parfois).Ouaaais...Chacun a le droit d;utiliser le vocabulaire qu'il veut après tout. Moi, ce que je constate, c'est que seuls les Québécois (parmis les autres canadiens) utilisent le mot 'américains' pour parler d'eux et d'Etats-Uniens pour parles des habitants des USA. Les canadiens anglophons se disent canadiens. Point à la ligne. Par contre si vous dites à des américains des USA, que les canadiens sont aussi américains, ils vont vous rigoler au nez. Et pour longtemps, croyez-moi ! L'ignorance flagrante des Américains à l'égard du Canada fait pourtant beaucoup rire au Canada anglais. J'assistais à une conférence récemment où l'on trouvait des militaires des deux pays; on y a vu une diapositive de l'Amérique du Nord, dessinée par l'armée américaine, et un major canadien-anglais s'est écrié "Mais c'est incroyable, ils ont finalement colorié le Canada d'une couleur différente". C'est une blague, bien sûr, qui reprend le thème du "51st State" (j'ai rencontré des Américains certes pas très instruits qui étaient convaincus que le Canada faisait partie des U.S.). Sujet de prédilection de Rick Mercer ("This Hour has 22 Minutes") comme en témoigne cet article paru le 15 juillet 2001 dans le San Francisco Chronicles, page A-12, qui relate un sketch hilarant fait par Mercer: Citation Our ignorance of Canada is a real giggle up northTV program exploits America's lack of knowledgeToronto -- For a Canadian, sometimes the hardest thing about talking to Americans is keeping a straight face. But Rick Mercer keeps trying, trying not to grin or giggle as he travels the states asking those astute Americans very simple questions about their neighbor up north -- and bumping into mountains of ignorance. "Excuse me, ma'am," Mercer says, holding out a microphone in San Francisco, "do you have a minute for Canadian television?" "You have a TV station in Canada?" the woman asks politely, and seriously. Fact: Canada has four major television networks and dozens of stations in a country of more than 31 million people. Mercer asks an unsuspecting Ivy League student in Boston: "Do you think Canada should join North America? It's a big story up north. Care to comment?" The student, who says he's studying politics, looks deeply into the camera and answers, seriously, that he isn't quite sure. Fact: Canada is a part -- a very large part -- of the North American continent. Another American, another question: "Should Canada outlaw the slaughter of polar bears in Toronto?" Answer: Definitely! Fact: There are no polar bears in this bustling, urban city on a lake. Polar bears, which are killed by hunters from the south and by aboriginal peoples, roam the Arctic, around 1,500 miles north of Toronto. O Canada! How little we know thee. The United States' biggest trading partner, the only country with which we share a long, unguarded border. Yet somehow that large land mass to the north was always cut off the maps that hung in elementary classrooms, illustrating how much Americans think about this nation. Mercer's "Talking to Americans" proves the point. One of Canada's most popular satires, "Talking to Americans" is broadcast weekly as part of the Canadian Broadcasting Corp.'s news show "This Hour Has 22 Minutes." A recent compilation of "Talking to Americans," which aired April Fool's Day, received the highest ratings in CBC history for a comedy special, drawing 2.7 million viewers in Canada. "It had 'Survivor'-like ratings," says Mercer, 31, who has worked as an actor, writer, commentator and comedian in Canada. Mercer says the segment is popular because it's as much about the Canadian search for a national identity as it is about American ignorance of Canada. "Canadians spend a huge portion of their social life trying to define what it means to be Canadian," he said in an interview. "Americans never spend any time trying to define what it means to be American. Canadians have an identity crisis. We look like Americans. We sound like Americans. We know everything about Americans. They know nothing about us. . . . We find that funny." The Americans whom Mercer finds are all too happy to congratulate Canada on what he tells them are its latest "achievements." "Congratulations, Canada, on legalizing insulin!" says a woman in New York City. "Congratulations, Canada, for getting a McDonald's!" shouts a man in a baseball cap. "Congratulations, Canada, on 800 miles of paved road!" says a man on the streets of New York. On a crowded Manhattan street corner, Mercer asked, "Do you think America should be bombing Bouchard?" "Absolutely!" a man emphatically responds. Never mind that Bouchard is not a place but a man, the former separatist leader of Quebec. At Harvard University, Mercer asked students whether Canada should resume the seal slaughter in Saskatchewan. Student after student lined up liberally to voice protest of a slaughter, not one seemingly aware that Saskatchewan is a landlocked province with no seals. Often, Mercer says, a Canadian is defined by what he or she is not -- not American, not British, not rude like so many Americans. Some Canadians say they suffer from a national inferiority complex, living in the shadow of the United States. As the late former prime minister Pierre Trudeau once said, "Living next to you is in some ways like sleeping with an elephant. No matter how friendly and even-tempered the beast, one is affected by every twitch and grunt." So it seems a measure of self-respect, perhaps self-worth, is for Canadians to believe that Canadians are somehow better traveled, better read, better written than their American counterparts. But Rudyard Griffiths, a Canadian who heads the Dominion Institute, a Canadian think tank, opposes the great stereotype. "That myth is a part of a larger anti-Americanism," he says. "It is smug and self-serving and ultimately self-destructive. It prevents us from looking at our own knowledge of what we are as a country." Griffiths says that an American television anchor pointing a microphone at an unsuspecting Canadian would find the same ignorance Mercer is finding: "Turn the camera on Canadians in Don Mills, Ontario, and ask questions about Senator Applebaum and whether Americans should invade China. They would probably support that." In fact, a recent poll by the Dominion Institute and the research firm Ipsos-Reid found that Americans knew their history far better than Canadians knew theirs. Sixty-three percent of Americans passed the quiz, compared with 39 percent of Canadians. Ninety percent of 1,000 Americans polled knew who the first president was, while only 54 percent of 1,003 Canadians knew who their first prime minister was. (Answer: John Macdonald.) "Mercer's stuff plays to the Pearsonian image of Canada, Mercer's segment plays to Canadians' belief that Canadians are worldly, aware of international affairs, intelligent and informed and upwardly conscious of global issues and global concerns, and that Americans are, in contrast, isolationists, parochial, navel-gazing fatsos," says Griffiths. "When in truth I think we are all far too similar: We don't know much beyond where we live." Mercer says "Talking" isn't about who is smarter. "If you talk about history or specific political figures, you are always going to be able to stump people. You could ask me 100 questions right now that I won't know the answers to." Mercer said he got the idea for the segment two years ago when he was in Washington working on a comedy show and ran out of funny ideas. The camera was rolling, "and I didn't have an idea in my head. 'Oh my God,' I thought. 'It all ends here. My career is toast.' " Citer
Habitués jimmy Posté(e) 15 mars 2007 Habitués Posté(e) 15 mars 2007 Un États-Uniens a qui j'expliquais qu'il y avait un mouvement indépendantiste au Québec m'a dit : " but if you separate, you will still be part of the USA right ?" jimmy Citer
Habitués quebecoisbound Posté(e) 16 mars 2007 Habitués Posté(e) 16 mars 2007 jimmy a dit : Un États-Uniens a qui j'expliquais qu'il y avait un mouvement indépendantiste au Québec m'a dit : " but if you separate, you will still be part of the USA right ?" jimmyOui c'est rigolo les gens qui peuvent etre bete. Par exemple, ici, a Lille, mon ami iralandais a visite la prefecture pour qqchs, et ils ont insiste qu'il ne pouvais pas travailler en France car l'Iralande ne fait pas partie de l'union europeene. HAHA. Oui. Je suis desole mes amis, mais l'ignorance connait pas les frontiers ou les nationalities. Ca existe partout, malheuresement. Citer
Habitués geez Posté(e) 16 mars 2007 Habitués Posté(e) 16 mars 2007 jimmy a dit : Un États-Uniens a qui j'expliquais qu'il y avait un mouvement indépendantiste au Québec m'a dit : " but if you separate, you will still be part of the USA right ?" jimmyJe me fais volontairement l'avocat du diable, mais si les Canadiens étaient plus affirmés vis-à-vis des US, moins imbibés de la "culture" américaine et de l"'american way of life", est-ce que ça n'éviterait pas ce genre de malentendus ?Si je suis Américain et que je débarque au Canada, sans que ça ne change rien à mes habitudes (je retrouve ma bouffe de tous les jours et je regarde les mêmes programmes télé, aux mêmes heures que chez moi), ben honnêtement, dans ma tête, ça me fait penser que je suis toujours dans mon pays, si je vais pas chercher plus loin que ça...Bien sûr, je grossis le trait, mais c'est pour avoir un éclairage sur le sujet parce que, de l'extérieur, je le perçois un peu comme ça ! Merci de m'expliquer si je me trompe (sans que ça tourne au pugilat, SVP), parce que je cherche juste à mieux cerner les choses ! Citer
Habitués Zeus Posté(e) 16 mars 2007 Habitués Posté(e) 16 mars 2007 Labrador a dit : peanut a dit : je dirais magasiner et...faire l'amour? peanut qui s'essaie! :blushing: u sang Italien peanut ??? ou des dons de mediums ???l'Italie est un pays magnifique avec sa gastronomie plus connue que la Française....Seul dilème , le Nord et le Sud sont trés trés trés différent .Suis pas d'accord sur les deux points ...la France est le pays le plus visité au mondequand à la gastronomie française pareil ..la cuisine Française à une renomée internationnalec'est mon avis bien sur sans parti pris sur ces deux points Citer
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.