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Éducation sentimentale: Québec versus France par Scrogn


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J'ai apprécié cette chronique pour la simple raison que j'ai eu une expèrience similaire (avec le même décrochement de machoire style " loup garou qui voit chaperon rouge..".)

En effet , l'année des trois ans de l'un de mes enfants , l'instit demande au enfants , alors qui veut manger quoi au gouter du matin cette semaine ?

un des bambins répond moi cela sera Rillette et baguette !

alors toute la classe ( ma progéniture + les maitresse ;) se sont envoyés 2 kilo de rillette au gras d'oie .

Je me suis dis , soit les instits ne déjeune pas le matin et se rattrappe sur les parents pour avoir un casse croute....

Soit j'ai affaire à une secte du sud ouest , qui endoctrine nos enfants sur l'alimentation gersoise, landaise ou basque....

Donc rassure toi , des folles qui ont vouLu te mettre au pas avec sa remarque sur les fruits , il y en a plein qui sévicent encore.

Par contre , il faut reconnaitre que si la mauvaise alimentation est bien réelle au Quebec , elle est surtourt hors période scolaire ;)

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pour nous en France c'était

collation libre au primaire

et en maternelle on donnait 5 euro par enfant/mois et la maîtresse s'occupait d'acheter les collations,

Comme ça tout le monde avais la même chose ! Tutoiement en maternelle et vouvoiement au primaire.

ici au primaire,

c'est pas d'arachide, et pas de chose sucré, pas de chocolat,

mais de temps en temps je fais mon rebelle et je leur donne quand même des barres au chocolat...

et c'est le tutoiement qui s'applique.

mais ceci n'est pas la regle ni en france ni ici,

c'est jste comme ca que ca se passe dans les ecoles de nos enfants.

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Mon expérience perso...

Ma grande de 11 ans à la maternelle française: à tour de rôle chaque parent apportait les goûters et c'était invariablement pain et jambon (à 10h00 le matin!!!) ou pain au chocolat.

En 3e année de maternelle, on a changé d'école, et là, en après-midi, il n'y avait pas de goûters pcq de toute façon les parents apportaient brioches et cie à 16h30 alors...

Au primaire c'était libre. ALors évidemment, moi je lui donnais des fruits... Pour me retrouver à la fin de l'année, au moment où il fallait débarasser son pupitre, la main dans de vieux raisins pourris au fond du bureau! :unsure: Beurk!

Evidemment, les goûters des copains étaient pas mal plus appétissants que le sien. Dur dur d'éduquer.

Ma petite actuellement en maternelle: il n'y a plus de jambon au menu, mais souvent des pains au chocolat, des biscuits LU, des compotes. Très rarement des fruits frais (sauf qd c'est moi qui apporte!!!)

Mais tout de même, jusqu'à maintenant, les petits français ont bcp moins de pb d'obésité que nous. Je me demande pourquoi. De plus, qd j'étais enfant, je jouais tout le temps dehors, ce qui n'est pas le cas ici, mais p-ê est-ce partout pareil à l'ère de la game boy (que mes enfants n'ont pas!)

Etant dans le sud de la France, je mange bcp moins gras aux repas et je ne cuisine qu'à l'huile d'olive, moins de sauce etc. C'est p-ê ça?

Vraiment je ne sais pas.

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Meci pour ta chronique, Scrogn ! :)

Je la prends comme tu le dis, comme ta propre expérience !

C'est ton vécu... Et je trouve chouette d'avoir ton témoignage sur la question. Pi comme j'aime te lire !!! ;)

A+

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Le sujet de léducation est un sujet intéressant et vaste. Ni dans ta tribune très bien écrite et toujours traitée avec humour, ni dans les commentaires qui suivent, je ne vois personnellement le début dune polémique.

En fait, les deux systèmes déducation (France, Québec) sont spécifiques et ont tous les deux leurs qualités.

Les expériences que vivent nos enfants peuvent être des cas isolés ou bien des cas plus généraux.

Jai de très bons souvenirs par exemple de la cantine en France lorsque jétais jeune mais il sagit de mon expérience personnelle. Beaucoup denfants mangeaient même mieux que chez eux. Les repas étaient équilibrés et « santé » bien avant lheure. Cela nempêche pas quon avait davantage une barre de chocolat et une tartine de pain comme collation plutôt quun yoghourt ou une banane. Je peux concevoir aussi que certaines écoles françaises offraient des repas moins bons et d'autres encore meilleurs.

Il faut préciser que le sujet de lalimentation chez les enfants a quand même largement été évoqué ces dernières années au Québec par les politiques et les médias.

Quelques points sont souvent ressortis :

1) certains enfants partent à lécole sans manger (problèmes de pauvreté des familles) et arrivent en classe le ventre vide (avec les problèmes de concentration que cela implique). Comme il ny a pas de cantine au primaire, il y a également de grosses disparités dans les lunchs des enfants et donc une forme de différence.

2) les distributeurs de boissons gazeuses et de friandises sont présents dans les écoles (secondaires, je crois, uniquement) et sont un peu en contradiction avec la lutte contre la malbouffe

3) certaines garderies offrent dès le plus jeune âge de la malbouffe (hamburgers, etc).

A partir de là, chaque expérience personnelle est à prendre en compte. Ma fille, par exemple, en garderie, dans un quartier modeste de Montréal, mangeait super bien (cétait même un chef de cuisine français qui faisait la bouffe). Ma fille mangeait par exemple du couscous et plein de plats que les parents ne faisaient pas chez eux. Les enfants apprenaient réellement le goût.

Pour ce qui est de léducation, dans un précédent message intitulé « réflexion sur notre immigration », jai expliqué par exemple pourquoi nous avions finalement choisi après mûre réflexion dinscrire notre fille dans une école française à Montréal (peur de la réforme scolaire instituée au Québec, âge dentrée de notre fille à 6 ans, etc).

Il faut bien comprendre que nous aurions pu inscrire notre fille dans une école québécoise et elle ne se serait pas moins bien portée. Seulement, je le répète, lorsque vous aurez des enfants (pour ceux qui nen ont pas encore), vous aurez des choix à faire même si vous souhaitez mettre votre enfant dans le système québécois (école publique, école privée, quel quartier habiter ?, etc). Cest un choix personnel.

Cest normal aussi que tous les parents se posent des questions (même les Québécois de souche). La fameuse enquête du magazine lActualité ne remporterait pas dailleurs un aussi vif succès si léducation nétait pas une priorité pour les parents. Et je pense quil est nécessaire de ne pas juger le choix de ces parents.

Dernièrement, nous avons des amis québécois qui habitaient Verdun et qui ont déménagé en banlieue en nous expliquant que cétait un meilleur choix pour leur famille. Doit-on en conclure quils préféraient mettre leur jeune enfant dans une école tranquille de banlieue plutôt que dans lécole primaire plus « toff » qui est à côté de chez eux ? Ils nous ont souvent parlé de ce choix difficile et aussi de cette réalité.

Selon moi, les deux systèmes déducation (France, Québec) ont leurs spécificités et leurs qualités.

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Je ne comprend cette manière de faire de la projection ! Et de trouver toujours à redire sur le système français en mal et en bien sur le québec.

Quand c'est au québec qu'on tutoie c'est génial, quand c'est en france c'est pas bien.

Quand on vouvoie au québec c'est bien quand c'est en france c'est mal.

Ben tu sais, au mariage d'un de mes amis en septembre dernier, nous avons commencé à parler du temps de la petite école... Nous sommes tous arrivés à la conclusion suivante : y'a un moment donné ou on aurait du nous faire redoubler, mais au lieu de ça, on nous a donné un beau diplôme d'études collégiales, malgré toutes les lacunes que nous avons cumulées au fil des années. Voyez-vous, au Québec, c'est la règle du nivellement vers le bas qui prévo. D'ailleurs, dans la série Pure-Laine, l'émission d'hier en à fait un peu mention : la directrice de l'école voulait abaisser la note de passage à 40% pour lutter contre le décrochage scolaire. C'est un peu caricaturé, mais ça reflète une certaine réalité du Québec.

Biztalk.

Je comprend et je pense que la france n'est pas en reste non plus de ce côté (enfin d'après moi)

Ce que je ne comprend pas c'est que ce soit des "français" qui le disent. Est-ce pour être bien vu ? Je ne sais pas.

En tout cas ce n'est pas aidant car c'est en regardant la réalité en face qu'on a le pouvoir de changer les choses.

Posté(e)
Tout dépend en fait de l'école, de l'instituteur et du directeur. Le soucis est peut être qu'il n'existe pas de d'homogénéité dans le système éducatif français.

Mais l'avantage c'est qu'il n'est pas rigide, et que la grande majorité des instituteurs s'adaptent et/ou adaptent leurs classes en fonction des élèves ou selon la manière dont ils conçoivent l'éducation des petits. Tutoiement, vouvoiement, tout dépend de l'instituteur, mais le respect de l'adulte n'est pas occulté, bien au contraire.

Par contre, je ne suis pas réellement d'accord sur le fait qu'il y ait plus de violence dans les écoles françaises et que ce phénomène est plus rare au Québec.

Le problème existe malheureusement bien en France, mais également au Québec.

J'avais lu récemment dans la presse un article traitant du sujet (Le Soleil : Québec s'attaque à la violence à l'école) où l'on y trouvait des exemples identiques. Cela reste un problème majeur dans la plupart des sociétés.

Dans tous les cas, le problème vient essentiellement des parents qui ont parfois tendance à déléguer aux écoles l'éducation de leurs enfants.

Je suis absolument d'accord avec toi : tout dépend de l'équipe enseignante. Tu peux tomber sur une équipe formidable comme sur une pitoyable. Et je le répète pour la quatrième fois (chronique incluse) : je n'ai jamais dit que toutes les écoles françaises sont telles que je l'ai décrite... C'est un peu comme l'apprentissage de la lecture. Des professeurs des écoles préféreront la méthode syllabique, d'autres, la méthode globale, et certains la méthode mixte. C'est un peu la loterie, en somme.

Maintenant, sur les problèmes de violence, je soulignais un fait qui en inquiète plus d'un en France, à savoir la précocité des auteurs. Je rapportais un fait perpétré par 3 enfants âgés de 3 ans à l'égard d'un de leurs petits camarades. Ce sont des évènements qui se multiplient et qui échappent, bien souvent aux statistiques. En effet, les parents de la victime vont-ils porter plainte contre les agresseurs tout juste sortis de leurs couches ? C'est ridicule ! Contre l'établissement scolaire pour défaut de surveillance ? Encore faut-il le prouver. Un tabassage est si vite arrivé...

Les rapports du Forum Européen pour la Sécurité Urbaine, tout comme l'Institut des Hautes Etudes de Sécurité Intérieure ont maintes fois tiré la sonnette d'alarme. Les délinquants, en général, sont de plus en plus jeunes. Pour te donner un exemple précis, je pourrais te citer un cas qui m'avait beaucoup troublée, à l'époque où je travaillais en région parisienne, précisément dans le domaine de la délinquance. Dans une des villes dont je m'occupais, une école fut saccagée en pleine nuit. Les coupables furent retrouvés. Moyenne d'âge : 7-8 ans. Le plus vieux avait 9 ans, les plus jeunes 6 ans...

À ce propos, existe-t-il des phénomènes tels que le jeu de la boulette ici ? Du jeu du foulard ? Du jeu de la canette, de la compresse, etc, etc, etc ? Quelqu'un aurait des renseignements, à ce sujet ?

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Pas de soucis pour moi, je ne fais aucun amalgame ou généralisation, et j'ai bien compris que tu te basais sur une expérience personnelle ;)

Des professeurs des écoles préféreront la méthode syllabique, d'autres, la méthode globale, et certains la méthode mixte. C'est un peu la loterie, en somme.
Mon fils a appris avec une méthode, et ma fille avec l'autre. Dans les deux cas, ils n'ont jamais eu de problème dans leur scolarité. Les deux méthodes se tiennent plus ou moins et l'important reste le résultat.

Pour la violence dans les écoles, je souligne juste que ce phénomène est malheureusement présent partout, et que le Québec n'en est pas exempt.

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La violence physique ne semble pas être véritablement présente dans les écoles du Québec contrairement aux écoles de banlieues françaises dont tu parles.

A ma connaissance, il y a plutôt des problèmes comme le racket ou aussi la drogue (au secondaire).

Je nai jamais entendu parler non plus de ce phénomène de jeux débiles ici au Québec.

La France semble en tout cas avoir bien changé aussi car à notre époque, les jeux dans la cour du primaire se limitaient à la balle au camp ou à des trucs du genre (puis évidemment les sacs de billes pour les garçons). Mais bon, cétait dans la première moitié des années 70 et en pleine campagne pour mon cas, une autre époque !

  • Habitués
Posté(e)

En France

- les distributeurs de boissons/confiseries sont interdits dans les établissement scolaires depuis la rentrée 2005

- quand il y a une distribution de lait, elle ne doit pas être accompagnée de gateaux

- la coutume de la collation est le prolongement de cette distribution mais c'est une aberration, tant sur le plan diététique que sur le plan humain ; il arrive que l'on soit amené à donner la gratuité totale de la cantine à certaines familles et on leur réclame de participer à la collation. c'est moralement assez difficile à gérer et c'est en partie pourquoi cette pratique tend à disparaître.

après plusieurs années en tant que déléguée de parents d'élèves :

- j'ai participé à des tas de débats, commissions... sur le problème du petit déj ; ce n'est pas qu'un phénomène touchant les familles pauvres, les enfants sautent de plus en plus le petit déj, à la ville comme à la campagne, allez savoir pourquoi...

- pour la cantine scolaire, c'est une vraie galère. le budget est très difficile à gérer. les directeurs/principaux/proviseurs sont des profs, pas de gestionnaires. ils font ce qu'ils peuvent mais les sociétés agroalimentaires font des offres "tout compris" tellement plus simples à gérer qu'une cantine bio/frais/fait sur place. coté nutrition, si les menus sont obligatoirement approuvés par un dietéticien, ce dernier est bien conscient que le budget ne permet pas de faire 100% équilibré. donc chacun compose.

- le rythme scolaire et les habitudes alimentaires sont différents. faire presque un vrai repas tôt le matin et manger un sandwich le midi est beaucoup plus usuel au Canada, d'où la pratique de la lunch box. En Fance, un gamin qui apporte son sandwich à midi pour manger dans la cour n'est pas toléré.

- la collation pain+rillettes, pourquoi pas ? rappel : je suis contre la collation mais si collation il y a c'est mieux que les biscuits chocos plein de mauvais gras caché et de sucre + boisson faussement jus d'orange super sucrée + petit suisse fruits. au moins le gamin n'en mange pas trop et apprécie le fruit pour faire passer !

B

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De mon côté, en maternelle, nous n'avions que le lait qui était fourni en brique à 16h dans les petites sections (3-4 ans).

Après c'était collation libre, chacun sa mère ... Conclusion, oui certains de mes camarades s'empiffraient de pain au chocolat et autres barres du genre, moi j'avais une mandarine ou du pain-confiture. Idem à 16h30 quand ma mère passait me cherchait (ou la voisine quand j'ai été plus grande), c'était pain-beurre-3 carrés de chocolat noir quand j'allais m'entraïner ou 1 fruit/1yaourt le reste du temps.

On avait des plats préparés par la cuisine centrale sous contrôle d'une nutritionniste diététicienne et les menus devaient être validés par le conseil des parents au niveau municipal. On avait rarement des frites mais quand on en avait c'était toujours lors d'une occasion spéciale: olympiades en fin d'année, semaine tour du monde (on avait alors de la paella, des rouleaux de printemps, du chili, des frites dans la semaine !) et 2 ou 3 autres fois dans l'année. Je me souviens encore des tronches de mes amies à la cantine parce qu'on avait des légumes et qu'elles n'aimaient pas ça. Moi ça me rendait heureuse, j'en avais tout plein pour moi :lol:

En revanche ici, j'ai été surprise c'est vrai des collations matinales de mes protégés (bâtonnets de carottes, de céleri, brocoli, concombre, pomme, banane, orange etc.) mais on trouve quand même des sandwich nutella, beurre de peanut ou tout autre truc moins santé.

Lorsqu'on offre des collations aux Marmots, on offre autant que possible des fruits ou des biscuits à l'avoine, des barres tendres etc. Mais il nous ait arrivé d'offrir des frites (1 fois / an / groupe scolaire) et/ou de la liqueur. C'est comme tout, sans excès, c'est autorisé. Et honnêtement, vu le contenu de certaines boîtes à lunch, les parents n'auraient rien à nous dire! En passant, le gras est nécessaire à la croissance des enfants donc donner juste du 0% ou du tout fruit-légume, c'est pas forcément meilleur. Dosé, c'est mieux.

Sinon j'ai apprécié moi aussi la chronique. On n'est pas d'accord sur tout, mais c'est toujours bien écrit, et pour moi, c'est ce qui compte!

  • Habitués
Posté(e)

Jai comme limpression quau Québec, les efforts en matière de bonne nutrition sont plus visibles. Cela sexplique sans doute à cause de limportance qua prise pendant des années la malbouffe et les effets néfastes que ça cause (obésité). Cette amélioration a été de pair avec laugmentation du choix des produits (choix de yoghourts plus nombreux, meilleure qualité du poisson, développement du bio, etc)

En France, on dirait quasiment que cest le contraire. Personnellement, jai dû mettre la première fois les pieds dans un McDo alors que javais plus de 20 ans tandis quaujourdhui, cest devenu la norme pour les bambins.

Je me trompe peut-être mais cest un peu ce que je ressens.

Pour ce qui est des frites, quand jétais jeune, on en avait à peu près une fois par semaine au secondaire. Je ne me souviens pas en avoir eu au primaire ou seulement exceptionnellement. Il y a eu une émission télé (je ne sais plus laquelle) en 2006 au Québec où on montrait que dans les cafétérias, certains jeunes choisissaient des frites tous les jours et ne mangeaient jamais de légumes. En réaction, certaines écoles ont donc limité la possibilité de manger des frites à une fois par semaine.

Pour lanecdote, ce qui ma le plus marqué, cest de voir un gamin de 7 ou 8 ans déguster un sachet de chips dans le métro, un matin de bonne heure, accompagné par sa mère. Javais du mal à croire que premièrement, il mangeait des chips pour son déjeûner et quen plus, il navait probablement avalé que ça pour aller à lécole. Ça fait pitié.

  • Habitués
Posté(e)

C'est vrai qu'en France le petit déjeuner n'est pas une tradition comme au Québec. Plusieurs amies de mes filles n'avalent rien, sinon du lait ou un chocolat et c'est tout. Et en effet, ce ne sont pas des enfants de milieux défavorisés. C'est comme ça. L'été dernier, on a passé 10 jours à la montagne et une amie de mon aînée est venue avec nous. Le matin, elle ne voulait rien. Presque de force, elle a pris un jus d'orange. Le lendemain, j'avais acheté des céréales sucrées, comme c'étaient les vacances, mais c'était pour après un bol de céréales mélangées (avoine, Spécial K fruits ou Weetabix...) Elle ne voulait que les céréales sucrées.

Bon après c'est une histoire de métabolisme. Perso, si je n'ai pas avalé un bon petit déj, je vois des étoiles...

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