Habitués petiboudange Posté(e) 28 janvier 2007 Habitués Share Posté(e) 28 janvier 2007 (modifié) Les maux...à éviter: les mots anglais: le marketing (la mise en marché) le master (la maîtrise) le shopping (le magasinage), le weekend (la fin de semaine) le mail (le courriel) bref toutes les expressions qu'on a francisées et que les Français snobent.Autant pour les autres je suis d'accord autant pour le master, je me permets de relever et de dire que hélas, dans les universités françaises aujourd'hui, on passe des master et non plus des maîtrises! On ne peut pas se dire ingénieur au Québec quand on l,était en France mais on ne pourra pas se dire titulaire d'une maîtrise quand on a eu un master sauf si on nous en accorde l'équivalence!Sauf les gens comme moi qui ont commencé leur second cycle avant la réforme et ont donc passé une maîtrise au lieu d'un master 1 (mais je ne peux toujours pas dire que j'ai une maîtrise mais bien un diplôme de second cycle en un an!). Modifié 28 janvier 2007 par petiboudange Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Saga Posté(e) 28 janvier 2007 Habitués Share Posté(e) 28 janvier 2007 J'ai souvent des compliments de la part de mes clients qui disent que mon francais est excellent et que j'utilise un langage soutenu: j'en ai conclus qu'il s'agissait d'un plus que je pouvais mettre a mon avantage pour encore mieux vendre. Les québécois sont pour la plupart admiratif devant les gens qui savent jouer de la langue de molière, pour ma part j'évite le plus possible d'utiliser des expressions d'ici bien que je n'ai rien contre elles et que je les trouve tout aussi, si ce n'est plus, charmantes.... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués laulau1 Posté(e) 29 janvier 2007 Habitués Share Posté(e) 29 janvier 2007 J'ai souvent des compliments de la part de mes clients qui disent que mon francais est excellent et que j'utilise un langage soutenu: j'en ai conclus qu'il s'agissait d'un plus que je pouvais mettre a mon avantage pour encore mieux vendre. Les québécois sont pour la plupart admiratif devant les gens qui savent jouer de la langue de molière, pour ma part j'évite le plus possible d'utiliser des expressions d'ici bien que je n'ai rien contre elles et que je les trouve tout aussi, si ce n'est plus, charmantes....Et toi tu fais de la lèche. Le prend pas mal mais c'était trop tentant. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Guinness Posté(e) 29 janvier 2007 Habitués Share Posté(e) 29 janvier 2007 Certainement le fameux "gosses" pour parler des enfants - ici ça veut dire testicules, alors si vous parlez de vos trois gosses vous verrez pas mal de sourires en coin...Ben, moi je dis très souvent qu'il y a la photo de mes 3 gosses sur mon bureau Bon, OK, j'avoue, je le fais exprès mais mes collègues commencent à le savoir que je le fais exprès, certain m'amènent des personnes que je ne connais pas pour leur montrer la photo Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Saga Posté(e) 29 janvier 2007 Habitués Share Posté(e) 29 janvier 2007 J'ai souvent des compliments de la part de mes clients qui disent que mon francais est excellent et que j'utilise un langage soutenu: j'en ai conclus qu'il s'agissait d'un plus que je pouvais mettre a mon avantage pour encore mieux vendre. Les québécois sont pour la plupart admiratif devant les gens qui savent jouer de la langue de molière, pour ma part j'évite le plus possible d'utiliser des expressions d'ici bien que je n'ai rien contre elles et que je les trouve tout aussi, si ce n'est plus, charmantes....Et toi tu fais de la lèche. Le prend pas mal mais c'était trop tentant. CHUT Laulau je fais dans le politicaly correct, tu brules ma couverture la COLISSE ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Petit-Prince Posté(e) 29 janvier 2007 Habitués Share Posté(e) 29 janvier 2007 (modifié) Il ne faut pas avoir peur de faire des maladresses... n'oubliez pas que votre accent désamorcera en grande partie les incompréhensions et que la plupart des Québécois ont vu suffisamment de films français pour savoir que le vocabulaire est parfois très différent. Sans forcément connaître la signification, ils se diront naturellement qu'il y a peut-être une maladresse, mais rien de grave.Le reste, ça viendra naturellement... Moi aussi je disais "pile-poil" à toutes les deux phrases. Aujourd'hui, je ne me souviens plus de la dernière fois que je l'ai employé. Non pas que je le fais exprès, mais que je suis passé à autre chose naturellement. Je pense que si j'étais allé dans un autre pays, cela aurait été pareil : on s'adapte bien au niveau du travail, de la bouffe, du climat... c'est pareil au niveau du langage. Quoiqu'on dise.Alors il ne faut vraiment pas s'en faire... de toutes façons, les Québécois sont suffisamment ouverts pour excuser les maladresses. Il y a tout de même des termes que j'utilisais souvent, mais juste pour faire rire mes collègues (enfin, anciens collègues maintenant) : j'ai la dalle (la faim), un casse-dalle (un sandwich)... mais même si j'étais très friand de l'argot parisien, il faut reconnaître que des mots qui étaient déjà pas toujours faciles à comprendre pour un Français le seront encore moins pour un Québécois !Ah... je pense aussi au terme "turlute", ici, cela n'a rien de sexuel ! ... c'est plutôt musical ici ! Modifié 29 janvier 2007 par Petit-Prince Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 29 janvier 2007 Share Posté(e) 29 janvier 2007 Hum et il y a des situations où même si l'on sait, on se "fait avoir" pareil :blushing: Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Monikebek Posté(e) 29 janvier 2007 Share Posté(e) 29 janvier 2007 Mec, nana, avoir le cul bordé de nouilles, bagnole, ... si si, il y en a, et après 7 ans, j'en utilise encore de temps à autre. Souvent je m'en rends compte à cause du sourire ou de la question carrément : "C'est quoi ça ?", mais jamais méchant. Mon nom de jeune fille a pris toute une autre signification au Québec aussi, rien à voir avec La France ni avec le Roc d'ailleurs : quand je disais que je m'appelais Posch, ah le sourire narquois de part et d'autre... :blushing: Si je repnse à d'autres, je reviendrai vous les dire, hihihi... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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