Laurent Posté(e) 11 octobre 2006 Posté(e) 11 octobre 2006 La radio de Radio-Canada fait en ce moment une série de reportages sur l'intégration des immigrants économiques à la réalité du marché québécois.Immigrants qualifiés cherchent travail (encore)Malgré les mesures mises en place par Québec pour faciliter l'accès des immigrants aux professions réglementées, nombreux sont les diplômés arrivant ici et trouvant une réalité bien différente de ce qu'ils avaient imaginé.Le premier dune série de reportages de Gino Harel http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/dimanchemag/ Citer
Habitués laulau1 Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 Il est génial ce reportage.Il va aider les prochains immigrants à ne pas faire la même erreur. Citer
Habitués Nicolas Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 Ben oui mais qui c'est qui va emballer mes sacs au IGA après ? :satans: Citer
Laurent Posté(e) 12 octobre 2006 Auteur Posté(e) 12 octobre 2006 Pour toute la série des reportages, voir l'émission Desautels :[sOCIÉTÉ] Série sur les immigrants scolarisés Les immigrants instruits rencontrent beaucoup d'obstacles pour faire valoir leurs compétences sur le marché du travail canadien. Désautels présente aujourd'hui le quatrième d'une série de reportages de Gino Harel sur la question, qui porte sur les difficultés d'intégration des immigrants dans les communautés d'accueil en région. 11102006/78639icône audio Le reportage de Gino HarelCe lien s'ouvre dans un autre navigateur Le premier reportage de Gino Harel, diffusé à Dimanche magazineCe lien s'ouvre dans un autre navigateur Le deuxième reportage de Gino Harel, diffusé à DésautelsCe lien s'ouvre dans un autre navigateur Le troisième reportage de Gino Harel, diffusé à Désautels Tout en bas de la page :http://www.radio-canada.ca/radio/desautels/ Citer
Habitués laulau1 Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 Ce gars a fait un travail fabuleux, merci de le partager.J'ai beaucoup de peine pour tous ces gens qui galèrent. Un tel parcours du combattant n'est pas normal, jamais la dgq n'a prévenu toutes ces personnes de ce qui les attendaient réellement. C'est clair qu'aujourd'hui, ils n'auront pas d'autre choix que de changer leurs grilles d'évaluation, mais au prix de combien de malheureux. Citer
Laurent Posté(e) 12 octobre 2006 Auteur Posté(e) 12 octobre 2006 ... jamais la dgq n'a prévenu toutes ces personnes de ce qui les attendaient réellement. N'oublie pas que ta mère ne t'as même pas demandé ton avis pour te mettre au monde dans ce monde si cruel Citer
Habitués laulau1 Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 ... jamais la dgq n'a prévenu toutes ces personnes de ce qui les attendaient réellement. N'oublie pas que ta mère ne t'as même pas demandé ton avis pour te mettre au monde dans ce monde si cruel ça n'a rien à voir ! Et laisse ma mère tranquille stp, un peu de respect ! Ta mère ne t'as t-elle jamais prévenu des dangers qui t'entouraient ? La DGQ n'est la mère de personne sinon elle serait une très mauvaise mère. En revanche, j'ai entendu parler de l'idée de changer les grilles car il y avait trop de diplômés, il y a de cela 2 ans, si c'est pas encore fait c'est pas normal. Citer
Habitués Elie Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 Bonjour ou bonsoir.Le premier mot qui me vient à l'esprit en entendant ce reportage est NAIVETÉ.J'ai beaucoup de mal à plaindre ou à comprendre toutes ces personnes qui sont en position d'attente et qui devaient certainement penser que le Québec les attendrait avec un tapis rouge à leur sortie de l'avion.Visiblement on a pas du assister à la même réunion d'information.LA PREPARATION, c'est ce qui pêche en général et je trouve suicidaire de déménager avec ses enfants sans être sur à 99.99% de pouvoir les installer dans un envirronement stable et agréable.Pour parler de notre cas personnel, nous avons deux petites filles 8 et 5 ans (deux ans de moins à notre arrivée) et notre désir de venir à Québec était motivé par la délinquance grandissante en France et le fait que nous n'imaginions pas élever nos filles dans ce pays devenu dangereux pour elle.Nous avions un niveau de vie assez élevé et je peux vous assurer que s'il avait fallu faire des sacrifices, au niveau du job ou des loisirs ou autres, je les aurais fait et mes enfants n'auraient pas senti la différence par rapport à la France.Quand j'entends les gens qui se plaignent de pas trouver de job et que notre entreprise propose des salaires à plus de 20$ de l'heure et quand je vois les candidats qui font deux jours et qui arrêtent car ils sont fatigués ou que les horaires ne leur conviennent pas ; ben j'en viens à me demander ce qu'ils sont venus chercher ici.Le Canada n'est pas la France avec son système qui favorise les assistés et les services de l'immigration feraient bien d'insister la dessus car effectivement avec ce genre de mentalité beaucoup de candidats à l'immigration vont avoir une lourde déception.Élie. Citer
Habitués peanut Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 Depuis le temps qu'on attend dire que la DGQ ment aux futurs immigrants, est-il vrai qu'on ne les informe pas des professions réglementées au Québec(ou au Canada)? A moins que la plupart passe par-dessus ça en pensant que ce n'est pas important... en voulant préserver leur utopie d'un Canada parfait! C'est bizarre quand même, mais personnellement, c'est la première chose à laquelle je penserais avant d'immigrer dans un autre pays(vais-je pouvoir pratiquer ma profession là bas?) et je contacterais les organismes appropriés pour le savoir, et non me fier à des on-dits...peanut Citer
Habitués laulau1 Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 Bonjour ou bonsoir.Le premier mot qui me vient à l'esprit en entendant ce reportage est NAIVETÉ.J'ai beaucoup de mal à plaindre ou à comprendre toutes ces personnes qui sont en position d'attente et qui devaient certainement penser que le Québec les attendrait avec un tapis rouge à leur sortie de l'avion.Visiblement on a pas du assister à la même réunion d'information.LA PREPARATION, c'est ce qui pêche en général et je trouve suicidaire de déménager avec ses enfants sans être sur à 99.99% de pouvoir les installer dans un envirronement stable et agréable.Pour parler de notre cas personnel, nous avons deux petites filles 8 et 5 ans (deux ans de moins à notre arrivée) et notre désir de venir à Québec était motivé par la délinquance grandissante en France et le fait que nous n'imaginions pas élever nos filles dans ce pays devenu dangereux pour elle.Nous avions un niveau de vie assez élevé et je peux vous assurer que s'il avait fallu faire des sacrifices, au niveau du job ou des loisirs ou autres, je les aurais fait et mes enfants n'auraient pas senti la différence par rapport à la France.Quand j'entends les gens qui se plaignent de pas trouver de job et que notre entreprise propose des salaires à plus de 20$ de l'heure et quand je vois les candidats qui font deux jours et qui arrêtent car ils sont fatigués ou que les horaires ne leur conviennent pas ; ben j'en viens à me demander ce qu'ils sont venus chercher ici.Le Canada n'est pas la France avec son système qui favorise les assistés et les services de l'immigration feraient bien d'insister la dessus car effectivement avec ce genre de mentalité beaucoup de candidats à l'immigration vont avoir une lourde déception.Élie.Justement, si tu avais écouté convenablement le reportage, il y avait quelqu'un qui disait qu'il vivait des allocations pour les enfants, crois-tu réellement que c'est ce qu'il désirait ? Sinon, est-ce qu'il en parlerait comme d'un fardeau ? Non, il préfèrerait travailler mais il ne peut pas, il faudrait parfois des cartes parfois des reconnaissances de diplômes ou des reprises d'études qui sont trop longues et tout ça a un coût.C'est pourquoi j'insistais dernièrement sur le fait qu'une immigration n'est pas le club med et qu'il vaut mieux avoir quelques bonnes économies pour s'y lancer.Peut-être que tu rencontres des gens qui ne veulent pas travailler, à 20$ ça m'étonnerais quand même, surtout quand on entend quelqu'un qui dit qu'il travaille en usine pour reprendre ses études, à mon avis il ne touche pas 20$ de l'heure lui et de plus on est dans un pays ou on ne peut pas se permettre de refuser un boulot. Depuis le temps qu'on attend dire que la DGQ ment aux futurs immigrants, est-il vrai qu'on ne les informe pas des professions réglementées au Québec(ou au Canada)? A moins que la plupart passe par-dessus ça en pensant que ce n'est pas important... en voulant préserver leur utopie d'un Canada parfait! C'est bizarre quand même, mais personnellement, c'est la première chose à laquelle je penserais avant d'immigrer dans un autre pays(vais-je pouvoir pratiquer ma profession là bas?) et je contacterais les organismes appropriés pour le savoir, et non me fier à des on-dits...peanutOui, je pense qu'on les informe des professions règlementées, mais est-ce qu'on leur dit qu'il faudra peut-être 3 ans de reprise d'études pour y arriver ? Et pourquoi les grilles de selections sont basées sur les diplômes ? Les moins diplômés ont-ils moins de chance de réussir ? Pourtant les diplômés travaillent bien en usine pourquoi pas les non diplômés ? Citer
Habitués TITNINI Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 Merci pour cette information.Je n'ai pas tout écouté où cette émission parle essentiellement des professions réglementées???Je ne vois pas ce que vient faire la mentalité "d'assisté" dans ce cas ...C'est tout de même dommage qu'une personne ne puisse pas continuer à exercer le métier qu'elle aime et pour lequel elle s'est formée, après son immigration.Le Canada n'est pas l'Eldorado, on l'a assez répété mais ces gens ne se sont probablement pas suffisamment renseignés avant le départ, non?Il y a des lois et il ne me semble pas que la DGQ s'en cache.Désolée Elie aussi mais je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de monde qui soit sûr à "99.99% de pouvoir s' installer dans un environnement stable et agréable". Y a toujours une part d'aventure et personne ne sait de quoi demain sera fait.En arrivant, on constate qu'il y a beaucoup de jobines, que c'est pratiquement un passage obligé pour un immigrant mais je voudrai souligner une chose: les compétences sont beaucoup plus facilement transférables au Canada et à poste équivalent, le niveau d'expérience exigé y est généralement moindre que celui demandé de l'autre côté de la flaque. Citer
Habitués tof Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 Tiens, y'avait longtemps qu'on avait pas entendu du mal de la DGQ Les discours du genre "C'est de la faute de la DGQ, on nous avait pas prévenus"... tu repasseras, merci Tout à fait d'accord avec ce qu'a dit Elie en réponse, rien à ajouter. Citer
O'Hana Posté(e) 12 octobre 2006 Posté(e) 12 octobre 2006 Salut la gang,Oui, je pense qu'on les informe des professions règlementées, mais est-ce qu'on leur dit qu'il faudra peut-être 3 ans de reprise d'études pour y arriver ?Que la DGQ informe les candidats à l'immigration que leur profession est réglementée au Québec et qu'on pourrait leur demander un retour aux études pour pratique de nouveau, je trouve normal de leur dire cela.Mais la DGQ n'a ni le devoir ni la compétence de dire à ces mêmes candidats qu'il leur faudra peut-être trois ans de reprise d'études pour y arriver : ceci relève exclusivement des ordres professionnels dont la mission est, notamment, d'évaluer au cas par cas le profil de chaque candidat.Et pourquoi les grilles de selections sont basées sur les diplômes ? Les moins diplômés ont-ils moins de chance de réussir ? Pourtant les diplômés travaillent bien en usine pourquoi pas les non diplômés ?Parce que le CIC et le MICC se basent sur des recherches en développement de carrière démontrant que plus une personne possède une scolarité élevée (quelque soit le domaine d'études), plus les chances qu'elle ait développé de la polyvalence et des capacités d'adaptation et de flexibilité sont grandes.Et ça, c'est une réalité empirique qui se vérifie dans n'importe quelle société industrialisée. Cela signifie qu'une personne ayant une faible scolarité est plus sujette à devenir une clientèle dite "captive", c'est-à-dire plus vulnérable aux emplois peu spécialisés, mal rémunérée et difficile à se redéployer professionnellement car elle ne possède justement pas de scolarité suffisante pour rendre cela possible.Attention : je parle ici en termes de probabilités et non pas de vérités s'appliquant à tout le monde sans exception. Nous convenons par exemple qu'un autodidacte peut aussi bien réussir, voire plus, qu'un titulaire de doctorat. Mais cela relève de la réalité individuelle que CIC et MICC n'ont pas les moyens de considérer considérant le volume élevé de dossiers qu'ils ont à traiter. Autrement dit : ils ont besoin de normes objectives et standardisées, d'où l'utilisation de grilles basées sur les diplômes.O'Hana Citer
Habitués Colonel Higgins Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 (modifié) Salut bien,Il faut quand même noter le double language tenu dans le processus d'immigration : si mon souvenir est bon il y a une grille à remplir qui rapporte des points. Et là où ça pêche je dirais, c'est que le fait d'avoir certains diplômes rapporte d'emblée le minimum de points nécessaires pour continuer la procédure : l'immigrant est donc ouvertement sélectionné sur la base de diplômes absolument pas reconnus au Canada !Sans déresponsabiliser l'immigrant, il faut juste admettre que la démarche est un peu tordue : faire venir des gens ayant certains diplômes - très précisément ciblés - alors qu'en définitive ces mêmes personnes devront refaire la quasi-intégralité de leurs études pour exercer. Sans compter la déception éventuelle, ça c'est personnel, il faut voir les contraintes financières énormes que ça exige : certains cursus sont à temps plein, et il faut bien vivre... tout immigrant ne peut pas s'offrir le luxe de 1 à 3 ans d'études sans aucun revenu Je dirais que la responsabilité de l'immigrant est seule en cause en définitive, mais objectivement, le language tenu par la DGQ n'est pas si clair et impartial qu'ils veulent bien le dire : leur boulot c'est aussi de renseigner des réalités du terrain il me semble, pas de tenir un discours purement statistique applicable n'importe où dans le monde.JB Modifié 12 octobre 2006 par Colonel Higgins Citer
Habitués geez Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 Quand j'entends les gens qui se plaignent de pas trouver de job et que notre entreprise propose des salaires à plus de 20$ de l'heure et quand je vois les candidats qui font deux jours et qui arrêtent car ils sont fatigués ou que les horaires ne leur conviennent pas ; ben j'en viens à me demander ce qu'ils sont venus chercher ici.A ce tarif et en plus à Québec, ça m'irait bien à moi Citer
Habitués nils Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 Le reportage est intéressant... mais ô combien révélateur d'une bien triste réalité de l'immigration!La première question que je me pose est de savoir pourquoi on immigre? Chacun a certainement ses propres raisons... mais la réalité de l'immigration et du statut de l'immigrant reste la même pour tout le monde. Rien n'est acquis, que l'on soit immigrant ou non, et non seulement ce n'est pas acquis mais encore peut-être même plus difficile quand on immigre vers un pays qui - je me répète pour la Nième fois - ne nous attend pas.Que les divers services de la Province nous dise qu'il fait bon vivre au Québec et nous sorte le fameux césame "Bienvenue", ne veut pas dire que tout nous tombe cuit dans le bec et que tous les québécois n'attendent que nous...Je crains de voir ici parfois le mal français (et pourtant le cas ne se présente pas que chez des français) où l'assistanat est une réalité et où l'on pense à tort (à mon humble avis) que les autres sont là pour nous aider. Oui certains "autres" sont là pour nous aider, mais chacun doit assumer sa propre responsabilité dans les actes qu'il est seul à choisir. Arrêtons de croire que ce sont les autres qui font notre vie, nous faisons notre vie avec et en fonction des autres, mais pas l'inverse. Chacun doit faire ses preuves, non?Choisir d'immigrer est une sorte de "nouvelle" vie, et repartir, professionnellement parlant, à une échelle moindre que celle que l'on connaissait jusque là ne m'apparaît pas pour autant une aberration. Si c'est si gênant que cela, alors pourquoi ne pas rester chez soi?Ce reportage appelle de ma part une seconde réflexion, sur la préparation à l'immigration. On a crié au scandale (enfin peut-être pas tant que cela) lorsque dans un précédent post je me demandais si je n'allais pas laisser en France pendant quelques mois ma petite tribu pour mieux préparer le terrain québécois, et m'assurer d'un minimum vital professionnel pour permettre à ma blonde et mes chérubins de poser le plus serainement possible leurs premiers pas sur le sol du Québec... Quid également de la bonne préparation de cette immigration, faut-il tout prendre pour argent comptant? Des informations générales données par telle ou telle administration québécoise liée à l'immigration ne peuvent-elles pas faire l'objet d'une vérification personnelle dans des forums (enfin UN forum) et des ouvrages ou autres documentations, et ce foutu voyage de "reconnaissance", finalement il aurait donc du bon????!!!!!Bref, l'immigration est une chose personnelle dont le seul acteur est l'immigrant, responsable de sa réussite ou de son échec.Dernier point : se forger un réseau de contacts utiles... il y a toujours autour de vous quelqu'un qui connait quelqu'un qui connait un québécois... et ça, c'est une force dans la construction de son immigration.Nils Citer
Habitués Zemida Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 Depuis le temps qu'on attend dire que la DGQ ment aux futurs immigrants, est-il vrai qu'on ne les informe pas des professions réglementées au Québec(ou au Canada)? A moins que la plupart passe par-dessus ça en pensant que ce n'est pas important... en voulant préserver leur utopie d'un Canada parfait! C'est bizarre quand même, mais personnellement, c'est la première chose à laquelle je penserais avant d'immigrer dans un autre pays(vais-je pouvoir pratiquer ma profession là bas?) et je contacterais les organismes appropriés pour le savoir, et non me fier à des on-dits...peanutTout à fait d'accord avec toi Peanut ! Et pour faire taire certaines mauvaises langues qui passent leur temps à dire que la DGQ ment, je ne peux pas juger de ce qui se passe sur le terrain, mais dans le cadre de la préparation du départ, il faut quand même savoir que sur tous les sites officiels en rapport avec l'immigration au Canada, au Québec, et lors des réuinions d'informations, on nous met bien en garde sur les professions réglementées, la difficulté de trouver un emploi, le fait qu'il faudra repartir à zéro pour se faire une expérience canadienne, avoir un peu d'argent pour subvenir à nos besoins les trois premiers mois, et surtout ... qu'ils ne sont pas là pour nous trouver du boulot !!!!!!!!! J'ai téléchargé sur Internet des tas de "guides" pour travailler, immigrer, s'installer, s'intégrer, comment trouver du travail, comment comprendre la mentalité québécoise etc. etc. quii sont très bien faits pour se préparer à immigrer.Si l'on veux immigrer, c'est à nous d'aller vers l'information, et pas le contraire, non ? Déjà, je trouve qu'il y a quand même énoooormément d'infos de mise à notre disposition et une fois sur place, à priori il y a beaucoup de possibilité de conseils et autres aux immigrants, à condition, bien sûr, d'aller au réunions et de vouloir faire la démarche de trouver un emploi ! Donc, je pense quand même qu'ils font tout ce qu'ils peuvent pour aider les nouveaux venus !!! Faut pas non plus demander la lune ! Mais, petit bémol et là je rejoins Colonel Higgins, c'est un peu dommage, en effet, que l'on demande un niveau d'études élevé et les diplômes qui vont avec pour avoir plus de points pour obtenir le CSQ, si au final, ils ne servent pas à grand chose une fois sur place et que les employeurs potentiels privilégient l'expérience, !!! Deux poids deux mesures donc, et peut-être que ceux qui sont bardés de diplômes croient, de ce fait, qu'ils sont attendus et que toutes les portes leur sont ouvertes ... sans avoir à bouger le p'tit doigt ! Zémida Citer
Habitués geez Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 Et pour faire taire certaines mauvaises langues qui passent leur temps à dire que la DGQ ment, je ne peux pas juger de ce qui se passe sur le terrain, mais dans le cadre de la préparation du départ, il faut quand même savoir que sur tous les sites officiels en rapport avec l'immigration au Canada, au Québec, et lors des réuinions d'informations, on nous met bien en garde sur les professions réglementées, la difficulté de trouver un emploi, le fait qu'il faudra repartir à zéro pour se faire une expérience canadienne, avoir un peu d'argent pour subvenir à nos besoins les trois premiers mois, et surtout ... qu'ils ne sont pas là pour nous trouver du boulot !!!!!!!!!Exact !Que ce soit à la réunion de présentation générale, qui a lieu un peu partout, ou à celle d'information, au moment de retirer nos CSQ, les personnes du BIQ avaient bien insisté sur ça.Après, le fait d'en être déjà conscient soi-même, au préalable, aide peut-être à mieux l'entendre... Citer
Habitués Frett Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 Tout n'est pas blanc d'un côté et noir de l'autre. Je ne sais plus qui disait plus haut qu'immigrer c'est repartir à zéro. C'est vrai au niveau entourage, culturel, famillial, parfois linguistique, mais cela est d'autant plus vrai au niveau professionnel. Pourquoi en serait-il autrement?C'est presque le critère qu'il faut prendre en premier en compte. L'intégration se fait surtout par le travail, il ne faut pas oublier que l'on passe quasi plus de temps au travail qu'avec sa famille... Citer
Benito Posté(e) 12 octobre 2006 Posté(e) 12 octobre 2006 Je ne crois pas que l'on peut cracher sur la délégation du Québec comme ça, car en bout d'ligne c'est l'immigrant qui immigre, on ne l'oblige pas ! La Délégation fait un travaille de promotion du Québec, c'est sa job, et si y'en a qui l'on pas compris, ben just too bad... Est-ce que lorsque vous allez achetez une voiture, le vendeur va blaster la marque d'auto qu'il vend, non, il va juste enjoliver la chose. Il va tout dire même les côtés négatifs mais ne va pas trop insister sur les points délicats....Après c'est à l'immigrant de faire la part des choses. Il existe des milliers d'immigrants qui peuvent leur témoigner de leur expérience, notamment via immigrer.com. Il faut juste être ouvert d'esprit et diversifier ses sources de renseignements....aussi, à propos de ceux qui sont surpris que leur études ne valent rien ici : ont-ils demandé leur équivalence de diplome avant de partir ? Ont-ils fait quelques appels au Québec pour connaitre la réalité du terrain? Ont-ils pris le temps de se renseigner sur la reprise d'étude... au cas où ? Citer
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