Habitués 1/4im Posté(e) 10 juillet 2006 Auteur Habitués Posté(e) 10 juillet 2006 ah NON pas de risque il y a un proverbe qui dit :celui qui ne se contente pas d'un pain se contentera de la moitiéil vaut mieux vivre avec les 60% qui reste que de perdre mon visa alors vous etes heureux que je reprend le droit chemin pas :blushing: Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 10 juillet 2006 Habitués Posté(e) 10 juillet 2006 Cela étant dit ce que Janosch te suggère n'est pas fou - puisque ce qui t'intéresse c'est faire un coup de pépète, peut-être devrais-tu lorgner du côté de l'Alberta où tu paierais moins d'impôts... Citer
Habitués MArgaux Posté(e) 10 juillet 2006 Habitués Posté(e) 10 juillet 2006 Plutôt ce qui me désole c'est que tu ais penser à travailler au noir et quitter le chemin de la légalité et qu'il a fallu je ne sais combien de message pour enfin te voir écrire que tu préférais payer tes impots .... Citer
Habitués petiboudange Posté(e) 10 juillet 2006 Habitués Posté(e) 10 juillet 2006 Cela étant dit ce que Janosch te suggère n'est pas fou - puisque ce qui t'intéresse c'est faire un coup de pépète, peut-être devrais-tu lorgner du côté de l'Alberta où tu paierais moins d'impôts...Tiens pour info, le taux d,imposition en Alberta?Comment ça je n'ai pas toutes les ressources? Ben non, j'ai jamais lorgné plus loin à l'Ouest que Ottawa - ah non pas vrai j'ai lorgné mais côté territoire, avec le Yukon, mais pas pour y vivre vraiment- Bon alors, quelqu'un sait? Citer
bis Posté(e) 10 juillet 2006 Posté(e) 10 juillet 2006 Pour les gouvernements provincial et fédéral, qui vole un oeuf vole un boeuf! Ainsi, chaque dollar dissimulé au fisc est traité comme un crime de bandits des grands chemins. Cela se comprend : au Québec, l'économie souterraine ferait perdre plus de trois milliards de dollars par année au gouvernement. Sans compter la fraude fiscale et les centaines de millions que certains contribuables transfèrent dans des paradis fiscaux. Mais pour de nombreux Québécois, le travail au noir n'est que justice devant un État trop gourmand. Qui se fait ainsi cachottier auprès du Grand Percepteur? Les moins de 35 ans sont plus prompts à frauder le fisc que leurs aînés. Ces jeunes qui ne paient pas tous leurs impôts et taxes ne seraient pas plus malhonnêtes que leurs parents : ils se trouveraient plutôt dans une situation économiquement précaire et seraient sceptiques face à l'utilité de l'État. Est-ce justifié? Dans le monde virtuel des dossiers fiscaux, Charles travaille à forfait comme technicien en architecture. Dans la réalité du plancher des vaches, cependant, il est technicien en architecture ET menuisier. Entre deux contrats dans son bureau d'architecture, il use du marteau, de l'égoïne et du rabot à l'insu de l'État. «Je verse déjà pas mal d'impôts et travailler au noir me permet de ramener un peu le balancier de mon bord», se justifie-t-il. L'homme dans la trentaine dissimule, en moyenne, de 15 à 20 % de ses revenus aux gouvernements. Ce jeune papa n'est pas le seul dans cette situation. Quand vient le temps de cacher au fisc les dollars gagnés à la sueur de leur front, les citoyens des générations X, et leurs benjamins Y, n'expriment guère de remords de conscience. Chose certaine, ils ont moins de repentir que leurs parents et leurs grands-parents ont pu en avoir. Les Québécois âgés de 18 à 34 ans seraient presque deux fois plus nombreux à frauder le fisc que les 55 ans et plus. C'est le constat qu'ont fait, il y a six ans, deux chercheurs de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS), Yves Boisvert et Guy Bédard, alors respectivement chercheur en éthique publique et étudiant postdoctoral en science politique à la Chaire Fernand-Dumont sur la culture de l'INRS. Selon leur étude, 71 % des 18 à 34 ans auraient déjà fraudé le fisc, contre à peine 42 % des plus de 55 ans. En clair, les trois quarts des jeunes ont déjà travaillé au noir, acheté des cigarettes de contrebande, «oublié» de rapporter certains achats effectués à l'étranger ou ont trouvé une astuce pour ne pas payer toutes les taxes sur leurs emplettes.Assiste-t-on à une révolte fiscale des jeunes? À une crise morale et éthique? Certains experts jugent que les difficultés des jeunes à joindre les deux bouts motivent davantage leurs actes que l'absence de considérations morales ou politiques. «Certains d'entre eux ont du mal à se loger ou à manger correctement : quand vient le temps de payer leurs impôts, ils se disent que cet argent-là, ils en ont besoin», estime Pierre P. Tremblay, du Département de science politique de l'Université du Québec à Montréal, et dont les travaux sur les contribuables québécois ont été le point de départ pour l'étude de l'INRS sur les fraudeurs. Les jeunes, en effet, vivent dans la précarité plus que leurs aînés : en 2003, 47 % des travailleurs québécois de 15 à 29 ans occupaient un emploi à temps partiel, temporaire ou autonome, contre 35 % pour l'ensemble de la main-d'oeuvre de la province, note l'Institut de la statistique du Québec. La précarité, Sophie connaît. Cette brunette se débrouille avec un revenu annuel de moins de 18 000 $, des contrats très courts et des petits boulots de traduction qu'elle fait à titre de travailleuse autonome. Elle cache environ 10 % de ses revenus de traductrice au fisc. «Je suis une fausse travailleuse autonome, explique la jeune femme de 31 ans. Mes clients me demandent de travailler dans leurs bureaux, avec leur matériel, pour de longues périodes, mais me paient comme une contractuelle. Je n'ai pas droit à l'assurance-emploi ni aux prestations de la CSST parce que je ne suis pas une "vraie salariée" et, comme j'utilise leur matériel, je n'engage pas de dépenses en tant qu'entreprise. Je ne peux pas déduire de revenus. Je me fais donc mes propres crédits d'impôt en travaillant un peu au noir.» La tentation de se faire ainsi justice est d'autant plus grande qu'elle peut cacher plus facilement ses revenus au gouvernement qu'un «vrai salarié» qui, lui, reçoit un relevé T4 de son employeur. «Si je me fais prendre, ce sera facile de dire que j'ai "oublié" d'inclure une de mes factures dans ma déclaration d'impôts», explique Sophie. «Les travailleurs autonomes ne sont pas particulièrement malhonnêtes, mais il ne faut pas oublier que la fraude fiscale et les avantages sociaux sont les deux faces d'une même médaille : on parle beaucoup de la première mais peu de la deuxième», regrette Martine d'Amours, sociologue et codirectrice du Groupe de recherche sur les transformations du travail, des âges et des politiques sociales de l'INRS. Lorsque des revenus donnent droit à des indemnisations, il semble logique de les déclarer. Après tout, plus on déclare, plus on récolte de chômage, du moins quand on est salarié. Le choix est moins évident quand une déclaration se résume à payer des impôts et à ne pas nécessairement être admissible aux indemnisations, comme l'assurance-emploi ou la CSST, auxquelles les salariés ont droit. «Les jeunes se demandent pourquoi ils paient des impôts alors qu'il n'y a plus d'emplois à vie dans la fonction publique, que les soins de santé universels sont remis en question et que le régime des prêts et bourses est de moins en moins généreux.» - Jacques hamel, professeur, université de montréalCe n'est peut-être pas un hasard si les bénéficiaires de l'aide sociale - qui reçoivent des prestations notoirement insuffisantes - sont plus susceptibles que d'autres d'oeuvrer clandestinement. C'est ce qu'a découvert Bernard Fortin, professeur d'économie à l'Université Laval. Avec son équipe, il a mené la plus récente enquête sur le travail au noir au Québec publiée en 1996 sous le titre de L'économie souterraine au Québec : mythes et réalités (Presses de l'Université Laval, 1996). À l'image des Bougon, les pauvres gonflent leur portefeuille comme ils peuvent. Mais contrairement aux personnages de la télésérie, le travail au noir serait moins une combine pour s'enrichir qu'une façon de mettre un peu de beurre sur les épinards. La preuve, chaque fraudeur tire à peine 3 443 $ par année, en moyenne, de ses activités «souterraines», fait savoir l'enquête. Pas de quoi s'ouvrir un compte en banque en Suisse. Cette propension à la fraude des jeunes s'explique aussi par le fossé grandissant qui sépare l'État des citoyens. «À la fin des années 1990, 58 % des Québécois disaient qu'ils payaient trop d'impôts et de taxes pour les services qu'ils recevaient et 83 % jugeaient que le gouvernement était mal administré. Or, si la situation a changé depuis, elle s'est plutôt aggravée», estime Pierre P. Tremblay. Les jeunes, en particulier, croient de moins en moins à l'État, dit Jacques Hamel, professeur de sociologie à l'Université de Montréal. «Ils se demandent pourquoi ils paient des impôts alors qu'il n'y a plus d'emplois à vie dans la fonction publique, que les soins de santé universels sont remis en question et que le régime des prêts et bourses est de moins en moins généreux.» Sans compter qu'avec le vieillissement de la population, il y aura de moins en moins de jeunes pour soutenir les papy-boomers... de plus en plus nombreux. De quoi décourager n'importe qui. Le peu de cas de conscience dont les jeunes font preuve à l'égard de la fraude fiscale inquiète toutefois Jacques Hamel. «Cela veut dire qu'ils ne se reconnaissent plus dans les instances chargées de trouver des solutions collectives», dit l'universitaire. On l'a vu, en février, quand des étudiants ont essayé de défoncer une porte du Château Montebello pour accéder aux députés du Parti libéral du Québec, qui y étaient rassemblés. «On dirait que les jeunes sont moins conciliants face aux instances politiques, avance le sociologue. D'ailleurs, des études montrent qu'ils s'investiraient davantage dans des organismes locaux ou régionaux, où ils ont plus d'emprise.» La popularité de l'émission Les Bougon, diffusée à la télé de Radio-Canada, reflète cet état d'esprit. «Les Québécois ne voient pas nécessairement la fraude d'un bon oeil, mais quand ils voient leurs politiciens les tromper - il suffit de penser au scandale des commandites -, ils se disent "ils nous fourrent tellement que nous aussi on va les fourrer un peu"», estime François Avard, coscénariste de l'émission. Cependant, l'écrivain reste optimiste. «C'est un balancier : la société va s'éloigner de cet individualisme et revenir vers des notions de partage», croit-il. Pierre P. Tremblay, lui, se préoccupe peu des jeunes fraudeurs. «Ils ne font pas de la "vraie" fraude fiscale, à l'inverse d'Enron ou de Cinar. Les jeunes et les travailleurs qui vivent dans la précarité font plutôt de la délinquance fiscale. L'occasion fait le larron : quand ça adonne, un plombier fera des jobines au noir après sa journée de travail, par exemple.» «En embauchant quelqu'un au noir, un entrepreneur de la construction économise 40 % en ne payant pas les avantages sociaux que reçoit un ouvrier syndiqué.»- André Martin, porte-parole, ccq Mais pour Revenu Québec, il n'y a pas de petites et de grandes fraudes. Il n'y a que des fraudes! Son site Internet précise que les différentes formes d'évasion fiscale font perdre des revenus énormes au gouvernement et qu'elles alourdissent la charge fiscale des citoyens qui paient leurs impôts. Pour l'État, qui se nourrit aux poches de la société, le travail au noir n'a rien de banal.«Les emplois au noir, ce sont souvent des jobines de soir ou de fin de semaine : on y trouve donc beaucoup d'étudiants», tempère Bernard Fortin, qui est aussi titulaire de la Chaire de recherche du Canada en économie des politiques sociales et des ressources humaines. «Avec la situation désastreuse des prêts et bourses, ça ne risque pas de s'améliorer : s'ils déclarent leurs revenus d'été, les étudiants ont moins de chances d'être boursiers», ajoute Jacques Hamel. Plusieurs choisiraient donc d'aller underground ou de se faire offrir un ordinateur plutôt qu'un salaire imposable. Les jeunes ne sont pas les seuls responsables de leur fraude. Leurs employeurs partagent le blâme. Parfois, ce sont ces derniers qui souhaitent que le travail se fasse à l'ombre. Dans le commerce de détail, notamment, des employeurs embauchent des «travailleurs ponctuels» pour venir à bout d'un surcroît de travail temporaire. «Pendant la période des fêtes, il nous arrive d'embaucher pour quelques semaines des personnes qui retirent de l'aide sociale ou de l'assurance-emploi et qui cherchent un revenu d'appoint. Il y a aussi des étudiants qui n'ont pas intérêt à déclarer des revenus pour ne pas mettre en péril l'obtention de leurs prêts et bourses, explique Caroline (nom fictif), gérante dans une boutique populaire de Montréal. Ça ne vaudrait pas la peine de mettre quelqu'un sur le payroll pour une si courte période, et ces personnes sont toujours disponibles pour ce type de contrat.» D'un point de vue financier, les employeurs ont aussi tout à gagner à recruter au noir. «En embauchant quelqu'un au noir, un entrepreneur de la construction économise 40 % en ne payant pas les avantages sociaux que reçoit un ouvrier syndiqué», dit André Martin, porte-parole de la Commission de la construction du Québec (CCQ). En effet, il «échappe» ainsi à ses cotisations à la CCQ, à la CSST, à la Régie des rentes du Québec et à l'indemnité de congé. Résultat, il peut soumissionner à un prix qui bat toute compétition... et obtenir le contrat. On s'en doute : personne ne sait exactement combien de jeunes ou de travailleurs ne déclarent pas leurs heures de travail sur les chantiers. «Mais on peut penser que si on demande à un jeune de travailler au noir, il sera moins en mesure de refuser qu'un ouvrier plus âgé qui est reconnu pour ses compétences», estime André Martin. «Si un client lui propose "d'oublier" de lui facturer les taxes, un jeune entrepreneur de la construction qui n'a pas encore établi sa réputation ne peut pas vraiment dire non : son seul argument de vente est son bas prix», renchérit David Foster, chargé de projets à l'Association canadienne des constructeurs d'habitation. On ne sait pas non plus qui sont les employés au noir dans la restauration. «Mais on sait que ces travailleurs sont plus nombreux dans les établissements indépendants qui ont cinq ou six employés et qui ne sont pas syndiqués», indique Benoît Boulet, représentant syndical au Syndicat des métallos, où sont regroupés quelque 5 000 travailleurs de la restauration et de l'hôtellerie. Or, «grosso modo, plus de 80 % des restaurants au Québec sont indépendants, moins de 10 % d'entre eux sont syndiqués et 60 % de la main-d'oeuvre y a moins de 34 ans», énumère François Meunier, vice-président aux affaires publiques à l'Association des restaurateurs du Québec. Le terrain est propice... Ceci dit, en vieillissant, les jeunes augmentent leurs chances d'occuper des emplois plus stables où il est moins facile de cacher ses revenus. «Je ne demande pas mieux que de trouver suffisamment de contrats pour arriver à payer mes impôts!» dit Sophie, qui espère être sortie de «cette galère» dans quelques années. Avec l'âge vient aussi le désir de fonder une famille ou de s'acheter une maison. La sécurité financière devient alors plus importante. «Quand j'étais célibataire, ça ne me dérangeait pas de ne pas avoir droit à la CSST si je me blessais, admet Charles. Cela a changé depuis que j'ai un enfant.» Mais, papa ou pas, il continuera à cacher la moitié de ses revenus au fisc. «Parce que ceux qui ont vraiment beaucoup d'argent sont ceux qui paient le moins d'impôts», se justifie-t-il. «On dirait que la désillusion du public envers ceux qui les gouvernent est complète et que les Québécois souffrent d'une écoeurite», conclut François Avard. Et c'est le fisc qui écope! Citer
Habitués 1/4im Posté(e) 10 juillet 2006 Auteur Habitués Posté(e) 10 juillet 2006 Plutôt ce qui me désole c'est que tu ais penser à travailler au noir et quitter le chemin de la légalité et qu'il a fallu je ne sais combien de message pour enfin te voir écrire que tu préférais payer tes impots ....et ben oui mais c votre faute vous auriez dut me dire avant que je pouvais perdre ma residence permanente mais je suivrai le droit chemein jusqua l'optention de la nationalite aprés je reverais ma situation mais il reste une personne que j'aimerais bien avoir son avis c cherry oû est tu donne moi ton avis sur ce sujet aller a demain cher amis Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 10 juillet 2006 Habitués Posté(e) 10 juillet 2006 Il me semble que le taux provincial en Alberta est de 10% pour tout le monde (1/4im, avant de sauter de joie, sache que tu dois aussi payer des impôts fédéraux). Quelqu'un a une référence comparative des provinces ? Citer
Habitués MArgaux Posté(e) 10 juillet 2006 Habitués Posté(e) 10 juillet 2006 Et en plus c'est de notre faute !!!! mieux vaut être aveugle que de lire ca ... et le pire c'est que tu continue en disant maintenant que tu vas attendre la citoyenneté !!!! Reste chez toi avec de telles pensées .... Ca me dégoute de lire ca ....Et vous québécois/canadiens de souche, ca vous fait quoi de lire ca ???? Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 10 juillet 2006 Habitués Posté(e) 10 juillet 2006 Et vous québécois/canadiens de souche, ca vous fait quoi de lire ca ????Bof, soit c'est un troll et y'a pas de quoi s'énerver, soit c'est un grand naïf qui rêve en couleurs et mieux vaut "péter sa balloune" avant qu'il ne soit trop tard... en tout cas il aime la provoc', ça devrait être un signe, non ? Citer
Habitués Jade Posté(e) 10 juillet 2006 Habitués Posté(e) 10 juillet 2006 et ben oui mais c votre faute vous auriez dut me dire avant que je pouvais perdre ma residence permanente mais je suivrai le droit chemein jusqua l'optention de la nationalite aprés je reverais ma situation Ah 1/4im, je me disais bien comme le dit la chanson : "paroles, paroles et paroles" ou encore "chassez le naturel, il revient au galop". En conclusion, ta réponse ne me surprend pas Quelle mentalité dégeulasse ! :crazy: Attention, la roue peut très vite tourner et pas du bon côté. A bon entendant Citer
Habitués petiboudange Posté(e) 10 juillet 2006 Habitués Posté(e) 10 juillet 2006 Plutôt ce qui me désole c'est que tu ais penser à travailler au noir et quitter le chemin de la légalité et qu'il a fallu je ne sais combien de message pour enfin te voir écrire que tu préférais payer tes impots ....et ben oui mais c votre faute vous auriez dut me dire avant que je pouvais perdre ma residence permanente mais je suivrai le droit chemein jusqua l'optention de la nationalite aprés je reverais ma situation mais il reste une personne que j'aimerais bien avoir son avis c cherry oû est tu donne moi ton avis sur ce sujet aller a demain cher amisAh ah ah t'es décidément ... pas drôle En admettant que tu obtiennes ta citoyenneté, tu seras autant pauvre et au lieu de l'expulsion t'ira en prison!Bravo, au moins tu n'auras plus d'impôts à payer!Y en a qui sont soit c*** soit c***... Citer
Habitués Janosch Posté(e) 10 juillet 2006 Habitués Posté(e) 10 juillet 2006 (modifié) Plutôt ce qui me désole c'est que tu ais penser à travailler au noir et quitter le chemin de la légalité et qu'il a fallu je ne sais combien de message pour enfin te voir écrire que tu préférais payer tes impots ....et ben oui mais c votre faute vous auriez dut me dire avant que je pouvais perdre ma residence permanente mais je suivrai le droit chemein jusqua l'optention de la nationalite aprés je reverais ma situation mais il reste une personne que j'aimerais bien avoir son avis c cherry oû est tu donne moi ton avis sur ce sujet aller a demain cher amisBen t'es gonflé quand meme! Mais cela dit je peux comprendre ce sentiment de bosser une semaine 1/2 par mois exclusivement pour l'Etat et la frustration en regardant ta feuille de paye, et la tentation est grande de frauder, mais il faut resister a la malhonneteté!Il ne tient qu'a toi de gagner plus d'argent, en lancant ta propre entreprise par exemple, mais pas en commencant a voler l'Etat...D'ailleurs, vu que les impots sont preleves a la source, quel est l'employeur qui se mouillerait pour payer quelqu'un au black, vu que de toute facon pour lui c'est la meme chose? Je veux dire, les impots sont preleves a la source; si l'employeur restitue cette part a l'employe il n'y gagne rien, c'est la meme chose, sauf qu'il se met dans l'illegalite non? et ben oui mais c votre faute vous auriez dut me dire avant que je pouvais perdre ma residence permanente mais je suivrai le droit chemein jusqua l'optention de la nationalite aprés je reverais ma situation Ah 1/4im, je me disais bien comme le dit la chanson : "paroles, paroles et paroles" ou encore "chassez le naturel, il revient au galop". En conclusion, ta réponse ne me surprend pas Quelle mentalité dégeulasse ! :crazy: Attention, la roue peut très vite tourner et pas du bon côté. A bon entendant En clair 1/4im, tu es un voleur né. Non sans rire tu as l'air tellement malhonnete que je me demande si c'est pas de la provoc..Comme disait mon prof de physique, "y en a tu leur donne la main et ils veulent t'arracher tout le bras". Modifié 10 juillet 2006 par Janosch Citer
Habitués darkness Posté(e) 10 juillet 2006 Habitués Posté(e) 10 juillet 2006 salut,ca fait 1/2 heure que je lis ce post,et ca me fais rire!franchement,comme le dit certain dans ce forum,pourquoi immigrer au quebec alors que la france a mon gout doit etre encore mieux placè pour faire du black!en plus avec toutes les aides sociales que tu as t'as meme pas besoin de bosser!direct le black et meme si t'as pas de papier,tu fais la creve de la faim,y'aura toujours des associations de c....ards qui defendrons ton droit!!!!pour que tu restes chez nous,et cerice sur le gateau,tu payes pas un centimes d'impots vu que tu touchera le RMI,tu aura droit au aide pour le logement et j'en passe,ca sera nous honnete travailleurs qui payerons pour toi,l'eldorado quoi,sauf pour les travailleurs Citer
Habitués peanut Posté(e) 10 juillet 2006 Habitués Posté(e) 10 juillet 2006 le pire, c'est que 1/4im est peut-être le plus franc de tous...j'imagine qu'il doit y avoir plein de gens qui pensent comme lui mais qui ne le diront jamais...et qui vont immigrer ici quand même! Je me demande ce que tu penserais de ma situation...j'ai toujours été travailleuse autonome et à tous les 3 mois, j'envois mes acomptes provisionnels, et ce serait si facile de frauder...on ne me demande aucun papier justifiant mes revenus, et je peux te dire que j'en paie beaucoup de l'impôt...mais je prends des REER et en même temps, je me fais mon propre fond de retraite... Je n'ai droit à aucune assurance-chomâge si je perds mon emploi imagine toi donc! Mais il ne m'est jamais venu à l'idée de ne pas payer d'impôt...la protection sociale que nous avons, il faut bien qu'elle se paie quelque part...peanut Citer
Habitués glycine Posté(e) 10 juillet 2006 Habitués Posté(e) 10 juillet 2006 1/4im réveille-toi!!tu dors dans un puits, tu connais le dicton : bien mal acquis ne profite jamais et puis je pense que tu es musulman , dans ta religion et les autres aussi on t'apprend à voler?une personne, l'état?Y a un tas de gens chez nous qui ont fait ça pendant des années eh bien ils s'en mordent les doigts car l'état les a attrapé...ils croupissent dans les prisons ou se suicident. Tu es gonflé faire tout ce processus pour immigrer et tu parles déjà de tromper vite ou plus tard.Québec a des lois: avec des hauts et des bas.J'arrête.Dégoutée! Citer
Habitués darkness Posté(e) 10 juillet 2006 Habitués Posté(e) 10 juillet 2006 greve de la faim et non pas creve de la faim! Citer
Habitués nelju Posté(e) 11 juillet 2006 Habitués Posté(e) 11 juillet 2006 Il me semble que le taux provincial en Alberta est de 10% pour tout le monde (1/4im, avant de sauter de joie, sache que tu dois aussi payer des impôts fédéraux). Quelqu'un a une référence comparative des provinces ?Oui.Les taux progressifs suivants s'appliquent au fédéral pour 2006 Taux d'imposition des provinces et territoires pour 2006Taux d'imposition Quebec Citer
Lebowski Posté(e) 15 juillet 2006 Posté(e) 15 juillet 2006 j'arrive avec ma famille à Québec (QC) avec un emploi en poche. Ce qui est déjà en soi un point plus qu'appréciable pour ceux qui souhaitent immigrer. J'ai une question sur le régime des impôts qui si j'en crois les discussions qui précédent est un sujet plutôt chaud. Si j'ai bien lu certains témoignages, des déductions fiscales existes. Que se passe-t-il lorsqu'on arrive avec un conjoint sans emploi et 2 enfants à charge......... Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 15 juillet 2006 Habitués Posté(e) 15 juillet 2006 Si j'ai bien lu certains témoignages, des déductions fiscales existes. Que se passe-t-il lorsqu'on arrive avec un conjoint sans emploi et 2 enfants à charge.........Evidemment à ce moment là vous avez droit à des déductions pour personnes à charge. Ce sont les célibataires qui sont les plus lourdement imposés. Citer
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