Les déménagements au Canada

[Invité]

Bonjour,

oui je sais je suis obstiné mais je dois avouer que cela m'intéresse plus que les débats sur les machines à laver même si je prends la peine d'y participer.

Alors j'élargis le sujet et si certains essaient de le devier ,s'il vous plaît ignorez les.

Donc quelles sont les raisons qui poussent les immigrants et les québecois à changer de province,sachant que cela constitue bien souvent une seconde immigration,compte tenu des distances,et des différences entre les diverses provinces canadiennes.

[yochinette]

Bonjour,

oui je sais je suis obstiné mais je dois avouer que cela m'intéresse plus que les débats sur les machines à laver même si je prends la peine d'y participer.

Alors j'élargis le sujet et si certains essaient de le devier ,s'il vous plaît ignorez les.

Donc quelles sont les raisons qui poussent les immigrants et les québecois à changer de province,sachant que cela constitue bien souvent une seconde immigration,compte tenu des distances,et des différences entre les diverses provinces canadiennes.

Peut-être tout simplement les mêmes raisons qui les ont poussés à quitter leurs pays d'origine. :closedeyes:

[rotur74]

Pour les immigrants, je pense que le plus dur est le premier "arrachement" à son pays, sa ville, ses habitudes. Après ça, il me semble qu'il est bien plus facile de bouger car de toutes façon, tu es un peu un "étranger" partout. Bouger par opportunisme (emploi mieux payés,...etc) est donc bien plus facile, les hésitations et les poids dans la balances ne sont plus jamais les meme (à mon sens).

[Equinox]

Lorsque tu immigres, tu cherches un autre travail, un autre plaisir dans la vie. Tu fuis ce qui te déplait, tu te fuis toi-même quelque fois. Lorsque je suis arrivé au Québec, (après 3 séjours), j'ai trouvé pas mal de plaisir que j'avais perdu en france et un travail qui m'a réconcilié avec la médecine (eh oui).

Aujourd'hui je vis au Cap et je vais chercher une autre maison pour immigrer dans un autre quartier qui correspondra mieux à ce que nous désirons, des ajustements en quelque sorte. Alors qu'est ce qui pousse à changer : on ajuste nos désirs en fonction de l'état d'esprit du moment.

Bon je vais me coucher avec une aspirine :damned:

[Invité]

merci pour ces premières réponses à tous les trois

[yochinette]

merci pour ces premières réponses à tous les trois

De rien et puis, il n'y a pas que les laveuses dans la vie

[Eric.M]

Pour les immigrants, je pense que le plus dur est le premier "arrachement" à son pays, sa ville, ses habitudes. Après ça, il me semble qu'il est bien plus facile de bouger car de toutes façon, tu es un peu un "étranger" partout. Bouger par opportunisme (emploi mieux payés,...etc) est donc bien plus facile, les hésitations et les poids dans la balances ne sont plus jamais les meme (à mon sens).

C'est exactement ma facon de penser... y'a que le premier pas qui coute...

Aprés, si l'envie nous prend, le Canada est grand et le monde vaste B)

[schumarette]

C'est tellement vrai : le premier départ est surement le plus difficile. Après, finalement, c'est une continuité de notre vie.

Lorsque l'on a fait 7000 kms et plus, on n'est plus à quelques kilomêtres près. Même si le Yukon ou l'Alberta sont presque aussi loin !!

Mes enfants (les grands), surtout les garçons, me parlent eux aussi de partir pour l'Alberta ou la Colombie-Britannique. Je me dis que sans doute, on leur a surement donné un plus en immigrant : ils n'auront plus peur de bouger.

Si je quitte le Québec un jour Boréon (ce qui peut être probable car j'avoue que le monde anglophone m'attire tout en me faisant un peu peur : la langue), ce sera sans doute parce que je serai tannée de certaines choses du Québec ou parce que je pense que l'herbe est plus verte ailleurs !! Ce qui n'est peut être pas vrai d'ailleurs, mais bon, en idéaliste que je suis, on ne se refait pas :angelus:

[isseo17]

Hello

Nous nous sentons très bien au Québec. La seule chose qui pourrait nous faire déménager ( encore !!!! ) pour une autre province, serait une opportunité de job plus intéressante pour mon homme.

Il travaille au Québec pour une boite Ontarienne et on lui a demandé à l'embauche s'il était prêt à bouger !

Il a bien sûr dit oui, mais honnêtement, aujourd'hui, je trouverais ça très dur de devoir repartir : notre trou ici est fait et bien fait !

Maintenant, seule ou juste en couple, peut-être que le goût de l'aventure serait le plus fort. J'ai fait un stage agricole en Alberta pendant mes études et en garde un souvenir...extraordinaire !

[Invité]

merci pour vos reponses