Habitués chamy Posté(e) 30 novembre 2020 Habitués Posté(e) 30 novembre 2020 ALLO tout le monde . J`espère que vous allez bien . comme le Canada tout entier est un pays d`immigration, alors ce sujet est intéressant au sens des bonnes ouvertures les uns aux autres . et donc ne pas rester renfermer sur soi . Aussi très bénéfique sur les plans d`intégration et de l`acceptation de la différence. y a ca aussi, Comment faire pour y ajouter un peu de diversité ? des Canadiens (nes) ? des québécois (ses) ? des Français ? des Maghrébins ? des chinois ? ETC, Et vis vers ca . ? Qu`en pensez vous ? ............................. d`après le bon journal : L`Actualité `` La Quotidienne`` : Mon cercle d’amis est uniformément blanc. Comment faire pour y ajouter un peu de diversité ? Je m’appelle Mathieu Charlebois et chaque mois, je réponds à vos grands questionnements existentiels. Art de vivre Mathieu vous répond Mathieu Charlebois 5 août 2020 2 Illustration : Stéphanie Aubin Dans sa chanson « Talent », le groupe Avec pas d’casque lance : « Et je réalise que je connais davantage de lesbiennes que de gens de couleur. » Je l’avoue, c’est aussi mon cas. « C’est peut-être un hasard », ajoute la chanson. Je l’espère, parce qu’autrement, ça dirait quelque chose de gênant. Mal équipé pour répondre, j’ai appelé Vanessa Destiné, coanimatrice du balado Pigments forts, une émission qui parle des questions liées à la diversité « en partant du point de vue des personnes racisées ». Et ce point de vue, elle me l’a donné d’emblée : « Nous ne sommes pas des Pokémon à collectionner ! Il y a un grand malaise à voir quelqu’un arriver et te regarder comme un objet de fascination. On ne veut pas être fétichisés. » On ne recommandera évidemment pas de partir en safari ethnologique, à la chasse à « l’ami exotique ». On peut bien aller traîner là où il y a de la diversité, mais on ne peut rien forcer. Les amitiés viennent d’abord de notre milieu de vie. Est-ce simplement normal d’avoir un réseau homogène ? Après tout, Vanessa connaît des personnes noires nées à Montréal-Nord qui n’ont pas d’amis blancs. Comme elle l’explique, « la ghettoïsation fait partie de la socialisation ». Un malaise demeure quand même en voyant à quel point notre réseau social est replié sur lui-même, ce qui nous prive de regards uniques sur le monde. (On présume que c’est ce que vous cherchez en diversifiant vos amitiés, et non pas un moyen de faire de plus belles photos pour votre compte Instagram, façon pub de Benetton.) Cela dit, vos nouveaux amis n’auront pas nécessairement envie de vous expliquer la vie. Servir de référence pour tout ce qui a rapport à la diversité, c’est lourd, rappelle Vanessa. « Si tu as besoin de trouver des réponses, il y a des organismes dont c’est le travail de faire de l’éducation. Moi, je veux être une personne avant d’être une personne noire. » On peut d’ailleurs être un bon allié sans être ami personnellement avec quelqu’un. « Il suffit d’être à l’écoute des enjeux importants. Avec Internet, ce n’est pas si difficile. » Et le jour où vous aurez un ami plus foncé que vous, de grâce, gardez-le hors des phrases qui commencent par « Je ne peux pas être raciste, j’ai un ami… » Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 30 novembre 2020 Habitués Posté(e) 30 novembre 2020 Des amitiés, ça se forme naturellement, avec le temps, sur la base d'affinités et d'expériences communes. Ce n'est pas comme une collection de timbres ("il me manque un Noir, un Chinois, un-e trans...") ! Qc19, veniziano, Azarielle et 1 autre ont réagi à ceci 2 2 Citer
Habitués chamy Posté(e) 30 novembre 2020 Auteur Habitués Posté(e) 30 novembre 2020 il y a 12 minutes, bencoudonc a dit : Des amitiés, ça se forme naturellement, avec le temps, sur la base d'affinités et d'expériences communes. Ce n'est pas comme une collection de timbres ("il me manque un Noir, un Chinois, un-e trans...") ! tu as amplement raison. on parles pas ici du comment former les amis (es). mais , la journaliste explique un état des lieu , un repli sur soi ` groupe` ``les bulles``: il y a 37 minutes, chamy a dit : « la ghettoïsation fait partie de la socialisation ». Un malaise demeure quand même en voyant à quel point notre réseau social est replié sur lui-même, ce qui nous prive de regards uniques sur le monde il y a bien d`autres enquêteurs ``journalistes `` le disent aussi . au Québec AUSSI. mais moi , je ne généralise pas ....AAAAA non jamais. ce n`est pas de mon habitude ni de mon éducation ….aussi non replié sur moi ...! Citer
Habitués chamy Posté(e) 30 novembre 2020 Auteur Habitués Posté(e) 30 novembre 2020 il y a 1 minute, chamy a dit : tu as amplement raison. on parles pas ici du comment former les amis (es). mais , la journaliste explique un état des lieu , un repli sur soi ` groupe` ``les bulles``: il y a bien d`autres enquêteurs ``journalistes `` le disent aussi . au Québec AUSSI. mais moi , je ne généralise pas ....AAAAA non jamais. ce n`est pas de mon habitude ni de mon éducation ….aussi non replié sur moi ...! ce n`est qu`un sujet très intéressant et d`actualité qui concerne ceux ou celles qui vivent ensemble au Canada , Canadiens nes / Quebecois ses / Immigrants tes / Autochtones / ...etc. Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 30 novembre 2020 Habitués Posté(e) 30 novembre 2020 (modifié) Ben....non. Le journaliste parle de son expérience. Ça peut dépendre de l'endroit où il vit, d'où il a fait ses études, d'où il travaille, de son domaine de travail, de ses intérêts, de ses loisirs préférés, etc. Et des hasards de la vie. On parle d'amitiés, n'est-ce pas, pas de simples rapports agréables avec des connaissances. Modifié 30 novembre 2020 par bencoudonc Citer
Habitués chamy Posté(e) 30 novembre 2020 Auteur Habitués Posté(e) 30 novembre 2020 il y a 3 minutes, bencoudonc a dit : Ben....non. Le journaliste parle de son expérience. Ça peut dépendre de l'endroit où il vit, d'où il a fait ses études, d'où il travaille, de son domaine de travail, de ses intérêts, de ses loisirs préférés, etc. Et des hasards de la vie. AAA non , le journaliste cherche des réponses pour diversifier sérieusement son cercle d`amis es et donc casser ces replis et cette ghettoïsation : il y a une heure, chamy a dit : Mal équipé pour répondre, j’ai appelé Vanessa Destiné il y a une heure, chamy a dit : j’ai appelé Vanessa Destiné, coanimatrice du balado Pigments forts, une émission qui parle des questions liées à la diversité « en partant du point de vue des personnes racisées ». il y a une heure, chamy a dit : Les amitiés viennent d’abord de notre milieu de vie. Est-ce simplement normal d’avoir un réseau homogène ? il y a une heure, chamy a dit : Un malaise demeure quand même en voyant à quel point notre réseau social est replié sur lui-même, ce qui nous prive de regards uniques sur le monde. (On présume que c’est ce que vous cherchez en diversifiant vos amitiés, et non pas un moyen de faire de plus belles photos pour votre compte Instagram, façon pub de Benetton.) crois moi chère BEN , c`est LE Sujet d`actualité .......compris pour attirer réellement assez de gens et immigrations aux valeurs du Québec.....comme par exemple , gagner la batail de la langue Française au max au Québec....... etc. mais rester replié ,renfermé, ... ca ne va pas faire avancer assez de choses. crois moi. Citer
Habitués kobico Posté(e) 30 novembre 2020 Habitués Posté(e) 30 novembre 2020 il y a 18 minutes, bencoudonc a dit : Ben....non. Le journaliste parle de son expérience. Ça peut dépendre de l'endroit où il vit, d'où il a fait ses études, d'où il travaille, de son domaine de travail, de ses intérêts, de ses loisirs préférés, etc. Et des hasards de la vie. On parle d'amitiés, n'est-ce pas, pas de simples rapports agréables avec des connaissances. En fait, c'est un blogue humoristique. Mathieu Charlebois commence chacun de ses textes par "Je m’appelle Mathieu Charlebois et chaque mois, je réponds à vos grands questionnements existentiels." Cette fois-ci, il a imaginé la question existentielle de trouver son cercle d'amis trop blanc. Voir la liste de ses textes ici: https://lactualite.com/auteur/mathieuc/ bencoudonc, chamy et jimmy ont réagi à ceci 3 Citer
Habitués chamy Posté(e) 1 décembre 2020 Auteur Habitués Posté(e) 1 décembre 2020 il y a 3 minutes, kobico a dit : un blogue humoristique. Mathieu Charlebois par un bon humeur , on peut traiter des grands sujets très intéressant et d`actualité..... allons , prenons par exemple la belle série Québécoises d``humour `` les beaux malaises `` que je n`avais raté aucune épisodes et qui traite assez de choses très importantes au Québec. comme par exemple être servi par la Langue Française......crois ca m`a fait beaucoup rire en traitant parfois de gros sujet de valeurs québécoises ... Citer
Habitués veniziano Posté(e) 8 décembre 2020 Habitués Posté(e) 8 décembre 2020 Le 2020-11-30 à 19:03, chamy a dit : par un bon humeur , on peut traiter des grands sujets très intéressant et d`actualité..... Dans la vie c'est plus difficile de faire des amis que de faire (e)des petit(e)s-ami(e)s, car l'attirance dans le cas d'amour/désire peut se mettre en place rapidement et voila que le couple se forme puis par la suite pourrait durer ou pas, par contre pour le cas de l'amitié il faut savoir que ça ne se cherche pas et c'est pas quelque chose qui va être cueillie en passant par tel ou tel chemin ou endroit mais c'est vraiment une relation qui prend avec le temps et qui est la résultante d'une longue durée de partage de choses communes entre deux êtres(études, sports, voisinage ....etc). Alors si, en plus, de cette difficulté citée en haut, tu rajoutes la difficulté de faire des amis dans un contexte d'immigration où tu n'as plus 15 ou 18 ans, tu as des responsabilités, pas assez de temps à consacrer aux autres et donc pas assez de temps à passer avec les gens, je me demande dans ce cas la comment cette "amitié" pourrait vraiment naitre et être entretenue par la suite ! Il y a autre chose qui fait que les amitiés ne se forment pas facilement est que la nature des québecois n'étant pas très chaude et très sociable comme celle par exemple des africains, les latins ou les maghrébins, ici une fois arrivée, tu verras que tous le monde est gentille et courtois, souriant et doux mais pas plus, dans la mesure où après ta première année, tu vas voir que tes connaissances sont pleines (travail, études, voisinage ...etc) mais que tu ressens ce vide car il y a aucune personne que tu pourras qualifier d'"ami(e)" mais c'est juste des connaissances avec des relations respectueuses s=certes mais juste superficielles. Le contexte fait que tu auras peut être juste un ami avec le temps et ce dernier va surement être un immigrant comme toi, qui a fait ton parcours et te comprend le mieux. Ici le cercle d'amis qui ressemble à ce qu'on avait dans le pays d'origine (famille, voisins, amis d'études, amis au travail ...etc) n'existe pas et n’exigera jamais et donc tu vas devoir prendre l'habitude de te contenter que de un ou deux amis dans ta nouvelle vie. Le reste, même si cela te parait nombreux, ne seront en réalité que des relations superficielles circonstancielles. Citer
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