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salut tous le monde ,

je vient d arrive comme travailleur temporaire et  j aimerai savoir  si sa serai intéressant que je face une demande via arrima ? ou j attend de pouvoir faire une demande peq 

merci d avance pour vos conseille 

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Le 2021-01-31 à 12:53, Antho7110 a dit :

salut tous le monde ,

je vient d arrive comme travailleur temporaire et  j aimerai savoir  si sa serai intéressant que je face une demande via arrima ? ou j attend de pouvoir faire une demande peq 

merci d avance pour vos conseille 

 

 

Salut, vu le temps désormais nécessaire pour obtenir le csq via le peq je vous conseille de plutôt faire valider votre offre d'emploi puis d'appliquer sur Arrima.

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Une fois avoir fait la demande de PEQ, il faut attendre 6 mois ?

 
 
Salut, vu le temps désormais nécessaire pour obtenir le csq via le peq je vous conseille de plutôt faire valider votre offre d'emploi puis d'appliquer sur Arrima.


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Quelle silence de mort !!
Ce groupe qui nous donnait tant d'espoir...
Les gens sont dépassés par la lenteur des choses.

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Quelle silence de mort !!
Ce groupe qui nous donnait tant d'espoir...
Et c'est normal.

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Emploi : un salon en ligne pour s'expatrier au Canada, qui recherche des francophones

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Par franceinfo – Radio France

Mis à jour le 10/02/2021 | 08:43 – publié le 10/02/2021 | 08:43

Le Canada ouvre ses portes aux Français. Un grand salon virtuel de recrutement va ouvrir ses portes le 26 février. C'est maintenant qu'il faut s'inscrire. Des milliers de postes sont disponibles.

Le Canada, c'est le pays où les Français rêvent d'aller quand on leur demande où ils voudraient s'expatrier. Devant l'Espagne, le Portugal ou l'Italie, ce sont bien les grands espaces canadiens, où le français est langue officielle, qui attirent le plus les Français, selon un sondage Yougov. Ça tombe bien, le salon Destination Canada forum mobilité ouvre ses portes du 26 au 28 février. Il devait initialement se tenir à Paris et Bruxelles mais Covid-19 oblige, le salon se déroule sur internet. On a encore un peu de temps, certes, mais c'est cette semaine qu'il faut s'inscrire en ligne, après il sera trop tard.

Priorité aux francophones

Des employeurs canadiens cherchent effectivement du personnel, et surtout des salariés francophones, c'est très important pour eux. Le pays veut attirer plus d'un million d'immigrants d'ici 2023 et celles et ceux qui maîtrisent la langue française ont la priorité. Des employeurs, donc, et certains vont se lever tôt parce qu'ils sont sur la côte ouest canadienne.

Parmi les postes recherchés : un réparateur de vélo au Yukon. Le Yukon c'est la province des chercheurs d'or, à l'extrême nord ouest, du côté de l'Alaska. Il y a des postes moins exotiques. C'est d'abord tout le secteur des jeux vidéos qui recrute beaucoup, au Québec en particulier. Idem pour les effets spéciaux et les technologies de l'information en général. Il y a aussi au Canada une pénurie d'enseignants francophones et de spécialistes de la petite enfance, même si l'immigration, pour ces professionnels, n'est pas simple. Beaucoup de demande aussi dans l'hôtellerie, qui a bien résisté à la crise. Le bâtiment, la menuiserie et les métiers du chauffage recrutent aussi beaucoup.

Test PCR et confinement très strict à l'arrivée

On s'inscrit donc avant le 15 février. On a ensuite accès à une centaine de kiosques. On réserve sa journée de visite, entre 14 et 20 heures, et on peut dialoguer par chat avec les représentants canadiens présents. 

Peut-on partir au Canada en ce moment, en pleine pandémie ? Oui, mais les conditions sont strictes. Il faut avoir un emploi qui vous attend. Si c'est le cas, on va vous demander de passer un test PCR à l'arrivée. Vous serez confiné à l'hôtel pendant trois jours, puis vous subirez un isolement de 11 jours très strict, sans possibilité de sortir du tout, même pour faire des courses.

La sélection Covid-19

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QUÉBEC VEUT FAVORISER LE RETOUR EN EMPLOI

[http://www]

 

Québec veut aider les travailleurs touchés par la pandémie à retourner sur le marché du travail. La province compte investir plus de 91,5 M$ sur deux ans pour accroître la diplomation et arrimer davantage l’offre de formation en fonction des emplois en demande.


L’annonce de cette nouvelle aide gouvernementale a été faite conjointement par le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, et le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Jean Boulet.

 

Une bonne partie de l’enveloppe, soit 75 M$, permettra d’accroître le nombre de personnes qui intégreront le marché du travail par la diplomation et 13 M$ seront consacrés à soutenir la formation et la qualification de la main-d’œuvre. Une somme de 3,5 M$ visera à favoriser la formation dans des secteurs stratégiques pour la relance, notamment les secteurs de la construction, de la santé et des technologies de l’information.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Pour « favoriser une reprise économique vigoureuse », le réseau scolaire doit « faciliter la reconnaissance des acquis [et développer de] nouvelles formations rapides vers des emplois qui sont en grande demande », a affirmé Jean-François Roberge.

 

Tout en continuant de privilégier les formations longues, il est clair pour le gouvernement que la pandémie force à « repenser les liens entre le marché du travail et le réseau de l’éducation », selon Jean Boulet. « Il est primordial de mettre en œuvre des approches innovantes et ciblées ainsi que des passerelles agiles vers le travail, notamment par la formation continue et la requalification », commente-t-il. (…).

 

Source : Conseiller



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Le 2021-01-26 à 14:33, Harpe9 a dit :

eli 1789 . la personne la plus idiote que jai connue . tu es entre maintenant au canada grace à arrima ???? 

 

Tu ma manqué jspr que ta source au Midi se porte bien. 

Le 2021-02-06 à 08:13, Fahim a dit :

Les gens sont dépassés par la lenteur des choses.

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Et c'est normal.

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Il faut prié pour que les ploucs de la caq perdent les prochaines élections. 

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CANADA : FACILITER L’IMMIGRATION D’ENSEIGNANTS FRANCOPHONES : « UN PAS DANS LA BONNE DIRECTION »

[http://www]

 

Les mesures touchant l’enseignement proposées dans un document de travail préparé par la ministre des Langues officielles, Mélanie Joly, donnent espoir à des dirigeants de conseils scolaires ontariens, aux prises avec une pénurie d’enseignants qualifiés.

 

 

Dans le document, la ministre Joly propose notamment d’établir un nouveau corridor d’immigration francophone dédié au recrutement d’enseignants francophones et de français.

 

C’est une très bonne initiative, affirme Yves Lévesque, le directeur général de l’Association franco-ontarienne des conseils scolaires catholiques (AFOCSC).

 

Ça fait partie des multiples initiatives qu’on a proposées au ministère depuis longtemps, d’augmenter cette immigration ciblée pour nous permettre d’avoir accès à plus d’enseignants provenant de l’étranger.

 

Yves Lévesque, directeur général de l’Association franco-ontarienne des conseils scolaires catholiques

C’est déjà un pas dans la bonne direction de reconnaître qu’il faut augmenter les cibles d’immigration francophones, ajoute-t-il.

Denis Chartrand, président de l’Association des conseils scolaires des écoles publiques de l’Ontario (ACÉPO), abonde dans le même sens.

 

ACÉPO a déposé au ministre [ontarien] de l’Éducation une recherche qu’elle a faite au sujet de la pénurie des enseignants","text":"Récemment, l’ACÉPO a déposé au ministre [ontarien] de l’Éducation une recherche qu’elle a faite au sujet de la pénurie des enseignants"}}">Récemment, l’ACÉPOo a déposé au ministre [ontarien] de l’Éducation une recherche qu’elle a faite au sujet de la pénurie des enseignants, explique M. Chartrand. Une des recommandations que nous faisions, c’était justement de faciliter l’immigration d’enseignants vers l’Ontario.

Selon lui, le livre blanc déposé par la ministre Joly répond à plusieurs des inquiétudes des francophones en situation minoritaire.

Ma première réaction est très positive. Je pense que le gouvernement du Canada a écouté les communautés francophones à travers le pays.


 

Denis Chartrand, président de l’Association des conseils scolaires des écoles publiques de l’Ontario

 

Le livre blanc pour la nouvelle Loi sur les langues officielles a beaucoup de choses positives pour l’enseignement, précise-t-il. On parlera de l’éducation comme un continuum, de la petite enfance jusqu’au secondaire.



 

Les candidats ont un très lourd processus à respecter avant de pouvoir enseigner, note Yves Lévesque.

 

Pour nous, si ce processus est simplifié, ou s’il y a une plateforme qui permettait une mise à niveau rapide, un accès plus rapide à nos systèmes.

C’est un frein à une éducation de qualité constante, ajoute-t-il.

Ça prendra l’accord des provinces et des ordres des enseignants, précise Denis Chartrand.

 

 

Besoin d’une loi forte


Ce qui est important de comprendre, c’est qu’on doit impliquer les provinces, affirme le directeur général de l’AFOCSCAssociation franco-ontarienne des conseils scolaires catholiques.

 

 

Yves Lévesque note que le document préparé par Mélanie Joly contient peu de propositions qui s’adressent directement aux gouvernements provinciaux.

 

Il n’y a pas grand-chose pour s’assurer que les provinces offrent un meilleur soutien aux communautés minoritaires francophones, déplore-t-il.

 

C’est un bon départ, mais je pense qu’il y a encore beaucoup de chemin à faire pour arriver à une loi qui protège vraiment ou qui travaille vraiment vers une égalité des langues officielles au Canada.


 

Yves Lévesque, directeur général de l’Association franco-ontarienne des conseils scolaires catholiques

Pour sa part, Denis Chartrand espère que le projet de loi contiendra tout ce qu’il y a dans le document de travail, et même plus. J’espère que le projet de loi tiendra compte des recommandations de tout le monde.

Il note que le livre blanc de la ministre Joly contient aussi une proposition indiquant que le gouvernement devrait s’engager à favoriser l’utilisation des outils de reddition de comptes dans les ententes fédérales-provinciales-territoriales.

 

Il aurait aimé un mot plus fort que favoriser, pour s’assurer que les provinces respectent les engagements en matière de francophonie lorsqu’ils reçoivent des fonds du fédéral.

 

Une pénurie généralisée


MM. Lévesque et Chartrand soulignent que le besoin d’enseignants qualifiés est présent dans tous les conseils scolaires francophones de la province.

 

On le voit même au Québec, où il y a aussi une pénurie, souligne Yves Lévesque.

 

Nos conseils scolaires sont en expansion et on a besoin évidemment de plus d’enseignants. Pour l’instant, c’est compliqué parce qu’on ne forme pas assez.

 

Yves Lévesque, directeur général de l’Association franco-ontarienne des conseils scolaires catholiques

 

On cherche toujours des enseignants bien qualifiés pour nos écoles, indique de son côté Denis Chartrand. On a plusieurs enseignants qui ont des lettres de permission du ministre, qui ne sont pas vraiment qualifiés.

Betty Gormley, la directrice générale de l'organisme Canadian Parents for French Ontario, affirme que la pénurie empêche plusieurs jeunes anglophones d'entrer dans le système d'immersion.

 

Les listes d'attentes découragent les parents pour inscrire leurs jeunes dans les programmes [d'immersion], déplore-t-elle. Ils n'ont que cette chance pour entrer, soit à la maternelle ou en première année.

 

S'ils ratent cette occasion, ils n'arrivent pas à entrer dans le programme du tout.


 

Betty Gormley, directrice générale de l'organisme Canadian Parents for French Ontario

Elle espère que les solutions proposées par la ministre Joly pour augmenter le nombre d'enseignants francophones pourront réduire les listes d'attente.

 

Source : Radio-Canada



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Il faut prié pour que les ploucs de la caq perdent les prochaines élections. 
Les élections sont pour quand?

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Il y a 9 heures, Fahim a dit :

CANADA : FACILITER L’IMMIGRATION D’ENSEIGNANTS FRANCOPHONES : « UN PAS DANS LA BONNE DIRECTION »

[http://www]

 

Les mesures touchant l’enseignement proposées dans un document de travail préparé par la ministre des Langues officielles, Mélanie Joly, donnent espoir à des dirigeants de conseils scolaires ontariens, aux prises avec une pénurie d’enseignants qualifiés.

 

 

Dans le document, la ministre Joly propose notamment d’établir un nouveau corridor d’immigration francophone dédié au recrutement d’enseignants francophones et de français.

 

C’est une très bonne initiative, affirme Yves Lévesque, le directeur général de l’Association franco-ontarienne des conseils scolaires catholiques (AFOCSC).

 

Ça fait partie des multiples initiatives qu’on a proposées au ministère depuis longtemps, d’augmenter cette immigration ciblée pour nous permettre d’avoir accès à plus d’enseignants provenant de l’étranger.

 

Yves Lévesque, directeur général de l’Association franco-ontarienne des conseils scolaires catholiques

C’est déjà un pas dans la bonne direction de reconnaître qu’il faut augmenter les cibles d’immigration francophones, ajoute-t-il.

Denis Chartrand, président de l’Association des conseils scolaires des écoles publiques de l’Ontario (ACÉPO), abonde dans le même sens.

 

ACÉPO a déposé au ministre [ontarien] de l’Éducation une recherche qu’elle a faite au sujet de la pénurie des enseignants","text":"Récemment, l’ACÉPO a déposé au ministre [ontarien] de l’Éducation une recherche qu’elle a faite au sujet de la pénurie des enseignants"}}">Récemment, l’ACÉPOo a déposé au ministre [ontarien] de l’Éducation une recherche qu’elle a faite au sujet de la pénurie des enseignants, explique M. Chartrand. Une des recommandations que nous faisions, c’était justement de faciliter l’immigration d’enseignants vers l’Ontario.

Selon lui, le livre blanc déposé par la ministre Joly répond à plusieurs des inquiétudes des francophones en situation minoritaire.

Ma première réaction est très positive. Je pense que le gouvernement du Canada a écouté les communautés francophones à travers le pays.


 

Denis Chartrand, président de l’Association des conseils scolaires des écoles publiques de l’Ontario

 

Le livre blanc pour la nouvelle Loi sur les langues officielles a beaucoup de choses positives pour l’enseignement, précise-t-il. On parlera de l’éducation comme un continuum, de la petite enfance jusqu’au secondaire.



 

Les candidats ont un très lourd processus à respecter avant de pouvoir enseigner, note Yves Lévesque.

 

Pour nous, si ce processus est simplifié, ou s’il y a une plateforme qui permettait une mise à niveau rapide, un accès plus rapide à nos systèmes.

C’est un frein à une éducation de qualité constante, ajoute-t-il.

Ça prendra l’accord des provinces et des ordres des enseignants, précise Denis Chartrand.

 

 

Besoin d’une loi forte


Ce qui est important de comprendre, c’est qu’on doit impliquer les provinces, affirme le directeur général de l’AFOCSCAssociation franco-ontarienne des conseils scolaires catholiques.

 

 

Yves Lévesque note que le document préparé par Mélanie Joly contient peu de propositions qui s’adressent directement aux gouvernements provinciaux.

 

Il n’y a pas grand-chose pour s’assurer que les provinces offrent un meilleur soutien aux communautés minoritaires francophones, déplore-t-il.

 

C’est un bon départ, mais je pense qu’il y a encore beaucoup de chemin à faire pour arriver à une loi qui protège vraiment ou qui travaille vraiment vers une égalité des langues officielles au Canada.


 

Yves Lévesque, directeur général de l’Association franco-ontarienne des conseils scolaires catholiques

Pour sa part, Denis Chartrand espère que le projet de loi contiendra tout ce qu’il y a dans le document de travail, et même plus. J’espère que le projet de loi tiendra compte des recommandations de tout le monde.

Il note que le livre blanc de la ministre Joly contient aussi une proposition indiquant que le gouvernement devrait s’engager à favoriser l’utilisation des outils de reddition de comptes dans les ententes fédérales-provinciales-territoriales.

 

Il aurait aimé un mot plus fort que favoriser, pour s’assurer que les provinces respectent les engagements en matière de francophonie lorsqu’ils reçoivent des fonds du fédéral.

 

Une pénurie généralisée


MM. Lévesque et Chartrand soulignent que le besoin d’enseignants qualifiés est présent dans tous les conseils scolaires francophones de la province.

 

On le voit même au Québec, où il y a aussi une pénurie, souligne Yves Lévesque.

 

Nos conseils scolaires sont en expansion et on a besoin évidemment de plus d’enseignants. Pour l’instant, c’est compliqué parce qu’on ne forme pas assez.

 

Yves Lévesque, directeur général de l’Association franco-ontarienne des conseils scolaires catholiques

 

On cherche toujours des enseignants bien qualifiés pour nos écoles, indique de son côté Denis Chartrand. On a plusieurs enseignants qui ont des lettres de permission du ministre, qui ne sont pas vraiment qualifiés.

Betty Gormley, la directrice générale de l'organisme Canadian Parents for French Ontario, affirme que la pénurie empêche plusieurs jeunes anglophones d'entrer dans le système d'immersion.

 

Les listes d'attentes découragent les parents pour inscrire leurs jeunes dans les programmes [d'immersion], déplore-t-elle. Ils n'ont que cette chance pour entrer, soit à la maternelle ou en première année.

 

S'ils ratent cette occasion, ils n'arrivent pas à entrer dans le programme du tout.


 

Betty Gormley, directrice générale de l'organisme Canadian Parents for French Ontario

Elle espère que les solutions proposées par la ministre Joly pour augmenter le nombre d'enseignants francophones pourront réduire les listes d'attente.

 

Source : Radio-Canada



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Entre vouloir et réalité il y a toujours et aura toujours un grand fosse ..

le Quebec ( bref ce gouvernement) ne sait pas ce qu'il veut réellement!!! 

 

 

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Le 19/07/2018 à 18:17, eli1789 a dit :

 

témoignage  de @Alimou Sow PREMIER TESTE DE ARRIMA

 

Au niveau de la DI , en remplissant le formulaire sur la partie domaine d'étude ou autres relatifs à ta scolarité, si tu n'arrives pas à trouver l'un ou l'autre  dans la liste deroulante, il y a un lien appelé # aide# si tu cliques dessus , ils vont sortir une panoplie de correspondance de ton domaine d'études ou autres au Québec , t'auras plus qu'à cliquer sur ce que te semble être plus en adéquation avec ton diplôme . 

 

Par contre , au niveau de l'expérienceprofessionnelle, il y a un peu de souci , parce que le système ne reconnaît pas les coupures dans le parcours professionnel  ( ie taff entre le 01/01/2011 au 01/01/2013 et ensuite taff 25/06/2013 au 30/10/2015 . . . )

En ce moment, le système va indiquer une erreur . Et tant qu'il y aura une erreur, vous ne pourrez pas déposer la DI . J'espère qu'ils vont régler ce truc . 

 

En plus pour les tests de langue  si votre test expire par exemple en juin 2019 , une boîte de dialogue vous le signalera . Donc même si vous déposez la DI , si d'ici l'expiration vous n'avez pas été invité à soumettre alors vous reprendrez le test après juin . 

 

À part au niveau de l'expérience professionnelle, moi j'ai pas rencontré beaucoup d'anomalies . 

 

Mais pour moi ,  Le midi pour des raisons d'équité ,  devrait aussi prendre en compte les tests de langue qui étaient valide en jusqu'en mars dernier parce que c'est à cause de leur manque de communication, mutisme total , les gens ont passé des tests qui ont coûté beaucoup d'argent . Parce que le but des tests c'est pour évaluer le niveau de maîtrise de la langue.  Sinon, ça ressemblerait à du business ! 

 

Bon courage à nous and   we Never give up. 

 

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Nouvelle liste des professions pour 2021

Quel espoir avec cette nouvelle liste.

pensez vous qu'elle peut faire bouger les choses comme au niveau d'EE

Ou pour vous c'est du dilatoire pour ne rien faire par la suite?

https://www.immigrer.com/demarche-simplifiee/

 

  • Habitués
Posté(e)
il y a une heure, tayo a dit :
Nouvelle liste des professions pour 2021
Quel espoir avec cette nouvelle liste.
pensez vous qu'elle peut faire bouger les choses comme au niveau d'EE
Ou pour vous c'est du dilatoire pour ne rien faire par la suite?
https://www.immigrer.com/demarche-simplifiee/

Liste applicable aussi pour EE?

Envoyé de mon Infinix X625B en utilisant application mobile Immigrer.com
 

Posté(e)
Il y a 12 heures, sublime85 a dit :

Liste applicable aussi pour EE?

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Moi et mon conjoint respectivement pharmacien pharmacien  des hopitaux et psychologue aucune reponse sur arrima depuis 3 ans alors que nos professions sont fortement demandees whay?

 

  • Habitués
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ENTREVUE ÉDITORIALE AVEC MÉLANIE JOLY : L'IMMIGRATION FRANCOPHONE « FONDAMENTALE » POUR L'AVENIR DU FRANÇAIS AU PAYS

[http://www]


(Ottawa) Le gouvernement Trudeau croit qu’il faut augmenter l’immigration francophone pour assurer la pérennité de la langue française au pays. À cette fin, le ministère de l’Immigration devra respecter des cibles précises pour attirer des immigrants francophones afin de maintenir le poids démographique de la population francophone en milieu minoritaire.

 

 

Soutenant qu’il y a « [péril] en la demeure », la ministre du Développement économique et des Langues officielles, Mélanie Joly, affirme qu’Ottawa doit redoubler d’efforts pour attirer davantage d’immigrants qui parlent la langue de Molière.

 

 

D’où l’idée d’inscrire noir sur blanc, dans la loi, l’obligation du ministère de l’Immigration de recruter des immigrants francophones chaque année. Et pour la toute première fois, un sous-ministre au sein de la fonction publique fédérale se verra confier cette mission.

 

 

Selon Mme Joly, qui a dévoilé la semaine dernière un document de réforme d’une trentaine de pages visant à dépoussiérer la Loi sur les langues officielles adoptée il y a plus de 50 ans, l’immigration francophone « est fondamentale » pour assurer la pleine réussite de la réforme qu’elle préconise.

 

 

« C’est la survie de certaines communautés francophones qui est en jeu. Il faut absolument non seulement avoir des appuis au niveau de l’immigration en français – on le fait un peu en ce moment –, mais il faut que ça soit dans la loi », a affirmé la ministre Joly durant une entrevue éditoriale accordée à La Presse cette semaine.

 

Il faut que le ministère de l’Immigration ait le réflexe de recruter des immigrants francophones, de les accueillir en français et de travailler avec des communautés francophones qui elles-mêmes vont accueillir en français ces immigrants, et que par la suite ces immigrants aient le réflexe d’envoyer leurs enfants à l’école en français.


Mélanie Joly, ministre du Développement économique et des Langues officielles du Canada

 

Dans le passé, peu d’efforts ont été déployés par le gouvernement fédéral pour accueillir de nouveaux arrivants francophones. En outre, l’attrait de l’anglais s’est imposé pour ceux qui ne parlent pas les deux langues officielles, réduisant du coup le poids démographique des francophones hors Québec. Ottawa veut corriger le tir de manière à ce que leur poids démographique représente au moins 4,4 % de la population du pays.

 

 

Le gouvernement Trudeau a fixé des cibles ambitieuses en matière d’immigration, notamment pour assurer la croissance de l’économie et pallier la pénurie de main-d’œuvre. En octobre dernier, le ministre de l’Immigration, Marco Mendicino, a annoncé qu’Ottawa comptait admettre 1,2 million d’immigrants au pays d’ici 2023 – soit 400 000 par année.

 

L’égalité au cœur de la réforme

 

Dans son plan de réforme, la ministre Joly propose aussi qu’Ottawa recrute des professeurs de français à l’étranger afin de pourvoir les nombreux postes dans les écoles d’immersion française.

 

 

Parmi les autres mesures de la réforme, la ministre veut donner un meilleur accès aux classes d’immersion française, garantir le droit de travailler en français dans les entreprises de compétence fédérale au Québec et dans les régions à forte densité francophone dans le reste du pays, et rendre obligatoire la nomination de juges bilingues dès leur entrée en fonction à la Cour suprême du Canada. Elle propose aussi d’enchâsser le Programme de contestation judiciaire dans une loi et d’accorder plus de pouvoirs au commissaire aux langues officielles.

 

 

Jusqu’ici, l’accueil a été favorable à ces propositions, même si le gouvernement Legault s’est contenté d’en prendre acte. La Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA) du Canada, le commissaire aux langues officielles, Raymond Théberge, et le Conseil du patronat du Québec (CPQ), entre autres, ont salué l’initiative. Mais ils pressent aussi le gouvernement Trudeau de déposer le plus rapidement possible un projet de loi aux Communes afin de concrétiser le tout.

 

 

À ce sujet, Mme Joly a indiqué que la rédaction du projet de loi est commencée et qu’il sera déposé dès que le comité d’experts qu’elle a créé lui aura remis ses recommandations au sujet des modalités d’application des mesures touchant la langue de travail dans les régions à forte densité francophone. Le comité a 60 jours pour produire son rapport.

 

En entrevue, Mme Joly a indiqué que le gouvernement devait prendre des mesures « proactives et positives » pour faire la promotion du français s’il veut établir une égalité « réelle » entre les deux langues officielles du pays.


Et ce concept d’égalité réelle s’appuie sur des décisions des tribunaux. Elle cite à titre d’exemple la Cour suprême du Canada, qui, dans l’arrêt Beaulac, a statué que le bilinguisme institutionnel signifiait « l’accès égal à des services de qualité égale », et la Cour d’appel de l’Ontario, qui s’est prononcée pour le maintien de l’hôpital Montfort en Ontario et a reconnu l’importance des institutions pour la vitalité des communautés francophones.

 

 

Source : La Presse



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QUÉBEC : TROIS PROGRAMMES PILOTES D’IMMIGRATION PERMANENTE POUR FAVORISER LA RELANCE ÉCONOMIQUE

[http://www]


(Lire le communiqué du Ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration)


Le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration a publié ce matin dans la Gazette officielle du Québec le Règlement visant la mise en œuvre de trois programmes pilotes d’immigration permanente permettant aux personnes immigrantes de contribuer pleinement au développement de la société québécoise en choisissant de s’y établir et de travailler dans les secteurs d’activité suivants?:

 

la santé (préposées et préposés aux bénéficiaires);la transformation alimentaire;l’intelligence artificielle, les technologies de l’information et les effets visuels.

 

Les programmes pilotes sont d’une durée maximale de cinq ans, et visent à attirer et à favoriser la rétention des personnes, dont les compétences, répondent à des besoins spécifiques du marché du travail québécois. Chaque programme pilote permettra de sélectionner annuellement jusqu’à 550?requérantes et requérants principaux qui exercent les professions dans les secteurs admissibles. Les membres de la famille qui accompagnent la personne qui fait la demande recevront également des Certificats de sélection du Québec dans le cadre de ces programmes pilotes.

 

Programme pilote d’immigration permanente des travailleurs de la transformation alimentaire

 

Ce programme pilote vise à attirer des travailleuses et des travailleurs étrangers dans le secteur de la transformation alimentaire. Il permettra d’aider les entreprises québécoises à retenir leur main-d’œuvre étrangère en emploi et à demeurer compétitives face aux entreprises situées dans les autres provinces canadiennes.

 

Conçu en collaboration avec le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et le?ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, le programme sera mis en œuvre le 24?mars?2021.

 

Programme pilote d’immigration permanente des préposés aux bénéficiaires

 

Ce programme pilote vise à sélectionner des travailleuses et des travailleurs étrangers temporaires ayant des compétences et de l’expérience de travail en tant que personne préposée aux bénéficiaires au Québec depuis au moins un an.

 

Le Ministère contribue ainsi aux efforts gouvernementaux visant à réduire le plus possible le problème de rareté de main-d’œuvre qui subsiste dans cette profession depuis de nombreuses années et qui est exacerbé par la pandémie.

 

Conçu en collaboration avec le ministère de la Santé et des Services sociaux, le ministère de l’Éducation du Québec et le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, ce programme pilote sera mis en œuvre le 31?mars?2021.

 

Programme pilote des travailleurs des secteurs de l’intelligence artificielle, des technologies de l’information et des effets?visuels

Ce programme pilote d’immigration permanente vise à sélectionner des travailleuses et des travailleurs hautement qualifiés dans trois secteurs d’emploi en pleine effervescence au Québec et qui font face à un déficit important de main-d’œuvre.

 

Le volet Intelligence artificielle permettra, notamment, de favoriser l’attraction des meilleurs talents au Québec et à l’étranger. Il facilitera aussi la rétention des étudiantes et des étudiants étrangers qui ont obtenu, des universités du Québec, un diplôme d’études supérieures spécialisées. Le volet Technologies de l’information et effets visuels favorisera l’attraction et la rétention des travailleuses et des travailleurs hautement qualifiés, dans un environnement international très compétitif.

 

Le programme pilote a été conçu en collaboration avec le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, le ministère de l’Économie et de l’Innovation, le Comité sectoriel de main-d’œuvre en technologie de l’information et des communications et le Forum IA Québec. Son entrée en vigueur est prévue le 22?avril?2021.

 

Source : Ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration / Québec



Envoyé de mon TECNO-C8 en utilisant application mobile Immigrer.com

Posté(e)

"Le volet Technologies de l’information et effets visuels favorisera l’attraction et la rétention des travailleuses et des travailleurs hautement qualifiés, dans un environnement international très compétitif."


SVP "Le volet Technologies de l’information et effets visuels"  n'est pas claire  concernant les travailleurs étrangers résident au Québec ou a l'échelle internationale ?

Posté(e)

Je veut savoir comment on peut être qualifié à immigrés au Canada

  • Habitués
Posté(e)
Il y a 4 heures, KeltoumAlg a dit :

Je veut savoir comment on peut être qualifié à immigrés au Canada

Canada : https://www.canada.ca/fr/services/immigration-citoyennete.html

 

Québec : http://www.immigration-quebec.gouv.qc.ca/fr/accueil.html

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