Habitués resterzen Posté(e) 14 février 2016 Habitués Posté(e) 14 février 2016 il y a 19 minutes, Dust a dit : Tu peux aussi être un immigré qui vit dans son pays d'origine et qui se fait beaucoup d'illusions sur le Québec. Vu la hargne que tu as contre la France, je dirai que tu vis là-bas. Et je vis au Québec depuis beaucoup d'années, je ne me fais plus d'illusions et je dis les choses comme elles sont. loooooool ! Je ne vis pas en France mais au Québec. XXXXXXXXXXXXX En vacances quelques jours jusqu'à ce qu'il retrouve le respect des autres membres Citer
Habitués Dust Posté(e) 14 février 2016 Habitués Posté(e) 14 février 2016 (modifié) ? Bon en tout cas, moi je me posais la question. Surtout que la plupart des chiffres que tu donnais parlaient du Canada et pas du Québec. Généralement, c'est une erreur que font les futurs immigrants de confondre le Canada et le Québec. Sans rentrer dans un débat, il y a beaucoup de choses mis à part la langue qui sont différentes entre le Canada et le Québec : l'emploi, l'éducation, ... Et tu devrais relire l'article que j'ai mis en hyperlien, je trouve qu'il complète bien le sujet donc je le mets ici en intégralité. Je trouve ça anormale que le gouvernement Marois démissionne pour avoir demandé la séparation du religieux et de l'état. Mais qu'on laisse Couillard et sa bande se remplir les poches avec de l'argent public sans rien faire. Je ne suis pas souverainiste mais je trouve que le PLQ est le pire parti pour gouverner le Québec ! Et je prédis/j'espère sa démission dans les six mois qui viennent, ce sont des mafieux. Citation Éducation: l’heure des choix Les arguments économiques pour justifier les coupes en éducation ne tiennent plus. L’argent est disponible pour réinvestir en éducation dès maintenant. C’est une question de priorités et de valeurs. Au cours des derniers mois, le gouvernement libéral a fait le choix d’investir dans des entreprises privées comme Bombardier à coups de milliards, d’opérer des baisses d’impôts, d’augmenter le salaire des médecins. Mais il n’a promis que des miettes pour les écoles publiques. Si le gouvernement ne réinvestit pas massivement en éducation dans son budget de mars, il fera une fois de plus le choix délibéré d’abandonner l’éducation de nos enfants. Et ce choix aura un coût énorme pour le Québec dans quelques années. Les chiffres liés au financement du système d’éducation primaire et secondaire sont effarants : 1 milliard de dollars coupés depuis six ans, dont 350 millions de dollars depuis la rentrée scolaire 2015 ; des milliards de dollars en déficit d’entretien cumulé pour les écoles par les commissions scolaires, comme la CSDM, dont neuf écoles sur dix obtiennent la pire note possible lorsque l’on évalue leur état. Comme nous l’avons vu récemment dans les médias, lorsqu’elles ne sont pas carrément fermées pour cause de moisissures, ces écoles sont surpeuplées. À Montréal seulement, les écoles seront en moyenne à 120 % de leur capacité d’accueil à la rentrée 2016. C’est dire que nos enfants sont entassés dans des locaux qui ne sont pas conçus pour les recevoir. Et les enfants issus du minibaby-boom continuent d’affluer dans les écoles des quatre coins de la province. Les écoles doivent fermer des bibliothèques, des laboratoires informatiques et annexer des roulottes pour entasser plus d’élèves. Imaginez le stress des élèves qui sont trimballés d’un bâtiment à l’autre durant les six années de leur primaire, la fatigue des longs déplacements. Pensez au désagrément pour les enfants de passer le plus clair de leur temps dans une roulotte. Comble de l’illogisme, malgré cette hausse fulgurante de clientèle, les services sont grandement réduits : 250 postes de spécialistes ont été abolis depuis le début de l’année scolaire, mettant en péril la scolarisation d’enfants en difficulté et diminuant d’autant le temps que les enseignants peuvent accorder à l’ensemble des élèves. C’est sans compter que les projets pédagogiques sont limités par des moyens financiers anémiques, que le gouvernement abandonne des programmes de lutte contre le décrochage scolaire, de transport scolaire, d’aide aux devoirs, etc. Saccage De plus en plus de citoyens québécois dénoncent ce saccage du système d’éducation qui donne mauvaise presse à nos écoles publiques. Et que font le gouvernement Couillard et le ministre Blais devant cette levée de boucliers en réaction à ces décisions inconsidérées ? Ils ont promis l’injection de 20 microscopiques millions de dollars en novembre et laissent entendre une possibilité de réinvestissement de 80 millions l’an prochain. Ils parlent de 500 millions en infrastructures alors que ces sommes étaient déjà prévues pour la rénovation et la construction de nouvelles écoles dans le précédent budget. Bref, très peu d’argent frais et beaucoup de poudre aux yeux pour calmer l’opinion publique. Les parents du Québec ne se contenteront pas de si peu ! Selon le bulletin de septembre 2015 de l’Institut Fraser, le Québec est la province dont l’investissement dans les écoles publiques est le plus bas par élève. Il se situe largement sous la moyenne canadienne à cet égard (–14 %). Le gouvernement Couillard s’est empressé de majorer les salaires de ses 22 000 médecins précisément pour qu’ils atteignent et même dépassent la moyenne canadienne en leur versant plus d’un milliard de dollars en augmentation de salaire depuis 2014. Il est inconcevable que l’éducation de 1,1 million d’élèves qui fréquentent l’école publique au Québec ne bénéficie pas d’un traitement équivalent. La politique du deux poids, deux mesures imposée par ce gouvernement libéral a suffisamment duré. L’éducation des enfants se détériore, et leur avenir est assombri. Les coupes creusent le déficit générationnel de façon dramatique. En tant que parents, nous exigeons que notre gouvernement respecte sa promesse électorale de faire de l’éducation une priorité et qu’il hausse le financement du système d’éducation au moins au niveau de la moyenne fédérale par élève, et ce, dès le budget de mars prochain. Nous demandons aussi que soit développée au plus vite une vision inspirée et innovante de l’éducation pour le Québec et un plan pour en assurer le financement adéquat, dont la mise à niveau des bâtiments, résoudre le problème de surpopulation dans les écoles et fournir les services professionnels et le matériel dont les enfants et leurs enseignants ont besoin. C’est l’avenir de nos enfants et celui du Québec qui en dépendent. Voilà pourquoi des milliers de parents formeront de nouveau des chaînes humaines devant les écoles le 1er février prochain.http://www.ledevoir.com/societe/education/461369/education-l-heure-des-choix Modifié 14 février 2016 par Dust Citer
Habitués Sarayoo Posté(e) 14 février 2016 Habitués Posté(e) 14 février 2016 Il y a 17 heures, kobico a dit : On attend encore ta source... Merci à l'avance! J'ai mis 59% ? Je viens de me rendre compte. C'était plutôt 5,9% qu'il fallait lire. Désolé pour ca. Citer
Habitués Sarayoo Posté(e) 14 février 2016 Habitués Posté(e) 14 février 2016 (modifié) Il y a 14 heures, Azarielle a dit : Alors tes amis ne te disent pas tout (et honnêtement, ils n'ont pas non plus à tout te dire). J'ai eu un élève autiste dans une classe régulière en secondaire 1. Il mordait, crachait sur les autres, frappait, il n'arrivait pas à suivre le contenu des cours et nous avons dû quand même le garder dans une classe régulière parce que les élèves en difficulté sont maintenant intégrés. Au mieux, on a eu un préposé aux élèves handicapés vers janvier, qui l'accompagnait 2 heures par jour (il y a 5 heures de cours, sans compter l'heure de dîner et les battements entre les cours). Et toi tu dis que parce qu'un enfant grouille un peu, on l'envoie en classe spéciale? L'an dernier, j'avais une élève qui avait un syndrôme de Tourette assez important et un autre élève autiste dans la même classe. Si en général, les cours se passaient bien, il arrivait parfois que l'un ou l'autre se désorganisait et c'est le groupe entier qui le subissait et le déroulement du cours était perturbé. Mais là encore, on devait les garder en classe régulière, ils n'étaient pas dans une classe spéciale. Alors laisse-moi te dire qu'on ne met pas un élève dans une classe spéciale juste parce qu'il bouge trop. Je n'y crois pas. On vit trop de cas difficiles d'intégration en classe régulière pour imaginer que l'on puisse considérer tasser un élève parce qu'il grouille trop. J'enseigne au 2e cycle du secondaire, je ne sais même pas qui prend de la médication, sauf si l'élève me le dit lui-même. Alors je ne peux pas demander à ses parents de consulter un médecin pour qu'il soit médicamenté. Comme Racinette te l'a dit, quand une situation problème survient, on a des rencontres avec les principaux intervenants, les parents et l'élève afin de mettre en place un plan d'intervention pour aider l'élève. Jamais la médication n'apparaît dans ces plans d'intervention. Mais quand une rencontre pour un plan d'intervention survient, il arrive que les parents en parlent avec leur médecin et ce sont eux et seulement eux qui peuvent prescrire un médicament. Et tu sais quoi, pour certains élèves, la médication a des impacts très positifs. Je pense à un élève qui a dû recommencer une année scolaire parce qu'il avait un déficit de l'attention qui n'avait jamais été diagnostiqué et qui maintenant termine parmi les meilleurs élèves du niveau depuis qu'il est sous médication. Si tu lui demandais ce qu'il pense du Concerta (médicament du même type que Ritalin), il ne t'en dirait que du bien. Il est passé d'une moyenne de 50% à une moyenne de 90%, moyenne qu'il a maintenue deux années de suite. Quel effet crois-tu que ça a eu sur son estime de lui-même? J'ai vu un adolescent aigri, tanné de l'école et des adultes devenir épanoui et souriant. Ces médicaments-là, ne sont pas prescrits pour calmer les élèves, mais pour les aider à se concentrer davantage. Tu crois que je réagis parce que je me sens concernée, parce que je me sens coupable. Ce n'est pas le cas. Ce qui me concerne par contre c'est tout ce que tu inventes de faux sur le système scolaire. Ce n'est pas parce que je conduis une voiture, que je mets de l'essence dans celle-ci et que je vais au garage pour des entretiens que je m'y connais en mécanique automobile. Ce n'est pas parce que j'utilise un ordinateur, que je peux gérer un site web, que je suis une spécialiste de l'informatique. C'est la même chose avec toi, ce n'est pas parce que tu as des enfants qui sont scolarisés que tu es un spécialiste de l'éducation au Québec. J'ai mis la mention "j'aime" à ton commentaire parce que je le trouve bien cohérent, et je n'ai rien contre tout cela. Ok ca peut aider dans certains cas, mais doit-on le prendre à vie ce produit dopant? Et si on arrête de le reprendre, quelles seront les conséquences? Ce n'est pas une affaire à double tranchant? Tiens je suis tombé sur un fil de discussion posté sur ce Forum, et ca en dit long sur les inquiétudes des parents: http://www.forum.immigrer.com/topic/123442-enfants-quebecois-drogues-au-ritalin/#comment-1264280145 Modifié 14 février 2016 par Sarayoo Citer
Habitués kobico Posté(e) 14 février 2016 Habitués Posté(e) 14 février 2016 il y a 29 minutes, Sarayoo a dit : J'ai mis 59% ? Je viens de me rendre compte. C'était plutôt 5,9% qu'il fallait lire. Désolé pour ca. Ben oui, 3 jours plus tard... Nous prends-tu pour des caves? Même pour ton 5,9%, ta source est toujours requise svp. kuroczyd a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Sarayoo Posté(e) 14 février 2016 Habitués Posté(e) 14 février 2016 (modifié) Il y a 3 heures, kobico a dit : Ben oui, 3 jours plus tard... Nous prends-tu pour des caves? Même pour ton 5,9%, ta source est toujours requise svp. Mais bien sûr que je te donnerais ma source! Regarde ici : Surtout le passage "Anne-Marie Goyette, pédiatre du développement et du comportement à l'Hôpital de Montréal pour enfants, juge cependant que la consommation de Ritalin et des autres médicaments similaires n'est pas excessive au Québec, considérant que le TDAH touche environ 6% des enfants, selon les études". Il faut dire aussi que la madame est pas mal optimiste. Modifié 14 février 2016 par Sarayoo Citer
Habitués kobico Posté(e) 15 février 2016 Habitués Posté(e) 15 février 2016 (modifié) Il y a 2 heures, Sarayoo a dit : Mais bien sûr que je te donnerais ma source! Regarde ici : Surtout le passage "Anne-Marie Goyette, pédiatre du développement et du comportement à l'Hôpital de Montréal pour enfants, juge cependant que la consommation de Ritalin et des autres médicaments similaires n'est pas excessive au Québec, considérant que le TDAH touche environ 6% des enfants, selon les études". Il faut dire aussi que la madame est pas mal optimiste. Ah, ah, ah, je me doutais bien que tu essayais de nous passer un sapin (ça veut dire nous enfumer en français standard). Tu commences par affirmer que: Le 13/2/2016 at 20:09, Sarayoo a dit : Le Ritalin est le 2ème machin le plus consommé par les enfants après les bonbons. Le fait est là. 59% des enfants en élémentaire sont sous le ritalin. Après, tu rectifies en disant seulement 5.9% (10 fois moins, rien que ça...) Il y a 6 heures, Sarayoo a dit : J'ai mis 59% ? Je viens de me rendre compte. C'était plutôt 5,9% qu'il fallait lire. Désolé pour ca. Pour ensuite, confondre le taux de prévalence chez les enfants (0-18 ans) avec le nombre d'enfants "en élémentaire" qui sont diagnostiqués ET qui prennent du ritalin. Il y a 2 heures, Sarayoo a dit : Surtout le passage "Anne-Marie Goyette, pédiatre du développement et du comportement à l'Hôpital de Montréal pour enfants, juge cependant que la consommation de Ritalin et des autres médicaments similaires n'est pas excessive au Québec, considérant que le TDAH touche environ 6% des enfants, selon les études". Je m'interroge aussi sur ta séquence. Comment se fait-il que tu te trompes avec un 59%, puis un 5.9% si dès le départ ta "source" mentionnait 6% ? Il me semble que tu aurais dû te tromper àvec un 60%, non? Peut-être que la réponse se trouve dans ce passage: En 2000, 43 % des enfants canadiens ayant un TDAH étaient sous médication, alors qu'en 2007 ils étaient 59 %. Les données de l'étude proviennent d'un échantillon d'enfants canadiens âgés de 3 à 9 ans, lié à l'Enquête longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes. http://www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/20120305-hyperactivite-augmentation-du-nombre-denfants-souffrant-du-tdah-et-de-la-consommation-de-stimulants.html À moins d'être analphabète fonctionnel comme 49% des Québécois , une lecture "normale" nous fait comprendre que ce sont 59% des enfants canadiens (pas seulement le Québec, hein...) ayant un diagnostic de TDAH qui sont sous médication. Pas 59%, pas 6% de l'ensemble des élèves du primaire au Québec... Reste à savoir le nombre d'enfants (3 à 9 ans) avec un diagnostic de TDAH par rapport à l'ensemble des enfants de ce groupe d'âge. Le tableau suivant donne la réponse: https://papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/bitstream/handle/1866/8545/Brault_Marie-Christine_These.pdf 3.3%, c'est encore seulement la moitié de ton 6% ..... Je sais, tu vas encore me dire que "tu joues beaucoup dans les petites nuances insignifiantes, en essayant de me discréditer." Modifié 15 février 2016 par kobico kuroczyd a réagi à ceci 1 Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 15 février 2016 Habitués Posté(e) 15 février 2016 Arrête kobico car il "J'ai mes sources. Je sais de quoi je parle. Je fais parler les faits." Citer
Habitués kobico Posté(e) 15 février 2016 Habitués Posté(e) 15 février 2016 il y a 6 minutes, kuroczyd a dit : Arrête kobico car il "J'ai mes sources. Je sais de quoi je parle. Je fais parler les faits." C'est quand tragique, je trouve, qu'une personne puisse vivre au Québec en pensant sincèrement que 70% des Québécois quittent l'école avant la fin du cycle secondaire ou que 56% des élèves du primaire sont sous ritalin. Quelle sera la prochaine absurdité...? Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 15 février 2016 Habitués Posté(e) 15 février 2016 il y a 6 minutes, kuroczyd a dit : Arrête kobico car il "J'ai mes sources. Je sais de quoi je parle. Je fais parler les faits." C'est quand tragique, je trouve, qu'une personne puisse vivre au Québec en pensant sincèrement que 70% des Québécois quittent l'école avant la fin du cycle secondaire ou que 56% des élèves du primaire sont sous ritalin. Quelle sera la prochaine absurdité...? Quel est le but d un comportement comme ça à part de vouloir complètement discréditer la société dans laquelle on vit? Cherrybee a réagi à ceci 1 Citer
Habitués kobico Posté(e) 15 février 2016 Habitués Posté(e) 15 février 2016 Honnêtement, je ne sais pas quoi penser entre nourrir des préjugés et vouloir discréditer. Ça va peut-être ensemble. Citer
Habitués Sarayoo Posté(e) 15 février 2016 Habitués Posté(e) 15 février 2016 (modifié) Il y a 1 heure, kobico a dit : Ah, ah, ah, je me doutais bien que tu essayais de nous passer un sapin (ça veut dire nous enfumer en français standard). Tu commences par affirmer que: Après, tu rectifies en disant seulement 5.9% (10 fois moins, rien que ça...) Pour ensuite, confondre le taux de prévalence chez les enfants (0-18 ans) avec le nombre d'enfants "en élémentaire" qui sont diagnostiqués ET qui prennent du ritalin. Je m'interroge aussi sur ta séquence. Comment se fait-il que tu te trompes avec un 59%, puis un 5.9% si dès le départ ta "source" mentionnait 6% ? Il me semble que tu aurais dû te tromper àvec un 60%, non? Peut-être que la réponse se trouve dans ce passage: En 2000, 43 % des enfants canadiens ayant un TDAH étaient sous médication, alors qu'en 2007 ils étaient 59 %. Les données de l'étude proviennent d'un échantillon d'enfants canadiens âgés de 3 à 9 ans, lié à l'Enquête longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes. http://www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/20120305-hyperactivite-augmentation-du-nombre-denfants-souffrant-du-tdah-et-de-la-consommation-de-stimulants.html À moins d'être analphabète fonctionnel comme 49% des Québécois , une lecture "normale" nous fait comprendre que ce sont 59% des enfants canadiens (pas seulement le Québec, hein...) ayant un diagnostic de TDAH qui sont sous médication. Pas 59%, pas 6% de l'ensemble des élèves du primaire au Québec... Reste à savoir le nombre d'enfants (3 à 9 ans) avec un diagnostic de TDAH par rapport à l'ensemble des enfants de ce groupe d'âge. Le tableau suivant donne la réponse: https://papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/bitstream/handle/1866/8545/Brault_Marie-Christine_These.pdf 3.3%, c'est encore seulement la moitié de ton 6% ..... Je sais, tu vas encore me dire que "tu joues beaucoup dans les petites nuances insignifiantes, en essayant de me discréditer." Malheureusement, c'est pas la 1ère fois que tu essayes de me discréditer. Et on voit aussi que Kuro s'est joint à toi pour pouvoir gonfler le chiffre... À vrai dire, j'ai pas trouvé l'article où j'ai vu les 59% et 5,9%. Alors je t'ai donné celui de la presse. Je lis tellement beaucoup que ca m'arrive des fois de confondre deux chiffres. Justement cette étude parlait de la médication stimulante chez les enfants, une étude sérieuse et alarmante. Elle essayait aussi de souligner l'incohérence dans les politiques d'éducation. On veut réduire le taux de décrochage scolaire chez les enfants en les "droguant". Ce genre d'études, il y en a en masse. Et je peux te fournir facilement une vingtaine dans les secondes qui suivent. Par ailleurs, tu devrais peut-être me remercier parce que je t'ai donné l'occasion d'apprendre des chiffres émanant de la réalité. Comme disait l'autre Albert, "Les chiffres parlent mieux que les lettres". Je t'ai donné l'occasion de chercher, de connaître une réalité que beaucoup ignorent. Ben ca me fait plaisir... Modifié 15 février 2016 par Sarayoo Citer
Habitués Sarayoo Posté(e) 15 février 2016 Habitués Posté(e) 15 février 2016 il y a 35 minutes, kobico a dit : Honnêtement, je ne sais pas quoi penser entre nourrir des préjugés et vouloir discréditer. Ça va peut-être ensemble. Mais oui, quand la réalité nous met dans l'embarras, on essaye de la refuser. Ok j'ai pas le choix que de suivre le troupeau. Hein Kuro, on s'en va où? Le paradis paradisiaque? Yopiiiiiiiiiii Citer
Habitués kobico Posté(e) 15 février 2016 Habitués Posté(e) 15 février 2016 (modifié) il y a 33 minutes, Sarayoo a dit : Malheureusement, c'est pas la 1ère fois que tu essayes de me discréditer. Et on voit aussi que Kuro s'est joint à toi pour pouvoir gonfler le chiffre... À vrai dire, j'ai pas trouvé l'article où j'ai les 59% et 5,9%. Alors je t'ai donné celui de la presse. Je lis tellement beaucoup que ca m'arrive des fois de confondre deux chiffres. Justement cette étude parlait de la médication stimulante chez les enfants, une étude sérieuse et alarmante. Elle essayait aussi de souligner l'incohérence dans les politiques d'éducation. On veut réduire le taux de décrochage scolaire chez les enfants en les "droguant". Ce genre d'études. il y en a en masse. Et je peux fournir facilement une vingtaine dans les secondes qui suivent. Par ailleurs, tu devrais peut-être me remercier parce que je t'ai donné l'occasion d'apprendre des chiffres émanant de la réalité. Comme disait l'autre Albert, "Les chiffres parlent mieux que les lettres". Je t'ai donné de chercher, de connaître une réalité que beaucoup ignorent. Ben ca me fait plaisir... Tu es complètement irrationnel et de mauvaise foi. Il y a plein d'articles qui cite le 59% parce que c'est une étude majeure donc facile à trouver, surtout pour un connaisseur tel que tu prétends l'être. Avec ton ami lefrançais, tu essaies de créer un lien causal entre l'usage du ritalin et la baisse du décrochage scolaire. Réalises-tu que si un pourcentage de 59% de 3.3% d'élèves du primaire au Canada consomme du ritalin, que cela est nettement insuffisant pour expliquer l'importante baisse du taux de décrochage scolaire des élèves du secondaire au Québec? J'irai plutôt voir du côté du vaste plan d'action mis en place par le gouvernement du Québec pour expliquer le phénomène. T'as zéro crédibilité et pas trop d'honneur non plus. Modifié 15 février 2016 par kobico Citer
Habitués emma1068 Posté(e) 15 février 2016 Habitués Posté(e) 15 février 2016 (modifié) Je crois qu'il faut voir la situation dans son ensemble. C'est la faute à un tel ou une telle. Je crois que le système de santé est quelque peu responsable de toutes ces prises de médocs. Lorsqu'on n'a pas de médecin de famille, le suivi des enfants est parfois difficile dans les cliniques de passage quand vous osez vous déplacer. Non que ces médecins sont tous des incompétents, loin de là, mais il n'y a pas de suivi réel de l'enfant. La petite chose peut se transformer en quelque chose de grave et par la suite, l'enfant risque de voir un spécialiste/les urgences lorsque la situation s'est aggravée. Je dirais pareil pour les écoles qui accueillent certains enfants qui dans d'autres pays/certaines provinces/villes auraient probablement été voir l'orthophoniste dès le plus jeune âge ou aurait eu accès à des spécialistes, ce n'est pas le cas à certains endroits. Maintenant, les profs sont confrontés à des enfants pour lesquels il n'ont aucune solution à proposer... dans le meilleur des cas la lologue de l'école, pas compétente à mon avis dans le domaine de la santé. Donc on n'en arrive aux médocs, directement ou indirectement, ça dépend des endroits, du personnel d'encadrement... Pour moi, c'est la difficulté d'accès aux soins qui est responsable de cette situation. Il y a aussi des profs incompétents ou simplement qui se retrouvent avec des problèmes auxquels ils n'auraient jamais été confrontés si chaque enfant avait un médecin de famille. Modifié 15 février 2016 par emma1068 Arob@se a réagi à ceci 1 Citer
Habitués kobico Posté(e) 15 février 2016 Habitués Posté(e) 15 février 2016 Il y a 10 heures, Sarayoo a dit : Mais oui, quand la réalité nous met dans l'embarras, on essaye de la refuser. Ok j'ai pas le choix que de suivre le troupeau. Hein Kuro, on s'en va où? Le paradis paradisiaque? Yopiiiiiiiiiii Pauvre Sarayoo..... :-( Citer
Habitués Lefrancais Posté(e) 15 février 2016 Habitués Posté(e) 15 février 2016 (modifié) Il y a 12 heures, kobico a dit : Ah, ah, ah, je me doutais bien que tu essayais de nous passer un sapin (ça veut dire nous enfumer en français standard). Tu commences par affirmer que: Après, tu rectifies en disant seulement 5.9% (10 fois moins, rien que ça...) Pour ensuite, confondre le taux de prévalence chez les enfants (0-18 ans) avec le nombre d'enfants "en élémentaire" qui sont diagnostiqués ET qui prennent du ritalin. Je m'interroge aussi sur ta séquence. Comment se fait-il que tu te trompes avec un 59%, puis un 5.9% si dès le départ ta "source" mentionnait 6% ? Il me semble que tu aurais dû te tromper àvec un 60%, non? Peut-être que la réponse se trouve dans ce passage: En 2000, 43 % des enfants canadiens ayant un TDAH étaient sous médication, alors qu'en 2007 ils étaient 59 %. Les données de l'étude proviennent d'un échantillon d'enfants canadiens âgés de 3 à 9 ans, lié à l'Enquête longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes. http://www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/20120305-hyperactivite-augmentation-du-nombre-denfants-souffrant-du-tdah-et-de-la-consommation-de-stimulants.html À moins d'être analphabète fonctionnel comme 49% des Québécois , une lecture "normale" nous fait comprendre que ce sont 59% des enfants canadiens (pas seulement le Québec, hein...) ayant un diagnostic de TDAH qui sont sous médication. Pas 59%, pas 6% de l'ensemble des élèves du primaire au Québec... Reste à savoir le nombre d'enfants (3 à 9 ans) avec un diagnostic de TDAH par rapport à l'ensemble des enfants de ce groupe d'âge. Le tableau suivant donne la réponse: https://papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/bitstream/handle/1866/8545/Brault_Marie-Christine_These.pdf 3.3%, c'est encore seulement la moitié de ton 6% ..... Je sais, tu vas encore me dire que "tu joues beaucoup dans les petites nuances insignifiantes, en essayant de me discréditer." Ce que tu fais semble tout aussi discutable en présentant une étude qui date et ou je ne trouve pas l'info qui lie ce tableau au Quebec ... publiée en 2011 donc les chiffres datent d'avant encore (2007). Je trouve des infos plus récentes qui sont beaucoup plus alarmantes. https://jomarcotte.wordpress.com/2015/09/14/tdah-il-va-ou-le-23-milliards-pour-les-eleves-en-difficulte/ Entre autre : En 10 ans, de 2000-2009, le nombre d’ordonnances de psychostimulants a pratiquement quadruplé. De 2010-2014 (en 5 ans), la quantité de comprimés vendus en pharmacie a augmenté de 56%. Québec bat le record de consommation des psychostimulants. En 2011, Québec compte 23% de la population mais consomme 35% des psychostimulants Les EHDAA (élèves handicapés ou en difficulté d’apprentissage ou d’adaptation) représentent maintenant 20% de tous les élèves, contre 12% il y a 10 ans. Modifié 15 février 2016 par Lefrancais Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 15 février 2016 Habitués Posté(e) 15 février 2016 (modifié) il y a 30 minutes, Lefrancais a dit : Il y a 12 heures, kobico a dit : Il y a 12 heures, kobico a dit : Ah, ah, ah, je me doutais bien que tu essayais de nous passer un sapin (ça veut dire nous enfumer en français standard). Tu commences par affirmer que: Après, tu rectifies en disant seulement 5.9% (10 fois moins, rien que ça...) Pour ensuite, confondre le taux de prévalence chez les enfants (0-18 ans) avec le nombre d'enfants "en élémentaire" qui sont diagnostiqués ET qui prennent du ritalin. Je m'interroge aussi sur ta séquence. Comment se fait-il que tu te trompes avec un 59%, puis un 5.9% si dès le départ ta "source" mentionnait 6% ? Il me semble que tu aurais dû te tromper àvec un 60%, non? Peut-être que la réponse se trouve dans ce passage: En 2000, 43 % des enfants canadiens ayant un TDAH étaient sous médication, alors qu'en 2007 ils étaient 59 %. Les données de l'étude proviennent d'un échantillon d'enfants canadiens âgés de 3 à 9 ans, lié à l'Enquête longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes. http://www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/20120305-hyperactivite-augmentation-du-nombre-denfants-souffrant-du-tdah-et-de-la-consommation-de-stimulants.html À moins d'être analphabète fonctionnel comme 49% des Québécois , une lecture "normale" nous fait comprendre que ce sont 59% des enfants canadiens (pas seulement le Québec, hein...) ayant un diagnostic de TDAH qui sont sous médication. Pas 59%, pas 6% de l'ensemble des élèves du primaire au Québec...[emoji42] Reste à savoir le nombre d'enfants (3 à 9 ans) avec un diagnostic de TDAH par rapport à l'ensemble des enfants de ce groupe d'âge. Le tableau suivant donne la réponse: https://papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/bitstream/handle/1866/8545/Brault_Marie-Christine_These.pdf 3.3%, c'est encore seulement la moitié de ton 6% ..... Je sais, tu vas encore me dire que "tu joues beaucoup dans les petites nuances insignifiantes, en essayant de me discréditer." Mouai, ton étude date et je ne vois pas l'info qui lie ce tableau au Quebec ... publiée en 2011 donc les chiffres datent d'avant encore (2007). Je trouve des infos plus récentes qui sont beaucoup plus alarmantes. https://jomarcotte.wordpress.com/2015/09/14/tdah-il-va-ou-le-23-milliards-pour-les-eleves-en-difficulte/ Entre autre : En 10 ans, de 2000-2009, le nombre d’ordonnances de psychostimulants a pratiquement quadruplé. De 2010-2014 (en 5 ans), la quantité de comprimés vendus en pharmacie a augmenté de 56%. Québec bat le record de consommation des psychostimulants. En 2011, Québec compte 23% de la population mais consomme 35% des psychostimulants Les EHDAA (élèves handicapés ou en difficulté d’apprentissage ou d’adaptation) représentent maintenant 20% de tous les élèves, contre 12% il y a 10 ans. Toi, au moins c est clair pourquoi tu as cette attitude. Quand publiquement tu dis "j en ai rien à fou*re du Québec" ,que ta position sur le français au Québec est que "ce ne serait pas un mal qu il disparaisse" (car "mon épouse est anglophone")... ca m étonne que très peu ton envie de faire payer tous les maux aux québécois. Comme je te l ai déjà dit, peut être que l attitude que l on a envers toi n est pas l attitude d une société mais simplement la réaction à ton propre comportement ? La, dans dans la discussion sur les vrais chiffres sur le ritalain, qu'une personne qui ne sait pas lire une publication avance puis se plaint qu'on le lui reproche, tu ramènes des chiffres sur les psychotropes qui rentent dans les chiffres que kobico cite (de plus tu devrais verifier tes sources et regarder qui est Joanne Marcotte) ! Oui, on reconnait au Quebec l’existence du TDAH (ne t'en deplaise), en France on préfère la poudre de perlimpinpin de homéopathie pour tous les maux... Et donc? Les seules personnes qui ici parlent de "paradis paradisiaque" sont celles qui veulent tout simplement noyer le poisson de leur ignorance et malhonnêteté intellectuelle. Modifié 15 février 2016 par kuroczyd kobico a réagi à ceci 1 Citer
Habitués kobico Posté(e) 15 février 2016 Habitués Posté(e) 15 février 2016 Ah, ah, ah... tu prends tes sources sur le blogue de Joanne Marcotte, une militante libertarienne reconnue pour exagérer et être contre tout! N'espère pas que je te prenne au sérieux.... Tes infos alarmantes, celles sur lesquelles s'appuie Joanne Marcotte proviennent du livre de Saint-Onge qui nie même le bien-fondé du diagnostic. Il a même dû publier un démenti sur la question du financement accru pour les écoles ayant davantage d'enfants ayant un diagnostic TDAH. Un livre de "paresseux" comme il a été dit.... http://www.journaldemontreal.com/2015/09/12/un-livre-paresseux-sur-le-tdah Citer
Habitués Lefrancais Posté(e) 15 février 2016 Habitués Posté(e) 15 février 2016 (modifié) il y a 18 minutes, kuroczyd a dit : Toi, au moins c est clair pourquoi tu as cette attitude. Quand publiquement tu dis "j en ai rien à fou*re du Québec" ,que ta position sur le français au Québec est que "ce ne serait pas un mal qu il disparaisse" (car ton épouse est anglophone)... ca m étonne que très peu ton envie de faire payer tous les maux aux québécois. Comme je te l ai déjà dit, peut être que l attitude que l on a envers toi n est pas l attitude d une société mais simplement la réaction à ton propre comportement ? Pour le Français il pourrait disparaître en France que ça ne me dérangerait pas. Si il perdure ça ne me dérange pas non plus. Le rien à foutre du Quebec, c’était une citation du message au dessus du miens. J'y avais même rajouté un 'smiley' choqué car l'intervenant essayait de polariser le débat (soit tu aimes le Quebec, soit t'en as rien à foutre). Est-ce trop vous demander que de comprendre les phrases dans leur contexte ou faites vous partie de ces 53% de Français qui ont un pbl de littératie ? Ensuite, j'adore votre argumentaire; je parle de tdah et de ritaline vous parlez de mes messages dans le forum, vous ne répondez pas et vous attaquez un individu. Le maudit Français dans toute sa splendeur. Modifié 15 février 2016 par Lefrancais Citer
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