Habitués Kweli Posté(e) 29 septembre 2015 Habitués Posté(e) 29 septembre 2015 Vous ne comprenez toujours pas que si je n'ai encore rien fait c'est parce que moi je pense à mes enfants. Quant à ma situation florissante, c'est un fait actuel mais pas définitif ; juste que si mon épouse a attendu ce moment là me pensant plus démunis (ce qui n'est pas une certitude et même pas mon avis mais juste un fait) elle m'a en réalité offert une pension sur un plateau (que je n'ai toujours pas demandée non plus). Ne vous en faite pas pour mes pauvres enfants, ils n'ont jamais manqué de rien et malgré qu'ils soient 5 en tout, ils ont toujours eu ce qu'ils auraient eu si ils avaient été enfant unique (laptop, console, tv, notre temps à mon épouse et moi, etc....) Bàv En fait, plus vous traînerez sur ce forum, plus vous remarquerez qu'il y a des gens qui y viennent juste pour prouver qu'ils ont une meilleure vie que les autres, qu'ils prennent toujours les meilleures décisions et qu'au final, leur vie plate n'est pas si plate que ça. Je ne comprends même pas qu'on puisse vous accuser de ne pas penser à vos enfants alors qu'ils sont la seule raison pour laquelle vous avez ouvert ce post mais bon ... À mon avis, vous devriez retenir que vous avez trois options: L'option A, que vous préférez par ailleurs, est de trouver un terrain d'entente avec votre épouse qui vous mènera jusqu'à votre résidence permanente. Personnellement je trouve que ce n'est pas la meilleure option, elle vous impose l'immigration forcée (vous, vous n'aimez pas le Québec vraiment), une cohabitation forcée (avec les querelles qui viennent avec), elle comporte trop d'abnégation de part et d'autre, l'impossibilité de vivre avec sa nouvelle flamme pour elle, l’impossibilité de trouver l'amour pour vous (quelle femme sensée irait se fourrer dans ce guêpier?), etc. Sans compte le risque qu'une querelle de trop fasse foirer tout le projet. L'option B est de refuser de renouveler les papiers de séjour et de rentrer au pays. Avec deux ados renfrognés, forcés de quitter leur mère, et un autre gamin qui s'ennuiera de ses nouveaux amis et de sa mère. Ouch! Pas l'idée du siècle pour tout dire ... L'option C est une bataille devant les tribunaux. Comptez d'abord les frais d'avocats: un avocat belge et un avocat québécois pour les deux, puisque vous avez des biens dans chaque pays et les subtilités de la loi québécoise, le Belge ne les maîtrise pas et vice versa. Ajoutez à cela la fatigue psychologique, le stress des parents et des enfants, la maison québécoise qui y passe, la maison belge aussi. Avec, au bout de tout cela, une issue incertaine puisque le juge peut bien vous renvoyer dos-à-dos et retour au point de départ: garde partagée une semaine/une semaine. C'est à vous de trouver un moyen de limiter les dégâts. Je ne connais pas votre femme, mais il serait totalement insensé de renoncer à vos droits parentaux. Au Québec, les droits des pères sont de plus en plus reconnus par les tribunaux, faites valoir les vôtres et ne vous laissez surtout pas atteindre par des jugements à deux balles sur votre capacité à tenir compte de l'intérêt de vos enfants. Quant à ceux qui tiennent absolument à avoir le point de vue de votre femme, ils ont juste à aller le lui demander et vous foutre la paix. Citer
nomercy0_0 Posté(e) 14 décembre 2015 Auteur Posté(e) 14 décembre 2015 Rebonjour à tous, bon, je suis allé à Québec pour tenter de négocier avec mon épouse, ça n'a pas marché. Mon avocat a envoyé la requête en divorce qui devrait arriver cette semaine. Je reste avec une question : Si je ne donne pas mon consentement pour l'immigration de mes enfants, que se passe-t-il? Je sais qu'ils peuvent étudier au primaire et au secondaire sans CAQ tant que l'un des deux parents les accompagnent et a un permis de travail (le cas actuel de mon épouse). Elle aura probablement la garde à cause de mon départ forcé. Pour le CSQ et la RP elle a besoin de mon consentement (tant que j'ai un droit de visite) mais les enfants sont au Québec. Je ne trouve aucun cas similaire, beaucoup de cas de parents qui enlèvent leurs enfants et retournent dans leurs pays (ce qui est illégal) par contre des cas de parents mis à la porte par l'autre aucun. Je pourrais p-ê entamer une procédure pour moi les rejoindre (selon un avocat raison humanitaire dans l'intérêt de l'enfant voir arrêt Baker c. canada). Donc, toujours selon un avocat, mon épouse ne peut pas me forcer à signer le consentement pour mes enfants, l'immigration ne les expulsera pas (heureusement pcq je n'irrais pas jusque là). Mais je n'ai aucun moyens de les faire revenir dans mon pays. J'ai l'impression de vivre un rapt d'enfants par immigration interposée. Merci si qqn a déjà entendu un cas similaire. Citer
Habitués maxo09 Posté(e) 14 décembre 2015 Habitués Posté(e) 14 décembre 2015 Elle ne pourra pas le faire sans ton consentement; mais en droit il y a toujours des substilités et par le fait que tu ne resides plus au Quebec peut jouer en sa faveur car elle vit seule avec les enfants. Place aux autres!!! Citer
nomercy0_0 Posté(e) 14 décembre 2015 Auteur Posté(e) 14 décembre 2015 il y a 5 minutes, maxo09 a dit : Elle ne pourra pas le faire sans ton consentement; mais en droit il y a toujours des substilités et par le fait que tu ne resides plus au Quebec peut jouer en sa faveur car elle vit seule avec les enfants. Place aux autres!!! Merci pour la réponse c'est un vrai noeud... Citer
nomercy0_0 Posté(e) 14 décembre 2015 Auteur Posté(e) 14 décembre 2015 Encore une petite précision, mon épouse à déjà le CSQ via PEQ, quand je lis la procédure pour le retrait du conjoint, je ne vois nulle part si elle doit fournir une nouvelle lettre de consentement ou pas. Citer
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