Je m'inscris en cette fin de nuit...

[Bauderons]

Moi, je vous aime.

Et je m'excuse pour les propos de mon dernier message.

Au fond... il y a une certaine curiosité cachée sous vos calomnies. Je dois le prendre comme un compliment.

Modifié 26 juin 2014 par Bauderons

[Invité]

L'abandon n'est pas un argument, c'est le choix de ne plus en donner. Est-ce un bon choix ? Objectivement : jamais pour la vie.

Qui parle d'abandon ? Un constat n'est pas un abandon. C'est au contraire se prendre la vérité en pleine face et à partir de là effectivement faire un choix.

Qu'il n'y a pas d'obligation à être heureux mais que c'est préférable. Même sens que le dicton.

Parce que tu relies la notion de bonheur à la richesse et à la santé, c'est pour ça que je ne comprends pas.

C'est un peu ça qu'on essaye de nous faire croire.

La question est complexe parce qu'il n'y a pas une seule définition du bonheur. Chacun a la sienne ou n'en a pas, se contentant de vivre et de savoir profiter de ce que la vie t'apporte.

Meuhhh non... C'est bien plus simple que cela. À ton questionnement sur l'obligation d'être heureux, je répond qu'il vaut mieux être heureux que malheureux, tout comme il vaut mieux d'être riche et en bonne santé que pauvre et malade. Je n'ai pas dit qu'il faut être riche et en santé pour être heureux.

Mais dans ma question il y a la notion d'obligation, comme si de nos jours il fallait absolument rechercher le bonheur.

Ce qui peut se comprendre puisque dans nos sociétés capitalistes le bonheur passe forcément par toujours plus de consommation.

La recherche du bonheur (en fait je crois que je préfère le mot sérénité) devrait se limiter à une réflexion philosophique, mais elle a été récupérée par le système (les Américains l'ont dans leur constitution, c'est tout dire !!).

[kobico]

Désolée, c'est trop compliqué pour moi. Je t'ai fait une réponse toute simple, sans doute trop simple...

[Bauderons]

Merci de votre accueil.

Modifié 26 juin 2014 par Bauderons