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Des jeunes médecins finissants quittent le Québec faute de place


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Des jeunes médecins finissants nont dautre choix que de quitter le Québec pour se trouver du travail, faute de poste disponible ici.

«On se dirige tout droit dans un mur», croit le Dr Grégoire Bernèche, secrétaire de la Fédération des médecins résidents du Québec (FMRQ).

Pas de poste

Cela fait maintenant 10 ans que le ministère de la Santé (MSSS) a augmenté de façon importante le nombre dadmissions en médecine au Québec (voir tableau).

Si les besoins dans le réseau sont à la hausse, il semble que les postes ne soient pas toujours au rendez-­vous.

Cest le cas dun jeune chirurgien cardiaque de 33 ans qui a gradué au Québec, en 2009. Incapable de se trouver un poste, il est allé faire un fellowship aux États-­Unis. Or, en

2011, il ny avait toujours pas de place pour lui.

«Cest sûr que jétais fâché, avec toutes les études que jai et les efforts que jai faits», raconte-­t-­il sous le couvert de lanonymat.

«Je mennuie un peu, mais on shabitue à tout», ajoute-­t-­il.

Un seul au Québec

Aujourdhui, ce spécialiste est à la tête du programme de greffe et de cur mécanique de son hôpital.

Selon lui, un seul des trois finissants de sa cohorte en 2009 a trouvé un poste au Québec. Les deux autres travaillent aux États­-Unis.

«Ici, mes collègues ne comprenaient pas quon ne moffre pas de poste au Québec, avoue-­t-­il. Cest sûr que je suis un peu amer, je ne comprends pas pourquoi je devrais entrer

par la porte den arrière, et achaler les gens pour leur dire que je suis bon.»

Malgré tout, le chirurgien cardiaque ne fait pas une croix sur le Québec.

«Jaimerais revenir si loffre arrive sur la table, souligne­-t-­il. Mais, je ne recommencerai pas en bas de léchelle.»

Quatre spécialités

À chaque année, le nombre de postes disponibles est déterminé par les plans régionaux deffectifs médicaux (PREM).

Or, le MSSS est incapable de dresser un bilan annuel des médecins finissants par spécialité, versus les postes disponibles.

«Il y a plusieurs facteurs qui entrent en ligne de compte, et ça varie beaucoup», indique Stéphanie Ménard, port-e­parole du MSSS.

Selon la FMRQ, les postes sont particulièrement rares en chirurgie cardiaque, cardiologie, orthopédie et anesthésiologie. La plupart des médecins qui partent vont surtout au

Canada ou aux États-­Unis. Or, ceux qui restent occupent souvent des postes inférieurs à leurs compétences.

«Tous les jours, des gens nous appellent pour des demandes daide au placement professionnel, souligne le Dr Bernèche. Dans certains cas, cest extrêmement difficile de se

trouver un poste. Le problème est encore marginal, mais avec les cohortes qui sen viennent, ça samplifie.»

Le MSSS avoue quil y aura une saturation au cours des prochaines années dans certaines spécialités, mais que le manque de poste «concernera très peu de personnes.»

Par ailleurs, une étudiante en médecine interne a confié au Journal être inquiète de ne pas avoir de poste en finissant.

«Je connais trois médecins qui graduent cette année et qui nont pas de poste. Et ce nest pas parce quelles ne sont pas bonnes, raconte-­t-­elle. On leur suggère de faire des

fellowships dans tel domaine en attendant.»

Nier le problème

Le chirurgien cardiaque constate aussi que les départs de médecins sont plus fréquents qu'on le pense.

«Une des erreurs est de se dire que ce n'est pas un problème, parce que ce n'est pas vrai. Cest commun de partir, dit­il. Et on est ultra formés au Québec. Il y a toujours un

risque qu'on te trouve bon et qu'on veuille te garder.»

Bien que certains finissants aient du mal à se trouver

un poste, le ministère de la Santé n'a pas l'intention de

réduire le nombre d'admissions en médecine.

Depuis trois ans, 847 étudiants ont été acceptés dans

les quatre facultés de médecine du Québec. Il s'agit

dune hausse de 181 élèves depuis 10 ans.

La décision d'augmenter le nombre d'admissions est

prise par Table de concertation permanente sur la

planification de l'effectif médical au Québec, qui

regroupe une douzaine d'organismes.

Combler la pénurie

Un des objectifs principaux est daugmenter à 55 %

dici 2017 le nombre détudiants en médecine familiale,

pour pallier la pénurie denviron 950 omnipraticiens.

Cette année, 47 % des étudiants ont fait ce choix.

«On a fait beaucoup de travail et on pense bien y

arriver, estime Louis Godin, président de la Fédération

des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ). La

clé est davoir des conditions de pratique attrayantes.»

Dailleurs, le MSSS souhaite que la hausse détudiants

permette de combler la pénurie de médecins dans

diverses autres spécialités (gériatrie, pathologie,

médecine interne, etc.)

Question politique ?

«Ça fait 10 ans quon dit que ça prend 55% de

médecins de famille, et le gouvernement ignore ce

quon dit, commente le Dr François ­Pierre Gladu,

président de lAssociation des jeunes médecins du

Québec. Cest illogique quon forme plus de

spécialistes que de médecins de famille.»

«Il ny a pas trop de médecins, mais ils ne sont pas au

bon endroit. Une des solutions est de fermer des

postes en spécialité, pour en ajouter en médecine

familiale, croit le Dr Bernèche, de la FMRQ. Mais, cest

politique, et le gouvernement ne veut pas se mouiller.»

http://www.journaldemontreal.com/2013/09/27/du-chomage-medical

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  • Habitués

est ce vrai qu'il y aura trois nouveaux hôpitaux aux Québec? je ne trouve pas l'info sur Google :blush2:

Oui, il y a un chantier prévu en tout cas. Mais n'oublions pas que nous sommes en restrictions budgétaires. Il y a trop de fonctionnaires au Québec :whistlingb:

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est ce vrai qu'il y aura trois nouveaux hôpitaux aux Québec? je ne trouve pas l'info sur Google :blush2:

Oui, il y a un chantier prévu en tout cas. Mais n'oublions pas que nous sommes en restrictions budgétaires. Il y a trop de fonctionnaires au Québec :whistlingb:

C'est amusant, ce midi j'ai mangé avec un ami qui vient de démissionner de la fonction publique pour retourner dans le privé (il ne travaille pas dans le médical mais au gouvernement). On a parlé de ces fameuses restrictions budgétaires et il était d'avis que ce n'est pas le budget qu'il faut réduire mais la mentalité des employés qu'il faut changer : impossible de faire faire des heures supplémentaires sans tout un tas de paperasse, l'employé peut refuser de faire des heures supplémentaires alors qu'il est payé en plus dès la première minute effectuée, des congés maladies "autorisés" et tout ça pour se rendre compte qu'avec une équipe de 21 personnes il produit autant qu'avec 15 personnes quand il était dans le privé. Résultat, il a démissionné...

Modifié par Pandore
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est ce vrai qu'il y aura trois nouveaux hôpitaux aux Québec? je ne trouve pas l'info sur Google :blush2:

Oui, il y a un chantier prévu en tout cas. Mais n'oublions pas que nous sommes en restrictions budgétaires. Il y a trop de fonctionnaires au Québec :whistlingb:

On a parlé de ces fameuses restrictions budgétaires et il était d'avis que ce n'est pas le budget qu'il faut réduire mais la mentalité des employés qu'il faut changer : impossible de faire faire des heures supplémentaires sans tout un tas de paperasse, l'employé peut refuser de faire des heures supplémentaires alors qu'il est payé en plus dès la première minute effectuée, des congés maladies "autorisés" et tout ça pour se rendre compte qu'avec une équipe de 21 personnes il produit autant qu'avec 15 personnes quand il était dans le privé. Résultat, il a démissionné...

Ben c'est ça les restrictions budgétaires. Pour ce qui nous concerne, on nous a fait réduire tout ce qui pouvait être réduit. On a un matériel informatique qui date de Mathusalem. Maintenant, le gouvernement nous demandant de faire encore plus d'économies, on s'attaque aux postes. Puisqu'il produit autant avec 15 personnes qu'avec 21, cela prouve bien qu'il y a 6 personnes de trop.

On critique toujours ce que fait le gouvernement, mais quand il va dans le sens de la vox populi, ça va encore pas. Faudrait savoir.

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est ce vrai qu'il y aura trois nouveaux hôpitaux aux Québec? je ne trouve pas l'info sur Google :blush2:

Oui, il y a un chantier prévu en tout cas. Mais n'oublions pas que nous sommes en restrictions budgétaires. Il y a trop de fonctionnaires au Québec :whistlingb:

On a parlé de ces fameuses restrictions budgétaires et il était d'avis que ce n'est pas le budget qu'il faut réduire mais la mentalité des employés qu'il faut changer : impossible de faire faire des heures supplémentaires sans tout un tas de paperasse, l'employé peut refuser de faire des heures supplémentaires alors qu'il est payé en plus dès la première minute effectuée, des congés maladies "autorisés" et tout ça pour se rendre compte qu'avec une équipe de 21 personnes il produit autant qu'avec 15 personnes quand il était dans le privé. Résultat, il a démissionné...

Ben c'est ça les restrictions budgétaires. Pour ce qui nous concerne, on nous a fait réduire tout ce qui pouvait être réduit. On a un matériel informatique qui date de Mathusalem. Maintenant, le gouvernement nous demandant de faire encore plus d'économies, on s'attaque aux postes. Puisqu'il produit autant avec 15 personnes qu'avec 21, cela prouve bien qu'il y a 6 personnes de trop.

On critique toujours ce que fait le gouvernement, mais quand il va dans le sens de la vox populi, ça va encore pas. Faudrait savoir.

Oui, 6 personnes de trop dans le public par rapport au privé, c'est quand même énorme. D'après lui le problème vient surtout du fait que les employés font leurs heures et pas une minute de plus (sauf si on leur demande,d'ou paperasserie et heures payées en plus) alors qu'il y a de la souplesse dans le privé et que si il y a une urgence,on la traite, c'est tout. Il fait le même constat que toi pour ce qui est des moyens (et encore,je trouve que les moyens dans le privé sont aussi effrayants...) mais d'après lui, les 6 personnes qu'il a ''en trop'' dans le public pour atteindre le même niveau de production que dans le privé pourrait être investit dans des technologies (c'est son métier) ou dans du support. Pour lui le domaine public est une ''grosse bête poussiérieuse'', le temps d'une discussion je me suis sentie en France :smile:

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est ce vrai qu'il y aura trois nouveaux hôpitaux aux Québec? je ne trouve pas l'info sur Google :blush2:

Oui, il y a un chantier prévu en tout cas. Mais n'oublions pas que nous sommes en restrictions budgétaires. Il y a trop de fonctionnaires au Québec :whistlingb:

On a parlé de ces fameuses restrictions budgétaires et il était d'avis que ce n'est pas le budget qu'il faut réduire mais la mentalité des employés qu'il faut changer : impossible de faire faire des heures supplémentaires sans tout un tas de paperasse, l'employé peut refuser de faire des heures supplémentaires alors qu'il est payé en plus dès la première minute effectuée, des congés maladies "autorisés" et tout ça pour se rendre compte qu'avec une équipe de 21 personnes il produit autant qu'avec 15 personnes quand il était dans le privé. Résultat, il a démissionné...

Ben c'est ça les restrictions budgétaires. Pour ce qui nous concerne, on nous a fait réduire tout ce qui pouvait être réduit. On a un matériel informatique qui date de Mathusalem. Maintenant, le gouvernement nous demandant de faire encore plus d'économies, on s'attaque aux postes. Puisqu'il produit autant avec 15 personnes qu'avec 21, cela prouve bien qu'il y a 6 personnes de trop.

On critique toujours ce que fait le gouvernement, mais quand il va dans le sens de la vox populi, ça va encore pas. Faudrait savoir.

Oui, 6 personnes de trop dans le public par rapport au privé, c'est quand même énorme. D'après lui le problème vient surtout du fait que les employés font leurs heures et pas une minute de plus (sauf si on leur demande,d'ou paperasserie et heures payées en plus) alors qu'il y a de la souplesse dans le privé et que si il y a une urgence,on la traite, c'est tout. Il fait le même constat que toi pour ce qui est des moyens (et encore,je trouve que les moyens dans le privé sont aussi effrayants...) mais d'après lui, les 6 personnes qu'il a ''en trop'' dans le public pour atteindre le même niveau de production que dans le privé pourrait être investit dans des technologies (c'est son métier) ou dans du support. Pour lui le domaine public est une ''grosse bête poussiérieuse'', le temps d'une discussion je me suis sentie en France :smile:

Effectivement, c'est "d'après lui". Je ne suis qu'adjointe administrative. Dans la dernière quinzaine, j'ai fait 3 heures supplémentaires qu'on me demande de récupérer dans la même période pour ne pas avoir à me les mettre dans une banque de temps qui me compenserait en congés (congés supplémentaires où, bien sûr, je ne serais pas au travail). Hier je suis partie 1 heure plus tard. Ce matin, je devais rentrer 1 heure plus tôt (rencontre et prise de notes avec des gens importants). Il faut que je reprenne tout ça avant vendredi prochain. Ça devient difficilement gérable. Je ne me plains pas car notre secteur est particulièrement productif et je suis loin derrière mes professionnelles en termes d'heures sup.Je précise qu'on ne me demande pas de faire ces heures, mais quand une collègue est dans la mouise, je ne vais pas la laisser tomber comme ça! Dire que les employés font tous leurs heures et pas une minute de plus, c'est une généralité à ne pas franchir. En revanche, de meilleures technologies ou du support technique, c'est vrai qu'on en manque cruellement. Mais pas question de prendre des sociétés de consultants à 100 $/h. Le public n'a plus les moyens. Alors que faire? C'est le serpent qui se mord la queue.

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  • Habitués

Ce problème de médecins finissants ne touche apparemment que les spécialités de chirurgie cardiaque et ortho , non pas qu'il y ait trop de chirurgiens mais uniquement par manque de plateaux techniques

les patients attendent , les chirurgiens aussi que les salles d'opérations soient disponibles, pour les autres spécialités il ne semble pas qu'il y ait ce type de problème et pour la médecine familiale encore moins. Cela ressemble un peu aussi à la France (paris ou Paca) , tous veulent exercer à Montréal , éventuellement Québec et là ça bouchonne , ailleurs il n'y a pas de gros problème pour avoir le poste souhaité.

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est ce vrai qu'il y aura trois nouveaux hôpitaux aux Québec? je ne trouve pas l'info sur Google :blush2:

Oui, il y a un chantier prévu en tout cas. Mais n'oublions pas que nous sommes en restrictions budgétaires. Il y a trop de fonctionnaires au Québec :whistlingb:

On a parlé de ces fameuses restrictions budgétaires et il était d'avis que ce n'est pas le budget qu'il faut réduire mais la mentalité des employés qu'il faut changer : impossible de faire faire des heures supplémentaires sans tout un tas de paperasse, l'employé peut refuser de faire des heures supplémentaires alors qu'il est payé en plus dès la première minute effectuée, des congés maladies "autorisés" et tout ça pour se rendre compte qu'avec une équipe de 21 personnes il produit autant qu'avec 15 personnes quand il était dans le privé. Résultat, il a démissionné...

Ben c'est ça les restrictions budgétaires. Pour ce qui nous concerne, on nous a fait réduire tout ce qui pouvait être réduit. On a un matériel informatique qui date de Mathusalem. Maintenant, le gouvernement nous demandant de faire encore plus d'économies, on s'attaque aux postes. Puisqu'il produit autant avec 15 personnes qu'avec 21, cela prouve bien qu'il y a 6 personnes de trop.

On critique toujours ce que fait le gouvernement, mais quand il va dans le sens de la vox populi, ça va encore pas. Faudrait savoir.

Oui, 6 personnes de trop dans le public par rapport au privé, c'est quand même énorme. D'après lui le problème vient surtout du fait que les employés font leurs heures et pas une minute de plus (sauf si on leur demande,d'ou paperasserie et heures payées en plus) alors qu'il y a de la souplesse dans le privé et que si il y a une urgence,on la traite, c'est tout. Il fait le même constat que toi pour ce qui est des moyens (et encore,je trouve que les moyens dans le privé sont aussi effrayants...) mais d'après lui, les 6 personnes qu'il a ''en trop'' dans le public pour atteindre le même niveau de production que dans le privé pourrait être investit dans des technologies (c'est son métier) ou dans du support. Pour lui le domaine public est une ''grosse bête poussiérieuse'', le temps d'une discussion je me suis sentie en France :smile:

Effectivement, c'est "d'après lui". Je ne suis qu'adjointe administrative. Dans la dernière quinzaine, j'ai fait 3 heures supplémentaires qu'on me demande de récupérer dans la même période pour ne pas avoir à me les mettre dans une banque de temps qui me compenserait en congés (congés supplémentaires où, bien sûr, je ne serais pas au travail). Hier je suis partie 1 heure plus tard. Ce matin, je devais rentrer 1 heure plus tôt (rencontre et prise de notes avec des gens importants). Il faut que je reprenne tout ça avant vendredi prochain. Ça devient difficilement gérable. Je ne me plains pas car notre secteur est particulièrement productif et je suis loin derrière mes professionnelles en termes d'heures sup.Je précise qu'on ne me demande pas de faire ces heures, mais quand une collègue est dans la mouise, je ne vais pas la laisser tomber comme ça! Dire que les employés font tous leurs heures et pas une minute de plus, c'est une généralité à ne pas franchir. En revanche, de meilleures technologies ou du support technique, c'est vrai qu'on en manque cruellement. Mais pas question de prendre des sociétés de consultants à 100 $/h. Le public n'a plus les moyens. Alors que faire? C'est le serpent qui se mord la queue.

Je ne parlais pas de ton cas personnel, je ne te connais pas et je ne savais d'ailleurs pas que tu étais fonctionnaire. Je partage l'expérience d'un ami qui s'horrifie de voir la mentalité dans la fonction publique au point de la quitter, c'est tout.

En passant, récupérer ses heures supp, c'est déjà énorme. J'ai en effet l'impression que, comme en France, les fonctionnaires ne voient pas le décalage entre le public et le privé (3h supp en 15 jours, ça fait même pas 20 minutes de plus par jour, c'est ridicule et en plus tu les récupères, c'est une blague. Je comprends mieux ce que voulait dire mon ami).

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