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Chute de la France = plus d'immigrants français au Québec ?


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Vous avez probablement de bonnes raisons de ne pas vouloir qu'un sujet soit discuté sur ce forum, mais que vous le vouliez ou non il est dans l'actualité québécoise et suscite des réactions. Par exemple ici et sur les réseaux sociaux.

C'est complètement débile comme remarque. Les journaux-poubelle de type "la presse", pour moi ce n'est pas de l'actualité mais du journalisme au rabais qui fait dans le racoleur, ça suscite de l'audience mais c'est tout. C'est du niveau des tabloid.

Donc merci de ne pas inventer de prétendues raisons de ne pas vouloir discuter d'un sujet X ou Y, alors que c'est juste con, et qu'on ne se prive juste pas de le faire remarquer.

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Juste comme ça, l'article cité par Kweli et publié dans La Presse a été écrit par le reporter de l'Agence France-Presse, un Français donc, basé à Washington.

Je comprends donc que le journalisme à rabais voltige dans les hautes sphères....

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J'ai fouillé un peu dans mes dossiers électroniques, et voilà ce que j'ai trouvé : un article publié par Le Monde dans son édition électronique du 28 Avril 2007. C'est un peu vieux, mais ça relance pas mal le débat sur certains thèmes.

Déclin ou rebond, deux diagnostics sur la France

LE MONDE | 28.04.07 | 16h28 • Mis à jour le 28.04.07 | 16h28

A quelques jours du changement de locataire à l’Élysée, Le Monde a demandé à Nicolas Baverez*, auteur de plusieurs ouvrages sur le déclin français et longtemps séguiniste, et à Daniel Cohen**, vice-président de l’École d'économie de Paris et économiste engagé à gauche, leur jugement sur l'état du pays.

La France décroche-t-elle? La réponse ne fait pas de doute, et elle est positive, pour le plus connu des "déclinologues" français qui nuance en préambule sa pensée. "Le déclin, dit-il, ce n'est pas la décadence. Il n'a rien d'inéluctable, il est par définition réversible dès lors que l'on prend les décisions qui s'imposent." Pour M. Baverez, la France est dans une situation de déclin "non pas absolu mais relatif". "En dix ans, elle est passée du 4e au 6e rang mondial pour la puissance économique, du 7e au 17e pour la richesse par habitant. Et ses performances sont moins bonnes que celles de ses voisins." Et de comparer avec l'Allemagne qui affiche, aujourd'hui, "2,7 % de croissance, un million de chômeurs en moins, un déficit public de 1,7 % du PIB".

"POLITIQUES MALTHUSIENNES ET COLBERTISTES"

Pour ce libéral qui ne cache pas son adhésion aux thèses de Nicolas Sarkozy, "la France a des atouts formidables, mais une stratégie déficiente". "Les politiques malthusiennes et colbertistes menées par des gouvernements incompétents ont donné des résultats déplorables : croissance enrayée, chômage de masse depuis un quart de siècle, paupérisation relative de la population, blocage progressif des institutions, pulsion des extrémismes, poussée protestataire et non au référendum du 29 mai 2005", analyse-t-il. M. Baverez souligne aussi "l'éclatement de la nation en corporations et en communautés, avec 750 ghettos urbains dans lesquels plus de 3 millions de personnes vivent en dehors de la société, le dernier élément de la crise étant la perte d'influence française en Europe".

Mais l'élection présidentielle 2007 donne au biographe de Raymond Aron des raisons d'espérer. "Les Français ne sont plus au stade de la protestation, du désespoir, du cynisme des Mitterrand et Chirac. Ils en sont à la recherche de solutions", estime-t-il. Les deux tiers d'entre eux et les principaux candidats ont pris conscience, selon lui, de la réalité du déclin, et "quel que soit le candidat élu, le 6 mai, il disposera d'un mandat politique pour mener à bien les changements nécessaires".

LES FRANÇAIS "TRAVAILLENT AUTANT" QUE LEURS VOISINS

L'économiste Daniel Cohen, lui, s'inscrit en faux contre toute idée de déclin français. "La France a certes été dépassée par des pays comme l'Irlande ou la Finlande, qui ont connu une croissance très forte au cours des vingt dernières années. Mais c'est une escroquerie statistique de donner à penser qu'elle aurait décroché par rapport aux pays qui lui sont comparables", estime-t-il. "Le revenu par habitant y est, à la virgule près, celui de l'Allemagne et du Japon. Il est un peu derrière celui du Royaume-Uni et devant celui de l'Italie, mais dans des ordres de grandeur très proches. La différence est plus forte avec les États-Unis." Pour le chroniqueur associé au Monde, il faut se demander "pourquoi les pays européens se sont laissé distancer par les États-Unis, et pourquoi ils n'ont pas été davantage les acteurs d'une nouvelle révolution industrielle, presqu'exclusivement américaine". Une interrogation "qui ne concerne pas la France seule".

Quant à la responsabilité du modèle social souvent invoquée pour expliquer un prétendu déclin français, M. Cohen n'y croit pas : "Les Français travaillent annuellement autant que les Néerlandais, les Suédois, les Allemands" et "beaucoup d'économistes pensent que ce sont les États-Unis, dont la durée du travail baissait avant la crise mais qui est bloquée depuis plus de vingt ans, qui sont l'exception".

A ses yeux, la vraie "pathologie" française et européenne, c'est "la faiblesse du système d'enseignement supérieur et de la recherche". "Les dépenses françaises par étudiant ont longtemps été inférieures aux dépenses par lycéen. En recherche et développement, la France est à 600 dollars par tête quand les États-Unis sont à 1100 et dans l'Europe des 15, on ne dépense que 520 euros par tête". "Va-t-on laisser les États-Unis acquérir le monopole de la production du savoir?", s'interroge M. Cohen, pour qui l'enjeu majeur du 6 mai est "de savoir si la France peut reprendre confiance en elle" et "retrouver l'intelligence de soi", après "l'incroyable mutation" des vingt-cinq dernières années. Rémi Barroux et Claire Guélaud.

* Nicolas Baverez, énarque, historien et avocat, est notamment l'auteur de La France qui tombe (Perrin).


** Daniel Cohen, professeur d'économie à l'Ecole normale supérieure, a publié de nombreux ouvrages dont Trois leçons sur la société post-industrielle (Seuil).

Modifié par Saam
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Juste comme ça, l'article cité par Kweli et publié dans La Presse a été écrit par le reporter de l'Agence France-Presse, un Français donc, basé à Washington.

Je comprends donc que le journalisme à rabais voltige dans les hautes sphères....

C'est censée me casser, cet argument ? Etre français met à l'abri du journalisme de comptoir ?

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Sinon, voici l'interview qui était à l'origine de cet article.

M. Baverez : "La France est en récession industrielle" ; M. Cohen : "Ce n'est pas grave en soi"

LE MONDE | 28.04.07 | 12h44 • Mis à jour le 28.04.07 | 15h45

CROISSANCE

Nicolas Baverez : Tombée à 1,6 % dans les années 1990 après avoir été de quelque 3 % dans les années 1970, la croissance française, la plus faible de l'Union européenne, semble buter sur un plafond de verre à 2 %. Contrairement à ses voisins, la France n'a pas adapté ses structures, ou l'a fait de manière schizophrène en libéralisant une petite partie de l'économie et en constituant un secteur public gigantesque qui refuse d'appliquer la contrainte de compétitivité alors que la mondialisation met tout en concurrence : entreprises, modèles sociaux, fiscalité, services publics...

Débloquer la croissance suppose de libérer le travail, corseté avec l'interdiction de travailler le dimanche ou l'existence de professions réglementées, d'en augmenter la durée annuelle, mais aussi d'accroître le nombre de PME qui exportent et de cesser d'organiser la fuite du capital humain.

Daniel Cohen : La croissance française est très volatile et fonctionne par hoquets, avec des petites périodes d'accélération très rapides, qui ont d'ailleurs coïncidé avec la gauche au pouvoir, et d'autres moins favorables. De 1995 à 2005, la croissance française a été de 2,1 % par an, exactement à mi-chemin de la croissance de 1,3 % au Japon ou 1,4 % en Allemagne et de celle de 2,8 % au Royaume-Uni. Et si c'est une croissance moyenne au regard de celle des Etats-Unis ou du Royaume-Uni, ces deux pays ont un déficit considérable de leur balance des paiements, un taux d'épargne très faible et il n'est pas sûr que ce "modèle" résiste au temps.

COMMERCE EXTÉRIEUR

N. B. : Depuis 2000, l'affaiblissement des positions françaises est très marqué dans un monde qui connaît son cycle de développement le plus fort depuis les années 1920 et le plus stable depuis les années 1960. Les chiffres sont accablants : 162 milliards d'excédent pour l'Allemagne en 2006, 30 milliards de déficit pour la France.

D. C. : La France a longtemps eu un problème de balance des paiements. Le miracle serait plutôt qu'elle se soit retrouvée excédentaire dans les années 1990. De 1970 à 2000, la croissance des exportations a été quasi indexée sur ce qu'on appelle "la demande adressée à la France".

Puis le déficit s'est creusé à partir de 2002. La croissance de nos exportations a pris du retard sur la croissance mondiale. Ce n'est plus le cas depuis la mi-2005.

ATTRACTIVITÉ

N. B. : La France est la deuxième ou la troisième terre d'accueil pour les investissements directs étrangers. Tant mieux, mais, depuis dix ans, les sorties de capitaux dépassent toujours les rentrées. Les quatre cinquièmes des profits des entreprises du CAC 40 se font à l'étranger. L'investissement et l'emploi de ces sociétés stagnent en France, alors qu'ils progressent respectivement de 120 % et de 100 % hors de nos frontières. Le capitalisme français est un capitalisme offshore, et près de la moitié du capital des grands groupes est détenu par des fonds étrangers.

MODÈLE SOCIAL

N. B. : En France, le modèle social est congelé depuis l'après-guerre. La norme d'emploi a été calquée sur le modèle de la fonction publique, alors que, pour avoir une mobilité ascendante, il faut pouvoir changer d'emploi. L'hyper-protection d'un petit noyau de salariés entraîne la précarité du plus grand nombre, et un million de trentenaires ont quitté la France en dix ans pour ne pas avoir à payer des prélèvements prohibitifs et l'ardoise des générations passées.

D. C. : La productivité horaire française est forte, plus de 20 % supérieure à la productivité britannique et supérieure même à la productivité américaine. En revanche, le taux d'emploi français est inférieur de dix points à celui des Etats-Unis. C'est le problème central : le sous-emploi. Notons toutefois que cette différence ne concerne pas les 25-55 ans. Les Français et les Françaises dans cette tranche d'âge ne travaillent pas moins que leurs homologues d'outre-Atlantique. Le problème français réside aux deux extrémités du marché de l'emploi, les jeunes et les seniors. Quand on parle des jeunes, c'est en réalité la situation des presque 200 000 sortants du système scolaire sans diplôme qui est catastrophique.

L'autre grand problème, c'est la question des seniors. A partir de 50 ans, les gens sont terrorisés à l'idée de perdre leur emploi. Derrière cette question du travail se profilent le débat sur l'âge de la retraite et celui sur l'efficacité de la formation professionnelle.

INDUSTRIE

N. B. : La France est en récession industrielle. C'est aberrant quand on songe au rôle majeur joué par l'industrie dans la croissance américaine et allemande. Notre industrie a des coûts de production trop élevés et elle voit s'éroder ses points forts (aéronautique, automobile). De plus, notre économie marche sur trois pieds : l'agroalimentaire, l'industrie, excellente dans certains secteurs, et les services. Pour relancer la production, il faut faire un effort dans ces trois directions. Mais, à cette condition, on peut créer des emplois autour d'une industrie à haute valeur ajoutée.

D. C. : La France est au milieu du gué. Son taux d'emploi industriel est inférieur de 4 à 5 points à celui de l'Allemagne et supérieur d'autant à celui des Etats-Unis. Cette évolution n'est pas une tragédie. L'industrie se tertiarise et la simple fabrication des produits tend à disparaître au profit d'activités à plus forte valeur ajoutée (innovation, marketing, etc.). Ce n'est pas grave en soi. En revanche, les régions et les territoires sont inégaux face à cette mutation. La désindustrialisation pose un problème d'aménagement du territoire et un problème social. Là encore, il n'y a pas de fatalité. Il faut aider les vieilles régions industrielles à se redynamiser.

ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET RECHERCHE

N. B. : Notre système est désastreux. Avec 7 % du PIB, il coûte 1,5 point de plus que la moyenne des pays de l'OCDE. Pourtant, 44 % des étudiants partent sans diplôme de l'université. Il faut redonner des moyens à l'enseignement supérieur, à condition qu'il se réforme. Car les hautes qualifications ne représentent que 15 % de notre main-d'oeuvre, contre plus de 25 % aux USA, c'est une faiblesse.

D. C. : Il y a une révolution à accomplir pour faire bouger l'université et ses rapports avec la recherche et les entreprises. La moitié de la recherche et développement (R & D) du secteur privé en France est le fait des treize plus grands groupes industriels français. Nous n'avons pas la culture des petites entreprises high tech comme peut l'avoir la Silicon valley (aux Etats-Unis). Il nous faut créer des liens entre la recherche fondamentale et la recherche appliquée. Ce qui implique des établissements universitaires forts et autonomes et une culture plus entrepreneuriale dans le domaine des savoirs.

PROTECTION SOCIALE

N. B. : Notre système de protection sociale est antiredistributif. La branche maladie dérape de 10 à 15 milliards par an. La gratuité dans ce domaine est très perverse. Il faut responsabiliser les assurés et les professions médicales. Et financer le système non par l'emprunt, mais par la création de richesses. Côté retraites, il nous faut des fonds de pension. C'est une sécurité d'avoir de la répartition et de la capitalisation et il est absurde de priver les salariés des dividendes du capitalisme.

D. C. : Il n'y a pas de réponses simples au problème posé par l'augmentation des dépenses de santé. D'autant qu'elle est à la base de ce qui pourrait constituer une nouvelle "frontière" technologique. La régulation par la demande, par exemple avec la franchise, ayant des effets limités, il faut aller plus loin pour éviter les dérapages. Une réponse est peut-être, comme aux Etats-Unis, dans une intégration verticale des différents éléments de valeur de l'offre de soins (médecine de ville, médicaments, hôpital).

MODERNISATION DE L'ETAT

N. B. : La qualité des services publics baisse. C'est vrai, à des degrés divers, pour l'éducation, la justice, la santé, la sécurité. L'Etat a un problème de production et de coût. Il ne réassure pas les risques et est devenu lui-même un risque majeur pour la nation, avec une dette publique globale de 2 500 milliards d'euros (145 % du PIB).

D. C. : La vraie question n'est pas de tailler dans les effectifs de la fonction publique, mais d'inculquer une culture de l'évaluation à la sphère publique. Les citoyens attendent de l'Etat qu'il soit efficace et solvable. L'endettement public est une source d'inquiétude pour les individus, qui ont tendance à y voir une sorte de révélateur de leurs propres difficultés. Ils épargnent beaucoup. Le tout alimentant le besoin de sécurité étouffant de la société française.

Propos accueillis par Rémi Barroux et Claire Guélaud

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Juste comme ça, l'article cité par Kweli et publié dans La Presse a été écrit par le reporter de l'Agence France-Presse, un Français donc, basé à Washington.

Je comprends donc que le journalisme à rabais voltige dans les hautes sphères....

C'est censée me casser, cet argument ? Etre français met à l'abri du journalisme de comptoir ?

Ben non, voyons donc... Tu sais bien que j'ai des arguments beaucoup plus élaborés et convaincants lorsque je souhaite "casser"... :sleep:

C'est seulement que tu casses toi-même un journal sans même te rendre compte qu'il n'a fait que repiquer un article d'une agence de presse plutôt prestigieuse (française ou pas).

À part conspuer le support que constitue le journal, as-tu des arguments plus valables et intéressants pour descendre en flèche l'article?

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Vous avez probablement de bonnes raisons de ne pas vouloir qu'un sujet soit discuté sur ce forum, mais que vous le vouliez ou non il est dans l'actualité québécoise et suscite des réactions. Par exemple ici et sur les réseaux sociaux.

C'est complètement débile comme remarque. Les journaux-poubelle de type "la presse", pour moi ce n'est pas de l'actualité mais du journalisme au rabais qui fait dans le racoleur, ça suscite de l'audience mais c'est tout. C'est du niveau des tabloid.

Donc merci de ne pas inventer de prétendues raisons de ne pas vouloir discuter d'un sujet X ou Y, alors que c'est juste con, et qu'on ne se prive juste pas de le faire remarquer.

:Crylol:

Tu veux me détrôner dans la débilité, hein Caroline?

Sache que tu n'y arriveras pas. Selon une certaine opinion, les gens comme moi ne sont même pas capables de remplir un formulaire administratif. De là à pouvoir situer l'auteur d'un article ...

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Message de la modération

J'avais pourtant prévenu que les écarts de langages et de comportements ne seraient pas tolérés. On arrête ces niaiseries de suite. Je suis de bonne humeur, mais j'ai raté mon cours de yoga alors tout peut arriver.
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J'avais décidé de répondre à Sofarsogood, mais après réflexion, je me suis autocensuré. Ce n'est pas le rôle de la modération de commenter le contenu du site.

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C est vrai qu il diminue le nombres de dossiers

Envoyé par l'application mobile Forum IC

Je ne sais pas si c'est officiellement vrai, par contre la réalité c'est qu'ils ont fait des coupures dans tout, le genre de coupure qui auraient déclenché la Commune II en France. Les coupures ont eu lieu dans des choses qui touchent les étrangers: l'immigration et la recherche... mais pas seulement, il y a aussi la poste ...

fermeture massive de bureau de traitement de dossier d'immigration prioritaires, "perte" massive de dossier (accumulation/oublie des dossiers regroupés dans les centres de traitements débordés qui restaient),

puis perte massive de statut pour des milliers de travailleurs sélectionnés économique ect... du coup: accumulation de demande de prolongation de statuts... donc probablement augmentation des coûts

Modifié par felipe
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