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Français....malheureusement


Ryo

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Bonjour à tous et à toute je me présente je m'appelle Guillaume j'ai 22 ans , d'origine française.

Cela fait un moment(1an à peut près) que je vais régulièrement sur se site que je trouve d'ailleurs excellent donc je me suis que s'était tant que je fasse un pas en avant.

Dans ma profession je suis carrossier constcteur se qui veut dire que tranforme les véhicules, pour donner une idée je peut transformer une camionnette en minibus.

Se qui me fait venir ici est le faite de pouvoir se partager des avis , discuté car pour moi mon pays devient socialement invivable de jour en jour et c'est simple je suis née en France , je vis en France mais je me sens pas français.

Pourtant je n'est pas mauvais caractère j'avoue être légèrement ralleur quand les chose ne tourne pas si rond mais de base je suis d'une grande politesse et rempli de gentillesse, je suis ouvert aux autres mais j'ai l'impression que sa dérange en France d'après se que j'ai lu le Québec serait plus ouvert socialement mais il n'y a pas que cette raison qui me pousse l'envie de partir , je ne serait expliqué cela mais une attirance pour le Québec s'est fait naturellement depuis longtemps sans même connaître les conditions de vie ou quoi que se soi , depuis je me suis grandement intéressé.

Depuis l'envie de partir de France est énorme je sais que la vie n'est pas la même mais en France ma vie ne me plait plus depuis fort longtemps que se soit sur le plan professionnel ou social.

C'est pour cela que avec ma copine on a décidé de venir visiter le Québec une fois par an et qui sest si la magie opère y rester définitivement , on l'espère de tout coeur.

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  • Habitués

Tu as l'air d'avoir une petite déprime de la France dit donc..

Il ne faut pas voir tous les mauvais côté de la France, nous avons tout de même un super pays qui envie beaucoup de personnes, après je peux comprendre que tu aies besoin de vivre autre chose, l'inconnu est toujours excitant à découvrir.

Ton témoignage me fait repenser à mon retour en France après mon petit séjour au Québec, je m'explique.

Tu dis des Français qu'ils ne sont pas sociable enfin du moins pas au tant que nos amis Québécois, quand avec mon amie nous étions dans le vol du retour en France nous fessions un petit bilan de notre séjour et ainsi de notre futur projet d'immigration, nous avions trouvé pleins de points positifs et notamment que les Québécois était très sociable, sympathique, serviable et j'en passe.

Une fois le pied posé en terre française au bout de quelques heures mon amie et moi avions l'impression que les Français étaient tous des cons lol alors que c'est totalement faux mais je commence à dénigré un peu mon pays, je ne sais pas si c'est bon signe ou non.

Tu as raison de vouloir faire plusieurs séjour au Québec, c'est la meilleur façon d'avoir une idée si votre projet peut se faire ou non.

Après moi je serais d'avis à te dire que tu es jeune et que tu as raison de tenter l'aventure tu ne risques pas grand-chose, au pire tu reviens en France au bout de 2 ans et alors tu auras vécu une très belle expérience. Au mieux tu t'adapte Québec et tu te construis ta petite vie de Franco-québécois.

Bon courage pour votre projet ;)

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Merci de ton avis Franko tu as raison la France n'est pas si déprimente que sa il ya des points positifs que je n'es pas dis mais je sais pas si tu la vécu vu se que tu me dit mais es que quand tu es parti de la France pour le Quebec est se que tu a senti ( bien avant de partir bien sur) la sensation que la France n'était pas la pour toi comme si tu te sentais pas rejeté mais mis un peut de côté ou different je dirais je.

Moi s'est l'impresion que je ressens après bien sur je me dit que le Québec n'est pas le paradis chaque sitation a ses bon points et mauvais points.

A savoir que Février 2014 on pars deux semaines pour les nuit blanches de Montreal puis après on reviendra une fois par an mais dans des saisons diférente afin de se faire une vrai idée de se que est le Québec.

Merci de ton avis et de tes conseils Franko :wink:

Modifié par Ryo
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  • Habitués

Je ne ressens pas vraiment cela, j'ai toujours été bien en France et je n'ai jamais eu de soucis, et en aucun cas eu le ressentit d’être non Français ou incompris.

Mais ce qui est sûr c'est que je n'ai plus envie d'être en France j'ai envie de découvrir autre chose, d'être dans l'inconnu et de découvrir une autre culture que celle de la France, après vous me direz une autre culture tu peux la découvrir en deux semaines de vacances mais c'est plus en profondeur que je veux vivre cela.

Et puis bien sûr l'attirance d'un super pays qui est le Canada qui en fait rêver plus d'un, dont moi et mon amie :)

Mais je connais quelqu'un que je ne vais pas citer, qui à quitter la France car il ne se sentait plus Français et en insécurité. Il était pompier de paris, et beaucoup d'intervention de violence et autres venait de personnes immigrant qui ne respecte pas le pays qui les accueillaient, vous me direz c'est un "raciste" pour bien le connaitre je peux vous dire que non mais bon on ne va pas débattre la dessus.

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Se que tu me dis sur ton ami pompier je le comprends très bien je le vis aussi dans ma région je comprends son insécurité mais moi on vas plutôt dire que s'est de l'injustice mais il y en a de partout.

Sinon vos deux ans au Québec fut enrichissant ?Vous conseiller de visiter quoi en premier Montreal ou Québec?

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  • Habitués

Non je n'ai pas vécu au Québec pendant deux ans, j'y ai juste été pendant 10 jours lol et je suis en processus pour avoir la CSQ.

Je disais que si tu souhaites y immigrer il faut te laisser 2 ans et ensuite tu fais un bilan. Soit tu restes et tu as réussis ton immigration ou soit tu rentres et tu l'as tout de même réussi car tu auras vécu une très belle expérience et surtout tu pourras te dire je l'ai vécu et non pas j'aurais dû tenter le coup quand tu auras 50ans...

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  • Habitués

A savoir que Février 2014 on pars deux semaines pour les nuit blanches de Montreal puis après on reviendra une fois par an mais dans des saisons diférente afin de se faire une vrai idée de se que est le Québec.

Bonne idée !

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Merci Cherrybee mais j'ai vraiment hâte d'être en février 2014 pour les nuits blanche

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  • Habitués

Vous pourriez aussi essayer de faire un PVT ou un visa Jeune Professionnel cela vous permettrait de rester plus longtemps et de mieux vous immerger dans la société Québécoise. Cela vous donnerait une idée plus objective que les vacances.

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  • Habitués



Une fois le pied posé en terre française au bout de quelques heures mon amie et moi avions l'impression que les Français étaient tous des cons lol alors que c'est totalement faux mais je commence à dénigré un peu mon pays, je ne sais pas si c'est bon signe ou non.

Bonsoir à vous.

Cette (petite) répulsion pour son pays d'origine et ses occupants, je vois ce que c'est, le SPI...

Un projet d'immigration peut jouer des tours, prenez votre temps, et ne confondez pas tourisme et immigration.

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  • Habitués

Une fois le pied posé en terre française au bout de quelques heures mon amie et moi avions l'impression que les Français étaient tous des cons lol alors que c'est totalement faux mais je commence à dénigré un peu mon pays, je ne sais pas si c'est bon signe ou non.

Bonsoir à vous.

Cette (petite) répulsion pour son pays d'origine et ses occupants, je vois ce que c'est, le SPI...

Un projet d'immigration peut jouer des tours, prenez votre temps, et ne confondez pas tourisme et immigration.

Comment ça? que veux-tu dire par SPI?

Modifié par Franko
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  • Habitués

Syndrome pre-immigratoire ? :)

Je vois l'intervention de Lionel39 comme etant le resultat de l'envie d'immigrer, ou une de ses consequences, et le fait de denigrer son pays d'origine aide a franchir le pas le coeur plus leger. Pour faire une parallele a ce que je dis, c'est un peu comme si tu voulais quitter ta copine: avant tout etait beau et merveilleux et tu as envie de partir et finalement pour te decider, tu lui trouves tous les defauts. :P

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  • Habitués

Voici ce que j'ai trouvé comme définition du SPI, ça vaut ce que ça vaut, à prendre avec un peu d'humour quand même.

Syndrome Pré-Immigratoire

Tous les candidats à l’immigration sont plus ou moins gravement atteints d’une affection très commune, le Syndrôme Pré-Immigratoire, ou SPI (PIS en anglais). Pour en avoir subi une attaque il y a quelques années, c’est une maladie que je connais bien. Elle n’est pas douloureuse pour le malade, qui ignore son affection la plupart du temps, mais elle l’est pour ses proches et pour tous ceux qui n’en sont pas atteints. En voici les principaux symptômes :

Rejet du pays d’origine

Dans l’attente de son visa qui l’y cloue, la victime de SPI développe très rapidement une véritable allergie au pays qui l’a vu naître. Là bas, tout est foutu, tout est pourri, rien ne pourra jamais y faire. Tous les efforts sont vains, le bateau coule, la seule et unique solution est la fuite. Tout ce qu’il a pu trouver beau, agréable et intéressant dans le passé, il le trouve maintenant laid, pénible et sans intérêt. La victime se demande même comment elle a fait pour vivre aussi longtemps dans un tel enfer.

Sublimation du pays d’accueil

Dans le pays d’accueil, par contre, tout est merveilleux. Contrairement à ses propres compatriotes qui ne sont qu’une bande d’abrutis, les braves gens qui y vivent ou su trouver des solutions efficaces et originales à tous les problèmes de la vie. Contrairement au pays d’origine, dans le nouveau pays tout semble beau. Même la plus minable des rues, même le plus sale des clochards, tout brille de mille feux.

Mais le décor n’est pas le plus important. Ce sont surtout les gens qui comptent, leur merveilleux accueil, leur fraternité spontanée, leur solidarité, leur simplicité, leur bienveillance et tout un tas d’autres qualités ignorée par les compatriotes du malade. La personne souffrant de SPI n’aura d’ailleurs de cesse que de se débarrasser de ses racines impures pour, dans un magnifique élan fusionnel, s’intégrer complètement dans la société d’accueil.

Le malade se sent alors de plus en plus étranger à sa société d’origine. De retour de vacances dans ce paradis qui est l’objet de tous ses espoirs, le candidat à l’immigration ressentira la déchirure que seuls ressentent ceux qu’on exile.

Rejet ou contournement des avertissements des immigrants déjà installés

Le contact avec les immigrants ayant déjà l’expérience du pays d’accueil est troublante pour la victime de SPI. Elle ne peut pas intégrer que d’autres qui sont déjà passés par là ne partagent pas le même enthousiasme qu’elle.

De là découlent deux types de comportement. D’abord, le rejet pur et simple. On ignore totalement ceux qui ne montrent pas une image du pays conforme à celle qu’on s’est construite. On ne veut pas les voir, ce ne sont que des oiseaux de mauvaise augure, ils n’existent pas.

Mais très rapidement, vu le nombre de témoignages heurtant ses convictions, la victime de SPI ne peut plus les ignorer. Mais il faut qu’elle s’en sorte quand même. Alors elle développe une stratégie dite "de contournement". Il y a bien une explication plausible à ces nombreux témoignages négatifs sur le pays d’accueil. Si ces gens n’ont pas pu s’adapter au plus beau pays du monde, ça ne peut pas venir du pays, mais bien d’eux-mêmes.

Alors le malade essaye de décortiquer ce qui a bien pu faire que tant de gens n’ont pas su s’adapter. Il s’auto-examine et se rassure. Lui aura plus de capacités que les autres à s’intégrer car il a plus de motivation. Comme il a appris qu’une grande cause d’échec est le rejet du pays d’origine, il se convainc que ce n’est pas pour cette raison qu’il quitte son pays, alors que c’est en complète contradiction avec le premier de ses symptômes. Mais la victime de SPI n’en est pas à une contradiction près : tout est bon pour que son projet soit mené à bien.

Ayant appris que la seule façon de réussir était de ne rien attendre de son immigration et de ne partir que pour l’aventure, le sujet atteint de SPI n’hésite pas à se mentir à lui-même pour se calquer sur ces idéaux, à l’opposé de ses véritables raison de quitter son pays.

Dans les cas les plus sérieux, le malade se croit investi d’une mission de formation et se met à donner des leçons aux immigrants installés depuis des années. Il leur explique la bonne conduite à tenir en pays étranger, croyant dur comme fer à sa propre méthode infaillible d’intégration.

Ignorance de l’affection

Le sujet souffrant de SPI ignore toujours qu’il en est atteint. Comme le patient atteint de la maladie d’Azheimer, il pense que ce sont les autres qui sont malades.

Quand on y réfléchit bien, le SPI est très similaire à ce que peut ressentir un individu lorsqu’il est amoureux. La personne aimée est vue comme exempte de défauts, il ne veut rien entendre de mauvais à son sujet. Et si quelqu’un souligne un travers de l’objet de sa passion, il n’y croit pas et explique cela par la médisance et la jalousie.

Le SPI est aggravé par l’attente du visa. Il est exacerbé par les voyages dits "de reconnaissance" qui ne sont en fait que du tourisme déguisé. Ces voyages sont particulièrement néfastes au malade, car ils l’enfoncent dans de vains rêves de vie sans souci au quotidien libre de contingences matérielles.

Contrairement aux affections dont soit on meurt, soit on reste idiot, le SPI n’est pas mortel. Par contre, dans certains cas pas si rares, on peut très bien en rester idiot. Apprenez-donc à en reconnaître les symptômes et à les combattre. L’écoute et l’humilité sont les meilleures des thérapies pour combattre le SPI.

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Pas mal ton message Lionel39 tu vois je me sens pas encore comme SPI je suis dans une phase ou je pèse le bon et le mauvais de chaque pays , je déteste pas la France mais je la trouve grandement laxiste ses dernières années.

Après Blueberry merci du conseil je pense que l'on va se préparer pour le faire d'ici 5 ans , le temps de bien réfléchir et des voyages effectués peser le pour et le contre.

Merci à tous pour les renseignements ou avis ;-)

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  • Habitués

Quand j'ai sorti cette annécdoque suite à notre retour en France, je dis ça car c'est juste vrai il n'y a rien à voir avec tes histoires de SPI.

Les Québécois en moyenne sont plus sympathiques, solidaire et serviable. Il y a plusieurs exemples qui peuvent le démontré, en France si tu as un pépin technique avec ta voiture sur le bord de la route, à moins que tu sois une jolie blonde, il y a très peu de chance que quelqu'un vienne te donner un coup de main au Québec les gens s'entraident plus.

Si tu te fais agressé au métro ou simplement que tu sois en béquille suite à un accident les Français en seront indifférent et tu ne verras personne t'aider.

Enfin je donne juste des exemples que j'ai vécu, et rien à voir avec le SPI c'est juste une réalité, je suis conscient que le Québec à des défauts et j'aime mon pays la France.

Après je ne sais pas si tu disais ça me concernant ou si c'étais pour Ryo.

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  • Habitués

en France si tu as un pépin technique avec ta voiture sur le bord de la route, à moins que tu sois une jolie blonde, il y a très peu de chance que quelqu'un vienne te donner un coup de main au Québec les gens s'entraident plus.

Si tu te fais agressé au métro ou simplement que tu sois en béquille suite à un accident les Français en seront indifférent et tu ne verras personne t'aider.

C'est ça tu es en plein SPI... tu généralises bien trop, et prend pour acquis que l'entraide ici c'est une chose incontournable et qu'en France c'est chacun pour son derriere... n'idéalise pas trop car quand le premier gros problème arrivera ici tu seras tout aussi seul que tu penseras l'être en France...

ne le prends pas mal mais tu parles de réalité, en plus de 10 ans ici je sais que des bien des gens attendent sur le bord d'unme route, ou personne ne t'aidera avec tes béquilles.... ou tout simplement un gros paquet dans ton chariot au supermarché...

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  • Habitués

Bon bah c'est peut-être possible alors, en même temps j'ai plusieurs trucs qui ne vont pas en ce moment donc j'ai peut-être trop la volonté de passer à autre choses en espérant que tout se passera mieux même si je suis conscient que l'herbe n'est pas plus verte chez le voisin.

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  • Habitués

Ryo: je te souhaite de réaliser ce départ et tu sembles bien t'y préparer. Tu fais le bon choix de venir voir comment ça se passe au Québec, prendre la température est la meilleure façon pour se rendre compte de ses futurs choix.

Comme je le dis toujours, chacun a sa vision des choses, son expérience de vie. Je t'encourage à réaliser ce projet, tu ne regretteras pas de vivre ton projet, tu regretteras si tu ne le fais pas...

J'ai vécu 12 ans au Québec et au jour d'aujourd'hui, avec MON expérience, j'affirme que les Québécois sont bcp plus solidaires qu'ici.

La France est super belle, nous ne manquons de rien mais parfois, il me manque des sourires, du positivisme et la zen attitude...

bonne chance à vous Ryo et Franko.

SPI, pour moi qui suit sophrologue ça veut dire: Sophro-Présence-Immédiate...J'avoue que j'ai trouvé ça drôle! ;°))

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Merci verozen j'avais lu ton sujet sur le vécu de ton départ de la France et le retour , s'était touchant on sent que le Québec ta profondément fait du bien sur tous les plans mais sa a permis de m'apprendre que le retour aux origines peuvent être dur aux premiers abord.

Aujourd'hui je ne me dis pas le Québec sera la solution pour moi mais que peut être le changement de vie peut m'aider à être heureux.

Comme tu disais je suis heureux car je suis en santé et je suis en santé car je suis heureux.

Je suis en santé mais pas 100% heureux mais vous inquiétez pas je touche pas le fond lol

Modifié par Ryo
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