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Les vrais défis une fois au Québec.


algérie16

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  • Habitués

Bonjour tout le monde,

J'aimerai bien commencé ce sujet pour le partage d'information bien sur mais aussi pour bien comprendre ce qui attend réellement les nouveau arrivants une fois ici au Canada ou au Québec.

Parce que on faisant le tour du forum j'ai vu beaucoup de gens qui parle seulement des démarches et pas assez de l’installation et les les vrais défis qui attende une personne immigrante seul ou en famille alors je souhaite une grande participation de la part des gens qui sont déjà au Québec et S.V.P même si vous êtes dans la difficulté dite le car c'est très important que les gens qui veulent commencer les démarches aient une vrai vision de cette aventure plain de surprise.

PS : les gens qui s'aiment la haine pour ne pas dire les raciste du forum vous n'êtes pas le bien venu sur ce sujet alors je veux quand partage et ne pas s'insulter pour rien alors merci pour votre compréhension.

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  • Habitués

Bonjour! dans le forum il y a une rubrique qui s’appelle "Vie pratique sur place", t'es aller jeter un coup d'oeil ?

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  • Habitués

Bonjour tout le monde,

J'aimerai bien commencé ce sujet pour le partage d'information bien sur mais aussi pour bien comprendre ce qui attend réellement les nouveau arrivants une fois ici au Canada ou au Québec.

Parce que on faisant le tour du forum j'ai vu beaucoup de gens qui parle seulement des démarches et pas assez de l’installation et les les vrais défis qui attende une personne immigrante seul ou en famille alors je souhaite une grande participation de la part des gens qui sont déjà au Québec et S.V.P même si vous êtes dans la difficulté dite le car c'est très important que les gens qui veulent commencer les démarches aient une vrai vision de cette aventure plain de surprise.

PS : les gens qui s'aiment la haine pour ne pas dire les raciste du forum vous n'êtes pas le bien venu sur ce sujet alors je veux quand partage et ne pas s'insulter pour rien alors merci pour votre compréhension.

Grossomodo, le nouvel immigrant devra pratiquement refaire sa vie... c'est pas peu dire, et je te laisse imaginer tous les défis ; cela ira de découvrir une ville, d'apprendre à s'y mouvoir et en utiliser le réseau de transport, se refaire un réseau d'amis, regarder devant et apprendre à se détacher de son passé, faire ses preuves et conquérir un marché du travail abordé avec des années de retard par rapport aux gens déjà installés ( et qui ont l'avantage d'une expérience de travail Québecoise que le nouvel immigrant ne possède fatalement pas ) , perfectionner son langage, probablement reprendre des cours ( en gérant certaines contraintes familiales ), apprendre les habitudes de la société d'accueil, apprendre à vivre dans une société cosmopolite en essayant de tirer profit de cette situation enrichissante et pouvoir intelligemment gérer certaines situations conflictuelles qui en découleraient...

Dans ce dernier chapitre, je crois que tu aurais quelques efforts à faire :wink:

Modifié par futurquébecois
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  • Habitués

Oui merci pour votre réponse mais sur la rubrique j'ai rien trouver de concert moi ce que je souhaite bien sur c'est les vrais sujet et les vrais problèmes car comme vous le savais bien les gens raconte souvent que les bonnes choses mais il faut parler de tout, comme par exemple vous vous êtes déjà en Europe (UK and France) et vous voulais quitter comme même pour venir ici au Canada car comme tout le monde le sais c'est pratiquement impossible d'avoir la carte de 10 ans pour la France et la free pour UK, il faut en parler et dire la vérité au gens et je suis très content de voir la participation des Algériens car nous on est concerné directement tout le monde veux partir et une fois sur place c'est le choc quelque soit le pays d’accueil alors essayons de dire les bonnes et les mauvaises choses pour que les gens réfléchissent bien avant de faire le grand pas.

Merci encore.

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  • Habitués

Moi j'aime bien la tournure antinomique "s'aiment la haine". C'est joli :)

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  • Habitués

S.V.P comme je l'ai déjà dit pas de polémique, les gens qui veulent juste venir ici pour critiqué les autres ne sont pas le bienvenu je le redit en plus c'est simple ouvrer un autre sujet c'est tout, alors j'attend la grande participation de nos amis du forum pour enrichir le sujet, merci à tous.

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  • Habitués

Bonjour Algerie16,

Loin de moi l'idée de blesser et si ce que je vais dire est blessant je m'en excuse d'avance.

1) "La bonne charité commence par soi même" Vu votre lieu de résidence commencez par nous conter votre aventure.

2) ...je suis très content de voir la participation des Algériens car nous on est concerné directement tout le monde veux partir...C'est un forum dédié aux immigrants donc tout le monde ici est DIRECTEMENT CONCERNE.

3) Merci d'avoir ouvert le sujet, car dans ce domaine très souvent on apprend de ses erreurs, de celles des autres et du véçu.

Merci aux "déjà résidents" de partager votre aventure avec nous.

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  • Habitués

Je ne suis pas algérienne, ni même immigrante. Mais voici quelques exemples qui me viennent en tête en observant mon entourage :

1) Le fameux "repartir de zéro" : peu de gens mesurent ce que ça représente réellement. La perte des repères familiers (tout réapprendre), la perte du statut social, du statut professionnel, du réseau amical, familial et social. Pour quelqu'un qui avait peut-être une situation confortable dans son pays d'origine, qui s'était acquis une certaine réputation professionnelle peut-être, ce n'est pas évident de devenir un simple "demandeur d'emploi", un "nobody" comme des milliers d'autres, surtout lorsque sa formation et son expérience ne sont pas reconnues.

2) Pour ceux qui arrivent avec un budget limité, la difficulté de joindre les deux bouts surtout si la recherche d'emploi ne donne pas rapidement de résultats. Devoir peut-être s'installer dans un appartement minable, dans un quartier minable, faute de pouvoir se payer mieux. Courir après ses sous pour s'équiper du minimum et manger correctement...

3) L'isolement - pas d'amis, pas de parents, pas de voisins connus de longue date, ça veut dire aussi personne sur qui on puisse compter en cas de pépin. Un exemple bête, mais qui peut causer tout un mal de tête : votre enfant est malade, ou encore la garderie est fermée, et vous devez quand même vous rendre au travail... qui appeler ?

4) Et en corollaire - l'isolement, ça veut dire aussi se retrouver tout seul face à soi-même, ou confiné à son couple. Si le couple était fragile (peut-être sans le savoir), il arrive que ça craque. Si l'individu était fragile, il arrive qu'il craque...

Modifié par bencoudonc
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  • Habitués

Je ne suis pas algérienne, ni même immigrante. Mais voici quelques exemples qui me viennent en tête en observant mon entourage :

1) Le fameux "repartir de zéro" : peu de gens mesurent ce que ça représente réellement. La perte des repères familiers (tout réapprendre), la perte du statut social, du statut professionnel, du réseau amical, familial et social. Pour quelqu'un qui avait peut-être une situation confortable dans son pays d'origine, qui s'était acquis une certaine réputation professionnelle peut-être, ce n'est pas évident de devenir un simple "demandeur d'emploi", un "nobody" comme des milliers d'autres, surtout lorsque sa formation et son expérience ne sont pas reconnues.

2) Pour ceux qui arrivent avec un budget limité, la difficulté de joindre les deux bouts surtout si la recherche d'emploi ne donne pas rapidement de résultats.

3) L'isolement - pas d'amis, pas de parents, pas de voisins connus de longue date, ça veut dire aussi personne sur qui on puisse compter en cas de pépin. Un exemple bête, mais qui peut causer tout un mal de tête : votre enfant est malade, ou encore la garderie est fermée, et vous devez quand même vous rendre au travail... qui appeler ?

4) Et en corollaire - l'isolement, ça veut dire aussi se retrouver tout seul face à soi-même, ou confiné à son couple. Si le couple était fragile (peut-être sans le savoir), il arrive que ça craque. Si l'individu était fragile, il arrive qu'il craque...

tout a fait d'accord avec vous

mais si j'ai déjà un réseau sociale comme pour moi j'ai pas mal de cousins et amis déjà installés et qui ont bien réussi a Montréal ou je compte bien m'installée dans le même quartier q'eux (ils s'entraident tout le temps) pour le début

comme ils ont tous fait au début de leurs instalation et cela ne les empechent pas d'avoir des amis de toutes les nationnalités ils sont vraiment trés bien intégrés

ils restent grouper en ayant chacun sa vie professionnelle et sociale et ils sont la a chaque fois que quelqu'un a besoin d'aide

a votre avis ce schéma aide a l’intégration???

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  • Habitués

Un réseau d'accueil, oui, mais attention au communautarisme qui risque de cacher la "vraie vie".

Ne pas hésiter à participer aux informations aux nouveaux arrivants, on peut y apprendre des choses importantes...

par le micc, les organismes communautaires, les asociations de quartier aussi

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  • Habitués

Je ne suis pas algérienne, ni même immigrante. Mais voici quelques exemples qui me viennent en tête en observant mon entourage :

1) Le fameux "repartir de zéro" : peu de gens mesurent ce que ça représente réellement. La perte des repères familiers (tout réapprendre), la perte du statut social, du statut professionnel, du réseau amical, familial et social. Pour quelqu'un qui avait peut-être une situation confortable dans son pays d'origine, qui s'était acquis une certaine réputation professionnelle peut-être, ce n'est pas évident de devenir un simple "demandeur d'emploi", un "nobody" comme des milliers d'autres, surtout lorsque sa formation et son expérience ne sont pas reconnues.

2) Pour ceux qui arrivent avec un budget limité, la difficulté de joindre les deux bouts surtout si la recherche d'emploi ne donne pas rapidement de résultats.

3) L'isolement - pas d'amis, pas de parents, pas de voisins connus de longue date, ça veut dire aussi personne sur qui on puisse compter en cas de pépin. Un exemple bête, mais qui peut causer tout un mal de tête : votre enfant est malade, ou encore la garderie est fermée, et vous devez quand même vous rendre au travail... qui appeler ?

4) Et en corollaire - l'isolement, ça veut dire aussi se retrouver tout seul face à soi-même, ou confiné à son couple. Si le couple était fragile (peut-être sans le savoir), il arrive que ça craque. Si l'individu était fragile, il arrive qu'il craque...

tout a fait d'accord avec vous

mais si j'ai déjà un réseau sociale comme pour moi j'ai pas mal de cousins et amis déjà installés et qui ont bien réussi a Montréal ou je compte bien m'installée dans le même quartier q'eux (ils s'entraident tout le temps) pour le début

comme ils ont tous fait au début de leurs instalation et cela ne les empechent pas d'avoir des amis de toutes les nationnalités ils sont vraiment trés bien intégrés

ils restent grouper en ayant chacun sa vie professionnelle et sociale et ils sont la a chaque fois que quelqu'un a besoin d'aide

a votre avis ce schéma aide a l’intégration???

Oui, en théorie...

Modifié par futurquébecois
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Moi j'aime bien la tournure antinomique "s'aiment la haine". C'est joli :smile:

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Oui, en théorie...

C'est évident que ça ne va pas résoudre tous les problèmes. Dans certains cas ça peut être un problème plus qu'une solution (ex. gens négatifs, pas adaptés, défaitistes...). Et c'est vrai (Claranne a raison) qu'il faut aussi éviter de se confiner à un ghetto si on veut s'intégrer.

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  • Habitués

Oui, en théorie...

C'est évident que ça ne va pas résoudre tous les problèmes. Dans certains cas ça peut être un problème plus qu'une solution (ex. gens négatifs, pas adaptés, défaitistes...). Et c'est vrai (Claranne a raison) qu'il faut aussi éviter de se confiner à un ghetto si on veut s'intégrer.

Sans compter l'écart entre la théorie, faite de promesses, et la pratique nécessairement plus engageante...

Modifié par futurquébecois
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  • Habitués

Le problème du ghetto je l'ai ressenti surtout à montreal. Les immigrés sont presque aussi nombreux que les québécois "de souche", et donc cela créé des communautés bien distinctes dans des quartiers bien définis. J'ai pas du tout cette sensation à Quebec.

Sinon sur les défis à relevé tout à été dit, on peut pas vraiment te donner d'exemples concrets, surtout que je ne suis pas maghrébin donc je peux pas te donner les différences.

Mais niveau conseils, arme toi d'un mental d'acier, les début sont vraiment dure, tu arrives dans une ville que tu connais pas, qui fonctionne pas du tout comme l'Algérie. Tu vas avoir à régler des affaires rapidements (banque, NAS, carte secu, permis de conduire, trouver un logement, le meubler éventuellement, établir différents contrats comme le tel l'internet l'eau l'électricité etc...

Ensuite un énorme conseil, c'est de venir avec une somme relativement importante pour justement avoir du temps pour gérer ces affaires avant de trouver une job ou une formation, car si tu rajoute le stress de l'argent les choses vont devenir dure. Pour info, ça fait un peu plus de deux mois que je suis à Quebec et j'ai dépensé environ 8-9k dollars (avec une voiture dans le lot à 6000 dollars) et je suis en colloc donc je n'ai pas eu d'achat de meublier.

Tout le reste à été dit !

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  • Habitués

Oui, en théorie...

C'est évident que ça ne va pas résoudre tous les problèmes. Dans certains cas ça peut être un problème plus qu'une solution (ex. gens négatifs, pas adaptés, défaitistes...). Et c'est vrai (Claranne a raison) qu'il faut aussi éviter de se confiner à un ghetto si on veut s'intégrer.

les ghettos existent et sont en plein boum ( sur Montréal) pour ce que j'en sais : les français parisiens bobos sur le Plateau, les nords-africains sur St Michel,les juifs du coté de mile -end ,

les asiatiques dans le quartier chinois ms je ne sais plus où il est situé ... je pense que dans un pays que l'on ne connait pas on cherche quelque chose qui nous parle et qui nous rassure ... Mais il est difficile pour nous si nous ne faisons pas partie de la population du ghetto de s'intégrer dedans !! ( c'est du vécu , nous étions installés dans un quartier juif sur Marseille et à Paris dans un quartier Turc , nous on est accommodants , mais que d'efforts pour se faire accepter !!!!)

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  • Habitués

changer de pays implique forcément un tas de défis à surmonter. le premier et pas des moindres c'est l'adaptation. s'adapter aux nouvelles mentalités, à la langue (eh oui, le québécois n'est pas forcément du français :crying:) là je risque d'attirer les foudres de mes amis québécois :vava: !!

les contraintes d'adaptabilité s'élargissent en fonction du milieu d’où l'on vient. les occidentaux peuvent accélérer leur intégration beaucoup plus vite que ceux du Maghreb et ce en raison de la proximité culturelle entre le Québec et les pays occidentaux en général.

pour les autres défis qu'on peut aisément considérer comme des sous-titres de l'adaptation et de l'intégration, c'est bien sûr REFAIRE TOUT A ZÉRO pour certains, en commençant par la recherche du travail, les équivalences des diplômes, des formations pour des mises à niveau.

certains ayant plus de chance ont pu décrocher des boulots pas forcément en adéquation avec leur profil, mais ils s'y sont mis quand même (mon cas personnel).

concernant les défis purement matériels, comme disait les autres, il faut avoir une petite réserve pour tenir les premiers mois d'installation pour payer les charges inhérentes à l'installation, notamment le loyer, l'électricité, Internet et le téléphone entre autres.

me concernant, après huit mois d'installation, je trouve vraiment que le loyer est abordable. avec un effort de recherche et de prospection, vous pouvez tomber sur une aubaine locative très intéressante. j'ai pu dénicher un très beau 4 1/2, spacieux avec balcon, eau chaude et chauffage inclus, pour une somme de 650 dollars mensuelle.

l'électricité est aussi abordable ici surtout en comparaison avec la France. l'eau est gratuite, mais l'internet et la télévision sont relativement chers.

pour notre formation initiale, il vaut mieux en tirer un trait et se soumettre à la grande probabilité de refaire son cursus, ou du moins, faire une bonne mise à niveau. mes chers internautes, préparez vous à refaire vos études pour que vous puissiez donner un sens à votre formation d'origine.

le défis de reprise d'études en un de taille parce que ce n'est pas évident que tout un chacun puisse reprendre les bancs de l"école surtout s'il commence à avoir quelques cheveux grisonnants :gla: . néanmoins, le Québec accorde beaucoup de facilités pour étudier, notamment l'octroi des prêts et bourses pour des formations longues (universitaires, DEC) et des financements par emploi Québec pour des formations aux collèges (AEC, DEP, etc), et aussi la flexibilité (de ce côté, un grand chapeau pour le Québec).

et pour mes compatriotes algériens, je vous demande d'être positifs, de vous préparer à des déceptions, à des difficultés majeures, et de mettre vos diplômes de côté en arrivant ici :blush2: ! mais de chercher uniquement du travail pour avoir la fameuse expérience québécoise. aussi, intégrez-vous le plus vite possible, respectez les valeurs québécoises tout en respectant les vôtres, évitez l'enfermement communautaire et passez au contact des autres. je vous assure que le Québec est totalement différent de l'Algérie et sur tous les plans !

pour une bonne intégration, changer de pays veut dire aussi changer de mentalité. le Québec bouge, vit, les enfants s'épanouissent, les gens sont libres, les femmes sont l'égal des hommes.

les habits ostentatoires, les accommodements intégristes et religieux, les comportements haineux et renfermés sont les plus grands ennemis d'une intégration.si vous êtes dans ce deuxième giron, vous serez certainement en contradiction avec vos croyances et vos us, par conséquent, mieux vaut éviter d'immigrer.

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