Habitués loblat Posté(e) 14 octobre 2011 Habitués Posté(e) 14 octobre 2011 Peut-être, mais il est toujours possible de progresser... Quand j'ai commencé à travailler à Montréal, mon anglais était pitoyable.. Finalement, je m'en suis sortie ... Tout n'est jamais désespéré ... Ce qui aide (hormis la conversation) c'est aussi la lecture pour améliorer sa grammaire et son orthographe ... Pour ton cas tu étais fonctionnelle pour les employeurs qui n'ont pas besoin d'avoir des gens bilingues, alors que lui il n'est pas fonctionnel en français, ni en anglais, imagine au niveau du marché du travail . Fonctionnelle pas sûre !! Et je crois bien avoir flushé un de mes premiers appels anglos après avoir essayé vainement de comprendre son numéro de client !! Et puis tout dépend des compétences. Ce que je trouve formidable, c'est que ma hiérarchie (ou les personnes qui m'ont embauchée), c'est qu'elles voyaient mon potentiel, mon dynamisme et ma capacité de progrès ..Nous sommes bien loin de cet état d'esprit en France. De plus, si nous parlons de qualité de langage, et que nous suivons ton raisonnement, certains de mes anciens collègues québécois "pure laine" n'auraient jamais pu occuper un quelconque emploi ... Et je ne parle même pas de certains médecins d'origine étrangère dans les clinique sans rendez-vous qu'il est impossible de comprendre (en anglais ou en français !!) et qui pratiquent tout de même. Je persiste donc et je signe. Et pour éviter toute ambiguïté, je m'exprime par rapport au langage et non par rapport aux autres facteurs d'embauche tels que la xénophobie, le sexisme, ...). Citer
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