Habitués the dude Posté(e) 21 septembre 2010 Habitués Posté(e) 21 septembre 2010 L'article a évoqué la maîtrise de la langue, il n'a pas précisé LE français...il y a deux langues officielles au Canada... ....Mais il n'y a qu'une langue officielle au Québec! Alors comment ca se fait que les immigrants asiatique anglophones qui ne parlent pas un mot de Français trouvent plus facilement un travail au Québec que les immigrants francophones qui ont le taux de chômage le plus élevé ? Commence par prouver la véracité de ton affirmation.... quand bien meme si c'etait vrai, les asiatiques ont des reseaux d'immigrations, "tontin" desole pour l'orth etc ... Une communauté soudée peut s'en sortir Citer
Habitués immigrant_1978 Posté(e) 21 septembre 2010 Habitués Posté(e) 21 septembre 2010 L'article a évoqué la maîtrise de la langue, il n'a pas précisé LE français...il y a deux langues officielles au Canada... ....Mais il n'y a qu'une langue officielle au Québec! Alors comment ca se fait que les immigrants asiatique anglophones qui ne parlent pas un mot de Français trouvent plus facilement un travail au Québec que les immigrants francophones qui ont le taux de chômage le plus élevé ? Commence par prouver la véracité de ton affirmation.... Tu n'as qu'à regarder les statistiques de chomage des immigrants, les maghrébins sont au sommet suivi des immigrants de l'afrique de l'ouest et les haitiens. En bas du classement se trouve les immigrants asiatiques, comme si la connaissance du Français, n'aide pas à monter dans le classement Citer
Habitués kobico Posté(e) 21 septembre 2010 Habitués Posté(e) 21 septembre 2010 Désolé pour toi, tu as tout faux comme d'habitude et tu interprètes pour te construire une preuve indirecte selon tes prémisses. Zéro crédibilité.... Citer
Invité Posté(e) 22 septembre 2010 Posté(e) 22 septembre 2010 (modifié) Oui en fonction de l'emploi qu'on occupe, on peut très bien avoir un niveau 0 en anglais sans aucun souci Tout dépend de la branche ! cites moi les branches ou on a pas besoin d'anglais ca m'aiderait grandement Comme le dit Cherrybee, travailler pour le Gouvernement du Québec Et en effet en dehors de Montréal, c'est beaucoup moins utile aussi ! Tu cherches quoi comme boulot ? Modifié 22 septembre 2010 par Invité Citer
Invité Posté(e) 22 septembre 2010 Posté(e) 22 septembre 2010 S'il faut maitriser le français, cela me convient...Après à voir si les entreprises font réellement passer un test à leurs salariés pour juger du niveau de maitrise... J'ai toujours eu des tests de français (et d'anglais) pour les emplois que j'ai occupés. Et là où je suis, à la fonction publique, il est ... disons ... coriace ! Même les agences de placement en font passer; toutefois, ils semblent plutôt faciles, car des candidates qui peuvent obtenir 90% dans un test de français en agence de placement ... échouent chez nous ou s'en sortent de justesse avec un 72% - 74%. D'ailleurs, lors d'embauche de secrétaires, c'est la qualité du français sur laquelle nous butons toujours. Les candidates peuvent êtres excellentes avec Word, Excel ..., mais sont incapables d'écrire une lettre structurée. Citer
Invité Posté(e) 22 septembre 2010 Posté(e) 22 septembre 2010 Oui en fonction de l'emploi qu'on occupe, on peut très bien avoir un niveau 0 en anglais sans aucun souci Tout dépend de la branche ! cites moi les branches ou on a pas besoin d'anglais ca m'aiderait grandement Comme le dit Cherrybee, travailler pour le Gouvernement du Québec Et en effet en dehors de Montréal, c'est beaucoup moins utile aussi ! Tu cherches quoi comme boulot ? Sauf qu'en ce moment, au gouvernement, ils coupent plus qu'ils n'embauchent. Là où je suis, on allait enfin embaucher quelqu'un en trois mois ... mais ils ont changé d'idée et vont s'arranger autrement. Il y a des postes qui s'ouvrent, mais ils en profitent pour consolider des postes qui n'étaient que des affectations temporaires. Donc, un temporaire qui était là depuis deux ou trois ans devient permanent ... il prend la place d'un retraité. Et un retraité qui part est remplacé ... par lui-même, qui revient à contrat. Et puis ils décident aussi de ne pas remplacer des gens qui partent ... Citer
Habitués djidou Posté(e) 22 septembre 2010 Habitués Posté(e) 22 septembre 2010 Oui en fonction de l'emploi qu'on occupe, on peut très bien avoir un niveau 0 en anglais sans aucun souci Tout dépend de la branche ! cites moi les branches ou on a pas besoin d'anglais ca m'aiderait grandement La plupart des emplois hors Montréal djidou. À Québec, personne n'a besoin de travailler en anglais sauf quelques rares exceptions (par exemple les chercheurs qui doivent publier en anglais, quelques fonctionnaires de haut niveau, quelques employés de la Haute Ville qui servent les touristes ). le problème est que je vie a Montréal, et je suis pas prêt a déménager a quebec Citer
Habitués djidou Posté(e) 22 septembre 2010 Habitués Posté(e) 22 septembre 2010 Oui en fonction de l'emploi qu'on occupe, on peut très bien avoir un niveau 0 en anglais sans aucun souci Tout dépend de la branche ! cites moi les branches ou on a pas besoin d'anglais ca m'aiderait grandement Comme le dit Cherrybee, travailler pour le Gouvernement du Québec Et en effet en dehors de Montréal, c'est beaucoup moins utile aussi ! Tu cherches quoi comme boulot ? Merci Marionnette mais je suis a l'emploi déja, je voulais juste changé d'air. pour en revenir au gouvernement, ma conjointe travaille pour le gouvernement (tiens elle est à l'attribution du BS, cool pour une algerienne) et elle travaille beaucoup en anglais. Citer
Habitués djidou Posté(e) 22 septembre 2010 Habitués Posté(e) 22 septembre 2010 Oui en fonction de l'emploi qu'on occupe, on peut très bien avoir un niveau 0 en anglais sans aucun souci Tout dépend de la branche ! cites moi les branches ou on a pas besoin d'anglais ca m'aiderait grandement Comme le dit Cherrybee, travailler pour le Gouvernement du Québec Et en effet en dehors de Montréal, c'est beaucoup moins utile aussi ! Tu cherches quoi comme boulot ? Sauf qu'en ce moment, au gouvernement, ils coupent plus qu'ils n'embauchent. Là où je suis, on allait enfin embaucher quelqu'un en trois mois ... mais ils ont changé d'idée et vont s'arranger autrement. Il y a des postes qui s'ouvrent, mais ils en profitent pour consolider des postes qui n'étaient que des affectations temporaires. Donc, un temporaire qui était là depuis deux ou trois ans devient permanent ... il prend la place d'un retraité. Et un retraité qui part est remplacé ... par lui-même, qui revient à contrat. Et puis ils décident aussi de ne pas remplacer des gens qui partent ... ma conjointe a du être réaffecter car on a coupé au CLE ou elle travaillait Citer
Invité Posté(e) 22 septembre 2010 Posté(e) 22 septembre 2010 Merci Marionnette mais je suis a l'emploi déja, je voulais juste changé d'air. pour en revenir au gouvernement, ma conjointe travaille pour le gouvernement (tiens elle est à l'attribution du BS, cool pour une algerienne) et elle travaille beaucoup en anglais. OK Bon après si tu as le temps, tu peux aussi prendre des cours d'anglais, c'est certain qu'à Montréal, ça aide dans beaucoup de domaines ! le problème est que je vie a Montréal, et je suis pas prêt a déménager a quebec Comme je te comprends Sauf qu'en ce moment, au gouvernement, ils coupent plus qu'ils n'embauchent. Là où je suis, on allait enfin embaucher quelqu'un en trois mois ... mais ils ont changé d'idée et vont s'arranger autrement. Cela dit mon premier emploi, c'était pour le gouvernement du Québec et je foutais rien de la journée, grassement payé pour ce que je faisais donc c'est aussi un peu n'importe quoi dans certains organismes Citer
Habitués djidou Posté(e) 22 septembre 2010 Habitués Posté(e) 22 septembre 2010 Merci Marionnette mais je suis a l'emploi déja, je voulais juste changé d'air. pour en revenir au gouvernement, ma conjointe travaille pour le gouvernement (tiens elle est à l'attribution du BS, cool pour une algerienne) et elle travaille beaucoup en anglais. OK Bon après si tu as le temps, tu peux aussi prendre des cours d'anglais, c'est certain qu'à Montréal, ça aide dans beaucoup de domaines ! le problème est que je vie a Montréal, et je suis pas prêt a déménager a quebec Comme je te comprends Sauf qu'en ce moment, au gouvernement, ils coupent plus qu'ils n'embauchent. Là où je suis, on allait enfin embaucher quelqu'un en trois mois ... mais ils ont changé d'idée et vont s'arranger autrement. Cela dit mon premier emploi, c'était pour le gouvernement du Québec et je foutais rien de la journée, grassement payé pour ce que je faisais donc c'est aussi un peu n'importe quoi dans certains organismes a vrai dire je me debrouille pas mal en anglais Citer
Habitués Zogu Posté(e) 22 septembre 2010 Habitués Posté(e) 22 septembre 2010 J'ai travaillé "unilingue français" au Québec. J'ai travaillé aussi "full bilingue". Mais là où j'ai eu le plus de plaisir, c'est quand j'avais un collègue d'origine iranienne qui nous invitait au restaurant de son père! Citer
Habitués Cherrybee Posté(e) 22 septembre 2010 Auteur Habitués Posté(e) 22 septembre 2010 L'article a évoqué la maîtrise de la langue, il n'a pas précisé LE français...il y a deux langues officielles au Canada... ....Mais il n'y a qu'une langue officielle au Québec! Alors comment ca se fait que les immigrants asiatique anglophones qui ne parlent pas un mot de Français trouvent plus facilement un travail au Québec que les immigrants francophones qui ont le taux de chômage le plus élevé ? Tu n'as qu'à regarder les statistiques de chomage des immigrants, les maghrébins sont au sommet suivi des immigrants de l'afrique de l'ouest et les haitiens. En bas du classement se trouve les immigrants asiatiques, comme si la connaissance du Français, n'aide pas à monter dans le classement John Baker et Baker & Hattaway ont réagi à ceci 2 Citer
Habitués Baker & Hattaway Posté(e) 22 septembre 2010 Habitués Posté(e) 22 septembre 2010 quand bien meme si c'etait vrai, les asiatiques ont des reseaux d'immigrations, "tontin" desole pour l'orth etc ... Une communauté soudée peut s'en sortir Tu dois parler de la "tontine", originaire d'Afrique et ancêtre du micro-crédit. Ce n'est pas le mot que j'emploierais pour l'immigration asiatique. Les asiatiques ont une vision différente de l'immigration, très différente. Et leur moyen d'y parvenir passe quasi-obligatoirement par une sélection et une association "forcée" à la communauté. Ils ont tendance à ignorer les procédures et les lois en général, ils ont aussi une structure "castique" avec leur propre mode de fonctionnement et leurs lois qu'ils se chargent de faire respecter. Un monde dans le monde. Et ce n'est pas particulier à l'immigration au Canada, ça se passe pareil aux US ou en Europe. Tu n'as qu'à regarder les statistiques de chomage des immigrants, les maghrébins sont au sommet suivi des immigrants de l'afrique de l'ouest et les haitiens. En bas du classement se trouve les immigrants asiatiques, comme si la connaissance du Français, n'aide pas à monter dans le classement Tu cherches une "excuse" à ta situation ? Oui mais si les employeurs de ton pays d'accueil font de la discrimination, tu n'auras peut etre pas plus de chance avec les employeurs de ta communauté ? Bl... sh... ! Je me demande ce que je deviendrais si je comptais sur les Rwandais pour dénicher un boulot Pour être sérieux, peut-être ne serais-tu plus de ce monde ... Sinon, c'est ce genre de réponse qui me plaît chez toi et celles qui ont suivies. Mais je ne peux pas les quoter sans faire du hors sujet. Kweli et John Baker ont réagi à ceci 2 Citer
Habitués Zogu Posté(e) 22 septembre 2010 Habitués Posté(e) 22 septembre 2010 (modifié) En fait, il faut comprendre que la maîtrise de la langue de travail (peu importe la langue choisie) est un atout important dans la réussite professionnelle. Ceux qui ont des difficultés à l'oral ou à l'écrit ont un handicap sérieux, même s'ils peuvent progresser. Un autre candidat qui s'exprime mieux, à compétences égales, aura de meilleures chances. J'ai eu des collègues de travail (Québécois, Algériens, Français, etc) qui écrivaient très mal ou qui n'arrivaient pas à se faire comprendre. Cela pouvait produire de la frustration auprès de leurs collègues ou de leurs supérieurs, en plus de causer des situations où l'incompréhension mutuelle fait en sorte que l'employé fait fausse route ou s'attaque au mauvais problème (par exemple, programmer le même module que le voisin, ce qui cause frustration ET perte de productivité). Le critère principal de réussite n'est pas, en général, le niveau de sophistication de la langue ou la capacité à utiliser l'imparfait du subjonctif (même si ça aide parfois!). C'est surtout la capacité à se faire comprendre, à synthétiser ses idées, à comprendre l'autre, à poser les bonnes questions, à assimiler de nouveaux concepts. Voilà pourquoi des gens dont le français est la langue seconde ou troisième réussissent souvent dans des domaines sociaux ou techniques. Le fait de mal parler ou écrire la langue de travail vous barrera toutefois la route si vous cherchez à occuper un poste où il faut rédiger des communications (architecture de projet, marketing, etc). Votre lettre de présentation, réponse par courriel, présence en entrevue, etc., pourrait aussi s'avérer difficile si vous baragouinez à peine la langue de travail. Si vous ne maîtrisez pas parfaitement le français "niveau de base fonctionnel" (ou toute autre langue de travail demandée), vous pouvez toujours essayer de compenser à l'aide de vos qualités sociales. Mais je suis d'accord avec les prémisses de ce fil de discussion: une maîtrise adéquate de la langue augmente le taux de succès en entrevue et, en général, tout au long de la vie professionnelle. Modifié 22 septembre 2010 par Zogu Baker & Hattaway a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Feribest Posté(e) 22 septembre 2010 Habitués Posté(e) 22 septembre 2010 En fait, il faut comprendre que la maîtrise de la langue de travail (peu importe la langue choisie) est un atout important dans la réussite professionnelle. Ceux qui ont des difficultés à l'oral ou à l'écrit ont un handicap sérieux, même s'ils peuvent progresser. Un autre candidat qui s'exprime mieux, à compétences égales, aura de meilleures chances. J'ai eu des collègues de travail (Québécois, Algériens, Français, etc) qui écrivaient très mal ou qui n'arrivaient pas à se faire comprendre. Cela pouvait produire de la frustration auprès de leurs collègues ou de leurs supérieurs, en plus de causer des situations où l'incompréhension mutuelle fait en sorte que l'employé fait fausse route ou s'attaque au mauvais problème (par exemple, programmer le même module que le voisin, ce qui cause frustration ET perte de productivité). Le critère principal de réussite n'est pas, en général, le niveau de sophistication de la langue ou la capacité à utiliser l'imparfait du subjonctif (même si ça aide parfois!). C'est surtout la capacité à se faire comprendre, à synthétiser ses idées, à comprendre l'autre, à poser les bonnes questions, à assimiler de nouveaux concepts. Voilà pourquoi des gens dont le français est la langue seconde ou troisième réussissent souvent dans des domaines sociaux ou techniques. Le fait de mal parler ou écrire la langue de travail vous barrera toutefois la route si vous cherchez à occuper un poste où il faut rédiger des communications (architecture de projet, marketing, etc). Votre lettre de présentation, réponse par courriel, présence en entrevue, etc., pourrait aussi s'avérer difficile si vous baragouinez à peine la langue de travail. Si vous ne maîtrisez pas parfaitement le français "niveau de base fonctionnel" (ou toute autre langue de travail demandée), vous pouvez toujours essayer de compenser à l'aide de vos qualités sociales. Mais je suis d'accord avec les prémisses de ce fil de discussion: une maîtrise adéquate de la langue augmente le taux de succès en entrevue et, en général, tout au long de la vie professionnelle. Tout à fait d'accord, la maitrise d'une langue, quelle qu'elle soit, dépasse largement son côté fonctionnel, et il est évident qu'avant même d'arriver à une entrevue, un CV mal écrit peut déjà barrer le chemin... Citer
Invité Posté(e) 22 septembre 2010 Posté(e) 22 septembre 2010 Merci Marionnette mais je suis a l'emploi déja, je voulais juste changé d'air. pour en revenir au gouvernement, ma conjointe travaille pour le gouvernement (tiens elle est à l'attribution du BS, cool pour une algerienne) et elle travaille beaucoup en anglais. OK Bon après si tu as le temps, tu peux aussi prendre des cours d'anglais, c'est certain qu'à Montréal, ça aide dans beaucoup de domaines ! le problème est que je vie a Montréal, et je suis pas prêt a déménager a quebec Comme je te comprends Sauf qu'en ce moment, au gouvernement, ils coupent plus qu'ils n'embauchent. Là où je suis, on allait enfin embaucher quelqu'un en trois mois ... mais ils ont changé d'idée et vont s'arranger autrement. Cela dit mon premier emploi, c'était pour le gouvernement du Québec et je foutais rien de la journée, grassement payé pour ce que je faisais donc c'est aussi un peu n'importe quoi dans certains organismes D'accord avec votre dernier commentaire; je vous comprends ... il y a pas mal d'économies qui pourraient se faire au gouvernement, j'en sais quelque chose. Citer
Habitués Kweli Posté(e) 22 septembre 2010 Habitués Posté(e) 22 septembre 2010 Oui en fonction de l'emploi qu'on occupe, on peut très bien avoir un niveau 0 en anglais sans aucun souci Tout dépend de la branche ! cites moi les branches ou on a pas besoin d'anglais ca m'aiderait grandement La plupart des emplois hors Montréal djidou. À Québec, personne n'a besoin de travailler en anglais sauf quelques rares exceptions (par exemple les chercheurs qui doivent publier en anglais, quelques fonctionnaires de haut niveau, quelques employés de la Haute Ville qui servent les touristes ). le problème est que je vie a Montréal, et je suis pas prêt a déménager a quebec Il te reste alors la possibilité d'améliorer ton anglais. Moi, j'ai dû payer des cours d'été à Concordia (1250 $ si je me rappelle bien) et j'ai déniché un boulot où je travaillais 50% en anglais ou presque. Il y a plein d'endroits à Montréal où tu peux perfectionner ton anglais. Citer
Habitués futurquébecois Posté(e) 22 septembre 2010 Habitués Posté(e) 22 septembre 2010 (modifié) Reçu aujourd'hui à mon travail, aux RH: Immigrants diplômés Possibilités d'emploi compromises L'âge est un facteur déterminant pour l'accès à l'emploi des immigrants et les gouvernements, tout comme les entreprises, doivent prendre cela en compte. C'est ce que préconise une étude publiée le 14 septembre et intitulée «Un diplôme postsecondaire canadien, un tremplin vers des emplois de qualité pour les immigrants?». Le document indique que les immigrants arrivés au pays à l'âge adulte éprouvent plus de difficultés à trouver un emploi de qualité. Sur les 16,2% d'immigrants qui arrivent au Québec à l'âge adulte avec un diplôme en poche, le taux de placement se situe par exemple autour de 80%, alors que les immigrants arrivés avant l'âge de 18 ans affichent un taux de 94%. Les auteurs de l'étude demandent donc que les deux paliers de gouvernement accordent plus de points au critère de l'âge lors de la sélection, sachant que «plus les immigrants arrivent jeunes, plus leur parcours scolaire ressemble à celui des Canadiens de naissance». Plus de considérations pour les adultes Les auteurs proposent aussi d'offrir une formation en orientation aux immigrants, afin que les bureaux de placement à l'étranger puissent indiquer la marche à suivre pour les professions réglementées, comme celles de médecin, d'avocat ou d'infirmière. «La plupart des nouveaux immigrants adultes entament les démarches une fois arrivés ici, ce qui devient assez complexe pour eux», a expliqué Maude Boulet, coauteure de l'étude. Les immigrants arrivés à l'âge adulte peuvent de plus être pénalisés sur le marché du travail à cause de la maîtrise de la langue, même s'ils possèdent un diplôme canadien. «Pour régler les problèmes à intégrer le marché et faire le retour aux études, ils doivent être bien informés, s'il y a des possibilités d'ouverture et si le salaire correspond à leurs attentes», a indiqué Brahim Boudarbat, l'autre auteur de l'étude. Les employeurs dans la mire Pour de nombreux employeurs, une première expérience de travail sur le sol canadien est souvent un critère pour embaucher les immigrants. Il ne faudrait pas toutefois en faire une exigence absolue. «Il faut leur [les immigrants] ouvrir des portes, alors qu'ils cherchent souvent à acquérir une première expérience», a indiqué Mme Boulet. Selon les deux chercheurs, les stages rémunérés devraient être davantage proposés par comme les entreprises. En 2008, environ 250 000 immigrants ont obtenu le statut de résidents permanents. http://lejournaldequ...920-184349.html Maintenant, c'est vous qui voyez C'est du ' Chevallier et Laspalas !' Il aurait été plus correct d' écrire : Maintenant, c'est à vous de voir ! Bravoooooo !!! Laspales, cher ami, Laspales ! Eh oui, il m'arrive quelquefois de faire un peu d'humour C'est tout à votre honneur d'accepter de faire votre méa culpa... N.B. : ' Laspalas ou Laspales' , il s'agit d'un nom propre, appartenant de surcroît à quelqu'un qui n'est pour moi pas une référence dans quelque domaine que ce soit ! Il en est autrement pour la manipulation de la langue française... et malheureusement pour vous, c'est là que vous vous êtes ramassé! Relativisez l'erreur S.V.P. et évitez de dire et d'écrire juste pour le plaisir de ne pas vous taire! Merci. Modifié 22 septembre 2010 par futurquébecois djidou a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Cherrybee Posté(e) 23 septembre 2010 Auteur Habitués Posté(e) 23 septembre 2010 Reçu aujourd'hui à mon travail, aux RH: Immigrants diplômés Possibilités d'emploi compromises L'âge est un facteur déterminant pour l'accès à l'emploi des immigrants et les gouvernements, tout comme les entreprises, doivent prendre cela en compte. C'est ce que préconise une étude publiée le 14 septembre et intitulée «Un diplôme postsecondaire canadien, un tremplin vers des emplois de qualité pour les immigrants?». Le document indique que les immigrants arrivés au pays à l'âge adulte éprouvent plus de difficultés à trouver un emploi de qualité. Sur les 16,2% d'immigrants qui arrivent au Québec à l'âge adulte avec un diplôme en poche, le taux de placement se situe par exemple autour de 80%, alors que les immigrants arrivés avant l'âge de 18 ans affichent un taux de 94%. Les auteurs de l'étude demandent donc que les deux paliers de gouvernement accordent plus de points au critère de l'âge lors de la sélection, sachant que «plus les immigrants arrivent jeunes, plus leur parcours scolaire ressemble à celui des Canadiens de naissance». Plus de considérations pour les adultes Les auteurs proposent aussi d'offrir une formation en orientation aux immigrants, afin que les bureaux de placement à l'étranger puissent indiquer la marche à suivre pour les professions réglementées, comme celles de médecin, d'avocat ou d'infirmière. «La plupart des nouveaux immigrants adultes entament les démarches une fois arrivés ici, ce qui devient assez complexe pour eux», a expliqué Maude Boulet, coauteure de l'étude. Les immigrants arrivés à l'âge adulte peuvent de plus être pénalisés sur le marché du travail à cause de la maîtrise de la langue, même s'ils possèdent un diplôme canadien. «Pour régler les problèmes à intégrer le marché et faire le retour aux études, ils doivent être bien informés, s'il y a des possibilités d'ouverture et si le salaire correspond à leurs attentes», a indiqué Brahim Boudarbat, l'autre auteur de l'étude. Les employeurs dans la mire Pour de nombreux employeurs, une première expérience de travail sur le sol canadien est souvent un critère pour embaucher les immigrants. Il ne faudrait pas toutefois en faire une exigence absolue. «Il faut leur [les immigrants] ouvrir des portes, alors qu'ils cherchent souvent à acquérir une première expérience», a indiqué Mme Boulet. Selon les deux chercheurs, les stages rémunérés devraient être davantage proposés par comme les entreprises. En 2008, environ 250 000 immigrants ont obtenu le statut de résidents permanents. http://lejournaldequ...920-184349.html Maintenant, c'est vous qui voyez C'est du ' Chevallier et Laspalas !' Il aurait été plus correct d' écrire : Maintenant, c'est à vous de voir ! Bravoooooo !!! Laspales, cher ami, Laspales ! Eh oui, il m'arrive quelquefois de faire un peu d'humour C'est tout à votre honneur d'accepter de faire votre méa culpa... N.B. : ' Laspalas ou Laspales' , il s'agit d'un nom propre, appartenant de surcroît à quelqu'un qui n'est pour moi pas une référence dans quelque domaine que ce soit ! Il en est autrement pour la manipulation de la langue française... et malheureusement pour vous, c'est là que vous vous êtes ramassé! Relativisez l'erreur S.V.P. et évitez de dire et d'écrire juste pour le plaisir de ne pas vous taire! Merci. Ouh laaaaa! Y en a qui sont vraiment lourds!!! Youhouuuuu !!!!! http://www.youtube.com/watch?v=RlNAegxo--E Madame Bec-Sec a réagi à ceci 1 Citer
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