Habitués jasé Posté(e) 30 juin 2010 Habitués Posté(e) 30 juin 2010 reste à voir le temps mortel pour avoir un RDV et pour passer es echographies "urgences!!!" espérant Citer
Habitués Equinox Posté(e) 30 juin 2010 Habitués Posté(e) 30 juin 2010 Le problème du générique c'est sa biodisponibilité...pour faire simple, l'original est côté : 1. Le générique peut avoir une biodisponibilité de +10 ou de -10. Dans le cas de dosage étroit comme pour le lithium, l'hormone thyroidienne, les antiepileptiques, qui ont un spectre étroit entre toxicité, efficacité et inutilité, avec un générique nous naviguons à vue avec un bandeau sur les yeux. Alors je ne suis pas près du tout, à faire prendre le risque à mes clients. Un générique de diurétique ou d'anti-hypertenseur : pas de problème ...pour le reste je met " ne pas substituer" Je ne suis pas du tout d'accord avec cela car la biodisponibilité ne concerne pas la molecule qui doit être la même que l'original En cas de d'indisponibilité il s'agirait d'un probleme eventuel d'enrobage de la molecule. Si tel est le cas de tes exemples c'est que les matieres utilisées pour enrobées la molecule ne remplissent pas leurs fonctions. Il faut juste rappeler que les enrobages sont faites pour permettre d'acheminer, de proteger les molecules actives jusqu'à leurs cibles car suivant le mode d'administration ces medicaments sont attaqués par des enzymes buccaux, eosophagiens, de l'estomac et de l'intestin si l'administration est par voie orale. Dans le cas d'une administration par voie dermique c'est avant tout rendre la molecule biodisponible par des precautions physicochimiques idem par voie sanguine. Bien, nous sommes d'accord : On demande au générique d'être identique à la molécule originale : c'est le cas. Mais la forme, qui entoure cette molécule originale est différente du comprimé original ...ainsi l'activité de la molécule originale s'en trouve modifié : ce qu'on appelle la biodisponibilité, ou aire sous la courbe pour les spécialistes. Exemple : le comprimé à libération prolongée d'ADALAT est une capsule percée au laser avec un collagène qui gonfle au contact des sucs digestifs et libère le produit sur 24 h. Cette capsule est un brevet Bayer. Aucun labo de générique n'a ce brevet. les formes de générique existantes actuelles peinent à arriver à 20 heures, ce qui laisse nos malades 4 heures sans médicament et augmente le risque d'accident vasculaire cérébral. Citer
Habitués alphagamma Posté(e) 30 juin 2010 Habitués Posté(e) 30 juin 2010 Le problème du générique c'est sa biodisponibilité...pour faire simple, l'original est côté : 1. Le générique peut avoir une biodisponibilité de +10 ou de -10. Dans le cas de dosage étroit comme pour le lithium, l'hormone thyroidienne, les antiepileptiques, qui ont un spectre étroit entre toxicité, efficacité et inutilité, avec un générique nous naviguons à vue avec un bandeau sur les yeux. Alors je ne suis pas près du tout, à faire prendre le risque à mes clients. Un générique de diurétique ou d'anti-hypertenseur : pas de problème ...pour le reste je met " ne pas substituer" Je ne suis pas du tout d'accord avec cela car la biodisponibilité ne concerne pas la molecule qui doit être la même que l'original En cas de d'indisponibilité il s'agirait d'un probleme eventuel d'enrobage de la molecule. Si tel est le cas de tes exemples c'est que les matieres utilisées pour enrobées la molecule ne remplissent pas leurs fonctions. Il faut juste rappeler que les enrobages sont faites pour permettre d'acheminer, de proteger les molecules actives jusqu'à leurs cibles car suivant le mode d'administration ces medicaments sont attaqués par des enzymes buccaux, eosophagiens, de l'estomac et de l'intestin si l'administration est par voie orale. Dans le cas d'une administration par voie dermique c'est avant tout rendre la molecule biodisponible par des precautions physicochimiques idem par voie sanguine. Bien, nous sommes d'accord : On demande au générique d'être identique à la molécule originale : c'est le cas. Mais la forme, qui entoure cette molécule originale est différente du comprimé original ...ainsi l'activité de la molécule originale s'en trouve modifié : ce qu'on appelle la biodisponibilité, ou aire sous la courbe pour les spécialistes. Exemple : le comprimé à libération prolongée d'ADALAT est une capsule percée au laser avec un collagène qui gonfle au contact des sucs digestifs et libère le produit sur 24 h. Cette capsule est un brevet Bayer. Aucun labo de générique n'a ce brevet. les formes de générique existantes actuelles peinent à arriver à 20 heures, ce qui laisse nos malades 4 heures sans médicament et augmente le risque d'accident vasculaire cérébral. Sur cela je suis tout à fait d'accord avec toi car même si les medocs sous brevet doivent le rester pour proteger la proprieté intellectuelle cela ne facilite pas l'accés aux soins des patients à faible revenu. Dans des cas pareils les termes generiques sont inappropriés par contre pour ce qui est de l'encapsulation des molecules, d'enormes progrés ont été faites telles que les encapsulations à troisieme categorie. Ce pendant les generiques reconnus comme tels sont aussi performants que les medocs originaux et moins coûteux donc faut faire leurs promotions à mon avis. Pour ce qui concerne les produits antiepileptiques je ne mettrer pas un bemol sur leur efficacité mais ce probleme est loin d'etre résolu pour avoir bossé sur les recepteurs CB1&CB2 versus endocannabinoides cela ne m'etonne pas de voir des difficultés la dessu Mais le probleme dans plusieurs cas est le choix de l'experimentation c'est à dire du materiel biologique (biopsie, animaux vivants ou culture tissulaire) car il y a des assos qui sont contre l'experimentation animale. Citer
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