O'Hana

En arrivant il y a plus de six ans, j'utilisais ma carte ISIC pour avoir droit au rabais étudiant au cinéma à Sherbrooke et ça passait sans problème. Peut-être te serait-elle utile finalement comme le propose Marion O'Hana

Salut la gang ! Une lecture optimiste et pleine d'espoir (ce qui fait changement de mes précédentes chroniques, je l'admet hi hi). Je ne tire pas non plus sur la sonnette d'alarme : j'essaie seulement et humblement de nous rappeler que nous sommes chacun d'entre nous, à titre d'immigrant et de personne, notre principale et première ressource sur laquelle compter lorsque nous immigrons. Que nous venions d'Europe ou du Maghreb, que nous ayons du cash ou pas, que nous exercions une profession recherchée ou pas, etc. Et la résilience nous enseigne, bien au contraire, qu'il n'y a pas de fait accompli Ouff, c'est là une conclusion qui n'engage que toi mon cher Arslan ! L'immigration restera toujours une aventure périlleuse : si ce n'est pas se faire scalper par un sioux en traversant le Far West, c'est se prendre une fin de non-recevoir de l'ordre professionnel des dentistes du Québec ... À ta conclusion, je te répondrai par une question : et maintenant, que comptes-tu faire ? Autrement dit : les obstacles sont nombreux OU semblent nombreux (la nuance est importante) mais peut-on se dire qu'on peut s'en servir comme autant de sources de motivation pour persévérer ? Pour paraphraser un peu JFK : ne te demande pas ce que le Québec peut faire pour toi mais ce que toi tu peux faire pour toi-même ... Eddy

Merci les filles, je suis touché Si tu veux Carmen, je peux te refiler par PM les liens URL que j'ai trouvé si ça peut t'aider ! Ouah.... même si Eddy, tu as la plus mauvaise note de la gang dans la section "faire court" ;-)..... merci.... Je crois, pour toutes les vérités vitales que tu y abordes, que c'est la plus belle chronique d'immigration qu'il m'ait été donné de lire.....

Je crois au contraire qu'on survalorise le diplôme pour en arriver à la situation dont tu parles. Parce qu'on est encore dans la pensée magique qui dit que plus tu vas loin dans les études plus tu augmentes tes chances de te trouver un emploi. Résultat : un bassin énorme de diplômés sur le marché du travail qui se renouvelle constamment. Face à cela, les employeurs n'ont, à la limite, plus qu'à se baisser pour ramasser les employés qu'ils désirent. En clair : ils ont le choix des candidatures car ce ne sont pas les appelés qui manquent. Et ces appelés ont, au contraire, pas le choix d'accepter des emplois sous-qualifiés en regard de leur formation, car ils faut bien vivre. Bref, la faute à qui ? Un peu à tout le monde j'imagine ... L'école pour ne pas être en mesure de mieux s'ajuster dans ses pratiques de sélection à l'entrée. L'État pour ne pas jouer efficacement son rôle de régulateur de la main-d'oeuvre en fonction de l'offre et de la demande. Les entreprises (mais on ne peut pas leur en vouloir à la limite car elles sont dans une logique de rentabilité) car elles profitent largement d'un bassin structurel de chômeurs. Et les diplômés eux-mêmes d'accepter d'appliquer sur ces emplois-là. O'Hana

Salut Jwilili, Théoriquement, cela ne devrait pas te causer préjudice selon moi : 1 - parce que cela concerne un refus de visa pour la Belgique et non pour le Canada 2- parce que le refus avait un motif financier, motif qui peut être facilement corrigé par toi à l'inverse d'un refus pour raison de santé ou d'antécédent judiciaire O'Hana

Le mois de mai pour moi : - le printemps est vraiment arrivé à ce moment généralement (plus de sloche brune de mars et avril) - promesse de l'été qui s'en vient qui (me) fait du bien après les mois d'hiver : ce qui signifie chaleur, vacances et rythme plus cool (surtout lorsque j'étais étudiant) - les terrasses sont de sortie ... comme les clients comme moi sont de sortie sur les terrasses des bars et restaurants ! O'Hana

Salut Kris, Tite erreur de frappe j'imagine : C'est plutôt expiration en mars 2008 et non en mars 2009 si vous êtes devenus résidents permanent en février 2003 (période quinquennale). J'imagine que c'est un détail qui ne vous a pas échappé mais si tel était le cas, un an de confusion pourrait avoir des conséquences très graves dans un éventuel retour au Canada ... O'Hana

Tout le plaisir est pour moi Betty Boop, merci pour tes bons mots ! O'Hana

Salut Wani, Oui, techniquement c'est possible en effet comme plan de match (selon la Loi sur l'Immigration et la Protection des Réfugiés). Cependant, respecte scrupuleusement le ratio 3 ans d'absence/2 ans de présence sur la période quinquennale. Scrupuleusement, c'est-à-dire au jour près. Par ailleurs, l'agent d'immigration pourra se poser des questions sur ton intention légitime de faire du Canada ton pays de résidence principale. Autre chose : en étant absent du Canada les trois premières années de ta période quinquennale, tu es donc, comme tu l'as compris, obligé de rester les deux dernières années au Canada pour ne pas perdre ton statut. Cela signifie que pendant deux ans, tu ne pourras pas sortir du pays sous aucun prétexte et en deux ans, il peut s'en passer des choses ... Toute absence devra alors être justifié pour des raisons impérieuses (santé, problème de famille nécessitant obligatoirement ta présence, etc). O'Hana

Salut Arslan Je ne parlerai qu'en mon nom (les autres sont tout à fait capables de se "défendre" seuls) : aucune panique et encore moins appréhension me concernant. Vu mes origines, je serai d'ailleurs trèèès mal placé pour avoir un quelconque préjugé et envers un immigrant et envers une autre culture De manière générale, je SAIS pour ma part que les québécois ont compris toute l'importance stratégique et sociétale des immigrants pour leur culture. Les québécois ne sont cependant pas rendus à l'extrémité d'accepter "n'importe qui" pour tenter de préserver leur culture. Les actions posées (immigration planifiée) et la vigilance consécutive (Loi 101, etc) sont d'ailleurs l'expression de moyens pour éviter justement cette extrémité. En reconnaissant tout simplement le droit des peuples à disposer librement d'eux-mêmes. Le fait québécois se distingue peut-être dans le fait qu'il a su aller chercher les outils économiques pour acquérir son autonomie. Lorsqu'une nation crie haut et fort son affranchissement, comment nous, à titre de membre de la tribune des nations, pouvons rester sourds à cet appel ? Les québécois ne rejettent pas les autres cultures : ils les accueillent ... mais pas à n'importe quelle condition. C'est donc justement et précisément autour de la détermination de cette ou ces condition(s) que le multiculturalisme pourra s'épanouir au Québec. Pour le bien de toutes et tous. O'Hana

Hé hé Très originale comme approche pour ta chronique Katy Merci beaucoup pour ce bol de fraîcheur qui convient parfaitement au superbe temps que nous avons aujourd'hui. Tu vois qu'il n'est pas nécessaire de sortir de grandes théories sur le multiculturalisme comme un certain chroniqueur pour offrir des chroniques de qualité Eddy

Pour rajouter une couche J'aime à croire aussi à une universalité terrienne mais comme Cherry, sans nier les cultures. Mondialisation des cultures oui. Culture mondialisée non (ex : États-Unis). Il suffit de voir l'exemple frappant des tentatives de la Turquie pour rentrer dans l'Union Européenne : elle s'est essayée à la "kémalisation" (devenir une société moderne en adoptant la culture occidentale) et l'a prouvé en devenant une plate-forme militaire privilégiée pour les membres de l'OTAN. Cependant, Bruxelles est réticente à l'inclure dans l'Union car, culturellement, elle est encore trop différente. La Turquie se situe en effet à la frontière de l'Occident et de l'Orient, à mi-chemin entre chrétienté catholique et chrétienté orthodoxe. Elle est un pont entre deux civilisations. L'avantage d'un pont c'est que ça relie. L'inconvénient c'est que cela reste une construction artificielle entre deux entités solides où elle n'a sa place nulle part. Et je rejoins les propos de Stadak. O'Hana

Salut Cerano, Pour ma part, je te le déconseille pour les raisons suivantes : - CIC ne considère pas de la même façon des ressources financières lorsqu'on demande un visa touriste et un visa de résidence permanente : dans le premier cas, l'argent devrait servir normalement à des besoins "ludiques" (on vient en touriste pour dépenser) et dans le second cas, l'argent sert pour s'installer - ainsi, tu amènerais CIC devant une incohérence : demander à venir au Canada sous le statut de touriste mais utiliser ton argent pour t'installer car CIC va se demander pourquoi tu es prêt à mettre en jeu toutes tes ressources financières pour un simple voyage touristique au Canada - par ailleurs, venir en touriste dans le but d'immigrer est un projet risqué en soi (surtout si aucune démarche d'immigration n'a encore été faite) : aucun droit en effet comme touriste (pas de couverture maladie, pas le droit de travailler, ni d'étudier, etc). Il te faudra donc engager tes ressources financières dans un projet qui n'a aucune garantie d'aboutir positivement (obtenir le visa d'immigration) - enfin, à ma connaissance, il faut avoir un statut d'étudiant étranger ou de travailleur (notamment) pour pouvoir déposer une demande d'immigration depuis le Canada. Car ces derniers sont en projet (le premier développe des compétences et le second consolide les siennes) ce qui est positif pour l'économie canadienne. Un touriste "ne développe rien" dans un sens. Ne vaut-il pas mieux engranger davantage de ressources financières, bien préparer votre projet d'immigration en atténuant le plus possible les risques et arriver ici avec le visa d'immigration en poche, l'esprit plus tranquille ? O'Hana

Salut Arslan, ... En partant de l'idée que citoyenneté québécoise et culture européenne peuvent se rassembler sous une culture (ou une civilisation) plus élargie qui est celle de l'Occident Évidemment, je n'y échappe pas. C'est là l'impossibilité de se défaire de soi-même. De manière générale, je suis d'accord avec toi. Le temps et si les choses ne changent pas feront en sorte que je serai de moins en moins d'accord avec toi. Après "repeupler" le Québec, le nerf de la guerre c'est l'emploi pour qu'un immigrant prenne racine au Québec. Et de l'emploi, il y a en a moins en moins. Par là, je ne parle pas de jobines : je parle d'emploi qualifié, bien rémunéré avec de bonnes conditions de travail. J'entend de plus en plus de monde prendre Bombardier comme référence exemplaire à ce sujet, et ce, malgré les coupures massives qui y ont été faites. Certes. Cependant, dans le cas du Québec, si ce dernier peut choisir une partie de ses immigrants, il ne les choisit pas tous : selon l'accord Canada-Québec sur l'immigration, le fédéral décide de l'autorisation d'entrée de tous les immigrants quelque soit la province de destination. Il y a donc là une partie des immigrants qui viennent au Québec sur laquelle le MICC n'a aucun contrôle. Je ne sous-entend pas ces immigrants ne sont "pas bons" pour le Québec : je dis seulement que la régulation et la canalisation ne sont pas totales (juste en terme de langue maternelle par exemple). Je crois que tu enfonces une porte ouverte ici mon cher Arlsan : je ne connais pas d'immigrant sensé dans n'importe quel pays qui chercherait à ne pas s'adapter dans son pays d'accueil. Je comprend cependant ton intention louable derrière ta phrase. Tu vois, je pense le contraire moi. Le phénomène de regroupement est tout à fait vrai pour des cultures qui n'ont aucun problème d'identité ni avec soi-même ni avec ses voisins (les membres fondateurs de l'Union Européenne par exemple). Mais dans le cas de cultures ambivalentes ou en recherche d'identité de soi, c'est plus difficile : - L'Australie, occidentale par sa culture mais asiatico-océanienne par sa géographie, ne sait pas si elle doit rester alliée à l'Occident (et aux États-Unis en particulier) ou chercher à intégrer le marché des pays asiatiques (de plus en plus forts économiquement, avec la Chine en tête) - Le Mexique, de tradition hispanique et sud-américaine, est un peu la cinquième roue du carrosse - à mon sens - dans le marché de l'ALENA fortement occidental - le Japon, culture unique qui ne se retrouve nulle part dans le monde malgré ses origines chinoises, est complètement isolé culturellement car seul représentant de l'Occident en Asie et n'a jamais réussi (ni ne le cherche d'ailleurs apparemment) à intégrer le marché asiatique Je crois que c'est le même cas pour le Québec, toutes proportions gardées. O'Hana

Salut Atis.ca, As-tu été impliqué dans des actes terroristes ? Ou subversifs (ex : participation à un complot ou membre d'une organisation visant à déstabiliser un gouvernement démocratique) ? As-tu été impliqué dans un acte considéré comme un acte criminel dans les lois canadiennes (homicide / banditisme etc) ? Si non à ces questions, alors tu es correct De manière générale, l'ambassade canadienne prend contact avec les SSC (services secrets canadiens), avec Interpol et avec les autorités policières des pays où tu as séjourné plus de six mois depuis tes 18 ans ou depuis les 10 dernières années.* O'Hana * je tiens ces infos, de manière non officielle, d'un ex-agent de la GRC qui a travaillé au service qui retraçait les immigrants illégaux au Canada chez CIC rencontré dans le cadre de mon travail

Salut la gang, C'est une remarque intéressante car je constate régulièrement autour de moi que des résidents permanents considèrent que leur statut donne certains "droits" en-dehors du Canada aussi. Or, comme me l'a confirmé assez sèchement merci un douanier états-unien il y a deux ans, la résidence permanente canadienne n'est valable qu'au Canada et certainement pas une fois le petit doigt de pied posé en dehors de ce pays. Ce qui compte uniquement pour eux : le passeport et la nationalité qui y est inscrite. Bref, sec mais ça a l'avantage d'être clair et précis O'Hana

Salut Sandrinecola, Voici ce que je te propose : - fais une déclaration de perte au commissariat de police pour obtenir un document officiel - Contacte immédiatement l'ambassade canadienne qui t'a délivré ton visa pour les informer de la perte de ton passeport avec le visa apposé à l'intérieur, document officiel de perte à l'appui pour prouver tes dires - dépose une demande de passeport Ainsi, cela te dégagera de toute possibilité de suspicion (l'ambassade pourrait en effet supposer que tu fais commerce illicite de fraude de visa). Normalement, l'ambassade te délivrera ensuite un nouveau visa sans frais qu'elle apposera dans ton nouveau passeport. Il est en effet bien important que le n° de passeport inscrit sur ton visa correspond au n° de passeport dans lequel il est apposé (pour éviter encore toute fraude). Toute cette procédure permettra ensuite à l'ambassade de résilier la validité de ton visa perdu et éviter ainsi qu'une personne se présente à un poste frontière canadien en l'utilisant de manière frauduleuse (et par le fait même de te dégager de toute responsabilité ou complicité dans ce délit s'il arrivait). Si d'autres forumistes ont des suggestions ... O'Hana

Salut Mysteral, Je suis allé voir le lien du MCCI que tu as placé dans ton post, je te colle le paragraphe qui te questionne je suppose : Tu remarqueras que j'ai souligné le passage où il est indiqué que seules les titulaires d'un CSQ dont la demande est faite depuis le Canada sont exemptées, en principe, d'obtenir un CAQ pour un projet d'études. Autrement dit, les candidats qui effectuent leur demande hors du Canada ne sont pas concernés par cette exemption (ce qui est ton cas si je me fie à ton lieu de résidence actuel indiqué à gauche sous ton pseudonyme). J'avoue cependant que j'ignorais que des demandeurs d'immigration dont le dossier est traité au Canada pouvaient se voir exemptés d'un CAQ : c'est en soi une bonne nouvelle car cela leur facilite grandement les choses (surtout dans le cas d'un réfugié considérant sa situation de grande précarité inhérente). Comme quoi, je ne suis pas si expert que ça en la matière dans mon cas ! O'Hana

Jiddu Krishnamurti c'est bien, c'est très bien même ... Mais cela demande une capacité de conscientisation de soi extraordinaire à mon sens. Le détachement qu'il prône dans ses réflexions est aussi difficile que nécessaire pour effectivement se détacher de la souffrance et atteindre sa vérité. O'Hana

Moi ! - CSQ obtenu alors que j'étais sous visa étudiant au Québec. Je suis passé par la DGQ de New York et ils m'ont fait passer une entrevue par téléphone qui a duré cinq minutes - visite médicale passée auprès du médecin désigné de Sherbrooke ; empreintes digitales faites à la GRC de Sherbrooke et envoi de ces dernières à Ottawa ; dossier déposé au consulat de Buffalo - envoi du passeport pour y faire apposer le visa et tour du poteau au poste frontière estrien à 30 minutes de Sherbrooke Le tout a pris 7 mois. O'Hana

Ha ben non pas lu Joey, désolé ... Merci de l'info en tout cas ! Ceci dit, cela vient renforcer l'idée émise dans mon message. O'Hana

Salut la gang, Je ne reviendrai pas sur les condoléances suite au décès du Pape. Je partage la même tristesse pour la perte de l'homme. Ce qui me fatigue, ce sont les multiples commentaires ou réactions dans les médias (occidentaux) où on parle de ce leader religieux comme étant une perte pour toute l'humanité ... Pour ma part, il a été le chef spirituel d'une religion parmi tant d'autres et non de toute l'humanité. Bien sûr, il a contribué à rapprocher les religions (premier pape à se rendre dans une synagogue) mais d'un point de vue religieux et spirituel, l'humanité toute entière n'adhère pas à ses croyances que je sache. Bon, peut-être était-ce une façon de dire les choses sans réellement les dire ... O'Hana

Salut la gang, J'irai dans le même sens que Greg62 : je crois qu'un projet de retour aux études alors que ton processus d'immigration est entamé (CSQ reçu) risque plus de te faire du tort que du bien. Ton intention est louable (avoir une formation reconnue au Québec) mais retourner aux études ne signifie pas nécessairement, en toute objectivité, que tu vas obtenir ton diplôme à terme. Tu mets donc l'immigration devant un choix cornélien et à ce jeu, généralement, ils choisissent l'option la plus sécuritaire pour eux ... soit de te refuser le visa étudiant et même à remettre en question ton processus d'immigration (veux-tu immigrer ou étudier au Canada ?). Exactement d'accord avec TitiPirouette : c'est exactement cette procédure que j'ai suivi en 2002 (fin de mes études, emploi, obtention d'un visa de travail, résidence permanente). Cependant, je n'étais pas vraiment dans un secteur recherché (sciences humaines). O'Hana

Salut Orphée, Si tes enfants sont de nationalité française, ils seront déjà pris en charge d'une certaine manière par le Québec car ils bénéficieront de l'exemption qui leur permet de payer les mêmes frais de scolarité que les étudiants québécois, même s'ils sont étudiants étrangers. Une fois résidents permanents, cela ne changera donc rien pour eux. La seule différence résidera probablement dans le fait qu'ils auront alors désormais le droit de bénéficier des prêts et bourses, ce qui ne sera pas le cas tant qu'ils seront sous statut d'étudiants étrangers. Pour ta seconde question, je laisse d'autres forumistes plus éclairés (ex : ceux qui ont des enfants) y répondre plus adéquatement que moi. Je maîtrise davantage la formation professionnelle et les études collégiales et universitaires. O'Hana

C'est parce que tu as vécu aussi en Calédonie Laurent, faut pas chercher plus loin ... Désolé de cette pollution dans un fil très très intéressant. O'Hana