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Orphée

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  1. Je tiens aussi à dire -même si je n'ai pas répondu au sondage cause ... pas vu :blushing: - que ce site est extra pour tous les conseils qu'on peut y trouver. Je pense que je ne serais probablement pas ici si je ne l'avais pas trouvé sur internet.
  2. Salut à tous Tout est dans le titre ou presque Voili, voilà: nous allons vous expliquer le "presque". Elle a 28 ans, c'est la chérie à mon frère. Depuis 3 ans elle est en France avec un permis pour étudier. Ce visa se termine en juillet. Mon frère, lui, part aujourd'hui pour le Laos. Il ne sait actuellement pas s'il restera là bas pour six mois ou dix ans. La question précise la voilà: je suis au Québec depuis 8 mois et j'aurais besoin d'un coup de main pour un projet de démarrage d'entreprise (tourisme). Comme cette petite Birmane parle français et anglais ça m'aiderait bien et lui permettrait de ne pas avoir à rejoindre la Birmanie pour cause de fin d'études. Je voulais donc savoir si: - n'importe qui pouvait venir au Canada en touriste (6 mois et le tour du poteau ) du moment où il y avait un passeport - c'était long ou pas de demander un permis de travail et si, dans ce cas, on vérifiait si le type d'emploi n'était pas fourni localement (préférence locale) - si, en faisant un investissement en tant qu'étranger d'environ 150 000 $ CAD on avait droit rapidement au statut d'immigrant. Bref, je cherche des solutions. Vos conseils seront donc les bienvenus Merci d'avance !
  3. Orphée

    etude et parrainage

    Sous reserves Il me semble que le but du parrainage n'est pas de laisser la porte ouverte aux compromis faciles et notamment celui de se dispenser de caution financière en cas de problème. Il me surprendrait donc qu'un contrat de mariage entre une étudiante, sans caution parentale ni revenus hors aides diverses, et un étranger soit suffisant pour éviter les contraintes habituelles de sélection. Le but du cautionnaire est de garantir financièrement la survie de son protégé, si la garantie se repose sur des aides publiques alors le service public à fait un très mauvais calcul. Cela j'en doute. Affaire à suivre ...
  4. Orphée

    Seriez-vous au Quebec...

    Ben comment dire ....... Si nous avions été bilingues une expérience dans le secteur anglophone ne nous aurait pas déplue :blushing: . Reste qu'il 'empèche que j'adore la langue Française !
  5. 220 euros le billet ... c'est vraiment pas cher !!! Je n'ai JAMAIS vu ce tarif là. Tu es sûr de ces chiffres ?
  6. Corrigez moi si je me trompe mais il ne m'a pas semblé lire quue tu avais un diplôme en poche supérieur au bac. A ma connaissance donc, deux ou trois années de fac non validées par un diplôme ne te donneront de toute façon qu'une équivalence de bac français soit une équivalence, au mieux, de DEC du Québec (diplôme d'études Collégiales). C'est en tout cas notre cas. Il faut comprendre qu'ici le bac Français correspond à un état flou entre la fin du secondaire et le collégial. Pour rentrer à l'université et même avec le bac il y a étude du dossier. Mais, par contre, je ne pense pas que ce soit un critère majeur pour la sélection des candidats immigrants: l'âge, le secteur d'emploi recherché et les fonds disponibles me semblent plus importants.
  7. On a le droit de tricher ? Bon, voilà: Nous on avait décidé de rentrer. Enfin, pas rentrer tous mais trois sur cinq, les deux grands continuant leurs études. Pas de dégôut du Canada pour nous, simplement la dure constatation que c'était pas aussi facile que ça de trouver du boulot, enfin ... du boulot qui nous corresponde plus exactement. Donc, sachant que j'avais la possibilité de travailler assez facilement en France, soit dans mon domaine, soit dans un domaine complètement différent (en étant employé de mon frère), on s'était dit qu'on n'allait pas attendre vingt ans pour trouver du boulot et qu'il vallait mieux se sauver vite avant qu'il ne reste plus rien des économies. Je suis donc rentré. Si, si, rentré en France, seul, pour faire une sorte de bilan des possibilités sur place. Là j'avoue j'ai péché: je n'ai pas pu résister au doux parfum des patisseries, des fromages ou à cette sensation extraordinaire de manger un vrai pain à l'ancienne, vous savez, celui avec la croûte ! A part ça, pour le reste ... un peu déçu tout de même. Certes la France (j'ai fait environ 1500km) a de jolis coins et tout ça mais ... je me sens plus chez moi au Québec. Pas de gens qui passent leur temps à râler, à bloquer lycées, universités et , quand ça leur chante, de brûler en passant quelques voitures. On dira peut être que c'était parce que la période n'était pas bonne mais, venant de l'ile de La Réunion, le rappel n'a pas été sans effet: quel est l'avenir de la France hors le tourisme ? Et le prix !!! :heu1: Oui, le prix de l'immobilier. Vous avez vu ça ? vous comptez acheter comment exactement ? par un héritage ? Bref, ça nous tentait peu déja ... et on s'est dit qu'on allait perserverer encore. Je suis donc revenu après un peu plus d'un mois et compte me remettre à l'ouvrage, pardon, rechercher du boulot dès que ce fichu nerf coincé me permettra de ne plus passer pour un vieillard.
  8. Notez que la pupart des ordinateurs portables (probablement tous d'ailleurs) sont équipés d'une alimentation 110 à 240 V . Même chose pour pas mal d'appareils portables dès qu'ils consomment un peu et ont besoin d'une alimentation précise (appareil photo, appareils externes comme disques durs...). Ce n'est pas une généralité dans le cas des radios cassette CD portables (lire étiquette 110-220 ou 240V). Si donc vous êtes chanceux, il vous suffit donc de changer l'embout ou de vous procurer un petit adaptateur. L'adaptateur est plus simple (on emboite) mais pas forcément un choix idéal: mauvais contacts et se débranche un peu facilement. Pour changer l'embout vous supprimez l'ancien et devez extraire les deux ou trois fils qu'on mettra à nu à l'extrémité sur 5mm environ. Attention à ne pas dégrader l'enveloppe des fils pour éviter de vous électrocuter par la suite (ou d'électrocuter bébé). Si c'est trois fils le fil -en général jaune- devra être raccordé au centre (c'est la masse) les deux autres, en général marron et bleu, iront sur les cotés.
  9. OK, merci à vous deux Une question encore: si on suppose que la petite (14 ans) passe par la guadeloupe, quel délai y a t-il entre l'arrivée en guadeloupe et le départ pour montreal ? parce qu e5 heures de vol c'est pas beaucoup ... sous réserve de ne pas faire de pause de 3 jours !
  10. Orphée

    Trois Rivieres

    Moi j'aime bien Trois Rivières. On est effectivement situés à 1h30 de Québec ou de Montréal (quoique ... Montréal c'est grand et une demie heure de plus est très loin d'être impossible) Ce n'est pas une ville touristique Le loyer est moins cher que dans les deux autres villes (600/700) mais il y a moins de travail (c'est réputé comme capitale du chomage même si cela ne l'est pas actuellement) Ecoles et garderies RAS. De mon expérience et de celles de mes connaissances pas de problème particulier. Monter un truc de restauration: oui ici la bouffe est reine MAIS ici c'est plutôt style américain: Macdo, pizzeria ...
  11. Orphée

    Visa pour couple ?

    Confirmation: OUI mais c'est le requérant principal qui doit arriver en premier.
  12. AUCUN risque. Idem "feuille d'Erable": il faut un minimum financier, un niveau & domaine d'études, un age, un casier vierge et le reste n'a pas vraiment d'importance. D'ailleurs, comme c'est souligné souvent, le diplôme n'est pas une garantie d'intégration professionnelle.
  13. Orphée

    Age et Embauche

    Orphée, 46 ans et presque toutes ses dents. Le problème n'est pas vraiment l'âge. Bien évidemment un jeune sera plus malléable mais comme, de toutes façons, le changement de boulot est courant je ne crois pas qu'on fasse de l'âge un critère impératif. La difficulté c'est d'arriver à intégrer le système: il y a méfiance envers des expériences d'un "autre monde" ET les méthodes de travail ou les relations sont différentes. De ce que j'en ai entendu, dès qu'on a une expérience positive d'intégration, c'est beaucoup plus facile. Donc le problème consisterait, pour moi, à accepter n'importe quoi ou presque ... en attendant mieux ! C'est vrai que, par exemple, j'ai du mal à envisager de faire les horaires de nuit ... ou que, pour ma femme(48), l'expérience de "préposée au bénéficiaire" s'apparente plus au goulag ...
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